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lundi 18 juillet 2011
Déjà 4000 hectares de forêt ont été détruits dans l'ile adriatique de Brac et l'incendie est toujours en cours. C'est l'un des incendies les plus graves depuis plusieurs années en Croatie.

La vague de chaleur qui frappe les Balkans s'accompagne ici de vents chauds qui compliquent les interventions des pompiers.

Près de 300 secouristes sont engagés à Brac. Ils utilisent également des avions et des hélicoptères pour lutter contre l'incendie qui a été provoqué, selon les médias locaux, par des touristes imprudents qui faisaient un barbecue. Un vent fort entrave leurs efforts.

Les colonnes de fumée dégagées par l'incendie étaient visibles jusqu'à Split, ville côtière située en face de Brac.

Quelque 230 personnes, pour la plupart des touristes, ont été évacués vendredi matin en raison de l'incendie.

Depuis le début de juillet, la Croatie fait face à une vague de chaleur dépassant les 30 degrés.

L'île de Brac est l'une des destinations touristiques les plus populaires en Croatie. L'industrie touristique croate, un secteur clé pour l'économie locale, frappée par la crise économique mondiale.




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En Israël plusieurs incendies de forêt se sont déclenchés ce week-end et ont ravagé plus d'un millier d'hectare de végétation.

Un des plus importants foyers a éclot dans la forêt de Jérusalem non loin du musée de Yad Vashem qui a dû être évacué. 8 équipages de pompiers au sol et deux avions bombardiers d'eau ont été mobilisés sur ce sinistre. Une personne a été légèrement intoxiquées et a dû être hospitalisée.

1000 hectares ont été consumés par un autre feu dans la réserve naturelle situées entre Galilée et les hauteurs du Golan.


Source : Reuters

Des études montrent que les animaux nourris avec les OGM commercialisés ont des problèmes organiques

Une nouvelle publication analyse 19 études sur des mammifères nourris avec du soja et du maïs OGM commercialisés. Ceux-ci représentent plus de 80% de tous les OGM cultivés à travers le monde. Cette recherche montre des signes de toxicité sur les foies et les reins. Cet article signé par l'équipe du Pr Gilles-Eric Séralini est publié dans le journal "Environmental Sciences Europe" (2011, 23, 10-20).

Les auteurs ont étudié les données obtenues essentiellement suite à des tests faits sur des rats nourris pendant 90 jours par des compagnies de biotechnologies. Ces données comprenaient les paramètres biochimiques du sang et de l'urine de ces mammifères nourris aux OGM tolérant à un herbicide et/ou produisant un insecticide. Ces dernières ont été obtenues en particulier à la suite d'actions en justice et de demandes officielles, ou de la bibliographie scientifique.

Bien que les tests ne prouvent pas une toxicité chronique des OGM puisqu'ils se limitent à une durée trop courte choisie par les industriels de 90 jours, les auteurs néanmoins mettent en garde sur les résultats observés dans les reins et les foies et qui pourraient signifier l'apparition de maladies chroniques : sur un total de 9% de paramètres perturbés, 43% se concentrent sur les reins des mâles. Ils suggèrent que des études prolongées et plus détaillées soient menées. Les auteurs précisent qu'à ce jour aucune durée minimale n'est encore obligatoire pour les tests sur aucun des OGM cultivés à grande échelle, cela est socialement inacceptable en terme de santé publique.

Les auteurs suggèrent également une alternative aux essais d'alimentation conventionnels afin de comprendre la signification biologique des différences statistiques. Cette approche permettrait d'éviter des résultats "faux négatifs" et "faux positifs" dans le but d'améliorer les évaluations de sécurité des OGM agricoles avant leur commercialisation pour la culture et l'alimentation des humains et des animaux, mais également pour les importations. C'est à ce jour l'étude la plus complète sur ce sujet.


Source: CRIIGEN (Comité de Recherche et d'Information Indépendantes sur le génie Génétique)


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...Le mouvement des "ANONYMOUS " se met au vert...

Le collectif de pirates informatiques s'est cette fois-ci attaqué, la semaine dernière, au géant de l'agroalimentaire Monsanto, décrié pour sa production et sa commercialisation d'OGM et son herbicide toxique, le Round up.

Le mode opératoire est classique, raconte le Nouvel Obs : les hackers ont diffusé les données personnelles (nom, adresse, numéro de téléphone, email, lieu de travail) de 2 500 employés du groupe, qui seront disponibles sur un wiki [site Internet collaboratif] dans deux mois environ.

Mais les cyber-activistes ne s'en sont pas tenus là dans leurs attaques en faveur de l'écologie. Ils ont aussi lancé "l'opération Green Rights" contre les géants nord-américains du pétrole Exxon Mobil, ConocoPhillips, Canadian Oil Sands Limited et Imperial Oil. Leur objectif : dénoncer un projet d'acheminement du pétrole américain vers le Canada qui "détruit" le désert du Montana, en dévoilant "la corruption" de ces groupes.

