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mardi 6 mai 2014
Le géant énergétique russe Gazprom a déchargé ses premiers barils de pétrole en provenance d’Arctique. Vendus sous le nom d’ARCO (Arctic Oil), ils seront moins coûteux que l’Urals.

Gazprom a déchargé une première partie du pétrole provenant du gisement Prirazlomnoe, situé sur le plateau arctique de la mer de Petchora, a annoncé la compagnie. Ces 70 000 tonnes de pétrole ARCO ont été achetées par une grande compagnie européenne dont le nom n’a pas été révélé.

La licence du gisement Prirazlomnoe appartient à une succursale de Gazprom – Gazprom Neft Shelf – et Gazprom Neft est l’opérateur du projet. La compagnie compte consolider Gazprom Neft Shelf d’ici la fin du premier semestre, a annoncé le directeur général adjoint Vadim Iakovlev. Le total des investissements dans le projet d’exploitation sur le plateau avoisine 90 milliards de roubles, soit environ 1,8 milliards d’euros.

Prirazlomnoe est le premier projet d’exploitation pétrolière en service sur le plateau arctique russe. La plate-forme a été installée en août 2011 et l’exploitation a commencé fin 2013. Les réserves disponibles s’élèvent à 71,96 millions de tonnes. En 2014, il est prévu d’en extraire au moins 300 000 tonnes.

Il sera plus facile de vendre le pétrole sous une marque distincte sur les marchés internationaux étant donné sa haute granularité, souligne Lev Snykov de Greenwich Partners. Auparavant, le président de Gazprom Neft Alexandre Dioukov avançait que la nouvelle marque en provenance de Prirazlomnoe serait de qualité inférieure par rapport à l’Urals, d’où son tarif moins élevé (vendredi, l’Urals s’échangeait à hauteur de 107,8 dollars le baril). Et les conditions spéciales (0% d’impôt minier jusqu’en 2021) permettront de rendre ce projet efficace économiquement même avec un cours de 80 dollars le baril.

D’après Lev Snykov, la nouvelle marque de pétrole ARCO sera sollicitée avant tout en raison d’une forte demande en marques pétrolières à haute granularité: il est plus rentable de raffiner ce pétrole tout en économisant sur son prix coûtant.

mercredi 26 mars 2014
Les autorités américaines sont disposées à autoriser les exportations du gaz naturel en quantités suffisant à satisfaire les besoins quotidiens de l'Europe, a déclaré mercredi le président des Etats-Unis Barack Obama à l'issue du sommet USA-UE.

Pour ce faire les Etats-Unis et l'Europe devraient dépenser des dizaines de milliards de dollars. Pour les Etats-Unis il faudrait construire une infrastructure et une flotte pour acheminer le gaz liquéfié en Europe, tandis que cette dernière devrait créer une infrastructure pour acceuiller les navires et le gaz liquéfié.

Si les Etats-Unis et l'Europe acceptent ces dépenses, le prix du gaz américain sera au moins comparable, voire supérieur, à celui du gaz russe.

Source French ru
lundi 6 janvier 2014
Plus de 130 voitures d'occasion en provenance du Japon se sont vu refuser l'accès à la Russie l'an dernier, l'agence de surveillance des consommateurs Rospotrebnadzor demeure préoccupé par l'accident de Fukushima.

Un contrôle strict de toutes les marchandises en provenance du Japon, continuera en 2014 a déclaré Rospotrebnadzor sur son site Internet.

" En 2013 ,la Russie a interdit l'acces de 165 lots de marchandises, principalement des voitures (132), et des pièces de rechange (33), indique le communiqué .

Les livraisons de poissons en provenance du Japon ainsi que tous ceux qui sont pris dans l'océan Pacifique sont également surveillés de très près, a indiqué l'agence .

«Une attention particulière est accordée sur cette question dans l'Extrême-Orient Russe, où le contrôle de la radioactivité des poissons entrants est strictement mis en œuvre, y compris le contrôle de toute la chaîne de distribution ", a déclaré Rospotrebnadzor .

L'alimentation par du poisson japonais en Russie est actuellement autorisée avec une déclaration spéciale qui confirme leur non radioactivité et à la seule condition qu'ils soient conformes aux normes de sécurité établies par l' Union douanière Russe , ainsi que ceux de la Biélorussie et du Kazakhstan .

Aujourd'hui ces vérifications n'ont révélé jusqu'ici aucun poisson ni autres produits alimentaires qui " ne répondent pas à la réglementation sanitaire sur les indicateurs de rayonnement », a déclaré l'agence .


