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mercredi 25 janvier 2012
12:48
Une forte dépression tropicale affecte les îles Fidji et y a causé d'importantes inondations qui ont fait 2 morts.
La seconde ville de Fidji, Nadi, se trouve sous les eaux, à la suite de fortes précipitations causées par la présence au-dessus de la région d’une zone dépressionnaire qui a aussi touché tout la portion Ouest et Nord de l’île principale Viti Levu.
Depuis lundi matin, la rivière Nadi, mais aussi celles de Ba et de Sigatoka sont sorties de leur lit et de larges portions des trois villes qui tirent le nom de ces cours d’eau se trouvent sous les eaux. De nombreux axes routiers et ponts, submergés, sont fermés à la circulation. À Ba, la rue principale est submergée sous près de deux mètres d’eau.
Alors que les eaux envahissaient la seconde ville de l’archipel, après le début de la crue de la rivière Nadi, le plan d’urgence a été activé. Ce plan comprend notamment l’ouverture de nouveaux centre d’accueil, portant ainsi le total, au niveau national, à plus d’une vingtaine. Ces centres sont pour la plupart des établissements scolaires, qui devaient rouvrir officiellement mardi pour cette rentrée de grandes vacances.
Le nombre de réfugiés à Ba et dans ses environs dépassait lundi soir les 130. À Nadi, Ba, Sigatoka, Ra, Tavua ou encore Raki-raki (Nord de Viti Levu), plusieurs dizaines de famille ont dû être évacuées, avec un appui logistique de la police et de l’armée, ont précisé les autorités, qui demandent aussi une nouvelle fois à la population de se tenir à l’écart des rivières et creeks en crue afin de minimiser les risques liée à la noyade dans ces courants forts.
D’ores et déjà, lundi, la police signalait la disparition d’un homme, présumé emporté par les courants alors qu’il tentait de traverser un cours d’eau en crue en tentant de sauver les cochons de son élevage. Son corps sans vie a été retrouvé lundi à la mi-journée (GMT+12).
Dans la matinée de lundi, de nombreux commerces, entreprises et administrations de Nadi avaient décidé de fermer leurs portes. Le niveau de crue de la rivière Nadi a été mesuré, lundi, à plus de deux mètres au-dessus de sa cote normale.
Par ailleurs, de nombreuses portions des zones concernées sont depuis dimanche privées d’électricité.
D’importants glissements de terrain ont aussi été constatés sur des portions de la route ceinturant Viti Levu, sur le flanc Est. La région de Nadi, qui se trouve dans une cuvette naturelle, est régulièrement frappée par des inondations, dont le coût a été estimé récemment par la branche géosciences SOPAC du Secrétariat Général de la Communauté du Pacifique (CPS) à quelque dix millions de dollars US par an.
La dépression tropicale responsable de ces intempéries, qui charrient non seulement des pluies torrentielles, mais aussi des vents très violents, se trouvait lundi 23 janvier 2012 dans la portion Est de Fidji et se dirigeait progressivement, à une vitesse estimée à 18 kilomètres heure) en empruntant une direction Sud-ouest. Selon le centre régional de prévision de Nadi, la probabilité pour que cette dépression (provisoirement baptisée « TF06F ») se transforme en véritable cyclone est jugée « modérée ».
Source : Tahiti Info
La seconde ville de Fidji, Nadi, se trouve sous les eaux, à la suite de fortes précipitations causées par la présence au-dessus de la région d’une zone dépressionnaire qui a aussi touché tout la portion Ouest et Nord de l’île principale Viti Levu.
Depuis lundi matin, la rivière Nadi, mais aussi celles de Ba et de Sigatoka sont sorties de leur lit et de larges portions des trois villes qui tirent le nom de ces cours d’eau se trouvent sous les eaux. De nombreux axes routiers et ponts, submergés, sont fermés à la circulation. À Ba, la rue principale est submergée sous près de deux mètres d’eau.
Alors que les eaux envahissaient la seconde ville de l’archipel, après le début de la crue de la rivière Nadi, le plan d’urgence a été activé. Ce plan comprend notamment l’ouverture de nouveaux centre d’accueil, portant ainsi le total, au niveau national, à plus d’une vingtaine. Ces centres sont pour la plupart des établissements scolaires, qui devaient rouvrir officiellement mardi pour cette rentrée de grandes vacances.
Le nombre de réfugiés à Ba et dans ses environs dépassait lundi soir les 130. À Nadi, Ba, Sigatoka, Ra, Tavua ou encore Raki-raki (Nord de Viti Levu), plusieurs dizaines de famille ont dû être évacuées, avec un appui logistique de la police et de l’armée, ont précisé les autorités, qui demandent aussi une nouvelle fois à la population de se tenir à l’écart des rivières et creeks en crue afin de minimiser les risques liée à la noyade dans ces courants forts.
D’ores et déjà, lundi, la police signalait la disparition d’un homme, présumé emporté par les courants alors qu’il tentait de traverser un cours d’eau en crue en tentant de sauver les cochons de son élevage. Son corps sans vie a été retrouvé lundi à la mi-journée (GMT+12).
Dans la matinée de lundi, de nombreux commerces, entreprises et administrations de Nadi avaient décidé de fermer leurs portes. Le niveau de crue de la rivière Nadi a été mesuré, lundi, à plus de deux mètres au-dessus de sa cote normale.
Par ailleurs, de nombreuses portions des zones concernées sont depuis dimanche privées d’électricité.
D’importants glissements de terrain ont aussi été constatés sur des portions de la route ceinturant Viti Levu, sur le flanc Est. La région de Nadi, qui se trouve dans une cuvette naturelle, est régulièrement frappée par des inondations, dont le coût a été estimé récemment par la branche géosciences SOPAC du Secrétariat Général de la Communauté du Pacifique (CPS) à quelque dix millions de dollars US par an.
La dépression tropicale responsable de ces intempéries, qui charrient non seulement des pluies torrentielles, mais aussi des vents très violents, se trouvait lundi 23 janvier 2012 dans la portion Est de Fidji et se dirigeait progressivement, à une vitesse estimée à 18 kilomètres heure) en empruntant une direction Sud-ouest. Selon le centre régional de prévision de Nadi, la probabilité pour que cette dépression (provisoirement baptisée « TF06F ») se transforme en véritable cyclone est jugée « modérée ».
Source : Tahiti Info
12:45
Des pluies diluviennes ont provoqué des inondations dans la région de Brisbane (nord-est de l'Australie). Routes submergées, ponts impraticables... Près de 10 000 foyers ont été privés d'électricité et les transports sont très perturbés. Les habitants du nord de Brisbane, troisième ville du pays, ont reçu l'ordre d'évacuer leurs maisons.
Le Service d'urgence de l'Etat du Queensland a reçu près de 300 appels, en majorité pour des dégâts des eaux mineurs, mais les autorités ont exhorté la population à ne pas sortir et à éviter les zones inondées à pied ou en voiture. Une crèche située sur le front de mer a été évacuée et trois personnes piégées dans leur véhicule ont dû se jeter à l'eau, selon les médias locaux.
Dans le Nord de l'Etat voisin de la Nouvelle Galles du Sud, 500 habitants de la ville de Darkwood ont été isolés suite à la crue de la rivière Bellinger. L'unique pont de la ville ont été submergés, 11 routes ont été coupées et plusieurs maisons ont été inondées.
Des inondations dévastatrices et un puissant cyclone, Yasi, avaient frappé le nord-est de l'Australie en janvier et février 2011, faisant une trentaine de morts et occasionnant des dégâts estimés à 6 milliards de dollars australiens (4,8 milliards d'euros). Ces inondations, qui avaient dévasté une zone grande comme la France et l’Allemagne réunies, ont été mises sur le compte du phénomène climatique La Nina.
Source : ABC
Le Service d'urgence de l'Etat du Queensland a reçu près de 300 appels, en majorité pour des dégâts des eaux mineurs, mais les autorités ont exhorté la population à ne pas sortir et à éviter les zones inondées à pied ou en voiture. Une crèche située sur le front de mer a été évacuée et trois personnes piégées dans leur véhicule ont dû se jeter à l'eau, selon les médias locaux.
Dans le Nord de l'Etat voisin de la Nouvelle Galles du Sud, 500 habitants de la ville de Darkwood ont été isolés suite à la crue de la rivière Bellinger. L'unique pont de la ville ont été submergés, 11 routes ont été coupées et plusieurs maisons ont été inondées.
Des inondations dévastatrices et un puissant cyclone, Yasi, avaient frappé le nord-est de l'Australie en janvier et février 2011, faisant une trentaine de morts et occasionnant des dégâts estimés à 6 milliards de dollars australiens (4,8 milliards d'euros). Ces inondations, qui avaient dévasté une zone grande comme la France et l’Allemagne réunies, ont été mises sur le compte du phénomène climatique La Nina.
Source : ABC
00:36
Le Centre de prédiction météo de l’espace (SWPC) a avertit qu’aujourd'hui à 15h00 heure française, une importante tempête solaire atteindrait le champ magnétique de la Terre. Elle nous affectera jusqu’à mercredi matin.
