...

Affichage des articles dont le libellé est vague de froid. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est vague de froid. Afficher tous les articles
lundi 6 février 2012
Les départements du Var et des Alpes-Maritimes ont été placés en alerte rouge Ecowatt pour la journée de lundi, signifiant qu'il existe un réel risque de coupure électrique sur l'est de la région Provence-Alpes-Côtes d'Azur, a annoncé RTE sur son site internet.

Alors que la filiale d'EDF en charge du transport du courant prévoit un nouveau record historique de consommation électrique en France pour lundi à 19H00, les clients sont invités à réduire leur consommation d'électricité entre 18H00 et 20H00.

Face au risque réel de coupure électrique sur l'est de la région PACA, l'ensemble des partenaires Ecowatt est mobilisé, indique RTE.

En raison de la vague de grand froid et de l'importance du chauffage électrique en France, la demande électrique française a bondi ces derniers jours et flirté avec ses pics historiques.

RTE prévoit pour l'heure fatidique de 19H00 où la demande d'électricité atteint son pic chaque jour en hiver une consommation de 97.900 mégawatts (MW) ce lundi soir, au-delà du record actuel de 96.710 MW atteint le 15 décembre 2010, selon son logiciel de suivi en temps réel Eco2mix.

A cause d'une capacité plus faible qu'ailleurs en moyens de production et en lignes à haute tension, l'est de PACA et la Bretagne sont considérées comme des péninsules beaucoup plus exposées à un black-out électrique.

La consommation française avait déjà frôlé son record jeudi soir, à 96.377 mégawatts, alors que des températures fortement négatives et la neige affectent la France.

Le Var et les Alpes-Maritimes ainsi que la Bretagne avaient déjà été placés en risque orange la semaine dernière.

RTE recommande notamment, outre d'éviter d'utiliser les appareils électroménagers, d'éteindre l'electricité des pièces inoccupées et les équipements en mode veille.

Source EDF
jeudi 2 février 2012
Des chutes de neige exceptionnelles dans le nord du Japon ont provoqué des avalanches et des accidents qui ont fait au moins 56 morts. Quelque 43 personnes sont décédées en tentant de dégager des toits ou des routes et 7 autres sont mortes écrasées par la chute brutale de neige amassée sur des bâtiments, a annoncé de son côté l’Agence de gestion des désastres.

Quatre personnes sont aussi mortes dans des avalanches, dont trois dans une station thermale en plein air de la préfecture d’Akita (nord de la grande île de Honshu). Deux autres victimes ont perdu la vie en raison des conditions climatiques, a ajouté l’agence sans plus de précision.

Une couche de neige de plusieurs mètres de haut recouvrait des préfectures du littoral de la Mer du Japon, sur la grande île de Honshu, ainsi que l’île septentrionale de Hokkaido, a expliqué l’Agence japonaise de météorologie.

Dans la préfecture d’Aomori (nord de Honshu), le manteau neigeux atteignait 4,3 mètres de haut dans la ville de Sukayu.

La capitale Tokyo a été touchée de façon modérée. Selon les médias, la neige tombée en abondance sur Tokyo a tout de même entrainé de nombreuses difficultés de circulation pour une capitale au climat sub-tropical.


Source : NHK

Contre toute attente, après des mois de décembre et janvier particulièrement doux, la France connaît depuis le 31 janvier 2012 une importante vague de froid, "épisode de temps froid caractérisé par sa persistance, son intensité et son étendue géographique", précise le site de Météo France. Durée minimale : deux jours, pendant lesquels les températures atteignent des niveaux nettement inférieurs aux normales saisonnières.

Un combat se joue en haut lieu. Entre un anticyclone puissant installé comme une chape sur la Finlande et le nord-ouest de la Russie, et une dépression sur le bassin Méditerranéen, qui précipite le vent d’est glacial venu d’Ukraine sur la France. Résultat : les thermomètres dégringolent.