Les "Anonymous ne peuvent pas rester les bras croisés et laisser ces atrocités environnementales se poursuivent", ajoutent-ils en référence à la ruée de ces groupes vers les sables bitumineux du Canada, un mélange de bitume brut, de sable et d'eau dont l'exploitation est une catastrophe écologique, selon les associations environnementales.

AFP/NIGEL TREBLIN

Source: le Monde
La Chine contemporaine après ses 30 années d’industrialisation à marche forcée en ont fait un pays sinistré sur le plan écologique ainsi que le premier responsable de l’émission de gaz à effet de serre, devant les Etats-Unis.

Durant les trente-cinq dernières années, les préoccupations environnementales ont notoirement été négligées par la Chine au profit de la poursuite exclusive de la croissance économique. La pollution massive qui s’en est suivie a cependant engendré des dégâts considérables. Ainsi, par exemple, seulement 1% des citadins chinois respirent un air dont la qualité serait jugée acceptable dans les pays de l’UE.

Des études du ministère des Ressources en eau ont montré que 40 % des terres sur l'ensemble du territoire sont ravagées par les pluies acides. Les nappes phréatiques et les rivières sont particulièrement touchées par la pollution avec plus de 65 % des eaux impropres à la consommation. La situation de l’eau en Chine est d’une gravité exceptionnelle. Un quart de la population chinoise boit de l’eau polluée.


Mercredi dernier, l'association de défense de l'environnement Greenpeace a enfoncé le clou et a accusé les fournisseurs des fabricants Nike et Adidas, mais aussi Lacoste, Puma ou encore H&M entre autres, d'empoisonner les fleuves chinois avec des rejets de produits chimiques toxiques pouvant notamment être à l'origine de problèmes hormonaux.

Cette campagne intitulée 'Detox' émane d'une année d'enquête menée par Greenpeace, afin de déterminer le rôle de l'industrie textile dans la pollution des eaux.

Au cours d’une conférence de presse à Hong Kong mercredi dernier, Greenpeace a présenté les résultats de 8 échantillons prélevés dans les eaux usées de deux usines chinoises. Rejetées ensuite dans les eaux de la Rivière des Perles et du delta de Yangtze, ces eaux usées contiendraient un cocktail de produits chimiques particulièrement dangereux. Les eaux de ces cours d’eaux souillés alimenteraient près de 67 millions de personnes selon Greenpeace.

Son rapport appelé "Dirty Laundry" (Linge Sale), pointe du doigt les substances chimiques rejetées par ces entreprises sous-traitantes des grande marques dans les eaux des rivières. Greenpeace argumente cette action en expliquant que ces substances sont très problématiques car elles s’intégreraient dans la chaîne alimentaire notamment au travers des poissons. Parmi ces substances, on retrouve notamment du nonylphénol, un composé organique synthétique soupçonné d’être à l’origine de graves dysfonctionnements du système immunitaire et du système endocrinien.Greenpeace déplore qu’au delà des engagements pris par les grandes marques de textiles, elles sont liées à des entreprises polluantes et encouragent indirectement des pratiques ayant un grave impact sur l’environnement.

Cette campagne est évidemment nécessaire.

Néanmoins même si cette pollution reste réelle, il ne faudrait pas que cette campagne de Greenpeace masque les nombreux autres pollueurs et en particulier ceux issus du choix qu'a fait la chine en se lançant dans une agriculture extrêmement productiviste, qui nous le savons tous maintenant, est totalement destructrice pour l'environnement notamment par ces apports excessifs d'engrais chimiques dans les sols que l'on retrouve très rapidement dans les rivières par le drainage des pluies.

Les sols chinois s’acidifient à une vitesse alarmante, ce qui menace l’agriculture dans son ensemble. La Chine utilise de grandes quantités d’engrais pour accroître la productivité de ses ressources agricoles. Lorsque l’acidité augmente, la pression des maladies et des ravageurs augmente aussi, ce qui réduit la croissance végétale.

Faut il encore rappeler qu'en décembre 2009 à la Conférence de Copenhague la Chine et les Etats-Unis, en particulier, étaient d’accord pour faire des efforts chacun de leurs côté, mais sans qu’il y ait d’obligation de résultat.

Néanmoins force est de constater que ces dernières années la Chine est en pointe dans bien des technologies écologiques, mais il faut dire aussi qu'elle a compris bien avant les autres puissances industrielles que l'émergence de ce marché mondial à forte croissance est lié à l'urgence d'une situation dramatique des écosystèmes mondiaux pour l’expérimenter chaque jour plus catastrophiquement sur son propre territoire.

