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mardi 16 août 2011
Le ministère de l'Ecologie et du Développement durable vient de publier les dernières statistiques de la teneur en nitrates dans les cours d'eau français. C'est toujours le quart nord-ouest de la France qui est le plus touché...

Les cours d'eau bretons font partie de ceux où l'on retrouve le plus fort taux de nitrates

Les teneurs en nitrates «semblent globalement assez stables ces dernières années.» Le Commissariat général au développement durable vient de publier les dernières statistiques concernant le taux de nitrates dans les cours d’eau français. Les nitrates constituent «un des paramètres physico-chimiques permettant de qualifier l’état des eaux, rappelle le Commissariat général. En cas de présence excessive dans l’eau, ces nutriments peuvent être à l’origine, avec d’autres facteurs, de déséquilibre des milieux, avec par exemple des phénomènes d’eutrophisation.» Au-delà d’un seuil de 50 mg/l, l’eau est réglementairement impropre à la fabrication d’eau potable.

Treize des 1.628 stations de suivi présentent des concentrations moyennes supérieures à ce taux de 50 mg/l. Elles sont situées en Bretagne, Poitou-Charentes, dans le Centre et en Normandie. «Les concentrations de nitrates dans les eaux de surface sont plus élevées dans un grand quart nord-ouest de la France, indique le rapport, c’est-à-dire dans les régions où l’agriculture occupe une grande partie des sols et où elle est plus intensive.» Les nitrates dans l’eau sont issus majoritairement d’effluents d’élevage et d’apports excessifs d’engrais azotés aux cultures. Les rejets d’eaux usées urbaines et industrielles, après épuration, sont également impliqués dans la pollution par les nitrates.

«Depuis une dizaine d’années, on observe une dégradation dans les bassins où les teneurs étaient les plus faibles. Au contraire, la situation tend à s’améliorer là où les concentrations étaient parmi les plus élevées, où l’utilisation d’intrants azotés a diminué.» Ainsi, en Bretagne, quelque un milliard d’euros d’aides publiques a été versé en quinze ans pour la réduction du taux de nitrate.

Malgré une stabilisation générale, le rapport s’inquiète néanmoins de la situation dans les bassins de la Seine et de la Somme, qui «font exception: les teneurs, déjà élevées, continuent d’augmenter.»
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Source 20minutes.fr



Mac Gyhad LES NITRATES BOURRES D'ENERGIE par MacGyhad

...Cuillère en bois et casserole ...bonne idée...?...

...TOUS ENSEMBLE, TOUS ENSEMBLE, OUHINNN, OUHINNNN,......TOUS ENSEMBLE, TOUS ENSEMBLE, OUHINNN, OUHINNNN,...
Environ 600 Indiens amazoniens de Bolivie ont entamé lundi une grande Marche sur La Paz pour protester contre un projet de route traversant un parc naturel, signe, selon eux, d'un double discours du gouvernement d'Evo Morales sur l'environnement et les droits des indigènes.

Nous sommes plus de 600 à débuter cette marche, qui compte aussi des femmes, des enfants, des anciens. C'est une marche pour défendre nos droits, a déclaré à l'AFP à Trinidad (centre) Ernesto Sanchez, dirigeant indien de la province de Beni. Ils comptent rallier La Paz, à 600 km, en 40 jours.

Des communautés, autour de la Confédération des indigènes de l'Orient bolivien (Cidob), sont dressées depuis quelques semaines contre un projet de route Nord-Sud entre Villa Tunari et San Ignacio de Moxos, axe de désenclavement entre la Bolivie andine et la Bolivie amazonienne, et vers le Brésil voisin.

La route de 306 km, dont le chantier a débuté en juin, doit traverser une zone écologique sensible, le Parc national et territoire indigène Isiboro Secure (Tipnis) où vivent plus de 50.000 Indiens.

Le gouvernement Morales, socialiste au discours pro-indigènes, affirme que la construction de la route est incontournable, mais a appelé au dialogue sur les modalités ou l'impact sur l'environnement et les communautés.

La grogne indienne dans le Beni s'ajoute à d'autres foyers de mécontentement social contre M. Morales, au pouvoir depuis 2006.

La grande cité-dortoir d'El Alto, jouxtant La Paz et comprenant l'aéroport international, a lancé lundi une grève générale, à l'appel d'associations de voisinage, pour réclamer un budget accru pour son développement urbain.