Dans la nuit du jeudi 2 au vendredi 3 février, les températures devraient rester très basses, pouvant atteindre -8 à -14°C en fin de nuit, en moyenne hexagonale. Le vent de nord-est, 15 à 30 km/h en général et beaucoup plus sur les hauteurs, risque quant à lui de renforcer fortement la sensation de froid.

Par ailleurs, la dépression qui se creuse sur le bassin méditerranéen entraîne aussi des averses de neige, attendues jeudi et vendredi dans la basse vallée du Rhône (mélangées de la pluie dans la région de Marseille) et sur le nord-est de la Corse, à très basse altitude et de plus en plus fréquentes dans la soirée et la nuit de jeudi à vendredi.

En France, 41 départements ont été placés en vigilance orange "Grand Froid" par Météo France. Toute la moitié est de la France est concernée, excepté le strict bassin méditerranéen.

A 5 heures ce jeudi matin, les températures sous abri étaient comprises en moyenne entre -7 à -13°C en plaine et jusqu’à -16°C sur le relief. Mais ce n’est pas tout : en marge de ces zones les plus froides, la quasi-totalité de la France est concernée par la vague de froid et placée en vigilance jaune.


140 morts en Europe

En Europe, la situation n’est pas meilleure. La vague de froid qui s'est abattue sur l'Europe centrale depuis une semaine a fait plus de 140 victimes, notamment en Ukraine, Pologne et Roumanie, avec des températures scotchées depuis plusieurs jours autour de - 30°C. En Serbie, le thermomètre est descendu à -36°C et l'alerte rouge a été lancée.

La neige et le froid perturbent aussi fortement l’Italie et s’étendent jusqu’au Maghreb.

D’importantes chutes de neige se sont abattues sur plusieurs wilayas (provinces, ndlr) du centre de l’Algérie et ont paralysé le trafic routier."

Selon les dernières prévisions de Météo France, oui. Jeudi 2 février à midi, l'organisme a annoncé que la vague de froid persisterait au moins jusqu’au milieu de la semaine prochaine.

A Paris, il n’y a pas de dégel à attendre avant mercredi prochain. A partir de jeudi 9 janvier, nous pourrions avoir une légère hausse des températures par l’ouest, passant peu à peu au-dessus de zéro sur Paris l’après-midi."

Il faut remonter à la vague de froid de fin-décembre 1996 à mi-janvier 1997 pour trouver un équivalent. Mais on reste encore loin des valeurs mémorables de février 1956 : "l’anticyclone était bien situé au même endroit, mais les masses d’air étaient plus froide de 5°C".

Risque-t-on des coupures de courant ?

Pas de risque pour l’instant, assure le Réseau de transport d’électricit é(RTE). En revanche, les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur (le Var et les Alpes-Maritimes en tête) et Bretagne ont été placées sous "vigilance orange" par RTE : équipées d’un unique axe d’alimentation de 400.000 volts et dépourvues de second réseau, elles n’ont pas de "filet de sécurité" en cas de problème.

Les risques ? Avarie sur le réseau, sur les installations de production, mais aussi une surconsommation qui n’aurait pas été anticipée. Carole Pitou, responsable de la gestion prévisionnelle chez RTE Ouest, explique :
Du fait du vent, la température ressentie est plus froide que la température réelle, sur laquelle nous nous basons pour nos prévisions. Quand les gens rentrent chez eux, ils montent le chauffage."

Démonstration. Dans l’ouest, RTE prévoit aujourd’hui un pic de consommation à 19 heures à 17.100 mégawatt (MW). Mais si la température réelle ou ressentie est d’1°C inférieur, la consommation peut grimper de 500 MW –l’équivalent de la consommation de Nantes. Or à 1.000 MW supplémentaires, "on sera en situation tendue et amenés à lancer des alertes de sauvegarde", indique Carole Pitou. Autrement dit, on peut s'attendre à des coupures ponctuelles de courant.

Des plans Ecowatt ont d’ors et déjà été lancés en Bretagne et en PACA. Entreprises et habitants sont invités à éteindre les lumières des pièces non occupées, les appareils en veille ou à lancer les machines à laver en dehors des pics du matin et du soir.