© Nature Alerte

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lundi 7 octobre 2013
C'est la plus grosse acquisition de Monsanto en sept ans. Le numéro un mondial des semences de maïs, de soja et d'autres cultures génétiquement modifiées a annoncé hier qu'il achetait The Climate Corporation pour quelque 930 millions de dollars. 

Il s'agit pour le géant américain de compléter l'offre de services aux agriculteurs rassemblée dans son unité Integrated Farming System Business. Cette division propose de nombreuses données aux agriculteurs, sur la nature des sols et les conditions météorologiques pour leur permettre d'optimiser à la fois la sélection des semences, l'organisation des semis et les conditions de récolte. 

Un marché évalué à 20 milliards de dollars par les dirigeants du groupe.

The Climate Corporation, basée à San Francisco, a été fondé par des anciens de Google et d'autres sociétés de haute technologie de la Silicon Valley. 

La société vend aussi des polices d'assurance agricoles, et elle est autorisée à distribuer la police d'assurance des récoltes publiques. 

Monsanto est en concurrence frontale avec DuPont Pioneer dans le secteur des services de données aux agriculteurs, qui en dépendent pour maximiser leurs rendements. « La fourniture de données représente la prochaine grande avancée dans le domaine de l'agriculture », proclame le communiqué de Monsanto.

Une récolte record de maïs

Monsanto a en outre annoncé pour l'exercice 2012-2013, clos au 31 août, un bénéfice net en hausse de 21 %, à 2,5 milliards de dollars. Cela correspond à 4,56 dollars par action, quand le marché attendait 4,58 dollars par titre. 

Monsanto promet pour l'exercice 2013-2014, qui a débuté le 1er septembre, un bénéfice par action compris entre 5 et 5,20 dollars, alors que les investisseurs tablaient jusqu'ici sur 5,33 dollars par action. Après la récolte record de maïs de cette année, les prix ont chuté et il y a fort à parier que les agriculteurs en planteront moins l'an prochain. Le titre Monsanto a du coup marqué le coup, reculant de plus de 2 % à la mi-séance, hier.

Au dernier trimestre de l'exercice 2012-2013, la perte nette s'est montée à 249 millions de dollars, contre 229 millions de dollars seulement au même trimestre de 2012. Le dernier trimestre de l'exercice décalé est généralement faible, car c'est la période où les agriculteurs nord-américains et européens moissonnent et n'achètent pas encore de semences ou d'herbicides pour les semis de l'année suivante.


Source: © Karl De Meyer, Les Echos



lundi 9 septembre 2013
Les catastrophes naturelles en Chine ont fait 367 morts et 115 disparus en août, ont révélé des statistiques publiées lundi. 

Le ministère des Affaires civiles et le Comité national pour la réduction des catastrophes naturelles ont annoncé dans un rapport que les catastrophes naturelles avaient affecté 139,4 millions de personnes et forcé le relogement de 3,13 millions d'habitants. Environ 136.000 habitations ont été détruites et 1,11 millions endommagées à divers degrés. Environ 15,36 millions d'ha de terres cultivées ont été affectés et 2,56 millions d'ha complètement détruits, ajoute le rapport. 

Les pertes économiques directes sont estimées à 148,73 milliards de yuans (24,29 milliards de dollars). Les catastrophes naturelles en août ont principalement été des inondations, sécheresses, typhons et tremblements de terre, selon le rapport.

Source Chine information
mardi 20 août 2013
Alors que l'humanité est incapable de s'accorder pour limiter drastiquement le réchauffement climatique, des chercheurs ont calculé le coût probable de l'élévation du niveaux des océans, et des phénomènes météorologiques extrêmes, sur 136 des principales métropoles littorales du monde. Leurs résultats ont été publiés dans le magazine Nature, le 18 août 2013.

D'ici 2050, le coût annuel des dégâts provoqués par les inondations pourrait dépasser les 1000 milliards de dollars par an. Même si les investissements étaient faits pour protéger les villes concernées contre la montée des eaux, et ce afin de conserver les mêmes probabilités d'inondations, les dégâts seraient de l'ordre de 60 à 63 milliards de dollars par an.