La ville de Potosi (sud), observait pour sa part une grève générale de 24 heures, pour rappeler au pouvoir ses promesses d'investissements locaux, négociés après une grève en 2010, qui avait isolé la ville du reste du pays trois semaines.

Evo Morales a accusé lundi ces mouvements sociaux d'avoir des mobiles purement politiques. Quand il n'y a pas de dialogue, c'est qu'il y a intention politique, a-t-il déclaré à Cochabamba (centre).


Source ©AFP / 15 août 2011



Une vague de froid exceptionnelle, la pire en cinquante ans, a apporté la neige sur l'île nord de Nouvelle-Zélande, entraînant la fermeture de routes, des coupures d'électricité et la paralysie de zones entières du territoire. "Les gens doivent se préparer au pire, et se préparer à ne pas pouvoir quitter leur maison et à se retrouver sans électricité et autre équipement dans le pire des cas", a déclaré Rian Van Schalkwyk, responsable de la défense civile de Wellington.

Auckland, la plus grosse ville de Nouvelle-Zélande, a connu ses pires chutes de neige depuis les années 70, a indiqué Philip Duncan, du service de météorologie WeatherWatch. L'île du sud, qui est elle habituée aux chutes de neige lors de l'hiver austral, a connu un blizzard très violent. Les aéroports étaient fermés lundi matin à Christchurch, Dunedin et Queenstown. Les écoles sont restées portes closes dans le bas de l'île du sud.

Cette vague de froid ne devrait s'atténuer que jeudi dans la journée, ont prévenu les services météo.

Source: © le figaro




La fuite provoquée par la rupture d’un oléoduc du pétrolier Shell sous sa plateforme Gannet Alpha, Jeudi dernier à 180 kilomètres de l’Ecosse n’est toujours pas circonscrite. Depuis mercredi, plus de 200 tonnes de pétrole brut se sont déjà écoulées aux abords de la plateforme pétrolière. Cet incident constitue la plus grave marée noire en mer du Nord depuis 11 ans.La survie de nombreux oiseaux et de poissons est maintenant menacée.

En mer du nord la vétusté de nombreuses installations, le manque d'entretien, la violation des réglementations en vigueur, avaient déjà été pointé du doigt par "Health and Safety Executive (HSE), le régulateur britannique de la sécurité il y a quelques mois.

De son côté, l'organisation Greenpeace a déjà dénoncé un manque inquiétant de transparence de la part de Shell, en lui reprochant notamment d'avoir mis deux jours à faire état de cette fuite de pétrole au public.

Aucune information, ni aucune image du traitement de cette pollution qui se répand actuellement dans la mer du nord ne nous parviennent. La société Shell utilise t-elle des produits dissipant ou des barrages flottants? A t-elle la flotte et le matériel nécessaire à affronter une telle situation d'urgence?

Bref l'opacité sur cette affaire devient réellement inquiétante. La technique du grand silence et de la censure lors d'accidents pétroliers semblent être devenus courants, et indéniablement souligne l’indifférence affichée des grandes sociétés pétrolières a informer leurs actionnaires et leurs clients finales lors de crises majeures, mais surtout révèle leur capacité à croire que la planète leur appartient.

Elle révèle aussi l’inquiétante surdité des gouvernements a imposé des règles de transparences strictes en matière d'exploitation de matières premières sur leurs territoires par des compagnies privées.

Bref, il serait grand temps à l’échelle internationale, et pour le bien de tous, compagnies privées comprises, de mesurer l'impact de leurs activités sur les écosystèmes, et d'investir massivement à la sécurité de leurs installations, mais aussi à travailler à la mise en œuvre d'une politique commune de gestion durable de notre planète.

Mais il est aussi grand temps pour les citoyens et clients de demander à leurs gouvernements respectifs de mettre en œuvre urgemment un tribunal international de l'environnement devant la multiplicité des crises écologiques que nous subissons et qui sont de plus en plus impunies.

Cette catastrophe de trop devrait en être le déclencheur.

Alors remuons nos faces...faite passer...Appelons les citoyens, les élus, les magistrats et les avocats responsables à agir de toute urgence...

dimanche 14 août 2011

Plusieurs agences sanitaires et environnementales de la Louisiane et du Mississippi mènent actuellement un enquête afin de déterminer l'origine d'une pollution qui a touché la "Pearl river" sur la commune de Richardson dans l'état de Washington aux USA. Elle a causé une hécatombe massive de poissons (plusieurs milliers) et de tortues sur plus de 80 km.