Pas inutile : le 16 décembre 2010, lors de l’un des pics historiques, "ces mesures ont permis de réduire la consommation de PACA d’1,5%, l’équivalent d’une ville comme Saint-Raphaël", souligne Catherine Greiveldinger, directrice de l’antenne RTE Sud-Est.

Source Nouvel obs
lundi 30 janvier 2012
Cinq à dix centimètres de neige sont attendus dans l'Ouest de la France, de l'Orne à l'Aveyron...

Météo France a placé ce lundi en vigilance orange 23 départements de l'Orne à l'Aveyron où «le premier épisode neigeux notable de l'hiver» est attendu à partir de ce lundi 6h, formant une couche de neige de 5 à 10 cm.

«Dès la fin de nuit de dimanche à lundi les premiers flocons intéresseront le nord de la zone en vigilance orange. La perturbation neigeuse progressera ensuite durant la journée de lundi vers le nord du Massif central», avertit Météo France, ajoutant que «la neige tiendra au sol». «Des chutes de neiges ou du verglas dans des proportions importantes sont attendus. Les conditions de circulation peuvent devenir rapidement très difficiles sur l'ensemble du réseau», note Météo France qui conseille prudence et vigilance à ceux qui doivent «absolument» se déplacer.

Une extension de la vigilance orange neige est envisagée ce lundi à partir de 6h. L'épisode neigeux a pour origine une perturbation qui se situait dimanche après-midi sur les îles britanniques, progressant «vers l'ouest de la France poussée par des vents de nord-nord-ouest», selon Météo France.


Source © AFP



Vague de froid et intempéries neigeuses dans toute l'Europe


29 et 30/01: La vague de froid majeure qui s'est mise en place entre l'Extrême Orient et l'est de l'Europe gagne la France et les îles britanniques. Cette situation liée à la présence d'un très puissant anticyclone sur la Sibérie (1060 hPa soit une valeur de pression très élevée, le record s'approchant des 1086,8 hpa en Mongolie), très froid et qui s'étend à toute l'Eurasie, obligeant les perturbations à le contourner par le sud, vers le Japon ou bien encore le bassin méditerranéen avec des chutes de neige marquées.

Depuis plusieurs jours les températures descendent très bas dans le centre de la Russie où les - 40°C sont atteints dans la région du lac Baïkal par exemple et jusqu'à - 50°C très ponctuellement. Ce froid très intense touche désormais Moscou où on a relevé -20°C samedi matin, même si on est encore très loin des records de froid pour cette ville. En se dirigeant vers l'Ukraine ou bien encore le Caucase, là aussi le froid est très vigoureux. ainsi qu'en remontant vers la Finlande où les -30°C ont été mesurés près de la frontière avec la Russie dimanche matin.

Sur l'ouest du continent, des chutes de neige très importantes sont tombées entre mardi et jeudi à Sofia (Bulgarie) ainsi que sur les pays baltes (Riga) avec des cumuls de neige de 15 à 30 cm. Dans le massif des Carpates, relief montagneux situé à cheval entre la Bulgarie et la Roumanie, on approche les 3 mètres de neige en altitude. En raison de toute cette neige accumulée au sol, le refroidissement est très marqué avec des valeurs qui descendent jusqu'à -20°C en Littuanie et même -22°C dans la région de Bucarest en Roumanie dimanche matin.

En effet cette accumulation d'air très froid venue de Russie s'étend vers l'Allemagne et la France ainsi que les îles britanniques cette semaine avec déjà des chutes de neige dans l'ouest et le sud de la France ce lundi et mardi ainsi que mercredi dans tout l'ouest et le sud du territoire. Par la suite, les températures vont plonger et le froid s'accentuer encore davantage à partir de mercredi prochain. En raison d'un vent d'est très continental et d'origine sibérienne, les -15°C seront possibles dans l'est de la France le matin ainsi que sur la majorité des autres pays d'Europe du nord et centrale. En se dirigeant vers les pays baltes ou bien encore la Pologne, on attend -25, voire -30°C ponctuellement au lever du jour.