Et sans action pour mieux protéger les plus vulnérables des métropoles, même les mieux protégées d'aujourd'hui pourraient subir des dégâts totalement inimaginables. Pour les auteurs de l'étude, les coûts des protections nécessaires, aussi gigantesques soient-ils, ne sont que de la petite monnaie comparés aux coûts de la destruction et de la reconstruction répétées des villes vulnérables.


dimanche 28 juillet 2013
Des fuites massives de méthane causées par la fonte de la banquise dans l'océan Arctique pourraient coûter des milliers de milliards de dollars à l'économie mondiale, affirme un article publié mercredi dans la revue Nature.

Des milliards de tonnes de ce très puissant gaz à effet de serre sont bloqués au fond de l'océan Arctique, sous la banquise qui se réchauffe et fond en été, indiquent trois scientifiques signataires de l'article.

Ils ont cherché à évaluer l'impact économique d'une possible fuite de 50 milliards de tonnes de ce méthane, s'échappant durant dix ans de la mer de Sibérie orientale, partie de l'océan Arctique au nord-est de la Russie.

Ce chiffre correspond à 10% du stock de méthane coincé dans le plateau continental sibérien. En 2008, des chercheurs russes avaient considéré qu'il était "hautement possible" que jusqu'à 50 milliards de tonnes de méthane s'en libère.

"Si ce méthane était libéré, le temps qui nous sépare du moment où l'augmentation de la température moyenne globale dépassera les 2°C serait raccourci de 15 à 35 ans", estime l'expert en modélisation, Chris Hope, de l'Université de Cambridge en Angleterre, dans un communiqué présentant l'étude.

Cette menace est une "bombe à retardement invisible", résume Gail Whiteman, spécialiste du climat à l'Université Erasmus de Rotterdam aux Pays-Bas.

Prenant en compte les inondations, sécheresses, tempêtes et productivité plus faible de l'économie que provoquerait ce changement climatique, "l'impact est évalué à 60.000 milliards de dollars, quand la valeur de l'économie mondiale en 2012 était proche de 70.000 milliards de dollars", dit-il.


Quelque 80% des effets seraient constatés dans les pays les plus vulnérables en Afrique, en Asie et en Amérique sud, selon le modèle utilisé par les chercheurs.

Si les 50 milliards de tonnes de méthane étaient libérés durant 20 ans, entre 2015 et 2035, le coût serait d'environ 64.500 milliards de dollars, a précisé à l'AFP Chris Hope. Et si la fuite s'étalait sur 30 ans, entre 2015 et 2045, il s'élèverait à 66.200 milliards.

Des chercheurs ont mis en évidence ces dernières années que le fond de l'océan Arctique commençait déjà à libérer du méthane, mais ce phénomène reste mal expliqué et peu documenté. En 2011, une équipe russe l'a constaté dans la mer de Sibérie orientale, mais a attribué ce phénomène aux conséquences du dernier âge de glace. 


Source © AFP 24/07/2013







lundi 15 avril 2013
Pour atteindre ses objectifs d'acquisition, l'établissement public devrait doubler ses ressources. Irréaliste, juge la Cour des comptes, qui préconise une révision à la baisse de ces objectifs. Pas d'accord, répond Delphine Batho.
 

La Cour des comptes a rendu public le 4 avril un référé sur la gestion du Conservatoire de l'espace littoral. Datant du 28 janvier 2013, cette publication est accompagnée des réponses des trois ministres auxquels le référé était adressé, à savoir les ministres chargés de l'écologie, de la réforme de l'Etat et du budget.

Des indicateurs d'efficience mis en place


Depuis son précédent référé datant de 2008, la Cour des comptes constate que le Conservatoire du littoral a mis en œuvre un certain nombre de ses recommandations. En 2009, il a signé une charte de partenariat avec l'Agence des aires marines protégées, dont les domaines d'intervention sont proches, après que la juridiction financière a recommandé "une coordination efficace".

Après sa critique sur l'insuffisance du contrôle de gestion, l'établissement public a introduit en 2009 des indicateurs d'efficience portant sur le prix moyen à l'hectare du foncier acquis, le coût moyen de l'élaboration d'un document de gestion ou encore de celui des travaux de restauration.

La Cour recommandait aussi au Conservatoire d'accroître ses ressources propres, notamment par le biais du mécénat. Si les objectifs quantifiés n'ont pas été atteints, il a toutefois agit en ce sens, en signant des conventions avec le Landmark Trust, association britannique à but non lucratif, en 2007, et avec la Fondation du patrimoine en 2011. Les objectifs "ont été largement dépassés en 2012 et représentent 2,2 M€", précise également la ministre de l'Ecologie, Delphine Batho, dans sa réponse. ( Ajout N/A attention Danger)

Enfin, la loi Grenelle 2 a étendu le droit de préemption du Conservatoire sur les unités foncières objets de sociétés civiles immobilières (SCI) ou d'indivision, relève la Cour qui avait demandé à l'établissement de renforcer ses moyens en la matière.