Selon les premiers rapports de l’enquête une fuite au niveau d'un pipeline immergé qui approvisionne l'usine à papier de "Temple Inland " semble en être la cause. Le produit en fuite reste encore inconnue. La nappe de pollution s'est répandue sur plus de 80 km le long de la rivière en y semant la mort de toute la faune aquatique. Les enquêteurs n'ont pas encore déterminé l'origine du produit en fuite, mais on constaté un fuite importante d'un produit noir et vaporeux au niveau du moulin.

De nombreux riverains ont témoigné avoir décelé une nappe noire sur la rivière dés jeudi matin et ils affirment que la situation s'est rapidement dégradée. La couleur de la rivière s'est rapidement assombrie, et une étrange mousse flottait parfois à sa surface. Un pécheur affirme avoir ramassé plus de 100 kg de poissons morts dans ses filets en moins d'une journée.


Source: Wwl.com/trad NA
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Les autorités chinoises ont ordonné dimanche la fermeture immédiate d'une usine chimique, après une manifestation rassemblant des milliers de personnes; dans une ville du nord-est de la Chine, qui réclamaient le déplacement de l'unité.

Ces derniers mois, la Chine a connu plusieurs manifestations, dont certaines étaient accompagnées de violences, en raison d'une montée de la grogne des citoyens à propos des inégalités sociales, des abus de pouvoir et de dégâts environnementaux.

Dimanche, quelque 12.000 habitants de la ville portuaire de Dalian ont défilé devant le bâtiment des autorités de la ville, sous les yeux de centaines de policiers, une manifestation qui a été émaillée de quelques échauffourées, selon l'agence officielle Chine Nouvelle.

Des centaines de protestataires se sont détachés de la foule pour se diriger vers d'autres endroits de la ville. Selon des messages sur Twitter qui n'ont pu être vérifiés, des véhicules blindés de la police parcouraient les rues de la cité.

Les protestataires s'inquiétaient de l'activité d'une usine chimique, qui fabrique du paraxylène --un liquide inflammable utilisé dans la production de films et de tissus en polyester-- et qui appartient au groupe Fujia.

Le 8 août, les occupants de logements situés près de l'usine ont été évacués. Des vagues provoquées par une tempête ont rompu une digue protégeant l'usine et menaçaient de mettre en danger le bâtiment, faisant courir le risque d'une pollution chimique.

La digue a été réparée mais les habitants de la zone s'inquiètent des effets de l'activité de cette usine sur leur sécurité et leur santé.

Quelques manifestants ont affronté la police mais aucun blessé n'a été signalé, selon Chine Nouvelle.

Selon des photos publiées sur le site de microblog Sina Weibo, l'équivalent chinois de Twitter, les manifestants ont défilé dans les rues, brandissant des banderoles sur lesquelles était écrit: Nous voulons survivre, nous voulons un environnement sain, rendez-nous notre Dalian.

Les censeurs chinois de l'internet ont ensuite bloqué toute mention à Dalian sur le site de Weibo. Les résultats de la recherche ne peuvent pas apparaître en raison de la loi, des règlementations et des politiques en cours, indique le message lorsqu'un internaute tape le mot Dalian.

Les craintes liées à des catastrophes écologiques sont nombreuses en Chine, où la croissance économique très forte de ces dernières années s'est réalisée aux dépens de la protection de l'environnement.

Un des mouvements de protestation les plus célèbres date de 2007: les travaux de construction d'une usine pétrochimique à Xiamen (sud-est) avaient été stoppés définitivement après d'importantes manifestations des habitants.


Source ©AFP / 14 août 2011


Royal Dutch Shell a fait savoir qu'une fuite de pétrole brut, intervenue cette semaine sur un oléoduc en mer du Nord, se poursuivait samedi et qu'elle avait été détectée deux jours avant que le groupe anglo-néerlandais la révèle. Shell a dit s'employer à réduire la pression dans la conduite, limitant ainsi la fuite.

La nappe s'étend sur 31 km, a annoncé le géant pétrolier.

Alex Salmond, Premier ministre du gouvernement régional écossais, a déclaré à la BBC qu'environ 100 tonnes de pétrole, soit l'équivalent de 750 barils, s'étaient écoulées en mer. A titre de comparaison, l'explosion du puits Macondo de BP avait entraîné l'an dernier la fuite de 5 millions de barils.