Néanmoins elle n'a pas l'air, comme partout dans le monde d'ailleurs, de vouloir remettre en cause sa politique agricole totalement dévastatrice, et qu'il va falloir partout pourtant remettre à plat de toute urgence, afin de sauver notre humanité du pire. CQFD.

© MA/NA



Chine: eaux de rivières de consommation polluées par NTDFrancais
samedi 16 juillet 2011
Des milliers d'oiseaux marins de nouvelle Zélande comprenant en grande majorité des prions Fosters, mais aussi quelques Pétrels bleues ou encore des espèces plus rares et classées sur la liste rouge de l'UICN comme des Prions de Belcher et des Prions de la Désolation ont trouvé la mort ces derniers jours sur les côtes de Taranaki près de New Plymouth, une véritable hécatombe selon le ministère de la conservation (DOC) de Nouvelle Zélande.

Depuis mercredi dernier le refuge du DOC (departement of conservation) de New Plymouth se retrouve débordé par l'arrivée de centaines d'oiseaux marins, en grande partie des prions Fosters, totalement désorientés et épuisés qui ont été ramassés sur les côtes de Taranaki toutes proches.

Son responsable Bryan Williams confirme l’hécatombe, plus de 3500 oiseaux y ont trouvé la mort ces derniers jours.


"A cette époque de l'année, ils viennent ici dans la mer de Tasman pour se nourrir. Il est assez rare que les gens puissent les apercevoir car ils sont toujours bien au large de nos côtes»

Les survivants que nous avons hébergés ici de toute urgence sont arrivés sur les côtes et nous ont été apportés dans des boites en carton par la population locale. Ils ont probablement été victimes des vents d'ouest trop forts qui soufflent sur nos côtes en ce moment. Ils finissent par se poser sur les flots mais ils sont trop faibles pour s'envoler de nouveau et se laissent emporter par les vagues jusqu'au rivage, ou parfois ils trouvent la morts quand elles déferlent sur les plages.

Ici nous les accueillons le temps qu'ils se remettent. Nous les nourrissons avec un mélange de sardines et d'eau de mer pour les aider à récupérer avant de pouvoir les relâcher quand les vents seront tombés en intensité.


"Une fois qu'ils auront retrouvés leurs forces et le large, ils y seront très bien", rassure Bryan.


La société ornithologique de New Plymouth confirme que les forts vents d'ouest qui frappent les côtes de Taranaki en Nouvelle Zélande depuis plusieurs jours sont bien à l'origine de cette hécatombe.


Nous avons déjà connu le même phénomène en 1974


Les prions Fosters nichent principalement sur les îles Chatham et passent de très longues périodes en mer pour se nourrir. Ils y sont 24 heures sur 24, et doivent se battre durement contre les éléments toute la journée.


Malheureusement le décompte des 3500 oiseaux que nous avons retrouvé morts jusqu'ici sur les côtes n'est probablement qu'une infime partie de la totalité de l'hécatombe, beaucoup d'autres ont du succomber en mer, mais nous ne savons pas combien.


Néanmoins ils sont très abondants au large en cette période de l'année et cette hécatombe ne devrait pas trop affecter les colonies des îles Chatham.


Il est assez rare de voir des prions Fosters sur les côtes de Nouvelle-Zélande, c'est une triste occasion mais cela est une occasion quand même de les observer.


Source: www.stuff.co.nz ( trad © MA/NA)
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Près d’un tiers des espèces animales ou végétales en suisses sont menacées de disparition, selon un rapport rendu public cette semaine. Leur avenir se jouera au printemps prochain.

Au final, le constat dressé par le rapport Environnement Suisse 2011 est accablant. En Suisse, il existe 13 500 espèces répertoriées et étudiées. Qu’elles soient animales ou végétales, 3700 sont menacées d’extinction. Et 236 ont disparu.

«La disparition des espèces animales et végétales s’est poursuivie et il n’a pas encore été possible d’arrêter le recul de leurs habitats», lit-on dans le rapport concocté par l’Office fédéral de l’environnement et l’Office fédéral de la statistique. Ainsi, quelque 800 sortes d’insectes pourraient s’éteindre. Comme un millier de champignons. Ou quelque 800 fougères ou plantes à fleur. La perdrix grise ou le petit mars changeant risquent de disparaître. Ainsi que différentes truites ou musaraignes. Tout comme de multiples plantes, champignons ou mousses.

Alors que faire? Le Conseil fédéral élabore une stratégie nationale pour préserver la biodiversité, qui devrait être soumise au Parlement début 2012. «La bataille tournera autour de deux enjeux majeurs: les objectifs et les moyens», note Nicolas Wüthrich, porte-parole de Pro Natura. «D’abord, nous aimerions que des buts clairs, mesurables et contraignants soient fixés. Mais tout dépendra du nerf de la guerre. Tout le monde dit aujourd’hui que la biodiversité est cruciale. Mais quand il faut mettre la main au portefeuille, c’est une autre histoire…»

Espèces menacées

Amphibiens

Les deux tiers des espèces d’amphibiens sont menacées de disparaître, soit 13 sur 20. En danger, les crapauds accoucheurs ou calamites.