En liaison avec cette situation météorologique, une dépression présente en Méditerranée a causé des chutes de neige assez intenses accompagnées d’un vent fort dans le nord-ouest de l’Italie. Dans le Piémont, l’épaisseur de neige a atteint les 20 à 40 cm sur les collines de Turin et d’Alexandrie.

Dans la ville de Turin, on a relevé une dizaine de centimètres de neige. Même si les routes sont praticables grâce aux services de déneigement assez réactifs, les autorités ont tout de même pris la décision de laisser les établissements scolaires fermés demain lundi en raison d’un fort risque de verglas qui devrait recouvrir les chaussées et les trottoirs cette nuit.

Environ 9000 foyers ont été privés d’électricité dans les provinces de Turin, Verbania, Alexandrie et d’Asti en raison du poids de cette neige lourde et humide qui a provoqué la rupture de certaines lignes électrique.

La neige est également tombée en Vallée d'Aoste. À Gênes, la neige tombait sur les hauteurs. À Trebbia et en vallée de Scrivia, on a relevé jusqu’à 50 cm de neige.

À Trieste, le vent Bora a soufflé jusqu’à 100 km/h.



27 et 28/01 : de violentes tempêtes de neige ont frappé la plupart des régions de Turquie provoquant des avalanches et des accidents meurtriers sur des autoroutes d'Anatolie et bloquant un navire à Istanbul.

Par ailleurs, des avalanches ont eu lieu à quatre endroits séparés vendredi sur la route entre les provinces de Tunceli et d' Erzincan dans l'est de la Turquie. Un camion et un minibus ont été partiellement ensevelis dans une avalanche, tandis qu'un bus, plusieurs voitures et camions ont été bloqués sur la route, selon les reportages.

Le navire cargo moldave Rona a été bloqué sur la côte d' Istanbul sur la mer Noire en raison de tempêtes en mer. Ce navire transportait neuf membres d'équipage et devait se rendre au port bulgare de Varna.

Le district de Sile, sur la côte de la mer Noire à Istanbul, a essuyé la plus grande quantité de chutes de neige de la ville, avec des blizzards qui ont déposé 15 cm de neige en une nuit. Les habitants qui travaillaient dans le centre d'Istanbul ont eu des difficultés à se rendre au travail en raison des routes fermées. Nombre d'entre eux ont été contraints de laisser leur véhicule sur la route et de finir le trajet à pied.

La municipalité et le bureau du gouverneur d'Istanbul ont conseillé aux conducteurs de laisser leur voiture chez eux et d' utiliser les transports publics à la place.


Source : Météo World, Euronews
lundi 12 septembre 2011
L'étendue des glaces de l'Arctique, l'un des éléments clés du thermostat de la planète, a atteint cette semaine son niveau le plus bas depuis le début des observations par satellite en 1972, ont annoncé samedi des scientifiques allemands.

Le 8 septembre, les glaces du pôle Nord ne couvraient plus que 4,24 millions de kilomètres carrés, selon l'Institut de physique environnementale de l'Université de Brême.

Il s'agit d'"un minimum historique", inférieur d'environ 0,5% au précédent record de septembre 2007, souligne Georg Heygster, responsable du département de télédétection de l'Institut, dans un communiqué.

Selon le centre américain spécialisé dans l'observation de la neige et de la glace (NSIDC), ce précédent record s'établissait à 4,1 millions de km2. L'écart entre les deux chiffres s'explique par des données et des modes de calcul légèrement différents, mais "les résultats sont cohérents dans les deux cas", a assuré à l'AFP M. Heygster, qui s'attend à ce que le NSIDC parvienne à la même conclusion que lui dans les prochains jours.

La fonte de la glace de mer pendant l'été est selon les scientifiques à la fois un indicateur et une clé du réchauffement climatique, avec des effets négatifs à l'échelle de l'Arctique et de la planète.