Le géant anglo-néerlandais a fait état de la fuite vendredi soir, mais un porte-parole a déclaré samedi qu'elle avait été détectée deux jours plus tôt. Manque d'information dénoncé

L'organisation de défense de l'environnement Greenpeace a déploré un manque d'information sur l'incident. "A l'heure qu'il est, nous en ignorons la gravité. Ce que nous savons, c'est que la mer du Nord est censée être ultra-sûre, on nous dit que des fuites ne peuvent pas s'y produire", écrit son représentant dans un communiqué envoyé par courriel.

Shell a indiqué vendredi que l'un des puits du gisement pétrolier de Gannet, à 180 km à l'est d'Aberdeen (Ecosse), avait été fermé, sans préciser si la production avait baissé.

Le champ pétrolier de Gannet est la propriété conjointe de Shell et d'Exxon. Shell en assure l'exploitation.


Source: ats / 14.08.2011
La mairie de Saint-Nazaire a pris vendredi un arrêté de fermeture au public de plusieurs de ses plages par mesure de sécurité en raison de la présence d'algues vertes.

"Les plages situées entre la plage dite de la petit Vallée et la pointe de Chemoulin sont, jusqu'à nouvel ordre fermées au public en vertu du dispositif préfectoral relatif aux algues vertes", indique un communiqué de la mairie.

"Un arrêté municipal vient d'être pris afin de garantir la sécurité et la santé des estivants", ajoute le texte.

"Toute activité de plage, quelle qu'en soit la nature, la pêche à pied et la pêche à la ligne du bord ou en bateau, la baignade et toute forme de nage ou plongée sous-marine, les activités nautiques (pratiquées à l?intérieur de la bande maritime littorale dite des 300 mètres), y sont, jusqu'à nouvel ordre interdites", précise la mairie.

Selon un correspondant de l'AFP sur place, cet arrêté concerne des petites plages de baignade non surveillée qui, pour certaines, ne sont accessibles qu'à marée basse.

Source: © AFP


vendredi 12 août 2011
Dans la valse des prix, l'or a atteint jeudi un record historique à 1.800 dollars l'once, et bien sûr vous vous demandez pourquoi les gens d'argent, pardon d'or, s'y réfugient, m'enfin, cherchez l'erreur...









Valse is Art...



...prenons de la hauteur...


Chemtrails - INCROYABLE!!!! par lecoinutile

...On applaudit à la réussite des beaux spectacles!!!...
La station balnéaire de Grandcamp-Maisy, entre Utah et Omaha Beach (Calvados), hauts lieux de mémoire du Débarquement, fait face à des marées vertes qui inquiètent sérieusement les élus locaux.

Nous avons déjà ramassé 4.880 tonnes d'algues (à 50%/60% vertes). On dépasse déjà la collecte 2010. On a eu cet été jusqu'à 80 cm d'épaisseur. En septembre, on avait eu jusqu'à un mètre, explique Serge Bigot maire de la commune.

Avec ses 2.000 m3 d'algues vertes ramassées en 2010, Grandcamp est encore loin des 15.000 m3 ramassés à Saint-Michel-en-Grève, la commune bretonne qui a collecté le plus d'algues en 2010, selon le Centre d'étude et de valorisation des algues (Ceva) qui suit le phénomène au niveau national depuis la Bretagne.

En outre en Basse-Normandie, ce qui est ramassé est un mélange en général à 50/50 d'algues vertes et d'autres algues alors qu'en Bretagne ce ne sont quasiment que des algues vertes. Et les longues plages du Débarquement sont plus propices au ramassage que les criques bretonnes, ce qui rend le problème moins aigu.

Mais la région n'est pas à l'abri du risque d'émission de gaz toxique, estime le Ceva.

Le conseiller général UMP et président de la communauté de commune de Isigny-Grandcamp Louis Lelong (bien Louis) est d'ailleurs préoccupé par le financement du ramassage et les conséquences possibles du phénomène sur l'activité touristique et ostréicole.

Pour la deuxième année consécutive, nous avons une aide exceptionnelle du conseil général qui nous permet de ramasser les algues avant qu'elles ne soient dangereuses. Mais si nous n'avons plus d'aide..., s'inquiète l'élu qui a vu des algues vertes apparaître sur les plages environnantes.