Les rainettes vertes ou italiennes. Comme trois sortes de tritons, la grenouille agile ou encore le crapaud joliment nommé «sonneur à ventre jaune».

Oiseaux nicheurs

La perdrix grise et le héron pourpré, la bécassine des marais ou le bruant ortolan: neuf espèces d’oiseaux sont au bord de l’extinction. En tout 199 espèces sont répertoriées en Suisse et 71 sont menacées de disparition. Plus d’un tiers.

Reptiles

Il n’existe que 19 espèces de reptiles en Suisse. Et la majorité – 15! – est menacée. La cistude d’Europe, la vipère aspic et la couleuvre vipérine sont les plus en danger. La couleuvre d’Esculape, celle à collier et la vert et jaune risquent aussi leur peau.

Mammifères

Lynx, loup, ours: les mammifères les plus en danger sont aussi ceux qui font débat. Mais il y en a d’autres: sur les 82 espèces, 27 sont menacées. A l’image de nombreuses chauves-souris, du chat sauvage, de la belette, du rat noir, du lièvre d’Europe ou de la musaraigne d’eau.

Poissons

Sur les 55 espèces de poissons recensées en Suisse, 8 ont déjà disparu et 24 risquent leurs écailles. Loche d’étang, roi du Doubs, sofie, savetta, truite marbrée ou nase pourraient s’éteindre. D’autres, comme la truite du lac ou la petite lamproie sont menacées.

Source: le matin

Bye, bye?


Séisme de magnitude 6 au large du Chili
Un séisme de magnitude 6 s'est produit vendredi soir au large des côtes chiliennes, à 134 km à l'ouest de la capitale Santiago, a annoncé l'Institut géophysique américain (USGS).

La secousse, dont la profondeur est évaluée à 22,9 km, a été localisée à 88 km au large du grand port de Valparaiso. Elle s'est produite à 20H26 locales (02H26, heure française), selon l'institut américain.

Aucune victime ni dégât n'étaient signalés dans l'immédiat. Le centre d'alerte aux tsunami dans le Pacifique n'avait pas réagi plus d'une demi-heure après la secousse.

Le Chili a été frappé l'an dernier par un séisme de magnitude 8,8 qui a généré un raz de marée à l'origine de plus de 500 morts.

Source © afp
vendredi 15 juillet 2011
Les hautes pressions qui se sont installées des Balkans à l'Europe Centrale et jusqu'à l'Italie engendre des températures très élevées relevées dans nombreux pays depuis la fin de semaine dernière.

Ces fortes chaleurs ont déjà fait 11 victimes en Croatie, 10 en Serbie et 1 en Bosnie.





Voici la liste des températures les plus élevées enregistrées :


  • 42°C à Olbia (Sardaigne) et Amendola (Italie)
  • 40°C à Mostar (Bosnie Herzégovine), Banja Luka et Bihac (Bosnie),
  • 39°C à Bologne (Italie), Sartène (Corse) et à Gevgelija (Monténégro)
  • 38°C à Rome (Italie)
  • 37°C à Rijeka (Croatie), Tirana (Albanie)
  • 35°C à Sofia (Bulgarie), Budapest (Hongrie)
  • 34°C à Vienne (Autriche) et à Caranesebes (Roumanie)

Ces fortes chaleurs se prolongeront jusqu'au week-end avec des températures qui dépassent quotidiennement les 35°C à l'ombre sur de nombreuses villes. Les pays de l'ex-Yougoslavie sont les pays les plus exposés, avec une alerte canicule lancée depuis lndi dernier par les services météo monténégrins, serbes, croates et bosniaques et qui se maintient jusqu'à samedi.

Cette période de fortes chaleurs est par certains aspects comparable à l'épisode caniculaire qui a touché la majeure partie de l'Europe centrale en juillet 2007 et qui avait duré 10 jours.

Source : Euronews
Les propositions de loi de la Commission européenne qui cherche à réduire la surexploitation des ressources halieutiques dans les eaux territoriales européennes sont très décriées.

Aujourd'hui plus de 75 % de ressources au sein de l'union sont surexploitées. L'UE dépend donc très largement des importations.

La Commission européenne quant à elle souhaite restaurer d’ici 2015 les trois quarts des ressources en poissons de l’Union européenne. Pour y remédier la Commissaire européenne à la Pêche Maria Damanaki a multiplié les propositions ces dernières semaines : permis à points, interdiction des rejets des poissons morts pour transformer ces rejets en farines, quotas individuels transférables.