Elle prouve l'importance de l'impact des activités humaines sur le climat au cours des dernières décennies, selon les chercheurs.

"Le recul de la glace de mer ne peut plus être expliqué par la variabilité naturelle d'une année sur l'autre", indique Georg Heygster.

"Les modèles climatiques montrent plutôt que ce recul est lié au réchauffement climatique, particulièrement prononcé en Arctique du fait de l'albédo", la fraction de l'énergie solaire réfléchie vers l'espace, ajoute-t-il.

Quand une surface auparavant recouverte de neige ou de glace réfléchissante est remplacée par une étendue de mer de couleur foncée, cette dernière absorbe plus de lumière solaire et donc de chaleur.

Les températures dans la région arctique ont augmenté deux fois plus vite que les températures moyennes au cours des cinquante dernières années.

L'épaisseur des glaces arctiques s'est également significativement réduite au cours des récentes décennies, mais il est plus difficile de déterminer l'ampleur de ce phénomène, souligne le communiqué.

_____________________________________________________________________________________



_____________________________________________________________________________________



Un impact qui s'avère beaucoup plus important que ce qui avait été envisagé jusque là.

Une étude publiée par Nature en Avril 2011 analyse la fonte des glaciers et des calottes glaciaires de 30.000 îles de l'océan Arctique canadien, entre 2004 et 2009. La recherche, menée par des scientifiques de l'Université du Michigan aux États-Unis montre qu'en six ans les glaces de ces îles ont produit près de 363 kilomètres cubes d'eau. Un volume considérable en constante augmentation : 29 kilomètres cubes par an en 2004 contre 92 en 2009. Ces observations dépassent toutes les prévisions dressées jusqu'à présent.

Actuellement, le phénomène aurait provoqué la monté d'un millimètre du niveau des océans du globe. Une conséquence considérable pour ces glaciers qui ne représentent pourtant qu'une part infime du volume des glaces terrestres.

La température moyenne mesurée depuis 2000 à la surface de l'océan Arctique était de 2 à 3°C supérieure par rapport à ces 50 dernières années, selon le Centre de données sur la neige et la glace américain, le NSDIC. Les différentes projections envisagent une augmentation des températures de l'eau de 3°C à 5°C.

L'augmentation de la température de l'eau a une incidence directe sur les catastrophes naturelles telles que les ouragans et les cyclones qui vont aller en s'accroissant en nombre et en intensité. L'eau plus chaude induit une augmentation du nombre et de la puissance des phénomènes violents tels que les ouragans. Selon une étude publiée par l'Université de Londres, une augmentation de la température à la surface de l'océan de l'ordre de 0,5°C a élevé de 40% le nombre d'ouragans dans l'océan Atlantique entre 1996 et 2005.

Mais la dilatation thermique engendrée par l'augmentation de la température de l'eau (plus l'eau est chaude, plus elle est volumineuse), associée à la fonte des glaces de l'Antarctique, du Groenland, et des nombreux glaciers situés aux quatre coins de la planète, pourrait élever aussi le niveau des mers.

Les océans et mers ont un également un effet direct sur le changement climatique : l'eau s'évapore à cause de l'augmentation des températures. La vapeur d'eau étant un gaz à effet de serre, elle contribue à accélérer le réchauffement du climat, et donc l'évaporation de d'eau : c'est un cercle vicieux.

Les océans jouent également un rôle de puits de carbone, essentiel à la lutte contre le réchauffement climatique : mais il semblerait que leur rôle d'absorption du CO2 ait cessé d'augmenter. "Ce résultat surprenant est très inquiétant vis-à-vis du changement climatique, car le caractère quasi constant du pompage du CO2 atmosphérique par les eaux froides de l'hémisphère sud ne peut qu'accélérer le taux de croissance du CO2 atmosphérique et donc le réchauffement global" explique le CNRS.

Le réchauffement climatique aurait également une incidence sur l'oxygénation des océans : la solubilité de l'oxygène diminue avec l'augmentation de la température de l'eau : plus l'eau est chaude, moins il y a d'oxygène. Les conséquences sont l'asphyxie de la biodiversité marine et la limitation de son habitat.