Selon les élus le phénomène des algues vertes s'est amplifié ces dernières années. Il y a deux, trois ans un hôtel sur la plage de Grandcamp a vu fuir ses clients. Les algues deviennent très vite nauséabondes. Le 3e jour si on ne ramasse pas c'est insupportable, explique le conseiller général.

Il cherche à financer une étude de l'université pour examiner les causes de ce phénomène.

Grandcamp est en bordure de la baie des Veys, plutôt fermée, avec des cultures intensives et des particuliers ici comme ailleurs pas toujours rigoureux dans la gestion de leurs égouts.

Le canton accueille des étables de quelques 100 unités mais n'a pas de production porcine significative, selon M. Lelong.

Pour l'agence de l'eau Seine-Normandie, Grandcamp est un point singulier dans une région d'élevage plutôt extensif qui ne connaît que quelques pics d'algues vertes mais pas de phénomène permanent.

Selon le Ceva, la surface couverte par les algues vertes dans le Calvados était de 76 hectares en 2010 (167 en 2009) contre 675 dans les Côtes d'Armor, 27 en Loire-Atlantique, 71 en Vendée.


Source: ©AFP / 12 août 2011

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....et pendant ce temps la résistance s'organise, des agriculteurs jouent au foot sur la plage fermée de Morieux

Quelque 400 agriculteurs se sont rassemblés vendredi sur la plage de Morieux (Côtes d'Armor) à l'occasion d'un match de foot destiné à tenter de démontrer l'inocuité des algues vertes et à protester contre la mise en cause de la profession dans le phénomène.

Nous servons de cobayes et vous voyez, on est en pleine forme, a plaisanté à l'issue du match Nicolas Morfoisse, producteur de lait et administrateur local de la FNSEA, le syndicat agricole majoritaire, à l'origine de l'initiative.

La rencontre entre agriculteurs s'est disputée entre des plots et des piquets plantés sur un bande de sable exempte d'algues, mais une incontestable odeur d'oeuf pourri émanait des algues en décomposition à quelques mètres, ont constaté des journalistes de l'AFP.

La plage Saint-Maurice de Morieux est fermée au public depuis les premières morts suspectes de sangliers dans l'estuaire du Gouessant début juillet, mais son accès était aisé vendredi en l'absence de forces de l'ordre.

Les analyses ont mis en évidence le rôle de l'hydrogène sulfuré dégagé par les algues vertes en décomposition dans la mort des animaux, une implication toutefois mise en doute par les agriculteurs, dont les rejets azotés contribuent à la prolifération de ces algues, selon les scientifiques.

Personne ne conteste qu'il y a des algues, et ce n'est pas nouveau. Ce qu'on conteste, ce sont les conclusions sur leurs causes et leur nocivité, a indiqué M. Morfoisse, en pointant notamment les phosphates ménagers et les rejets de stations d'épuration qui ne sont pas aux normes.

Les agriculteurs font beaucoup (pour réduire les émissions), mais il faut du temps pour que cela produise des effets, a souligné l'agriculteur.

Trente-six sangliers sont morts en juillet dans l'estuaire du Gouessant, manifestement empoisonnés par le gaz dégagé par les algues en putréfaction.

La plage de Morieux est la seule fermée à ce jour en raison des algues vertes. Mardi, la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet avait souligné qu'aucune plage où les algues vertes ne peuvent être ramassées toutes les 24 heures ne doit être fréquentée


Source:©AFP

...Il ne faut pas confondre bande et bande...certaines sont de véritables terroristes (dixit le chef)...bon allez hop tout le monde à la plage...ceux qui font partie de la vraie bande dans la bande...les autres démerdez vous!...

De nombreux poissons ont été retrouvés morts la semaine dernière dans une rivière de la province centrale du Hunan, ont annoncé les autorités locales.

Ces poissons morts, à la fois sauvages et élevés artificiellement, flottaient sur 55 km le long de la rivière Zijiang du district de Xinshao, a fait savoir Luo Chunyi, chef du bureau de la protection de l'environnement du district.

Plus de 130 fermes piscicoles à Xinshao ont souffert d'une perte totale de plus de 200 tonnes de poissons, provoquant des pertes économiques directes estimées à 20 millions de yuans (environ 3,1 millions de dollars), a indiqué Xiao Songhai, chef adjoint du district.

La quantité exacte de poissons sauvages morts ne peut être évaluée pour le moment, selon M. Xiao.