Selon les experts, l'éruption solaire de dimanche dernier a déclenché la plus forte tempête géomagnétique depuis 2005. L'activité des satellites, des communications et des réseaux électriques terrestres pourrait être perturbée.
Information confirmée: La compagnie aérienne Delta Air Line a détourné certains vols en raison de cette tempête solaire en cours
Aujourd'hui la compagnie américaine Delta Air Lines a confirmé avoir détourné certains de ces vols des trajectoires polaires entre la ville de Detroit et l'Asie pour éviter des perturbations de communications issus d'une tempête solaire en cours.
La tempête, considérée comme la plus forte depuis 2005, a causé quelques perturbations de communication mineures sur les avions survolant la région polaire . Des itinéraires plus au sud de leurs trajectoires habituelles ont été ordonné pour "une poignée" de vols qui ont accusé des retards à l'arrivée d'environ 15 minutes en moyenne, a affirmé le porte-parole de la compagnie Mike Trevino
En effet:
Après la survenue d'une éruption solaire dimanche dernier, la planète Terre devrait être bombardée de particules magnétiques jusqu’à mercredi, avec un pic de projections mardi 24 janvier, prévient l’Administration nationale des océans et de l’atmosphère (NOAA) des États-Unis. Le Physicien au centre de prévision météorologique spatiale de la NOAA, Doug Biesecker explique :
L'éruption elle-même n'avait rien de spectaculaire. Mais elle a projeté dans l'espace une masse coronale à la vitesse phénoménale de 6,4 millions de km/h",L’éjection de masse coronale produit un nuage de plasma conçu dans la couronne solaire. Cette "tempête géomagnétique" est un événement, elle a été classé M 8.7 , Elle est donc considérée comme "très forte" mais pas "sévère" selon la NOAA.
Les éruptions solaires de cette robustesse peuvent provoquer de graves perturbations des télécommunications au sol et dans l'espace ainsi que des systèmes de distribution électrique, prévient la NASA. En effet, les systèmes informatiques embarqués à bord de satellites ainsi que dans les communications radio au niveau des pôles risquent d’être brouillés. Autre effet : des aurores boréales autrement dit des phénomènes lumineux, pourront être admirées en Europe et en Asie.
Et pour mieux comprendre le phénomène des éruptions solaires, que vous pouvez suivre en direct sur "Nature Alerte" par le moniteur de surveillance solaire mis à votre disposition dans la colonne de droite, veuillez lire cet article précédent en cliquant sur le lien.
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Selon les experts, l'éruption solaire de dimanche dernier a déclenché la plus forte tempête géomagnétique depuis 2005. L'activité des satellites, des communications et des réseaux électriques terrestres pourrait être perturbée.
Information confirmée: La compagnie aérienne Delta Air Line a détourné certains vols en raison de cette tempête solaire en cours
Aujourd'hui la compagnie américaine Delta Air Lines a confirmé avoir détourné certains de ces vols des trajectoires polaires entre la ville de Detroit et l'Asie pour éviter des perturbations de communications issus d'une tempête solaire en cours.
La tempête, considérée comme la plus forte depuis 2005, a causé quelques perturbations de communication mineures sur les avions survolant la région polaire . Des itinéraires plus au sud de leurs trajectoires habituelles ont été ordonné pour "une poignée" de vols qui ont accusé des retards à l'arrivée d'environ 15 minutes en moyenne, a affirmé le porte-parole de la compagnie Mike Trevino
En effet:
Après la survenue d'une éruption solaire dimanche dernier, la planète Terre devrait être bombardée de particules magnétiques jusqu’à mercredi, avec un pic de projections mardi 24 janvier, prévient l’Administration nationale des océans et de l’atmosphère (NOAA) des États-Unis. Le Physicien au centre de prévision météorologique spatiale de la NOAA, Doug Biesecker explique :
L'éruption elle-même n'avait rien de spectaculaire. Mais elle a projeté dans l'espace une masse coronale à la vitesse phénoménale de 6,4 millions de km/h",L’éjection de masse coronale produit un nuage de plasma conçu dans la couronne solaire. Cette "tempête géomagnétique" est un événement, elle a été classé M 8.7 , Elle est donc considérée comme "très forte" mais pas "sévère" selon la NOAA.
Les éruptions solaires de cette robustesse peuvent provoquer de graves perturbations des télécommunications au sol et dans l'espace ainsi que des systèmes de distribution électrique, prévient la NASA. En effet, les systèmes informatiques embarqués à bord de satellites ainsi que dans les communications radio au niveau des pôles risquent d’être brouillés. Autre effet : des aurores boréales autrement dit des phénomènes lumineux, pourront être admirées en Europe et en Asie.
Et pour mieux comprendre le phénomène des éruptions solaires, que vous pouvez suivre en direct sur "Nature Alerte" par le moniteur de surveillance solaire mis à votre disposition dans la colonne de droite, veuillez lire cet article précédent en cliquant sur le lien.
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mardi 24 janvier 2012
22:10
Les biocarburants, un poids pour le portefeuille des consommateurs (titre l'AFP)
PARIS - La Cour des comptes a pointé mardi les incohérences de la politique publique d'aide aux biocarburants, dont le coût est essentiellement supporté par le consommateur, pour un bilan agricole, écologique et énergétique mitigé.
L'automobiliste sait-il que le gazole qu'il utilise dans sa voiture contient très certainement du biodiésel' Que leur présence réduit le nombre de kilomètres qu'il peut parcourir (...)?, s'est interrogé Didier Migaud, le premier président de la Cour des comptes, lors de la présentation du rapport.
En France, depuis plusieurs années, les biocarburants sont vendus après mélange avec les hydrocarbures. Ils sont distribués pour la circulation automobile sous deux formes, le biodiesel (produit à partir du colza ou du tournesol) en addition au gazole et le bioéthanol (à base de betterave et de céréales) mélangé à l'essence.
Toutefois leur moindre densité énergétique implique un surcroît de consommation pour les automobilistes, qui doivent mettre un peu plus de carburant pour parcourir la même distance, explique la Cour dans son rapport.
A cela s'ajoute un prix de production plus élevé des biocarburants qui est répercuté à la pompe tout comme l'est la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) payée par les distributeurs.
Au total, la présence de bioéthanol dans un plein de 50 litres d'essence représente un surcoût de 2,3 euros pour le consommateur et de 60 centimes pour le biodiesel, a calculé la Cour.
Les consommateurs ont donc déboursé entre 2005 et 2010, près de 3 milliards d'euros de plus pour les biocarburants. En raison de l'incohérence de la politique de l'Etat, le consommateur, in fine, lui paye un nouvel impôt, a déclaré M. Migaud.
- incohérences -
Au cours de son étude, la Cour a en effet noté plusieurs incohérences dont notamment l'incompatibilité entre les objectifs d'incorporation de biocarburants et les exigences européennes de qualité des carburants.
Elle estime donc nécessaire de clarifier les dispositifs, d'envisager un soutien plus modéré à la filière qui a reçu 2,25 milliards d'euros d'aide en 5 ans et de préciser les objectifs pour le citoyen qui a été le financeur de cette politique sans qu'on lui dise.
Ainsi, pour elle, le bilan agricole est mitigé quoique légèrement positif et sur le plan énergétique, le bilan n'est pas aussi favorable qu'on pourrait le croire.
Développés sur les terres en jachère, les biocarburants ont permis la diversification des débouchés de l'agriculture, ce qui a été salutaire pour la betterave, note la Cour, qui précise que selon les professionnels cela a généré 18.000 emplois directs et indirects.
L'essor des biocarburants a par ailleurs, permis de réduire les importations de soja de la France, grâce aux autres produits issus des biocarburants (principalement les tourteaux de colza destiné à la nourriture du bétail).
Concernant la dépendance énergétique de la France, l'impact des biocarburants reste minime puisqu'ils représentent moins de 5% de la consommation de carburant et leur expansion est limitée pour ne pas empiéter davantage sur la surface agricole commune (ils en occupent aujourd'hui 6%).
Quant à la pertinence environnementale, qui est celle la plus immédiatement mise en évidence pour le citoyen, elle est difficile à mesurer et de plus en plus contestée. Selon la Cour, le prix de la tonne de dioxyde de carbone évitée apparaît aujourd'hui très élevé pour les biocarburants.
Source ©AFP
...Vous avez dit famine?...mais non...on vous explique juste pourquoi vous paierez encore plus cher à l'avenir ...c'est tout...l’excédent vous le retrouverez de toute façon dans votre assiette...ben vi autant payer deux fois...
L'arnaque des biocarburants par Khalemvideo
PARIS - La Cour des comptes a pointé mardi les incohérences de la politique publique d'aide aux biocarburants, dont le coût est essentiellement supporté par le consommateur, pour un bilan agricole, écologique et énergétique mitigé.
L'automobiliste sait-il que le gazole qu'il utilise dans sa voiture contient très certainement du biodiésel' Que leur présence réduit le nombre de kilomètres qu'il peut parcourir (...)?, s'est interrogé Didier Migaud, le premier président de la Cour des comptes, lors de la présentation du rapport.