La france de son coté, par le ministre français de la Pêche Bruno Le Maire, juge la réforme de la politique commune de la pêche proposée par la Commission européenne d'inacceptable en l'état. Mr Le Maire estime qu'elle entraînerait un arrêt de mort pour la pêche française, et qualifie d'absurdité politique une réforme qui viserait à restreindre les activités des pêcheurs de l'UE.

Selon lui cette réforme favoriserait encore plus les importations dont nous dépendont déjà à 80%. D'autre part il voit dans les quotas individuels transférables un danger pour les navires artisans qui risquent d'être engloutis par les sociétés de la grande pêche industrielle.

Le secteur de la pêche en France est essentiellement artisanal, la plupart des 7.208 navires de pêche (chiffres de l'UE de juin 2011) font moins de 20 mètres. L'introduction de quotas individuels transférables concernerait 25,7% de la flotte française, soit 1.857 navires.

A l'échelle européenne, 21,5% de l'ensemble des navires seraient concernés.

Plusieurs associations ont également fait part de leurs réserves. Dans un communiqué commun, la WWF, Océan 2012, la Fondation pour la Nature et l’Homme et Bloom ont ainsi dénoncé une réforme « faussement ambitieuse » voire « inefficace ».

« Les poissons que l’on rejette actuellement devraient, en tout état de cause, ne pas être capturés ni remontés à bord. Cette mesure des rejets devrait donc être accompagnée de mesures de sélectivité » a estimé la WWF

Quant à l’instauration de quotas, elle risquerait selon l’ONG « de générer une concentration des droits de pêche entre les mains de quelques armateurs, sans pour autant régler le problème de la surpêche».


Seule la Grande-Bretagne s’est d’ores et déjà dite prête à travailler en vue « d’une réforme radicale dont ont besoin l’environnement et nos pêcheurs ».

« Les difficultés ne font que commencer », considère la Commissaire européenne à la Pêche, qui sait qu’outre les pêcheurs et les ONG il lui faudra convaincre le Parlement européen et les Etats eux-mêmes.

Le texte sera débattu le 19 juillet prochain par les ministres européens.

Bref on est encore bien loin du rêve d'idéal que résume cette petite vidéo de l'année dernière...

A suivre ça risque d'être pas triste

© MA/NA
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Le volcan Lombenben* sur l'ile de Ambae** en République du Vanuatu en Océanie au nord est de l’Australie montre lui aussi des signes évidents d'éruption éminente. Il a d'ailleurs a commencé à craché des gaz volcaniques, et les résidents proches pourraient être forcés d'évacuer prochainement une partie de l'île.

Un expert de l'Observatoire du Vanuatu a été envoyé sur place pour surveiller le volcan, qui est connu pour déclencher des tremblements de terre.


"Pour le moment nous avons des explosions sporadiques, mais elles sont de plus en plus rapprochées"


Nous mesurons actuellement une augmentation de l'activité sismique dans la région et nous nous attendons à plus d'explosions de gaz. Si le volcan devient encore plus actif, les personnes vivant dans les alentours seront forcées d'évacuer, prévient le Volcanologue Sylvain Todman, de l'Observatoire des Géorisques du Vanuatu.


MA/NA



Le Lombenben* dont le mont Manaro, haut de 1496 mètres est sa partie émergée. Sa dernière explosion remonte à 1996. Il reste suffisamment dangereux pour avoir encore récemment (début décembre 2005) nécessité l'évacuation d'une partie de la population. 5 000 personnes avaient été déplacés du centre et du sud vers les cotes nord. S'en est suivit de violentes projections de cendres atteignant 3000 mètres de hauteur, accompagnées de pluies acides et de nuages gazeux. le volcan est situé sur l'ile d'Ambae** ou Aoba1 qui est une île longue de 40 km et large de 20, située dans l'archipel de Vanuatu par 15,4° de latitude sud et 167,9° de longitude est. Elle est peuplée d'environ 10 000 habitants.



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Depuis Lundi dernier déjà,le niveau d’alerte avait été levé au maximum aux alentours du volcan du mont Lokon au nord ouest de l'ile Sulawesi (Célèbes) en Indonésie. Dés la semaine dernière le volcan montrait des signes d'éruption éminente et les autorités ont alors évacué les 4 400 habitants vivant dans une zone de 3,5 km autour du volcan, et ils ont bien fait.

Effectivement très vite en début de semaine, le volcan s'est mis à projeter des cendres à 500 m de hauteur.

Mais hier soir son activité est monter d'un cran, "une éruption bien plus forte que les autres a projeté de la cendre, du sable et des roches à une hauteur de 1500 mètres", a indiqué à l'AFP un responsable des services de volcanologie indonésiens.

Le petit village de Kinilow était en alerte rouge.

"Les gens qui dormaient ont été brutalement réveillés par l'explosion et se sont enfuis à moto ou en montant dans les camions" mobilisés pour une éventuelle évacuation, a témoigné un habitant du village de Kinilow.