Lei Xinhua, pêcheur du village de Changtan, a indiqué qu'il avait découvert vendredi dernier, pour la première fois, des poissons morts flotter le long de la rivière.

Davantage de poissons morts ont été découverts plus tard sur le cours inférieur de la rivière, essentiellement près du bourg de Daxin et du village de Xiaoxi.

Une analyse de l'eau de la rivière, menée par les autorités environnementales du district, révèle que la quantité d'oxygène dissous présent dans la rivière est bien inférieure à la quantité requise pour la survie des poissons.

Les autorités ont déclaré que les résultats avaient exclu la possibilité d'une pollution industrielle, mais n'ont pas donné d'explications concernant la faible quantité d'oxygène dans l'eau.

La rivière Zijiang, une des quatre principales rivières de la province, se jette dans le lac Dongting, le deuxième plus grand lac d'eau douce du pays.


Source: © chine information


Dongting - A Lake in Flux from Sean Gallagher on Vimeo.



Une vague de chaleur persistante sur la majeure partie du Japon a fait au moins 36 morts depuis juillet et entraîné l'hospitalisation de près de 22.000 personnes, selon des statistiques officielles et les médias.

Cette semaine, le mercure a grimpé au-dessus des 35 degrés Celsius pendant trois jours consécutifs, alors que les autorités demandent de limiter l'usage des climatiseurs par mesure d'économies d'électricité, en raison de l'accident nucléaire de Fukushima.

Près des trois quarts des 54 réacteurs nucléaires du Japon sont à l'arrêt, cinq mois après le séisme et le tsunami géants qui ont provoqué la plus grave catastrophe nucléaire depuis 25 ans à la centrale Fukushima Daiichi (nord-est).

Dans la seule journée de jeudi, quatre personnes sont décédées d'un coup de chaleur, deux agriculteurs, un garde de sécurité et un ouvrier du bâtiment, a rapporté vendredi le journal Asahi.

Plus de 900 personnes ont été hospitalisées avec des symptômes d'hyperthermie, dont une vingtaine dans un état grave, selon l'agence de presse Kyodo.

Entre le début de juillet et la première semaine d'août, la vague de chaleur avait déjà fait 32 morts et causé l'hospitalisation de plus de 21.000 personnes au Japon, selon les statistiques de l'Agence chargée des incendies et des désastres naturels.


Source: ©AFP / 12 août 2011

jeudi 11 août 2011
La Terre l'a échappé belle. Mardi, à 3h48 GMT, le Soleil a connu sa pire éruption depuis bien longtemps. Cette éruption n'a, heureusement, eu aucune conséquence négative pour la Terre ou ses habitants. Mais elle a plongé dans l'inquiétude et l'incertitude les scientifiques du monde entier qui considèrent cette éruption comme un sérieux avertissement.

Les éruptions solaires sont classées en trois catégories : "C" pour les plus faibles, "M" pour les modérées et "X" pour les plus puissantes. Les experts chiffrent également la puissance du phénomène. Plus cette puissance sera importante, plus la valeur donnée à l'éruption sera élevée. L'explosion de ce mardi a ainsi été classée "X6.9". Par comparaison, l'éruption du 15 février dernier, pourtant considérée comme extrêmement forte, n'avait récolté qu'un "X2.2".

Par chance, l'éruption du 09 août a eu lieu du côté ouest du soleil, soit du côté non exposé à la Terre.




Les jours précédents le soleil ne fut pas moins actif, et nous a ainsi gratifié de très belles aurores boréales, dont voici un petit aperçu





Néanmoins une alerte du centre NOAA américain nous prévient, au moins 4 très grosses tempêtes solaires frapperont la Terre dans les dix prochaines années

En effet le Soleil est entré dans un cycle magnétique particulièrement actif, appelé "cycle 24", qui devrait durer jusque 2020 et culminer en juin 2013. Durant cette période, les éruptions aussi puissantes que celle de mardi matin pourraient être très fréquentes.

Selon les experts de l'agence fédérale américaine en charge de l'étude des océans et de l'atmosphère (NOAA), cités dans l'International Business Times, notre planète devrait être frappée par au moins quatre "gigantesques tempêtes solaires" au cours des dix prochaines années.