Inadéquation entre les moyens alloués et les objectifs fixés


Mais des insuffisances persistent, relève la juridiction financière. Outre l'absence de statut réglementaire des personnels, elle pointe l'inadéquation entre les moyens alloués et l'objectif fixé à l'horizon 2050 d'assurer la protection de 20% du littoral métropolitain.

Si ses moyens humains et financiers ont sensiblement augmenté entre 2006 et 2011, "ils ne lui permettent pas d'assurer l'ensemble de ses missions", relève la Cour.


Celles-ci, consistant à acquérir des terrains situés sur le littoral, ont été élargies au domaine public maritime en 2002, aux zones humides des départements côtiers en 2005, aux estuaires, au domaine public fluvial et aux lacs à partir de 2009 et à la protection du patrimoine culturel du littoral, notamment avec le transfert des phares depuis 2012. "Les objectifs d'acquisition fixés en 2005 pour la stratégie 2050 impliqueraient d'acquérir 5.200 hectares par an contre 3.000 hectares en moyenne sur la période examinée", analyse la juridiction financière.

En bref, des ressources supplémentaires importantes sont nécessaires pour atteindre ces objectifs. Or, l'augmentation des revenus d'immobilisation, des dons et legs, du mécénat ou des subventions des collectivités locales ne peut suffire. Pour atteindre l'objectif d'acquisition en 2050 de 200.000 hectares sur le littoral métropolitain et de 70.000 hectares dans les DOM, le Conservatoire devrait voir ses ressources doubler, "ce qui est manifestement irréaliste", relèvent les magistrats.

Conclusions : la Cour recommande de réviser la stratégie 2050 "afin d'adapter les objectifs d'acquisition foncière aux ressources financières et humaines susceptibles d'être affectées au Conservatoire du littoral". Dans sa réponse, le ministre délégué au Budget, Bernard Cazeneuve, admet cette nécessité mais rappelle que l'établissement public s'est d'ores et déjà engagé dans une démarche de priorisation de ses interventions. "J'ai demandé au Conservatoire d'élaborer pour la fin de l'année 2014 (…) une stratégie de priorisation de l'action foncière d'ici à 2030", confirme Delphine Batho.

Pas de remise en cause de l'objectif 2050 selon Delphine Batho. Mais la ministre de l'Ecologie n'entend pas pour autant remettre en cause les objectifs de la stratégie 2050, estimant que la simulation effectuée par la Cour, reposant uniquement sur la moyenne annuelle d'acquisition, est "à relativiser"
. En fonction de l'évolution du prix du foncier, des opportunités qui peuvent se présenter sur certains territoires, des propositions des particuliers (via la procédure de dation en paiement notamment), des délais de négociation et des partenariats avec les collectivités territoriales, la ministre juge l'action de l'établissement "très évolutive".

Elle en veut pour preuve l'extension du domaine du Conservatoire entre 2006 et 2013, passé de 88.000 à 153.000 hectares, représentant près de 1.500 km de rivage. Les raisons d'une telle progression selon la ministre ? 


L'affectation au Conservatoire du produit du droit annuel de francisation des navires, les contributions nouvelles des collectivités, des agences de l'eau et de l'Europe, les possibilités rénovées d'affectation du domaine public par l'Etat, les opportunités foncières dégagées par les Salins du Midi, et l'investissement des agents.Reste que nombre de ces facteurs ont été pris en compte par la Cour des comptes dans son référé et que le maintien de l'objectif nécessitera de nouvelles pistes de financement.

L'introduction de servitudes pour la protection de l'environnement dans notre droit, suggérée par Guillaume Sainteny le 27 mars dernier devant la commission du développement durable de l'Assemblée, pourrait être une solution permettant au Conservatoire de poursuivre sa mission tout en mobilisant moins de fonds. "Cela coûte beaucoup moins cher d'indemniser une servitude non aedificandi plutôt que de procéder à l'acquisition en pleine propriété", précise le spécialiste de la fiscalité écologique.