"Il n'y a pas eu de grande panique car la population avait été avertie dés lundi du danger", a précisé M. Kristianto.

De nouvelles éruptions se sont produites ce vendredi matin, en crachant des roches, de la lave et de la cendre à plus d'un kilomètre de hauteur.

MA/NA







mercredi 13 juillet 2011
Dans un premier temps, les services de secours ont d’abord cru à un déversement de produits chimiques ou de peintures dans le lac du ValJoly.

Bon cela dit, il suffit parfois de lever la tête pour ne plus croire au ciel et à la géométrie classique de ses nuages, non?

Ne vous inquiétez pas c’est tout simplement une algue, dite cyanophycée en raison de sa teinte, un phénomène dû à la chaleur et au manque d'oxygénation de l'eau qui s'était déjà produit en 2005. Elle est responsable de la curieuse couleur qu’avait l’eau du lac du ValJoly prêt du camping du ValJoly et de sa station nautique, bleue vous dis je.

On en rapporte en Dordogne aussi, quelle drôle d'histoire n'est ce pas ? Parfois les paysages ont des sourires qui fécondent des naïvetés de certitudes d'enfant.


Mais pour faire bref, nos spécialistes sont sur le coup, et ils témoignent.

« elles peuvent libérer des toxines qui irritent la peau mais aussi des hépatotoxines (NDLR : qui s’attaquent aux cellules du foie) et des neurotoxines (NDLR : qui agissent sur le système nerveux) »" nous assure Jean-Claude Frochen, ingénieur sanitaire à la délégation de Dordogne de l’Agence régionale de Santé

Ces belles bleues (ou cyanobactéries) prospèrent dans les milieux ensoleillés, isolés, riches en azote et en phosphore.

Et pour finir le département de nous annoncer qu'il n'y aucun danger sur les bords du lacs ValJoly (quel joli nom pour un lac bleu). ce phénomène est juste du à notre beau soleil trop présent ces derniers temps(...un peu voilé ces derniers jours le soleil docteur?)

Source : lobservateurdelavesnois.fr


De toute façon vertes ou bleues, le chef à la parade..."les unités de méthanisation"...il y croit beaucoup..." d'ailleurs..." dit il aux intégristes écologistes (01:15)...c'est dans cet esprit que nous allons le régler le problème et pas dans un autre"(01:40)...nah!!!


Nicolas Sarkozy tacle les écolos "intégristes" par OuestFranceFR

...D'ailleurs des intégristes intègres, de nos jours ça ne courent plus vraiment les rues. Alors pour vous j'ai déniché ces quelques graphes, disons le tout de suite très intégristes, chez des scientifiques intègres à barbes vertes ou bleues, ça dépend des saisons.

Tempêtes tropicales, Tornades, Tsunamis, inondations, tremblements de terre, éruptions volcaniques, niveaux des océans...Bref vérifiez par vous mêmes ...et faite vous votre opinion. Bon je retourne à mes invocations moi. ...Ah tchao bonsoir...













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L'année 2011 n'est pas encore terminée qu'elle a déjà battu tous les records en terme de pertes économiques liées aux catastrophes naturelles.

Le coût des dégâts occasionnés par ces catastrophes au premier semestre 2011 à déjà atteint la somme astronomique de 265 milliards de dollars contre 97 milliards en 2010 pour la même période.

Il dépasse déjà le record de l'année 2005 complète qui était, jusqu'alors, l'année la plus coûteuse avec plus de 220 milliards de dollar de perte à cause des catastrophes naturelles.

Mais il est vrai que les dégâts enregistrés au Japon ont été énormes: 210 milliards de dollars à eux seuls.

En 2011 avec ses 220 milliards de pertes, la triste double catastrophe Japonaise (tsunami et catastrophe nucléaire) est devenue la plus coûteuse de l'histoire de l'humanité.

Néanmoins, au total, 355 catastrophes naturelles ont déjà été enregistrées au premier semestre 2011 dans le monde, contre 390 annuelles en moyennes sur les dix dernière années. Bref pour l'instant les chiffres indiquent un doublement possible des catastrophes naturelles en 2011.

Le tremblement de terre de Christchurch en Nouvelle-Zélande en février et juin ont causé 20 milliards de dollars de pertes .

Les catastrophes météorologiques ont été également nombreuses et violentes au premier semestre, notamment sous l'influence du phénomène climatique de "La Nina", qui a créé de fortes perturbations en refroidissant l'océan Pacifique tropical.

Plus de 1 600 tornades ont été recensées dans le monde entre janvier et juin 2011. Elles sont estimées responsable d'un cout d'environ 15 milliards de dollars.

En Australie les inondations exceptionnelles du début de l'année devraient coûter 7 milliards de dollars. Le passage du cyclone Yasi a causé 2 milliards de dollars de pertes.