Le gouvernement américain estime par ailleurs que ces tempêtes particulièrement intenses pourraient avoir des conséquences dramatiques. Outre le fait que les communications terrestres et aériennes risquent d'être longuement perturbées, les États-Unis avancent que ces éruptions pourraient causer des ruptures dans l'alimentation énergétique des installations nucléaires du pays. Et celles d'autres nations, bien évidemment.

Les centrales ne pouvant fonctionner plus de 72 heures de manière autonome, un "black-out" de longue durée pourrait provoquer des incidents nucléaires sans précédent.





...Humm... haarp ça ira, ça ira, ça ira...etc... Pas très nucléaire ces américains, plutôt pro-pétrole, et ils aiment bien les effets d'annonce...non?...
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Dans la rubrique "choix du mois"

Le Guide du Ciel de tous les Spectacles Celestes à venir de Juin 2011 a Juin 2012. Ce livre s'adresse aux observateurs débutants et confirmés et permet de suivre au jour le jour les phénomènes astronomiques visibles à l'oeil nu ou avec un instrument. Il contient plus de 500 photographies, cartes et schémas. Auteur Guillaume Cannat



Cliquez pour agrandir ou voir en bas d'article
Une nouvelle carte pour aider à sauver les récifs coralliens dans le monde et faire l'état des lieux

Certains coraux (taches vertes) sont situés dans des endroits du monde où les conditions climatiques sont susceptibles de leur permettre de survivre au réchauffement climatique, alors que d'autres (points rouges) sont eux en voie critique d'extinction dans des zones sujettes à des changements climatiques beaucoup moins favorables à leurs survies.

Une nouvelle carte publiée aujourd'hui, met clairement en évidence les récifs qui peuvent encore être sauvés de ceux qui sont susceptibles de s’éteindre.

L'équipe de scientifiques qui ont créé cette carte espèrent ainsi que les données qu'ils ont recueillis auprès de 370 chercheurs et 96 administrateurs de zones coralliennes aideront les gestionnaires des récifs à mieux cibler leurs efforts de conservation.

A l'heure actuelle, environ 19% des récifs coralliens dans le monde ont déjà disparu et 15 % sont en voie d'extinction dans les quinze prochaines années.

Plus de 100 millions de personnes dans le monde en dépendent directement pour leur alimentation, les récifs coralliens étant toujours très poissonneux. Mais ils sont aussi un rempart réputé contre la houle, et si ils venaient à disparaitre, ces vagues pourraient être fatales à certaines iles isolées.

Pour aider les gestionnaires de récifs à mieux concentrer leurs efforts, l'écologiste et spécialiste spatial Joseph Maina de l'Université Macquarie de Sydney, en Australie, et ses collègues ont effectué une évaluation globale des zones les plus vulnérables au blanchiment des coraux. Les données recueillies par leurs recherche ont permis de mettre en évidence les zones où l'eau de mer a tendance à se réchauffer ce qui cause la mort prématurée des récifs corallien très sensibles aux variations de température. Dans cette étude tout les facteurs de ce réchauffement ont été pris en compte et mesurés, courants, hauteurs de vagues, vents, rayonnements ultra violet, variations de température, mais aussi les courants d'eau douces des rivières et des fleuves et leurs apport en polluant (engrais, etc..),ainsi que l'invasion croissante des algues et même jusqu'à l'érosion des sols.

Toutes ces données une fois compilées en formules mathématiques ont permis de dresser cette carte. Elle permet de mieux évaluer l'état mondial des récifs coralliens dans le monde.

On y constate par exemple que l'ile de la réunion, dans le pacifique, qui a récemment fortement intensifié sa politique de protection de ses récifs, a gagné l'espoir le plus susceptible de réussite à sauver son récif corallien dans le monde. Sur une échelle de stress allant de 0 à 1, elle est notée d'un 0,13 qui est plutôt un bon signe. Les efforts risquent de payer.

En revanche de l'autre coté du monde dans l'ile de Lombock, qui reste tout de même le meilleur score de l’Indonésie, son score de 0,74 est très inquiétant. Il est grand temps là-bas de prendre des mesures radicales de sauvetage des récifs côtiers.


En Floride le Key Largo fait un score impressionnant de 0,25 en climatique, mais la surpêche et les eaux de ruissellement ont endommagé ses récifs, son niveau de stress total est en fait de 0,85 . Voilà un candidat idéal pour le renforcement urgent de la protection écologique, sourit joseph Maina .