Lutter contre le réchauffement climatique s'avère donc indispensable pour limiter l'augmentation de la température des océans et ses conséquences.


_____________________________________________________________________________________



_____________________________________________________________________________________



Le Gulf Stream par DjamelitoInfo

...Avoir des idées est une chose...en trouvez des bonnes en est une autre...
mardi 16 août 2011
Une vague de froid exceptionnelle, la pire en cinquante ans, a apporté la neige sur l'île nord de Nouvelle-Zélande, entraînant la fermeture de routes, des coupures d'électricité et la paralysie de zones entières du territoire. "Les gens doivent se préparer au pire, et se préparer à ne pas pouvoir quitter leur maison et à se retrouver sans électricité et autre équipement dans le pire des cas", a déclaré Rian Van Schalkwyk, responsable de la défense civile de Wellington.

Auckland, la plus grosse ville de Nouvelle-Zélande, a connu ses pires chutes de neige depuis les années 70, a indiqué Philip Duncan, du service de météorologie WeatherWatch. L'île du sud, qui est elle habituée aux chutes de neige lors de l'hiver austral, a connu un blizzard très violent. Les aéroports étaient fermés lundi matin à Christchurch, Dunedin et Queenstown. Les écoles sont restées portes closes dans le bas de l'île du sud.

Cette vague de froid ne devrait s'atténuer que jeudi dans la journée, ont prévenu les services météo.

Source: © le figaro




mardi 12 juillet 2011
la vague de froid qui touche actuellement une grande partie de l’Amérique du sud a déjà fait 22 morts.

Dix personnes sont mortes au Paraguay, le pays le plus touché, suivi de l’Uruguay avec six décès, de l’Argentine et du Brésil où trois personnes sont mortes dans chacun des deux pays.

Hier le gouvernement bolivien a fait appel à ses pays voisins pour une aide d'urgence.

La Bolivie a besoin d'hélicoptères pour transporter d'urgence les aides de premières nécessites aux communautés isolées ainsi que des chasses neige pour déblayer les routes.

Les températures dans les zones andines de Bolivie ont atteint -20 degrés, le département de Potosi au sud a connu ses pires neiges en neuf ans, a indiqué le ministre de la Défense bolivienne, Cecilia Chacon.

"Nous avons 7 000 familles touchées par le froid, isolées dans des zones lointaines, et plus de 41 000 têtes de bétail qui ne peuvent se nourrir" a expliqué Mme Chacon.

La neige a pris les agriculteurs et les touristes par surprise dans les hautes terres généralement sec de Potosi, une vaste zone dans le sud-ouest du pays. Les agriculteurs ont perdu toutes leurs récoltes et plus de 50.000 lamas sont sans nourriture, les pâturages étant couverts d'une épaisse couche de neige.Les routes sont fermées, et les efforts de secours sont entravés par le mauvais temps.

Dans le sud et le sud-est du Brésil, les températures sont également tombées sous zéro ces deux dernières semaines. Il a fait lundi -6,2 dans les montagnes de l’État de Catalina

Au zoo de Gramado, dans l’État brésilien méridional du Rio Grande do Sul, des couvertures et radiateurs ont été disposés pour les animaux, selon le site Internet G1.

« Les espèces que l’on a ici sont d’Amazonie. Ces animaux ne sont pas adaptés au froid », a expliqué le vétérinaire Rafael Pagani.

A Rio de Janeiro, les orangs-outangs du zoo ont également reçu des couvertures.

En Argentine la localité de Paso de los Libres, dans la province de Corrientes au Nord-Est a enregistré sa température la plus basse de ces 50 dernières années -4

En Uruguay, le froid a tué six personnes, dont cinq sans-abri à Montevideo. Le président José Mujica a ordonné cette semaine que les personnes vivant dans la rue soient placées de force dans des refuges.

© M.A/ N.A

Rejoignez Nous

Recevez nos articles par mail

...