En France, depuis plusieurs années, les biocarburants sont vendus après mélange avec les hydrocarbures. Ils sont distribués pour la circulation automobile sous deux formes, le biodiesel (produit à partir du colza ou du tournesol) en addition au gazole et le bioéthanol (à base de betterave et de céréales) mélangé à l'essence.
Toutefois leur moindre densité énergétique implique un surcroît de consommation pour les automobilistes, qui doivent mettre un peu plus de carburant pour parcourir la même distance, explique la Cour dans son rapport.
A cela s'ajoute un prix de production plus élevé des biocarburants qui est répercuté à la pompe tout comme l'est la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) payée par les distributeurs.
Au total, la présence de bioéthanol dans un plein de 50 litres d'essence représente un surcoût de 2,3 euros pour le consommateur et de 60 centimes pour le biodiesel, a calculé la Cour.
Les consommateurs ont donc déboursé entre 2005 et 2010, près de 3 milliards d'euros de plus pour les biocarburants. En raison de l'incohérence de la politique de l'Etat, le consommateur, in fine, lui paye un nouvel impôt, a déclaré M. Migaud.
- incohérences -
Au cours de son étude, la Cour a en effet noté plusieurs incohérences dont notamment l'incompatibilité entre les objectifs d'incorporation de biocarburants et les exigences européennes de qualité des carburants.
Elle estime donc nécessaire de clarifier les dispositifs, d'envisager un soutien plus modéré à la filière qui a reçu 2,25 milliards d'euros d'aide en 5 ans et de préciser les objectifs pour le citoyen qui a été le financeur de cette politique sans qu'on lui dise.
Ainsi, pour elle, le bilan agricole est mitigé quoique légèrement positif et sur le plan énergétique, le bilan n'est pas aussi favorable qu'on pourrait le croire.
Développés sur les terres en jachère, les biocarburants ont permis la diversification des débouchés de l'agriculture, ce qui a été salutaire pour la betterave, note la Cour, qui précise que selon les professionnels cela a généré 18.000 emplois directs et indirects.
L'essor des biocarburants a par ailleurs, permis de réduire les importations de soja de la France, grâce aux autres produits issus des biocarburants (principalement les tourteaux de colza destiné à la nourriture du bétail).
Concernant la dépendance énergétique de la France, l'impact des biocarburants reste minime puisqu'ils représentent moins de 5% de la consommation de carburant et leur expansion est limitée pour ne pas empiéter davantage sur la surface agricole commune (ils en occupent aujourd'hui 6%).
Quant à la pertinence environnementale, qui est celle la plus immédiatement mise en évidence pour le citoyen, elle est difficile à mesurer et de plus en plus contestée. Selon la Cour, le prix de la tonne de dioxyde de carbone évitée apparaît aujourd'hui très élevé pour les biocarburants.
Source ©AFP
...Vous avez dit famine?...mais non...on vous explique juste pourquoi vous paierez encore plus cher à l'avenir ...c'est tout...l’excédent vous le retrouverez de toute façon dans votre assiette...ben vi autant payer deux fois...
L'arnaque des biocarburants par Khalemvideo
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21:29
USA: au moins 85 dauphins s'échouent dans le nord-est au Cap Cod, les experts sont perplexes
Depuis le 12 janvier dernier, plus de 85 dauphins ont été retrouvés sur quarante kilomètres de côte.un nombre beaucoup plus élevé qu'à l'habitude qui laisse les experts perplexes, a-t-on appris mardi auprès du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW).
Quatre-vingt-cinq dauphins se sont échoués depuis le 12 janvier et ce nombre pourrait monter à 101, car 16 dauphins sont dans des endroits difficiles d'accès et nous n'avons pas encore pu confirmer leur situation, a précisé à l'AFP un porte-parole, A.J. Cady.
Des 85 dauphins retrouvés dans la baie, principalement près des localités de Wellfleet et Eastham, seulement 21 ont survécu et ont pu retrouver le large, avec l'aide des équipes de l'IFAW, a-t-il ajouté.
Personne ne sait vraiment pourquoi ils se sont échoués, a-t-il ajouté.
Selon Katie Moore, responsable de l’équipe de secours pour les mammifères marins à l‘International Fund for Animal Welfare (IFAW), ce phénomène « n’a absolument rien d’ordinaire », tout du moins dans cette intensité.
Comme l’explique le docteur Ian Robinson, qui travaille pour l’IFAW, tous les dauphins ne peuvent être relâchés dans l’océan. Pour ce faire, ils doivent en effet être en bonne condition physique. Celle-ci est évaluée grâce à des tests sanguins que réalise le Fonds.
Les mammifères aptes ont été transportés dans des plages aux eaux plus profondes que celles où ils ont été retrouvés. Avant de les remettre à l’eau, les bénévoles ont pu installer des marqueurs sur les nageoires dorsales de cinq d’entre eux. Ceux-ci permettront de savoir s’ils ont pu survivre après avoir été libérés, mais aussi de connaître leur position. Les sauveteurs espèrent qu’ils pourront rejoindre un banc de dauphins, ce qui est indispensable à leur survie.
« De janvier à février, c’est une période typique pour ce genre d’événements », indique Kerry Branon, l’une des porte-parole de l’IFAW. « Ce type d’ensablement de masse est récurrent et semble être une spécificité de notre région [...] Toutefois, personne ne sait de façon certaine pourquoi ces animaux s’ensablent », complète Mme Moore, selon laquelle « la topographie du cap est néanmoins un facteur probable pour l’expliquer, avec sa forme de crochet, des plages en pente douce ainsi que de vastes étendues de sable et de vasières ». « Les animaux peuvent être désorientés et piégés par des entrées complexes. Les dauphins sont aussi des animaux très sociaux et solidaires pour le meilleur ou le pire », poursuit-elle. Des allégations corroborées par plusieurs scientifiques, qui soulignent que les dauphins ont une mentalité de groupe et que beaucoup d’individus peuvent suivre un seul individu dans des eaux peu profondes. Selon M. Robinson, le vent pourrait aussi avoir une influence en désorientant les espèces.
300 volontaires et 6 membres de l’IFAW vont maintenant continuer à surveiller la côte et intervenir en cas de nouvel ensablement dans les prochains mois. Ils ne peuvent hélas rien faire de mieux.
Mais, a-t-il ajouté, ce nombre est très inhabituel. En général, sur un an, nous intervenons auprès de 120 dauphins, un nombre que nous avons presque atteint en deux semaines.
A ce stade, a-t-il ajouté, il faudra attendre le résultat des examens en cours pour en savoir plus.
Source © AFP
...Décidément tous les labos peinent à nous éclairer....bref encore des mystères et pas de boules de gomme...
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En Nouvelle Zélande c'est quelque 90 dauphins pilotes qui se sont échoués sur une plage
90 globicéphales, communément appelés "dauphins pilotes", ont été retrouvé échoué lundi sur une plage de Farewell Spit, sur la pointe nord de la partie sud de la Nouvelle-Zélande, a rapporté un media local.
Un appel aux bénévoles a été lancé dans la région, afin d'aider le plus rapidement possible un maximum de ces mammifères marins à retrouver la mer, selon le journal local Neslon Mail.
D'après le journal, c'est déjà la troisième fois que ce phénomène se produit. Plutôt dans le mois de janvier, 18 globicéphales avaient été secourus, tandis que 25 avaient été rejetés sur le rivage.
Farewell Spit est une réserve naturelle, formée essentiellement de sable. A la fin du printemps, des dizaines de milliers d'oiseaux migrateurs s'y donnent rendez-vous.
Source © belga
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Depuis le 12 janvier dernier, plus de 85 dauphins ont été retrouvés sur quarante kilomètres de côte.un nombre beaucoup plus élevé qu'à l'habitude qui laisse les experts perplexes, a-t-on appris mardi auprès du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW).
Quatre-vingt-cinq dauphins se sont échoués depuis le 12 janvier et ce nombre pourrait monter à 101, car 16 dauphins sont dans des endroits difficiles d'accès et nous n'avons pas encore pu confirmer leur situation, a précisé à l'AFP un porte-parole, A.J. Cady.
Des 85 dauphins retrouvés dans la baie, principalement près des localités de Wellfleet et Eastham, seulement 21 ont survécu et ont pu retrouver le large, avec l'aide des équipes de l'IFAW, a-t-il ajouté.
Personne ne sait vraiment pourquoi ils se sont échoués, a-t-il ajouté.
Selon Katie Moore, responsable de l’équipe de secours pour les mammifères marins à l‘International Fund for Animal Welfare (IFAW), ce phénomène « n’a absolument rien d’ordinaire », tout du moins dans cette intensité.
Comme l’explique le docteur Ian Robinson, qui travaille pour l’IFAW, tous les dauphins ne peuvent être relâchés dans l’océan. Pour ce faire, ils doivent en effet être en bonne condition physique. Celle-ci est évaluée grâce à des tests sanguins que réalise le Fonds.
Les mammifères aptes ont été transportés dans des plages aux eaux plus profondes que celles où ils ont été retrouvés. Avant de les remettre à l’eau, les bénévoles ont pu installer des marqueurs sur les nageoires dorsales de cinq d’entre eux. Ceux-ci permettront de savoir s’ils ont pu survivre après avoir été libérés, mais aussi de connaître leur position. Les sauveteurs espèrent qu’ils pourront rejoindre un banc de dauphins, ce qui est indispensable à leur survie.