Source
© Laurent Radisson / 2B


jeudi 28 mars 2013
Selon la dernière étude sigma du réassureur Swiss Re, les catastrophes naturelles survenues en 2012 ont causé des dommages économiques à hauteur de 71,3 milliards USD (118,5 milliards de $ en dommages totaux), coûtant la vie à quelque 8948 personnes.
jeudi 14 mars 2013
Les coûts économiques engendrés par les catastrophes naturelles ont atteint l'an dernier la somme de 138 milliards de dollars (112 milliards d'euros), la moitié des pertes ayant été causée par l'ouragan Sandy et la sécheresse qui ont frappé les Etats-Unis, a indiqué jeudi l'ONU.

C'est la troisième année consécutive que ce chiffre dépasse la barre des 100 milliards de dollars, ont relevé les Nations unies en dévoilant à Genève les statistiques pour 2012.

L'examen des pertes économiques causées par les catastrophes majeures depuis 1980 révèle une augmentation depuis depuis la moitié des années 1990, a expliqué la directrice de la Stratégie Internationale de Prévention des Catastrophes des Nations unies (UNISDR), Elizabeth Longworth, en conférence de presse.

Elle a relevé que cette tendance se poursuivait malgré le fait qu'en 2012 il n'y ait pas eu de méga-catastrophe comme peut l'être un tremblement de terre en milieu urbain.

Jusqu'à présent, 2011 reste l'année record en termes de pertes économiques (371 milliards de dollars) : la très grande majorité (214 milliards de dollars) des coûts avait eu pour origine le séisme et le tsunami qui avaient frappé le Japon en mars de cette année.

D'une façon générale, a souligné Mme Longworth, les coûts demeurent élevés lorsqu'une catastrophe affecte un pays industrialisé, comme ce fut le cas en 2012 avec la sécheresse (20 milliards de dollars) et l'ouragan Sandy (50 milliards de dollars) aux Etats-Unis.

Le chiffre des coûts globaux liés aux catastrophes naturelles est toutefois plus élevé, préviennent les Nations unies, qui ne comptabilisent que les pertes des assurances. Or, dans les pays en développement, seule une minorité de la population dispose d'une telle assurance.

Et si les pertes économiques engendrées par les désastres naturels sont plus importants dans les pays riches, ce sont les pays pauvres qui continuent d'enregistrer les pertes les plus importantes en termes de vies humaines.

Selon l'ONU, 9.330 personnes sont décédées dans le monde suite à une catastrophe naturelle, contre 30.770 en 2011, et 297.000 en 2010 (année du tremblement de terre en Haïti).


Source ©AFP / 14 mars 2013


lundi 15 octobre 2012
Interpol a noté une augmentation des crimes liés à des activités criminelles organisées, comme la violence, assassinats et atrocités perpétrées contre les habitants autochtones des forêts.

Entre 50% et 90% de l'extraction du bois dans les principaux pays tropicaux du bassin de l'Amazone, l'Afrique centrale et l'Asie du Sud a été réalisée par le crime organisé et menace les efforts visant à lutter contre le changement climatique, la déforestation , la conservation de la faune et de l'éradication la pauvreté.

Le commerce illégal de bois tourne un total de 30-100 milliards de dollars par an ( ONU )

Dans le monde, l'exploitation illégale des forêts représente désormais entre 15% et 30% du commerce mondial, selon un nouveau rapport publié par le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et d'Interpol.

Les forêts du monde capturent et stockent le dioxyde de carbone et aident à atténuer le changement climatique.

Cependant, la déforestation , principalement dans les forêts tropicales, est responsable d'environ 17% de toutes les émissions de CO2 causées par les humains - 50% supérieure à celle des navires, des aéronefs et le transport au sol.

Le rapport carbone Vert:  Comércio Negro déclare que le commerce illicite,  qui correspond à un total de 30-100 milliards de dollars par an, entrave les Réduction des émissions dues à la Déforestation et à la Dégradation des forêts (REDD) - l'un des principaux outils pour catalyser le changement positif sur l'environnement, le développement durable, la création d'emplois et la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Le commerce illégal du bois engrange chaque année à 100 milliards de dollars, environ 203 milliards de reais. Le montant a surpris même Interpol, qui enquête sur la criminalité enregistrée principalement en Amérique latine, en Afrique centrale et en Asie du Sud.

La sophistication des criminels a également attiré l'attention des chercheurs. Au Brésil, ils se divisent en groupes pour obtenir des sites Web officiels  dans lesquels ils trouvent des informations essentielles pour la planification des activités illégales. «Ils sont extrêmement bien organisé», a déclaré Nellemann.