Mais le pire reste à craindre, car généralement, le cout mondial des catastrophes naturelles se répartit plutôt sur le second semestre avec l'arrivée des ouragans dans l'Atlantique Nord et les typhons du pacifique.

Ces couts phénoménaux des catastrophes naturelles témoignent de la réalité que traverse l'année 2011, et devraient nous faire tous réfléchir: il y a t il un intérêt caché à les faire exister et pour quels intérêts bassement spéculatifs, ou sont ils simplement la triste constatation de notre incroyable endormissement généralisé ? Ce qui est sûr c'est que notre belle planète en souffre et que dans tous les cas nous le paierons très cher.

© M.A/N.A

Une nouvelle fuite de pétrole a été signalé dans la baie de Bohaï en chine, la troisième depuis le début du mois de juin.

La fuite s'est produite au champ pétrolifère Suizhong 36-1 à 1:30 h mardi en raison d'un dysfonctionnement au niveau du système de contrôle central a déclaré la China National Offshore Oil Corp (CNOOC) Ltd.

Les techniciens ont réussi à colmater la fuite, qui a visiblement couvert un kilomètre carré sur la surface de la mer. Des produits dispersant ont été répandu immédiatement sur la nappe.

"La production de ce gisement pétrolier a été suspendu et les procédures d'intervention d'urgence ont été activés immédiatement après l'incident"

Suizhong 36-1 est le plus grand champ pétrolifère du pays, il produit annuellement environ 5 millions de tonnes.

Cet incident survient dans la foulée de deux autres précédents en Juin sur la Plateforme de Penglai 19-3 , un autre champ pétrolifère dans la baie de Bohaï, et qui a pollué plus de 840 km ² des eaux côtières. Ca commence à faire beaucoup.

Presque aucune information ne filtre des autorités et les médias du pays commencent a d’insurgé contre le manque de communication sur ces catastrophes.

Même la chaîne de télévision nationale CCTV déplore le manque d'informations sur ces marées noires et leurs origines: Elle rappelle que le golfe de Bohai est la source d'une grande partie des produits de la mer destinés à la consommation et que ses côtes sont très peuplées.

Rajout à 14 h 30:

Ce mercredi la Chine a demandé à la société américaine ConocoPhillips d'arrêter immédiatement ses opérations sur plusieurs plates-formes pétrolières où elle opère et d'où du pétrole s'échappe dans l'eau de mer depuis plus d'un mois.

En effet suite aux critiques des médias qui pointent du doigt la China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) dans la gestion de la crise, les autorités se devaient de réagir. De plus le SOA a déclaré que les opérations ne pourraient pas reprendre avant que la fuite n'ait été entièrement colmatée et tout les risques éliminés.


Vidéo: Images aériennes de la précédente catastrophe du mois de juin où il semble que effectivement on nous a pas tout dit


cliquez pour agrandir
23 États américains sont touchés de plein fouet par une canicule historique. Des alertes de chaleur intense sont en vigueur dans tout le sud et le centre du pays, où les températures frôlent les 40 degrés Celsius.

À travers le pays ce mois-ci, 669 records de chaleur ont été soit égalés soit pulvérisés, selon le Centre national des données climatiques.

la seule ville d'Oklahoma City a enregistré des températures de 38 degrés Celsius tous les jours du mois juillet, 21 jours depuis le début de l'année, soit 11 de plus que sa moyenne annuelle . Le 9 Juin, le thermomètre a atteint 43°C la plus haute température jamais enregistrée aux Etats-Unis

C'est le cas de nombreuses villes le long d'un corridor reliant le Kansas au Texas: Wichita, a enregistré 18 jours à 38°C, soit 14 de plus que sa moyenne annuelle . Austin, a déjà doublé cette moyenne annuelle et Dallas se rapproche dejà de sa moyenne.

«Nous sommes définitivement sur le chemin d'un record: l'été le plus chaud et le plus sec de notre histoire", a déclaré Daryl Williams, de le National Weather Service à Norman, " Et ceci sans compter les 14 états déjà frappés par une sécheresse exceptionnelle"

À New York, où il fait déjà 34 degrés, la mairie prévoit d'ouvrir 450 centres de rafraîchissement dans l'ensemble de la ville.

La chaleur devrait durer encore quelques jours, avant de se transformer en orages potentiellement violents.


mardi 12 juillet 2011
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a convoqué mardi une réunion d'urgence avec les chefs des agences des Nations Unies pour discuter de la grave crise alimentaire qui frappe la Corne de l'Afrique. Il a exhorté les gouvernements à contribuer à l'appel humanitaire d'urgence de 1,6 milliard de dollars pour venir en aide aux millions de personnes affectées.

« Plus de 11 millions de personnes ont besoin immédiatement d'une assistance pour rester en vie, alors qu'elles sont confrontées à la pire sécheresse depuis des décennies », a dit Ban Ki-moon lors d'un point de presse.