« De janvier à février, c’est une période typique pour ce genre d’événements », indique Kerry Branon, l’une des porte-parole de l’IFAW. « Ce type d’ensablement de masse est récurrent et semble être une spécificité de notre région [...] Toutefois, personne ne sait de façon certaine pourquoi ces animaux s’ensablent », complète Mme Moore, selon laquelle « la topographie du cap est néanmoins un facteur probable pour l’expliquer, avec sa forme de crochet, des plages en pente douce ainsi que de vastes étendues de sable et de vasières ». « Les animaux peuvent être désorientés et piégés par des entrées complexes. Les dauphins sont aussi des animaux très sociaux et solidaires pour le meilleur ou le pire », poursuit-elle. Des allégations corroborées par plusieurs scientifiques, qui soulignent que les dauphins ont une mentalité de groupe et que beaucoup d’individus peuvent suivre un seul individu dans des eaux peu profondes. Selon M. Robinson, le vent pourrait aussi avoir une influence en désorientant les espèces.
300 volontaires et 6 membres de l’IFAW vont maintenant continuer à surveiller la côte et intervenir en cas de nouvel ensablement dans les prochains mois. Ils ne peuvent hélas rien faire de mieux.
Mais, a-t-il ajouté, ce nombre est très inhabituel. En général, sur un an, nous intervenons auprès de 120 dauphins, un nombre que nous avons presque atteint en deux semaines.
A ce stade, a-t-il ajouté, il faudra attendre le résultat des examens en cours pour en savoir plus.
Source © AFP
...Décidément tous les labos peinent à nous éclairer....bref encore des mystères et pas de boules de gomme...
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En Nouvelle Zélande c'est quelque 90 dauphins pilotes qui se sont échoués sur une plage
90 globicéphales, communément appelés "dauphins pilotes", ont été retrouvé échoué lundi sur une plage de Farewell Spit, sur la pointe nord de la partie sud de la Nouvelle-Zélande, a rapporté un media local.
Un appel aux bénévoles a été lancé dans la région, afin d'aider le plus rapidement possible un maximum de ces mammifères marins à retrouver la mer, selon le journal local Neslon Mail.
D'après le journal, c'est déjà la troisième fois que ce phénomène se produit. Plutôt dans le mois de janvier, 18 globicéphales avaient été secourus, tandis que 25 avaient été rejetés sur le rivage.
Farewell Spit est une réserve naturelle, formée essentiellement de sable. A la fin du printemps, des dizaines de milliers d'oiseaux migrateurs s'y donnent rendez-vous.
Source © belga
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21:26
L'année 2011 est la plus chaude enregistrée dans l'Arctique depuis 50 ans, a indiqué mardi le directeur adjoint de l'Institut russe de recherche scientifique pour l'Arctique et l'Antarctique, Alexandre Danilov, cité par l'agence Interfax.
"2011 a été l'année la plus chaude dans l'Arctique depuis 50 ans. L'anomalie en terme de température est de 3 à 4°C", a indiqué le scientifique, sans cependant apporter de précisions.
"Il y a déjà des conséquences visibles de ces changements" en Arctique, a-t-il ajouté, précisant qu'en Antarctique, le réchauffement était en revanche nettement moins marqué.
En août 2011, les services météorologiques russes avaient déjà indiqué que la banquise dans l'Arctique était proche de son niveau minimum de 2007.
En 2011, la température moyenne annuelle de l'air près de la surface de l'océan Arctique était d'environ 1,5 degré Celsius plus élevée que durant la période de 1981 à 2010, selon un rapport publié en décembre par l'Agence nationale océanique et atmosphérique américaine (NOAA).
La Russie a fait du développement de l'Arctique une priorité stratégique, convoitant les larges ressources naturelles de la région et ambitionnant d'ouvrir une nouvelle voie commerciale dans l'Arctique, dont elle aurait le contrôle.
Grâce à la fonte des glaces et au réchauffement climatique, ce passage maritime du Nord permettrait de rejoindre plus rapidement et plus facilement l'Europe et l'Asie.
Source © AFP
"2011 a été l'année la plus chaude dans l'Arctique depuis 50 ans. L'anomalie en terme de température est de 3 à 4°C", a indiqué le scientifique, sans cependant apporter de précisions.
"Il y a déjà des conséquences visibles de ces changements" en Arctique, a-t-il ajouté, précisant qu'en Antarctique, le réchauffement était en revanche nettement moins marqué.
En août 2011, les services météorologiques russes avaient déjà indiqué que la banquise dans l'Arctique était proche de son niveau minimum de 2007.
En 2011, la température moyenne annuelle de l'air près de la surface de l'océan Arctique était d'environ 1,5 degré Celsius plus élevée que durant la période de 1981 à 2010, selon un rapport publié en décembre par l'Agence nationale océanique et atmosphérique américaine (NOAA).
La Russie a fait du développement de l'Arctique une priorité stratégique, convoitant les larges ressources naturelles de la région et ambitionnant d'ouvrir une nouvelle voie commerciale dans l'Arctique, dont elle aurait le contrôle.
Grâce à la fonte des glaces et au réchauffement climatique, ce passage maritime du Nord permettrait de rejoindre plus rapidement et plus facilement l'Europe et l'Asie.
Source © AFP
21:15
Vingt-cinq personnes vivant à proximité de l'usine Aprochim de Grez-en-Bouère (Mayenne) vont faire l'objet d'analyse de sang, pour vérifier la présence d'une éventuelle contamination aux PCB, a-t-on appris mardi auprès de l'Agence régionale de santé des Pays de la Loire.
Les analyses visent à déterminer les taux d'imprégnation pour quatre type de molécules, PCB indicateurs, PCB dioxine-like, dioxines et furanes, a précisé un responsable mayennais de l'ARS.
Les résultats ne seront connus qu'à la mi-mars, selon la même source.
Les 25 personnes ont été choisies parmi la trentaine de riverains qui s'étaient portés volontaires pour se faire tester.
Il s'agit de personnes habitant dans les exploitations agricoles mises sous séquestre suite à la découverte de PCB sur leurs terres, ou habitant à moins de 500 mètres de l'usine. Seule une personne par famille pourra se faire tester.
Les prises de sang auront lieu à partir de samedi jusqu'au 4 février, les personnes testées étant invitées à se rendre dans un laboratoire dans la petite ville proche de Château-Gontier.
L'organisation de cette campagne d'analyse était réclamée par des riverains inquiets de la pollution aux PCB constatée aux alentours de l'usine.
L'usine Aprochim, spécialisée dans le traitement de déchets contaminés, conteste sa responsabilité dans la pollution aux PCB constatée sur les terres environnantes et sur des animaux d'élevage.
Une information judiciaire a été ouverte fin 2011 pour mise en danger de la vie d'autrui et pollution à la suite de deux plaintes avec constitution de partie civile déposées par des riverains.
Source ©AFP
Les analyses visent à déterminer les taux d'imprégnation pour quatre type de molécules, PCB indicateurs, PCB dioxine-like, dioxines et furanes, a précisé un responsable mayennais de l'ARS.
Les résultats ne seront connus qu'à la mi-mars, selon la même source.
Les 25 personnes ont été choisies parmi la trentaine de riverains qui s'étaient portés volontaires pour se faire tester.
Il s'agit de personnes habitant dans les exploitations agricoles mises sous séquestre suite à la découverte de PCB sur leurs terres, ou habitant à moins de 500 mètres de l'usine. Seule une personne par famille pourra se faire tester.
Les prises de sang auront lieu à partir de samedi jusqu'au 4 février, les personnes testées étant invitées à se rendre dans un laboratoire dans la petite ville proche de Château-Gontier.
L'organisation de cette campagne d'analyse était réclamée par des riverains inquiets de la pollution aux PCB constatée aux alentours de l'usine.
L'usine Aprochim, spécialisée dans le traitement de déchets contaminés, conteste sa responsabilité dans la pollution aux PCB constatée sur les terres environnantes et sur des animaux d'élevage.
Une information judiciaire a été ouverte fin 2011 pour mise en danger de la vie d'autrui et pollution à la suite de deux plaintes avec constitution de partie civile déposées par des riverains.
Source ©AFP
21:07
Un taux de tritium bien supérieur à la normale a été détecté dans la nappe phréatique sous la centrale de Civaux.
Un prélèvement effectué vendredi 13 janvier a révélé une concentration en tritium , particule radioactive, de 540 becquerel par litre d'eau dans la nappe phréatique située sous la Centrale, alors que la normale devrait être de 8 becquerel par litre. L'origine de la fuite de tritium a été identifiée jeudi 19.
Le tritium est un élément radioactif proche de l'hydrogène produit lors de l'exploitation des centrales nucléaires, stocké dans de grands réservoirs sur les sites avant d'être rejeté après contrôle.
Comme l'hydrogène, le tritium gazeux est difficile à stocker à température ambiante. De nombreux matériaux apparemment étanches, dont la plupart des aciers, sont poreux pour le tritium (car c'est une molécule très petite).