La corruption du pouvoir - Dans de nombreux cas, des fonctionnaires, des militaires et des policiers locaux corrompus  participent à ces crimes.

Le rapport conclut que, sans un effort coordonné au niveau international, les bûcherons illégaux et les cartels poursuivront leurs activités de contrôle d'un port à un autre à la recherche de leurs profits au détriment de l'environnement, de l'économie locale et même de la vie des peuples autochtones.

Le rapport a été publié le 27 septembre 2012 lors de la Conférence mondiale sur les forêts à Rome, un événement à l'ONU-REDD, une coalition entre le PNUE et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).


Source:
© Correio do Brasil du 28 Septembre 2012/ trad  Caro Nashoba blog mediapart


mercredi 5 septembre 2012
Environ 40% des forêts du Liberia ont été vendues à des compagnies forestières dans le cadre de contrats secrets et souvent illégaux, a affirmé mardi l'ONG Global Witness, quelques jours après l'annonce par la présidence d'une enquête sur l'octroi des permis d'exploitation.

Une enquête menée par Global Witness a révélé que ces deux dernières années, un quart des terres de ce pays d'Afrique de l'Ouest a été cédé à des compagnies d'exploitation forestière, selon le rapport rendu public mardi.

Selon l'ONG, les nouveaux contrats d'exploitation forestière couvrent désormais 40 % des forêts du Liberia et près de la moitié de ses meilleures forêts vierges.

Ils ont donné à des compagnies liées au géant malaisien bien connu de l'exploitation forestière Samling un accès sans précédent à quelques-unes des forêts les plus préservées du Liberia, ajoute l'ONG.

Samling et ses filiales ont été impliqués dans des affaires d'exploitation illégale au Cambodge, au Guyana et en Papouasie-Nouvelle Guinée.

Vendredi, la présidente du Liberia Ellen Johnson Sirleaf avait annoncé l'ouverture d'une enquête indépendante sur l'octroi des permis d'exploitation, après avoir suspendu le directeur de l'Autorité du développement forestier, Moses Wogbeh.


Source ©AFP


mardi 17 juillet 2012
Le forage d'un deuxième puits d'exploration pétrolière sur le gisement au large de la Guyane a commencé, ont annoncé mardi la compagnie Shell et une société partenaire de ce projet, objet d'un bras de fer avec l'ex-ministre de l'Ecologie Nicole Bricq.
"Comme prévu par Shell France le 23 juin, le navire de forage Stena Drillmax ICE a débuté le 6 juillet ses opérations sur le GM-ES-2, le deuxième puits du permis de Guyane Maritime", indique la petite compagnie britannique Northern Petroleum dans un communiqué.

Une porte-parole de Shell France, la filiale du géant anglo-néerlandais, a confirmé l'information à l'AFP, précisant que le lieu du forage était identique au premier afin de confirmer la découverte.

Lorsque ce nouveau forage sera terminé, un autre doit suivre à quelques kilomètres en 2012 puis deux autres en 2013, a-t-elle précisé.

Shell est devenu en février l'opérateur de ce permis dont il détient 45% des parts, devant le britannique Tullow Oil (27,5%), le français Total (25%). Restent 2,5% que se partagent à 50% Northern Petroleum et sa compatriote Wessex.

La découverte de pétrole au large de la Guyane avait eu lieu l'an dernier, lorsqu'un premier forage de Tullow avait rencontré une couche épaisse de 72 mètres de brut, à une profondeur proche de 6.000 mètres (2.000 mètres d'eau et près de 4.000 mètres sous le fonds de l'océan).

Si elle avait ouvert la perspective économique d'un puits significatif de pétrole dans les eaux françaises, elle avait aussi suscité l'inquiétude d'écologistes. Des recours ont ainsi été récemment déposés à Cayenne contre les arrêtés autorisant les forages.

Après un bras de fer avec l'ex-ministre de l'Ecologie Nicole Bricq, qui avait annoncé vouloir "remettre à plat" tous les permis d'exploration pétrolière, Shell a reçu fin juin deux arrêtés préfectoraux l'autorisant à lancer sa campagne de forage.

Lors d'un remaniement critiqué par les écologistes, Mme Bricq avait été remplacée par Delphine Batho.

Si elle n'a pas suspendu les permis, cette dernière a confirmé que le code minier français, que certains jugent trop peu exigeant financièrement et écologiquement pour les compagnies, ferait l'objet d'un projet de loi de réforme d'ici la fin de l'année.