Activité solaire/champ magnetique

Solar X-rays:

Geomagnetic Field:
>
Status
Status
 

Derniéres Actualités

ARTICLES LES PLUS RÉCENTS :

Rechercher dans ce blog

Membres

Annonces

annonces

Libellés/Tags

Alerte (4887) pollution (1059) inondation (541) Oceans (507) Hecatombes animales (474) Rechauffement (440) seisme (374) Insolite (348) rivieres (348) legislation (337) biodiversité (332) air (268) maree noire (260) eau (250) climat (237) Santé (233) deforestation (210) Extinction (201) volcan (197) intemperie (190) incendie (188) Mysteres (184) nucleaire (174) Eruption (172) Bilan (161) agriculture (159) justice (159) Mobilisation (157) La honte (155) Tempete (153) Pesticide (147) ce qu'on vous dit pas (147) gaz de schiste (146) bonnes nouvelles (145) conservation (128) secheresse (122) Tornade (109) accident (107) manifestation (102) Coup de chapeau (100) OGM (100) glissement de terrain (99) invasion (95) Typhon (90) evacuation (90) CO2 (89) coup de gueule (87) meteo (76) virus (72) Alergie (71) surpeche (65) catastrophe (62) sante (59) cyclone (54) economie (54) lac etang (53) famine (52) Evenement (51) chimique (50) contamination (50) Coup de coeur (49) record (48) vague de froid (47) cause animale (46) canicule (45) corruption (42) construction (40) Ouragan (38) appel (36) appel a l'aide (35) neige (35) surconsommation (35) Urgence (34) lac étang (34) sols (33) Intoxication (32) braconnage (31) epidemie (31) abeilles (30) alimentation (30) soleil (29) grippe aviaire (28) penurie (28) Orage (26) consommation (24) protection (24) pollution hertzienne (23) No comment (22) Scandale (22) pénurie (22) algues vertes (21) incroyable (21) vague de chaleur (21) acidification (20) Nitrate (19) PCB (19) science (19) biocarburant (18) decouverte (18) Tsunami (17) eutrophisation (16) algues rouges (15) censure (15) chikungunya (15) pollution sonore (15) Agenda (14) dechets nucleaires (14) energie renouvelable (14) sables bitumineux (14) ebola (13) elevage (13) gaspillage (12) ozone (12) clin d'oeil (11) mousson (11) petitions (11) politique (10) avalanche (9) Etat d urgence (8) grêle (8) incident (8) restriction (8) sauvegarde (8) Trombe (7) radiation (7) Chasse (6) Décontamination (6) Methane (6) industrie (6) crime (5) herbicides (5) hommage (5) mal-bouffe (5) plateforme (5) pollution plastique (5) techniques nouvelles (5) alimenation (4) dechets (4) disparus (4) geoingenierie (4) magnetisme terrestre (4) perturbateur endocrinien (4) proces (4) animal (3) cop21 (3) espoir (3) glaciers (3) journée mondiale (3) silence (3) verglas (3) Eureka (2) Géopolitique environnementale (2) Nouvelles technologies (2) ah bon... (2) amiante (2) conflis (2) crue (2) cyanobacteries (2) dengue (2) eclipse (2) espace (2) gag (2) malbouffe (2) poisson (2) projet de loi (2) pétrole (2) recolte (2) sinkhole (2) violence (2) zad (2) Elevage intensif (1) Finance (1) ONG (1) Recherche (1) Tempête (1) Toxique (1) Tristesse (1) commerce (1) consultation public (1) contribution (1) effet d annonce (1) extrane(l)us (1) fuite (1) greenwashing (1) infraction (1) initiative (1) inovation (1) intempérie (1) maree (1) massacre (1) météo (1) naufrage (1) peche (1) police (1) pollution interieur (1) pollution lumineuse (1) prétexte (1) requin (1) saisi (1) sanitaire (1) securite (1) semences (1) semences paysannes (1) séisme (1) trafic (1) victoire (1) zika (1)
Fourni par Blogger.