Selon le communiqué de la Centrale de Civaux, la fuite a été provoquée par la mauvaise étanchéité d'un robinet d'un réservoir de stockage. EDF précise que l'eau de cette nappe ne communique pas avec les autres et qu'elle n'est utilisée ni pour l'eau potable ni pour l'agriculture. Et que les analyses effectuées dans la Vienne n'ont pas mesuré de présence de tritium. L'entreprise assure que cette concentration en tritium représente l'équivalent de la radioactivité naturelle intégrée par une personne séjournant pendant un mois dans une ville comme Briançon, à 1500 mètres d'altitude.
La source de l'écoulement du liquide ayant été repérée, des travaux pour le stopper ont commencé vendredi, assurent les représentants de la centrale.
La Préfecture de la Vienne a été alertée ainsi que la Commission Locale d'Information et de Surveillance et l'Agence de Sûreté Nucléaire.
Source AFP
Un prélèvement effectué vendredi 13 janvier a révélé une concentration en tritium , particule radioactive, de 540 becquerel par litre d'eau dans la nappe phréatique située sous la Centrale, alors que la normale devrait être de 8 becquerel par litre. L'origine de la fuite de tritium a été identifiée jeudi 19.
Le tritium est un élément radioactif proche de l'hydrogène produit lors de l'exploitation des centrales nucléaires, stocké dans de grands réservoirs sur les sites avant d'être rejeté après contrôle.
Comme l'hydrogène, le tritium gazeux est difficile à stocker à température ambiante. De nombreux matériaux apparemment étanches, dont la plupart des aciers, sont poreux pour le tritium (car c'est une molécule très petite).
Selon le communiqué de la Centrale de Civaux, la fuite a été provoquée par la mauvaise étanchéité d'un robinet d'un réservoir de stockage. EDF précise que l'eau de cette nappe ne communique pas avec les autres et qu'elle n'est utilisée ni pour l'eau potable ni pour l'agriculture. Et que les analyses effectuées dans la Vienne n'ont pas mesuré de présence de tritium. L'entreprise assure que cette concentration en tritium représente l'équivalent de la radioactivité naturelle intégrée par une personne séjournant pendant un mois dans une ville comme Briançon, à 1500 mètres d'altitude.
La source de l'écoulement du liquide ayant été repérée, des travaux pour le stopper ont commencé vendredi, assurent les représentants de la centrale.
La Préfecture de la Vienne a été alertée ainsi que la Commission Locale d'Information et de Surveillance et l'Agence de Sûreté Nucléaire.
Source AFP
vendredi 13 janvier 2012
19:40
le commerce des pesticides illégaux se développe partout en Europe, des agriculteurs sans scrupule continuent de s'approvisionner auprès des commerçants de poisons.
C'est ainsi que des substances interdites en raisons de leurs effets néfastes sur la santé, atterrissent sur les tomates, les fruits ou la salade. De nombreux échantillons prélevés sur des produits alimentaires par Greenpeace ou par les autorités de contrôle, montrent toujours la présence de pesticides illégaux malgré leur interdiction depuis de nombreuses années.
Mais aujourd'hui c'est l'organisation de coopération policière Europol qui a mis en garde vendredi contre la montée de ce commerce des pesticides contrefaits et illégaux, qui peuvent être aussi utilisés plus facilement que les pesticides légaux pour fabriquer des explosifs.
Europol a identifié une montée du commerce des pesticides illégaux et contrefaits, a indiqué l'organisation, qui siège à La Haye, dans un communiqué, précisant que ce trafic rapporte aux organisations criminelles plusieurs milliards d'euros par an. (...ça en fait des bombes....ndlr N/A)
Il est assez facile de fabriquer des explosifs avec des pesticides, c'est pourquoi leur vente dans le circuit légal est contrôlée de très près, afin que nous puissions voir facilement lorsqu'il y a un achat suspect, a expliqué à l'AFP Soren Pedersen, un porte-parole d'Europol.
Or, souligne celui-ci, la vente des pesticides illégaux et contrefaits ne fait l'objet d'aucun contrôle : il y a un risque donc qu'ils soient utilisés pour fabriquer des explosifs car il est plus difficile de remarquer des achats suspects dans le circuit criminel.
Dans certains pays de l'Union européenne, plus d'un quart des pesticides en circulation sont contrefaits ou illégaux, a souligné Europol, ajoutant que le Nord-est de l'Europe est particulièrement touché par ce trafic.
Europol a en outre assuré dans son communiqué que les pesticides contrefaits utilisés dans l'agriculture menacent la santé des fermiers et des consommateurs, et posent un risque pour l'environnement.
Le manque d'harmonisation de la législation dans les différents pays d'Europe et une marge exceptionnelle font du trafic de pesticides contrefaits et illégaux un secteur à croissance rapide du crime organisé, selon la même source.
Source ©AFP
C'est ainsi que des substances interdites en raisons de leurs effets néfastes sur la santé, atterrissent sur les tomates, les fruits ou la salade. De nombreux échantillons prélevés sur des produits alimentaires par Greenpeace ou par les autorités de contrôle, montrent toujours la présence de pesticides illégaux malgré leur interdiction depuis de nombreuses années.
Mais aujourd'hui c'est l'organisation de coopération policière Europol qui a mis en garde vendredi contre la montée de ce commerce des pesticides contrefaits et illégaux, qui peuvent être aussi utilisés plus facilement que les pesticides légaux pour fabriquer des explosifs.
Europol a identifié une montée du commerce des pesticides illégaux et contrefaits, a indiqué l'organisation, qui siège à La Haye, dans un communiqué, précisant que ce trafic rapporte aux organisations criminelles plusieurs milliards d'euros par an. (...ça en fait des bombes....ndlr N/A)
Il est assez facile de fabriquer des explosifs avec des pesticides, c'est pourquoi leur vente dans le circuit légal est contrôlée de très près, afin que nous puissions voir facilement lorsqu'il y a un achat suspect, a expliqué à l'AFP Soren Pedersen, un porte-parole d'Europol.
Or, souligne celui-ci, la vente des pesticides illégaux et contrefaits ne fait l'objet d'aucun contrôle : il y a un risque donc qu'ils soient utilisés pour fabriquer des explosifs car il est plus difficile de remarquer des achats suspects dans le circuit criminel.
Dans certains pays de l'Union européenne, plus d'un quart des pesticides en circulation sont contrefaits ou illégaux, a souligné Europol, ajoutant que le Nord-est de l'Europe est particulièrement touché par ce trafic.
Europol a en outre assuré dans son communiqué que les pesticides contrefaits utilisés dans l'agriculture menacent la santé des fermiers et des consommateurs, et posent un risque pour l'environnement.
Le manque d'harmonisation de la législation dans les différents pays d'Europe et une marge exceptionnelle font du trafic de pesticides contrefaits et illégaux un secteur à croissance rapide du crime organisé, selon la même source.
Source ©AFP
19:20
La dernière version de la liste rouge de l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) révèle qu'une myriade de facteurs perturbe les populations d'amphibiens dans le monde entier.
Parmi les 6260 espèces d'amphibiens évaluées, on estime qu’environ le tiers sont menacées d’extinction ou seront éteintes en 2030. 38 espèces sont considérées comme éteintes. 2697 espèces ne sont pas considérées comme menacées à l’heure actuelle et 1533 espèces sont listées comme ayant des données insuffisantes.
Le professeur Carsten Rahbek du Centre de macroécologie, de l'évolution et du climat (CMEC) à l'université de Copenhague et son équipe ont identifié plusieurs facteurs mettant la diversité des amphibiens à risque, mais font remarquer que la distribution spatiale de ces menaces et interactions sont méconnues. Le changement climatique, les changements au niveau de l'affectation des sols et la chytridiomycose, une maladie fongique, sont quelques-unes des principales menaces auxquelles sont confrontés les amphibiens.
Les chercheurs postulent que les plus grandes proportions des espèces négativement affectées par le changement climatique, la menace la plus grave, se trouvent en Afrique, dans des régions du nord de l'Amérique du Sud et dans les Andes.
Leurs données montrent également que le déclin des amphibiens s'accélèrera probablement au XXIème siècle, en raison des multiples moteurs d'extinction qui pourraient menacer les populations davantage par rapport aux estimations antérieures, selon plusieurs évaluations monocausales.
L'auteur principal, Christian Hof du CMEC, et du département de biodiversité et de biologie évolutive du musée national de sciences naturelles en Espagne, et ses collègues ont évalué la distribution géographique de ces menaces en relation avec la distribution globale des amphibiens.
«Les régions où le climat et les changements d'affectation des sols ont le plus grand impact sur les amphibiens ont tendance à se recouper», explique le Dr Hof. «Par contre, la menace posée par la maladie fongique montre très peu de recoupement avec les autres menaces.»
La probabilité que la majorité des régions riches en espèces dans le monde soient exposées à au moins une menace, par rapport aux régions moins riches en espèces animales, est plus élevée.
«Notre étude montre que plus de deux tiers des régions mondiales de diversité des amphibiens seront fortement affectées par au moins une des trois menaces étudiées», commente Miguel Araújo du Conseil espagnol de recherche (CSIC), l'un des auteurs de l'étude.