Lors de cette réunion, le Secrétaire général et les chefs du Programme alimentaire mondial (PAM), du Haut commissariat pour les réfugiés (HCR), du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF)) et du Bureau pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) ont convenu qu'ils devaient faire tout leur possible pour empêcher que cette catastrophe ne s'aggrave. A ce jour, l'ONU et ses partenaires n'ont reçu que la moitié des 1,6 milliard de dollars nécessaires pour financer les opérations de secours dans la région.

« Nous ne pouvons pas nous permettre d'attendre. J'appelle les Etats membres à soutenir complètement notre appel, et sans délai », a dit Ban Ki-moon. « J'ai décidé d'entrer en contact personnellement avec les Etats membres pour leur demander de fournir les ressources dont nous avons besoin. »

La Directrice exécutive du Programme alimentaire mondial (PAM), Josette Sheeran, a souligné mardi dans un communiqué que l'agence avait « décidé de renforcer, de toute urgence, la livraison de compléments nutritionnels hautement enrichis ».

« Alors que la sécheresse empire, chaque jour compte. Le PAM lance un appel de fonds urgent pour combler un déficit de 40%, soit de 189,35 millions de dollars, dans son budget de 477 millions de dollars pour ses opérations dans la Corne de l'Afrique. Ces opérations incluent, entre autres, la fourniture de nourriture destinée aux réfugiés actuellement au Kenya et en Éthiopie et dont le nombre s'accroît », a-t-elle ajouté.

Dans son message, Josette Sheeran note que « les sécheresses dans la Corne de l'Afrique sont de plus en plus fréquentes ». « Les communautés, qui pendant plusieurs années récupéraient l'eau des pluies régulières pour parer aux sécheresses occasionnelles, doivent désormais apprendre à vivre dans un état de quasi-constante insécurité alimentaire, en raison du manque d'eau », a-t-elle expliqué.

Pour la chef du PAM, il est nécessaire de fournir une aide alimentaire non seulement pour subvenir aux besoins urgents mais aussi pour « renforcer la résilience et protéger les communautés locales face à l'impact des sécheresses récurrentes ». « Cette approche doit agir comme un investissement dans des solutions durables de lutte contre la faim », a-t-elle préconisé.

De son côté, le Haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, António Guterres, a achevé lundi une mission de cinq jours en Ethiopie et au Kenya.

Durant sa visite, António Guterres a appelé « à une réponse rapide et robuste de la communauté internationale à cette crise, ainsi qu'à un soutien aux populations de tous les pays affectés par la sécheresse », a rappelé un porte-parole du HCR, Adrian Edwards, lors d'une conférence de presse à Genève, en Suisse.

Depuis début juillet, environ 11.000 personnes sont arrivées en Ethiopie et plus de 8.600 au Kenya en provenance de Somalie. Chaque jour, le HCR dénombre respectivement 1.700 et 1.300 nouveaux arrivants en moyenne en Ethiopie et au Kenya.

Lundi, à Nairobi, le chef du HCR a rencontré George Saitoti, Ministre kényan de la Sécurité intérieure et Ministre par intérim des Affaires étrangères. Ils ont convenu de la nécessité, pour la communauté internationale, d'organiser des opérations humanitaires importantes à l'intérieur de la Somalie. Vendredi dernier, le HCR a lancé un appel de fonds d'un montant de 136,3 millions de dollars afin de financer ses opérations d'urgence.

Pour sa part, l'Expert indépendant de l'ONU sur la situation des droits de l'homme en Somalie, Shamsul Bari, a exhorté mardi, la communauté internationale à accroître ses efforts pour prendre les mesures nécessaires permettant de répondre à la crise alimentaire en Somalie.

« Seulement 50% de l'appel de la communauté humanitaire de 530 millions de dollars ont été récoltés pour couvrir les besoins humanitaires de plus de 2,85 millions de personnes, soit un tiers de la population somalienne », a dit M. Bari dans un communiqué.

Le Rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation, Olivier de Schutter, a également tiré la sonnette d'alarme sur les taux de malnutrition chez les enfants dans certaines régions des pays de la Corne de l'Afrique, qui peuvent dépasser les 30%.

« Le droit international impose aux Etats qui sont dans une position d'aider de le faire immédiatement là où des vies sont en jeu », a-t-il conclu.


Source: © ONU

Pour vos dons... les liens France

PAM ( Programme Alimentaire Mondial): http://fr.wfp.org/

HCR (Agence des Nation Unis Pour les Réfugiés): http://www.unhcr.fr/cgi-bin/texis/vtx/home

ACTION CONTRE LA FAIM: http://www.actioncontrelafaim.org/


Corne de l'Afrique : menace de grave crise... par euronews-fr
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