Sur la base du premier forage, Shell a dit espérer un gisement d'au moins 300 millions de barils de brut. Les "éléphants", les plus grands gisements pétroliers, sont ceux qui dépassent 1 milliard de barils.




 

....Mais dans le même temps Le Nigeria inflige à la compagnie une amende de 5 Millions de dollars


Le Nigeria a infligé une "amende administrative" de 5 milliards de dollars à Shell pour une fuite de pétrole survenue en décembre 2011 sur une installation offshore du groupe anglo-néerlandais, a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes. 


Le groupe pétrolier a précisé mardi à l'AFP qu'il contestait la légitimité de cette amende, qui a été infligée par l'agence gouvernementale chargée des risques de pollution pétrolière (NOSDRA). 

Le groupe a d'ailleurs la possibilité de contester cette sanction devant les tribunaux. Shell avait été contraint en décembre dernier de suspendre pendant une dizaine de jours ses activités du champ Bonga, situé dans le golfe de Guinée, après le déversement accidentel de quelque 40.000 barils dans l'Océan atlantique en raison d'une fuite sur une conduite entre le navire de production et un tanker.

Peter Idabor, responsable de la NOSDRA, a déclaré lundi lors d'une audition par le parlement nigérian à Abuja que cette "sanction administrative" avait été prise à l'encontre de la filiale locale Shell Nigeria Exploration and Production Company (SNEPCO) en conformité avec les pratiques internationales en vigueur dans le secteur.


De son côté, un porte parole de Shell, Tony Okonedo, a estimé que l'amende était injustifiée compte tenu du fait que le groupe était rapidement intervenu pour contenir la fuite. "Nous ne pensons pas qu'une telle amende repose sur une base légale, ni que SNEPCO ait commis une infraction justifiant une telle amende", a indiqué M. Okonedo.


"SNEPCO a fait face à l'incident avec professionnalisme et a agi avec le consentement des autorités compétentes à tout instant pour éviter que l'incident ait un impact environnemental", a-t-il encore assuré.

Shell avait mobilisé cinq navires et deux avions pour traiter la nappe de brut à l'aide de dispersants, des produits chimiques devant permettre de limiter la pollution d'hydrocarbures. Les écologistes du groupe nigérian Environmental Rights Action avaient toutefois assuré que la marée noire avait atteint les côtes fin décembre et, selon les autorités nigérianes, la fuite survenue à Bonga est la pire qui se soit produit dans le pays depuis 1998, avec la compagnie Mobil.



...Et au... Malouines? une compagnie interrompt un forage, son cours s'effondre en Bourse
 

La petite compagnie britannique Borders and Southern Petroleum a vu son cours s'effondrer de 73% à la Bourse de Londres en l'espace de deux séances, après avoir annoncé lundi l'abandon d'un forage au sud des Malouines, le gisement étant jugé trop profond pour être exploité.

La décision a été prise d'arrêter nos opérations de forage du puits Stebbing, a indiqué dans un communiqué cette compagnie cotée à Londres, dont l'unique objet est le développement potentiel de gisements d'hydrocarbures sur une zone de 20.000 km au sud des Malouines.

Le puits a mis en évidence d'importantes quantités de gaz mais les hydrocarbures susceptibles d'être exploités sont situés trop profondément, et en raison d'une pression trop importante, il n'était plus possible de poursuivre le forage tout en préservant l'intégrité du puits, a poursuivi le communiqué.

C'est très décevant, a déclaré la compagnie, dont Stebbing était le projet le plus prometteur, et qui attend désormais des résultats d'analyse de fluides extraits d'un autre gisement, Darwin, pour en déterminer la qualité.

L'annonce de Borders and Southern a immédiatement fait plonger son titre à la Bourse de Londres: ce dernier cotait 17,06 pence mardi vers 14H00 GMT, contre 62,25 pence vendredi en clôture, soit une dégringolade de près de 73% en deux séances.

Après l'échec de l'exploration sur Stebbing, la question clef est maintenant de voir ce que contient Darwin, et même s'il est probable que de nouvelles informations sur le potentiel du bassin (du sud des Malouines) sont encore à venir, nous faisons preuve d'une prudence accrue à l'égard de Borders and Southern, ont expliqué mardi les experts de la maison de courtage Jefferies.