En ce qui concerne le recoupage des facteurs de risque, l'équipe suggère que les évaluations de risque basées sur une seule menace seraient trop optimistes.
«Nos évaluations montrent que les déclins des amphibiens devraient s'accélérer dans les prochaines décennies, étant donné que plusieurs facteurs mettent en danger ces populations, contrairement à ce que les évaluations monocausales antérieures avaient démontré», commente le professeur Rahbek.
Commentant les résultats de l'étude, le co-auteur, Walter Jetz de l'université de Yale explique:
«Avec plus de 30% de toutes les espèces d'amphibiens déjà repris comme étant menacées par l'UICN et les nombreuses autres espèces rares découvertes chaque années, nos résultats mettent en évidence le besoin de recherche et d'actions pour la conservation plus fortes pour ce groupe très menacé.»
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Parmi les 6260 espèces d'amphibiens évaluées, on estime qu’environ le tiers sont menacées d’extinction ou seront éteintes en 2030. 38 espèces sont considérées comme éteintes. 2697 espèces ne sont pas considérées comme menacées à l’heure actuelle et 1533 espèces sont listées comme ayant des données insuffisantes.
Le professeur Carsten Rahbek du Centre de macroécologie, de l'évolution et du climat (CMEC) à l'université de Copenhague et son équipe ont identifié plusieurs facteurs mettant la diversité des amphibiens à risque, mais font remarquer que la distribution spatiale de ces menaces et interactions sont méconnues. Le changement climatique, les changements au niveau de l'affectation des sols et la chytridiomycose, une maladie fongique, sont quelques-unes des principales menaces auxquelles sont confrontés les amphibiens.
Les chercheurs postulent que les plus grandes proportions des espèces négativement affectées par le changement climatique, la menace la plus grave, se trouvent en Afrique, dans des régions du nord de l'Amérique du Sud et dans les Andes.
Leurs données montrent également que le déclin des amphibiens s'accélèrera probablement au XXIème siècle, en raison des multiples moteurs d'extinction qui pourraient menacer les populations davantage par rapport aux estimations antérieures, selon plusieurs évaluations monocausales.
L'auteur principal, Christian Hof du CMEC, et du département de biodiversité et de biologie évolutive du musée national de sciences naturelles en Espagne, et ses collègues ont évalué la distribution géographique de ces menaces en relation avec la distribution globale des amphibiens.
«Les régions où le climat et les changements d'affectation des sols ont le plus grand impact sur les amphibiens ont tendance à se recouper», explique le Dr Hof. «Par contre, la menace posée par la maladie fongique montre très peu de recoupement avec les autres menaces.»
La probabilité que la majorité des régions riches en espèces dans le monde soient exposées à au moins une menace, par rapport aux régions moins riches en espèces animales, est plus élevée.
«Notre étude montre que plus de deux tiers des régions mondiales de diversité des amphibiens seront fortement affectées par au moins une des trois menaces étudiées», commente Miguel Araújo du Conseil espagnol de recherche (CSIC), l'un des auteurs de l'étude.
En ce qui concerne le recoupage des facteurs de risque, l'équipe suggère que les évaluations de risque basées sur une seule menace seraient trop optimistes.
«Nos évaluations montrent que les déclins des amphibiens devraient s'accélérer dans les prochaines décennies, étant donné que plusieurs facteurs mettent en danger ces populations, contrairement à ce que les évaluations monocausales antérieures avaient démontré», commente le professeur Rahbek.
Commentant les résultats de l'étude, le co-auteur, Walter Jetz de l'université de Yale explique:
«Avec plus de 30% de toutes les espèces d'amphibiens déjà repris comme étant menacées par l'UICN et les nombreuses autres espèces rares découvertes chaque années, nos résultats mettent en évidence le besoin de recherche et d'actions pour la conservation plus fortes pour ce groupe très menacé.»
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18:43
Plus d'une centaine de bébés phoques se sont échoués sur la côte du nord des Pays-Bas à la suite des récentes tempêtes et ont été recueillis dans un centre d'accueil pour phoques à Pieterburen (nord des Pays-Bas), a-t-on appris vendredi auprès de celui-ci.
Ces dix derniers jours, suite aux tempêtes, nous avons secouru plus de cent phoques qui s'étaient échoués, ce qui porte à 365 le nombre de phoques dans le centre, a déclaré à l'AFP Lenie t'Hart, la directrice de l'établissement qui recueille environ 150 phoques par an
Cette affluence est due aux tempêtes qui viennent de sévir au nord des Pays-Bas mais aussi à la pression que subissent les phoques des Pays-Bas.
Ces deux ou trois dernières années, nous avons vu de plus en plus de phoques s'échouer, trop faibles pour subvenir à leurs besoins, souligne Mme t'Hart.
C'est le résultat de la surpêche commerciale autant que de la pollution : les phoques tombent malades après avoir avalé des poissons contenant des produits toxiques, explique-t-elle.
Les phoques âgés de moins d'un an sont les plus vulnérables. Ces bébés mangent des petits poissons mais même dans les zone protégées, ils ne trouvent plus de nourriture car il n'y a plus de petits poissons, précise-t-elle.
Quand un nouveau-né arrive à la crèche, il est lavé et réhydraté avant de recevoir une purée de harengs. Les petits phoques sont ensuite placés dans des bassins spécifiques afin de recouvrer leurs forces.
Les phoques séjournent en moyenne trois mois au centre, le temps de recouvrer suffisamment de force pour être relâchés dans la mer des Wadden.
Inscrite partiellement au patrimoine mondial de l'Unesco en 2009, cette mer est composée de barrières de sable naturelles qui protègent une mer peu profonde, et borde les côtes allemandes et néerlandaises.
Source ©AFP
Ces dix derniers jours, suite aux tempêtes, nous avons secouru plus de cent phoques qui s'étaient échoués, ce qui porte à 365 le nombre de phoques dans le centre, a déclaré à l'AFP Lenie t'Hart, la directrice de l'établissement qui recueille environ 150 phoques par an
Cette affluence est due aux tempêtes qui viennent de sévir au nord des Pays-Bas mais aussi à la pression que subissent les phoques des Pays-Bas.
Ces deux ou trois dernières années, nous avons vu de plus en plus de phoques s'échouer, trop faibles pour subvenir à leurs besoins, souligne Mme t'Hart.
C'est le résultat de la surpêche commerciale autant que de la pollution : les phoques tombent malades après avoir avalé des poissons contenant des produits toxiques, explique-t-elle.
Les phoques âgés de moins d'un an sont les plus vulnérables. Ces bébés mangent des petits poissons mais même dans les zone protégées, ils ne trouvent plus de nourriture car il n'y a plus de petits poissons, précise-t-elle.
Quand un nouveau-né arrive à la crèche, il est lavé et réhydraté avant de recevoir une purée de harengs. Les petits phoques sont ensuite placés dans des bassins spécifiques afin de recouvrer leurs forces.
Les phoques séjournent en moyenne trois mois au centre, le temps de recouvrer suffisamment de force pour être relâchés dans la mer des Wadden.
Inscrite partiellement au patrimoine mondial de l'Unesco en 2009, cette mer est composée de barrières de sable naturelles qui protègent une mer peu profonde, et borde les côtes allemandes et néerlandaises.
Source ©AFP
17:36
Le « grand nettoyage » se poursuit à Environnement Canada, où une soixantaine d'employés répartis à travers le pays viennent d'apprendre que leurs services ne seront plus requis. Le groupe visé comprend des ingénieurs principaux, des agents de la conformité environnementale, des biologistes climatologues et d'autres professionnels.
Leur syndicat, l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), dénonce ces nouvelles mesures de compressions, d'autant plus que ces employés exercent des fonctions essentielles telles que l'analyse de la pollution, le contrôle de la qualité de l'eau et la recherche climatologique.
« Malgré ses belles paroles sur la protection des intérêts de tous les Canadiens, le gouvernement continue de cibler les ministères à vocation scientifique, notre première ligne de défense en matière de protection de l'environnement et de santé des citoyens. C'est ce qu'il appelle rationaliser la fonction publique. Toutefois, ses priorités et ses actions montrent clairement qu'il subordonne la protection des Canadiens à des considérations financières », a déploré Gary Corbett, le président de l'IPFPC.
Il rappelle qu'en raison des importantes compressions budgétaires effectuées à Environnement Canada en 2011, de nombreux postes sont restés vacants, des programmes clés n'ont pas été renouvelés alors que d'autres, comme le Programme de réglementation de la qualité de l'air, ont été renouvelés avec un financement fortement réduit.
« Les Canadiens ont parfaitement le droit de demander à leur gouvernement en quoi le relâchement de la surveillance réglementaire des industries clés, de la protection environnementale et la réduction du nombre de professionnels de la fonction publique indépendants, chargés de veiller à leur santé et à leur bien-être, peuvent améliorer le Canada », souligne le président Corbett.
Ces mises en disponibilité ne font pas partie de la réduction de 5 ou 10 % des effectifs exigée par le gouvernement Harper dans le cadre de l'Examen stratégique et fonctionnel. De passage dans l'Ouest canadien, cette semaine, le ministre des Finances Jim Flaherty a indiqué que certains ministères pourraient connaître des compressions plus élevées.