D'autres récifs sont parfaitement sains, dans des endroits comme Bonaire au large du Venezuela, ou les îles d'Hawaï. Cette étude devrait inciter les dirigeants à poursuivre leurs efforts, dit-il.

Mais l'étude a donné aussi des résultats beaucoup plus surprenants. Sur les îles britanniques de Chagos par exemple, qui se situe au beau milieu de la plus grande réserve marine au monde,dans le centre de l'océan Indien, un niveau élevé de stress climatique de 0,80 y est enregistré. Ou encore dans les îles Phoenix dans le Pacifique , dont les récifs sont protégés, qui score un 0,87 de stress climatique, et à sa proximité l'atoll le plus étudié au monde, un 0,83, là c'est carrément pas bon.

L'atoll de Takapoto en Polynésie française a marqué un bien meilleur de 0,66, mais il reste en grand danger.

C'est en Asie du Sud que ça se gâte vraiment. Les conditions climatiques sont si mauvaises que la plupart des coraux meurent et disparaissent beaucoup plus rapidement que les autres récifs stressés dans le monde, et malheureusement la région abrite le fameux Triangle de corail, qui abrite plus de 500 des 700 espèces du monde corallien. Cette biodiversité remarquable avait déjà conduit à créer l'initiative pour le Triangle de Corail en 2009, dans laquelle les Etats-Unis, la Banque asiatique du développement, et d'autres partenaires y ont promis plus de 400 millions de $ sur 5 ans pour protéger les récifs de la surpêche et de la pollution. Rien n'y fait la région reste très vulnérable aux changements climatiques.


"Il y a beaucoup de récifs dans le monde que nous pouvons encore sauver, mais ils ne reçoivent qu'une infime partie des montants alloués à la sauvegarde des récifs coralliens", explique le co-auteur Tim McClanahan de la Wildlife Conservation Society à Mombasa, au Kenya.

"Beaucoup d'argent est gaspillé sur des récifs qui ont malheureusement un triste avenir", dit-il.

"Nous devons concentrer nos efforts sur les gagnants, pas sur les perdants", ajoute McClanahan.

"Ces récifs sont dans le Pacifique, le sud de l'Afrique orientale, le Sri Lanka, et le nord de la mer Rouge. Ils sont tous peu protégés et nous pouvons faire beaucoup mieux"

Les données de variation de température entre 1982 et 2009 sur les récifs coralliens de cette étude, est un très bon indicateur des tendances futures. C'est une contribution précieuse qui va nous aider à identifier les endroits qui souffrent le moins aux changements climatiques et ainsi pouvoir lancer des programme d'aide à la conservation mieux répartie" explique Alan Friedlander, un biologiste marin à l'Université de Hawaï, Manoa, qui étudie les récifs.

D'autres sont plus sceptiques, tel John Bruno, un écologiste marin à l'Université de Caroline du Nord, pour lui rien ne peut prédir le blanchiment des coraux, il en veut pour preuve

"«Ceux des Bahamas ont blanchi en 1998 mais pas en 2003, tandis qu'aux îles Vierges ils ont blanchi en 2010 mais pas avant, et cela uniquement dans le région des Caraïbes." ...Alors?

Source: Science Mag trad N/A




...perdants ou gagnants, pourquoi ne pas tenter de tous les sauver?...cela reste la grande question...non?...







Un séisme de magnitude 5,2 a ébranlé jeudi la région chinoise du Xinjiang (nord-ouest), a annoncé l'Institut de géophysique américain (USGS), la secousse ayant détruit des habitations et fait quelques blessés, selon l'agence Chine nouvelle.

L'épicentre du séisme survenu à 18H06 (10H06 GMT) a été localisé non loin de la ville de Kachgar, cité au riche patrimoine située sur l'ancienne Route de la soie, selon l'USGS.

Les dégâts étaient en cours d'évaluation jeudi soir, a annoncé le porte-parole du Parti communiste du comté de Jiashi, cité par l'agence officielle chinoise.

Le tremblement de terre a été ressenti jusqu'à 450 kilomètres de l'épicentre, selon l'agence Nouvelles de Chine.

Le Xinjiang, vaste région montagneuse et désertique, compte près de 9 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, sur 20 millions d'habitants.

Aride et pauvre, la région est frontalière de huit pays et elle possède, dans le bassin du Tarim, la principale réserve d'hydrocarbures du pays.


Source: ©AFP / 11 août 2011 (14 h 26)

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