Cinq compagnies sont engagées depuis 2010 dans une campagne de prospection pétrolière au large des Malouines, un territoire de l'Atlantique sud sous contrôle britannique mais revendiqué par l'Argentine.

Parmi elles, seul Rockhopper est jusqu'à présent parvenu à identifier une réserve d'hydrocarbures significative, le champ Sea Lion, situé au nord des îles et qu'il entend exploiter commercialement à partir de 2016.

La prospection pétrolière attise les tensions diplomatiques entre Londres et Buenos Aires, qui juge ces activités illégales.


L'Argentine a ainsi indiqué mardi avoir entamé des actions en justice contre le groupe britannique Premier Oil, qui avait annoncé vendredi son partenariat avec Rockhopper avec un investissement d'environ 1 milliard de dollars.



Source ©AFP 


...mais jusqu'à où s’arrêteront ils ?....



jeudi 1 mars 2012
Face aux mutations profondes que vit la Tunisie et en l’absence de mesures efficaces et urgentes, le gouvernement de Jebali se trouve aujourd’hui confronté à de grandes difficultés économiques et sociales, d’autant plus que la Révolution a révélé des problèmes beaucoup plus profonds et que le modèle économique adopté depuis des décennies n’est plus valable pour créer de la richesse et absorber la main d’œuvre disponible. Un modèle qui a affecté non seulement l’assise économique mais aussi la partie environnementale.

En effet, et selon les chiffres disponibles, les coûts annuels de la dégradation de l’environnement en Tunisie sont estimés aux alentours de 3%. Un pourcentage qui inquiète aussi bien les professionnels que les acteurs économiques, en particuliers les industriels, qui se trouvent aujourd’hui face à des incertitudes sur leur avenir dans la croissance de l’économie verte.

D’où un nouveau concept qui suscite l’intérêt de la communauté internationale vu son rôle dans la promotion d’un système économique qui améliorer le bien-être humain sans compromettre les ressources dont dépendent les générations actuelles et futures pour leur subsistance.

C’est dans ce cadre que le MEDREC et l’Université de Tunis « El Manar », sous l’égide de l’Ambassade de l’Italie, ont organisé, ce mercredi, une rencontre autour du thème « L’économie verte dans la nouvelle Tunisie : vers la croissance durable »

Ont pris part à cette manifestation, d’éminents personnes comme le ministre italien de l’environnement, de la Terre et de la Mer, Corrado Clini, venu confirmer son soutien à la Tunisie et au secteur de la maîtrise de l’énergie en particulier et ce par la signature, le 28 février courant, d’une nouvelle convention entre les deux ministères afin de financer des actions de développement de la maîtrise de l’énergie qui ont été définies en concertation avec l’ANME.

Une action valorisante pour la Tunisie qui passe par une étape de transition politique et économique et qui a besoin d’élaborer un nouveau modèle créant de la richesse et préservant l’environnement.

Selon Corrado Clini, les décideurs politiques et les différentes parties intervenantes sont appelés aujourd’hui à engager des réformes qui sont de nature à améliorer les compétences des ressources humaines mais aussi à remédier à la modestie des ressources naturelles de la Tunisie.

Faut-il rappeler que l’érosion des sols et le manque d’eau sont deux causes de l’une des menaces les plus graves sur l’environnement en Tunisie accentué par des changements climatiques. Ceci entraînerait, pour le pays, des coûts estimés à 100 millions de dollars américains chaque année. A cela s’ajoutent certains modes d’exploitation inappropriés des ressources naturelles qui sont à l’origine de la vulnérabilité du couvert végétal naturel et des sols.

C’est la raison pour laquelle le ministre italien de l’Environnement, de la Terre et de la Mer, a mis l’accent sur l’importance d’investir davantage dans ces filières. « La base de l’économie verte demeure la croissance économique en utilisant mieux les sources disponibles », a-t-il dit.

Une condition sine qua none pour mieux gérer l’économie due pays qui fait face à des défis environnementaux tels que la pénurie d’eau douce. « Si on n’investit pas dans l’économie d’eau et si on n’a pas recours au dessalement des eaux saumâtres et au recyclage des eaux salées et à la protection de la ressource en eau contre la pollution, le pays atteindra sera en déficit, d’ici 2030 » a-t-il averti.

Une telle réflexion pourrait aider les politiciens de prendre en considération lors de l’élaboration de la constitution, le principe de développement durable en absorbant la main d’œuvre et en protégeant la richesse naturelle.

Source © Wiem Thebti african manager

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