Leur syndicat, l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), dénonce ces nouvelles mesures de compressions, d'autant plus que ces employés exercent des fonctions essentielles telles que l'analyse de la pollution, le contrôle de la qualité de l'eau et la recherche climatologique.
« Malgré ses belles paroles sur la protection des intérêts de tous les Canadiens, le gouvernement continue de cibler les ministères à vocation scientifique, notre première ligne de défense en matière de protection de l'environnement et de santé des citoyens. C'est ce qu'il appelle rationaliser la fonction publique. Toutefois, ses priorités et ses actions montrent clairement qu'il subordonne la protection des Canadiens à des considérations financières », a déploré Gary Corbett, le président de l'IPFPC.
Il rappelle qu'en raison des importantes compressions budgétaires effectuées à Environnement Canada en 2011, de nombreux postes sont restés vacants, des programmes clés n'ont pas été renouvelés alors que d'autres, comme le Programme de réglementation de la qualité de l'air, ont été renouvelés avec un financement fortement réduit.
« Les Canadiens ont parfaitement le droit de demander à leur gouvernement en quoi le relâchement de la surveillance réglementaire des industries clés, de la protection environnementale et la réduction du nombre de professionnels de la fonction publique indépendants, chargés de veiller à leur santé et à leur bien-être, peuvent améliorer le Canada », souligne le président Corbett.
Ces mises en disponibilité ne font pas partie de la réduction de 5 ou 10 % des effectifs exigée par le gouvernement Harper dans le cadre de l'Examen stratégique et fonctionnel. De passage dans l'Ouest canadien, cette semaine, le ministre des Finances Jim Flaherty a indiqué que certains ministères pourraient connaître des compressions plus élevées.
16:36
A l'occasion du deuxième anniversaire du tremblement de terre du 12 janvier 2010 en Haïti, le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a tenu à honorer la mémoire des plus de 200.000 personnes qui ont péri lors du séisme, dont les 102 membres du personnel des Nations Unies, et a appelé la communauté internationale à continuer de soutenir la reconstruction du pays.
« Le Secrétaire général rend hommage au Gouvernement et au peuple haïtiens qui ont accompli d'importants progrès dans la reconstruction de leur pays », a dit son porte-parole dans une déclaration à la presse publiée mercredi soir.
« En dépit des avancées considérables déjà réalisées, y compris dans le domaine du déblaiement des décombres et de la relocalisation des personnes déplacées, de nombreux Haïtiens ont toujours besoin d'assistance internationale. Le Secrétaire général appelle donc la communauté internationale à maintenir son appui qui demeure vital au pays », a-t-il ajouté.
Le Secrétaire général s'est entretenu mercredi par téléphone avec le Président haïtien Michel Martelly et a réaffirmé l'engagement soutenu des Nations Unies d'accompagner le Gouvernement et le peuple haïtiens vers un avenir de sécurité et de prospérité.
« Alors qu'Haïti passe d'une phase de crise à une phase de reconstruction et de développement, le Secrétaire général a réitéré au Président le soutien de Nations Unies qui sont prêtes à renforcer leur partenariat avec le pays pour assurer un appui et un financement adéquats pour les priorités d'Haïti », a dit son porte-parole.
Lors d’une cérémonie jeudi dans la capitale haïtienne Port-au-Prince, le Sous-secrétaire général à l’appui aux missions, Anthony Banbury, a lu un message de Ban Ki-moon.
« Tout comme les Haïtiens eux-mêmes, nous avons perdu des collègues, des amis et des parents, et avec eux, nous nous sommes acharnés à surmonter cette tragédie et à rebâtir ce qui a été détruit », a dit le Secrétaire général dans ce message.
« Aujourd’hui, je tiens à vous remercier et à vous saluer. Je souhaiterais pouvoir être physiquement parmi vous. Ce serait pour moi un honneur, à l’occasion de cet anniversaire triste, mais stimulant, de serrer la main de chacun et chacune d’entre vous en signe de reconnaissance pour les nobles services que vous rendez », a-t-il ajouté en s’adressant au personnel de l’ONU travaillant en Haïti.
Le chef de l’ONU a rappelé qu’un très grand nombre de fonctionnaires internationaux sont restés sur place durant ces deux années difficiles. « Notre personnel local remarquable offre la meilleure image du partenariat que nous avons noué avec le peuple haïtien pour l’aider à traverser cette période éprouvante », a-t-il souligné.
« Grâce à votre concours, un plus grand nombre de personnes ont pu quitter les camps et reconstruire leurs maisons. Les décombres ont été déblayés. Les enfants sont à l’école. Davantage de gens bénéficient de soins de santé et ont accès à une eau salubre », a-t-il martelé.
Les agences humanitaires de l’ONU continuent de fournir une aide décisive aux populations haïtiennes. Le Programme alimentaire mondial (PAM) distribue chaque mois une aide alimentaire à plus de 1,5 million de personnes. Environ 1,1 million d’enfants reçoivent des repas dans plus de 3.000 écoles sur l’ensemble du pays.
« Le programme de repas des écoles du PAM permet de construire les fondations pour l’avenir d’Haïti en aidant les écoliers à mieux apprendre et à grandir en bonne santé », a déclaré la Représentante du PAM en Haïti, Myrta Kaulard. « Les mères et les jeunes enfants constituent notre priorité et la nutrition est la clé pour une vie meilleure pour la prochaine génération ».
De son côté, la chef de l'organe de l'ONU chargé de la Stratégie internationale de prévention des catastrophes (ONUSIPC), Margareta Wahlström, a estimé dans un communiqué que « la résilience du peuple haïtien ces deux dernières années a été héroïque alors que la population cherche à relever le pays ».
Pour Mme Wahlström, beaucoup reste encore à faire, mais la tragédie a aussi permis « de créer une meilleure compréhension de l’importance de la réduction des catastrophes dans un contexte d’urbanisation rapide, de risque sismique, de croissance démographique et de pauvreté généralisée ».
Source: ONU
...Néanmoins la colère monte, 500 000 haïtiens vivent toujours sous des abris de fortune et les besoins en aide d'urgence sont toujours criant...il y a 2 jour la population a manifesté dans les rues avec une grande dignité, pour afficher son mécontentement...
« Le Secrétaire général rend hommage au Gouvernement et au peuple haïtiens qui ont accompli d'importants progrès dans la reconstruction de leur pays », a dit son porte-parole dans une déclaration à la presse publiée mercredi soir.
« En dépit des avancées considérables déjà réalisées, y compris dans le domaine du déblaiement des décombres et de la relocalisation des personnes déplacées, de nombreux Haïtiens ont toujours besoin d'assistance internationale. Le Secrétaire général appelle donc la communauté internationale à maintenir son appui qui demeure vital au pays », a-t-il ajouté.
Le Secrétaire général s'est entretenu mercredi par téléphone avec le Président haïtien Michel Martelly et a réaffirmé l'engagement soutenu des Nations Unies d'accompagner le Gouvernement et le peuple haïtiens vers un avenir de sécurité et de prospérité.
« Alors qu'Haïti passe d'une phase de crise à une phase de reconstruction et de développement, le Secrétaire général a réitéré au Président le soutien de Nations Unies qui sont prêtes à renforcer leur partenariat avec le pays pour assurer un appui et un financement adéquats pour les priorités d'Haïti », a dit son porte-parole.
Lors d’une cérémonie jeudi dans la capitale haïtienne Port-au-Prince, le Sous-secrétaire général à l’appui aux missions, Anthony Banbury, a lu un message de Ban Ki-moon.
« Tout comme les Haïtiens eux-mêmes, nous avons perdu des collègues, des amis et des parents, et avec eux, nous nous sommes acharnés à surmonter cette tragédie et à rebâtir ce qui a été détruit », a dit le Secrétaire général dans ce message.
« Aujourd’hui, je tiens à vous remercier et à vous saluer. Je souhaiterais pouvoir être physiquement parmi vous. Ce serait pour moi un honneur, à l’occasion de cet anniversaire triste, mais stimulant, de serrer la main de chacun et chacune d’entre vous en signe de reconnaissance pour les nobles services que vous rendez », a-t-il ajouté en s’adressant au personnel de l’ONU travaillant en Haïti.
Le chef de l’ONU a rappelé qu’un très grand nombre de fonctionnaires internationaux sont restés sur place durant ces deux années difficiles. « Notre personnel local remarquable offre la meilleure image du partenariat que nous avons noué avec le peuple haïtien pour l’aider à traverser cette période éprouvante », a-t-il souligné.
« Grâce à votre concours, un plus grand nombre de personnes ont pu quitter les camps et reconstruire leurs maisons. Les décombres ont été déblayés. Les enfants sont à l’école. Davantage de gens bénéficient de soins de santé et ont accès à une eau salubre », a-t-il martelé.
Les agences humanitaires de l’ONU continuent de fournir une aide décisive aux populations haïtiennes. Le Programme alimentaire mondial (PAM) distribue chaque mois une aide alimentaire à plus de 1,5 million de personnes. Environ 1,1 million d’enfants reçoivent des repas dans plus de 3.000 écoles sur l’ensemble du pays.
« Le programme de repas des écoles du PAM permet de construire les fondations pour l’avenir d’Haïti en aidant les écoliers à mieux apprendre et à grandir en bonne santé », a déclaré la Représentante du PAM en Haïti, Myrta Kaulard. « Les mères et les jeunes enfants constituent notre priorité et la nutrition est la clé pour une vie meilleure pour la prochaine génération ».
De son côté, la chef de l'organe de l'ONU chargé de la Stratégie internationale de prévention des catastrophes (ONUSIPC), Margareta Wahlström, a estimé dans un communiqué que « la résilience du peuple haïtien ces deux dernières années a été héroïque alors que la population cherche à relever le pays ».
Pour Mme Wahlström, beaucoup reste encore à faire, mais la tragédie a aussi permis « de créer une meilleure compréhension de l’importance de la réduction des catastrophes dans un contexte d’urbanisation rapide, de risque sismique, de croissance démographique et de pauvreté généralisée ».
Source: ONU
...Néanmoins la colère monte, 500 000 haïtiens vivent toujours sous des abris de fortune et les besoins en aide d'urgence sont toujours criant...il y a 2 jour la population a manifesté dans les rues avec une grande dignité, pour afficher son mécontentement...
16:20
Une centaine de baleines bélugas qui s'étaient retrouvées prisonnières des glaces en Tchoukotka (Extrême-orient russe) mi-décembre ont pu rejoindre la mer ouverte grâce à une tempête qui a brisé la banquise, a indiqué vendredi à l'AFP l'agence du Transport fluvial et maritime.
Des vents forts ont provoqué la formation d'une large fissure dans la glace ce qui a permis aux bélougas de rejoindre la mer ouverte, a expliqué une porte-parole de cette agence, précisant que les autorités locales avaient indiqué fin décembre que l'envoi d'un brise-glace sur les lieux pour sauver les baleines n'était plus nécessaire.
Mi-décembre, les autorités de Tchoukotka avaient demandé au gouvernement russe d'envoyer un remorqueur brise-glace pour libérer ces baleines qui risquaient de mourir de faim et d'épuisement.
Ce navire n'avait pas pu s'approcher de la zone où se trouvaient ces baleines à cause de la houle et de vents trop forts en mer de Béring (face à l'Alaska) mais ces mauvaises conditions météorologiques ont finalement permis aux bélougas de se sauver.
La baleine béluga ou bélouga est un cétacé protégé vivant dans les mers froides de l'Extrême Orient russe, ainsi qu'en mer Blanche et en mer de Barents, des dépendances de l'océan Arctique, au nord-ouest de la Russie.
L'espace vital de ces mammifères, qui peuvent mesurer jusqu'à six mètres et peser deux tonnes, est menacé par l'industrie pétrolière, le réchauffement climatique et la chasse, selon les ONG de défense des animaux.
Des baleines sont régulièrement prisonnières des glaces dans l'Arctique, mais rarement en tel nombre.
Le cas le plus célèbre remonte à 1988 lorsque trois baleines grises ont été piégées par la banquise, au Nord de l'Alaska.
L'une est morte d'épuisement mais les deux autres avaient pu être sauvées au terme d'une exceptionnelle mobilisation de volontaires et des médias, grâce aussi à une coopération américano-soviétique exemplaire, à cette époque de guerre froide.
Ce sont des brises-glaces venus d'URSS qui avaient finalement libéré les cétacés piégés dans les eaux américaines.
Source ©AFP
Des vents forts ont provoqué la formation d'une large fissure dans la glace ce qui a permis aux bélougas de rejoindre la mer ouverte, a expliqué une porte-parole de cette agence, précisant que les autorités locales avaient indiqué fin décembre que l'envoi d'un brise-glace sur les lieux pour sauver les baleines n'était plus nécessaire.
Mi-décembre, les autorités de Tchoukotka avaient demandé au gouvernement russe d'envoyer un remorqueur brise-glace pour libérer ces baleines qui risquaient de mourir de faim et d'épuisement.
Ce navire n'avait pas pu s'approcher de la zone où se trouvaient ces baleines à cause de la houle et de vents trop forts en mer de Béring (face à l'Alaska) mais ces mauvaises conditions météorologiques ont finalement permis aux bélougas de se sauver.
La baleine béluga ou bélouga est un cétacé protégé vivant dans les mers froides de l'Extrême Orient russe, ainsi qu'en mer Blanche et en mer de Barents, des dépendances de l'océan Arctique, au nord-ouest de la Russie.
L'espace vital de ces mammifères, qui peuvent mesurer jusqu'à six mètres et peser deux tonnes, est menacé par l'industrie pétrolière, le réchauffement climatique et la chasse, selon les ONG de défense des animaux.
Des baleines sont régulièrement prisonnières des glaces dans l'Arctique, mais rarement en tel nombre.
Le cas le plus célèbre remonte à 1988 lorsque trois baleines grises ont été piégées par la banquise, au Nord de l'Alaska.
L'une est morte d'épuisement mais les deux autres avaient pu être sauvées au terme d'une exceptionnelle mobilisation de volontaires et des médias, grâce aussi à une coopération américano-soviétique exemplaire, à cette époque de guerre froide.
Ce sont des brises-glaces venus d'URSS qui avaient finalement libéré les cétacés piégés dans les eaux américaines.
Source ©AFP
13:31
Était-ce réellement une tornade, mardi soir, dans le ciel de Mordelles, près de Rennes, en Ille-et-Vilaine ? Un météorologue explique comment ce phénomène a pu se produire.
Une formation nuageuse semblable à une tornade
Ce phénomène étrange est plutôt rare. Il a été observé et photographié, mardi soir, par Nicolas, un habitant de Mordelles. Intrigués, nous avons questionné Frédéric Decker, météorologue à MétéoNews. Il nous raconte ce qui s’est réellement passé.
« Tout d’abord, j’avoue avoir d’abord pensé à un montage photo, mais avec les diverses photos et les témoignages, cette éventualité n’était plus à l’ordre du jour. On constate autour de la base nuageuse une couche uniforme de stratocumulus, nuages typiques sous des conditions anticycloniques. »
Pas de formation de tornade
Le météorologue nous explique que mardi, la situation météo était dominée par « un anticyclone à 1037 hPa dans une atmosphère calme sans contrastes thermiques. De telles conditions interdisent totalement la formation d’une tornade .
Il semblerait que l’on ait affaire à une anomalie « positive de température locale, sans doute artificielle (zone surchauffée, usine, etc.) puisque cette formation nuageuse a été d’abord photographiée dans une petite zone industrielle avant de progresser en campagne ».
Cas assez atypique
Ce type de phénomène est donc « relativement courant, mais le cas de mardi était, il est vrai, assez atypique. Évidemment, ce phénomène esthétique ne présente aucun danger ».
Dans certaines conditions météo particulières, « des tornades sont possibles en Bretagne : il faut beaucoup d’air chaud en surface, beaucoup d’air froid en altitude, d’importants cisaillements de vent (vent de directions opposées entre le sol et l’altitude) et surtout la présence d’une cellule orageuse très active (seul un cumulonimbus, nuage d’orage, peut créer une tornade). »
Source: Ouest france
...c'est bien connu, la formation des tornades ça devient possible un peu partout maintenant, ben vi...
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Une formation nuageuse semblable à une tornade
Ce phénomène étrange est plutôt rare. Il a été observé et photographié, mardi soir, par Nicolas, un habitant de Mordelles. Intrigués, nous avons questionné Frédéric Decker, météorologue à MétéoNews. Il nous raconte ce qui s’est réellement passé.
« Tout d’abord, j’avoue avoir d’abord pensé à un montage photo, mais avec les diverses photos et les témoignages, cette éventualité n’était plus à l’ordre du jour. On constate autour de la base nuageuse une couche uniforme de stratocumulus, nuages typiques sous des conditions anticycloniques. »
Pas de formation de tornade
Le météorologue nous explique que mardi, la situation météo était dominée par « un anticyclone à 1037 hPa dans une atmosphère calme sans contrastes thermiques. De telles conditions interdisent totalement la formation d’une tornade .
Il semblerait que l’on ait affaire à une anomalie « positive de température locale, sans doute artificielle (zone surchauffée, usine, etc.) puisque cette formation nuageuse a été d’abord photographiée dans une petite zone industrielle avant de progresser en campagne ».
Cas assez atypique
Ce type de phénomène est donc « relativement courant, mais le cas de mardi était, il est vrai, assez atypique. Évidemment, ce phénomène esthétique ne présente aucun danger ».
Dans certaines conditions météo particulières, « des tornades sont possibles en Bretagne : il faut beaucoup d’air chaud en surface, beaucoup d’air froid en altitude, d’importants cisaillements de vent (vent de directions opposées entre le sol et l’altitude) et surtout la présence d’une cellule orageuse très active (seul un cumulonimbus, nuage d’orage, peut créer une tornade). »
Source: Ouest france
...c'est bien connu, la formation des tornades ça devient possible un peu partout maintenant, ben vi...
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