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lundi 19 mars 2012
22 degrés Celsius, un 18 mars, à Montréal. Record battu. Ainsi qu’un peu partout au Québec. Et si seulement ce n’était qu’au Québec.

Les climatologues ont beau répéter qu’il ne faut pas confondre météo à court terme et climat à long terme, il est difficile de ne pas se laisser impressionner par une carte de l’Amérique du Nord (voir ci-dessous) remplie aux deux tiers de points rouges: la centaine d’endroits où des records de chaleur ont été égalisés ou battus en une seule journée, le 14 mars, elle-même typique de cette série de journées inhabituelles de la mi-mars:

À Montréal, le record de 22 degrés du 18 mars battait le précédent qui était de.... 14 degrés.

À Ottawa, les 22 degrés du 18 mars battent aussi un record de 16 degrés... remontant à 1966.

À Winnipeg, les 19 degrés du 17 mars battent les 12 degrés de 1938.

À Chicago, du 14 au 17 mars, quatre journées consécutives de plus de 80 Fahrenheit (24 C), du jamais vu en mars.

À Bismark, Dakota du Nord, 25 degrés le 16 mars, une température qui n’a été atteinte que trois fois dans tous les mois de mars... depuis plus d’un siècle! Et la normale là-bas à ce moment-ci de l’année est de... 4 degrés, tout comme à Montréal.

Aux États-Unis, PBS Newshour recense 101 records battus le 14 mars, de la côte Atlantique jusqu’au Kansas en passant par le pourtour des Grands Lacs. Les plus impressionnants: Rochester, Minnesota, 21 degrés, un record de 1910. Et Kansas City, 25 degrés, un record de 1935.

«Surréaliste», résume le météorologue du Weather Channel américain, Stu Ostro. Du jamais vu en 30 ans de carrière, résume son homologue André Cantin, d’Environnement Canada.

Si l’explication immédiate de ce phénomène insolite est à chercher du côté d’une zone de haute pression glissant progressivement du Midwest des États-Unis jusqu’au Québec en se maintenant très constante, les experts s’entendent pour reconnaître que ça fait beaucoup de phénomènes météorologiques insolites pour les dernières années.

Chose certaine, qu’elles soient liées ou non au réchauffement planétaire, ces anomalies vont contribuer à faire pencher encore plus la balance vers les records de chaleur: une recension parue en 2009 révélait qu’aux États-Unis, au cours des années 2000, les records de chaleur étaient devenus deux fois plus nombreux que les records de froid. Dans une situation normale, les deux devraient s’équivaloir.

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Mais c'est aussi le grand froid là où on ne l'attendait pas

Neige jusqu'à la frontière mexicaine sur l'ouest !

A contrario, sur la façade orientale du continent américain, c'est un temps hivernal, anormalement froid et neigeux, qui s'est mis en place. Une dépression centrée sur le Dakota du Nord véhicule un flux de nord glacial, et la neige tombe en abondance sur un axe allant du Montana au Nouveau-Mexique. Des congères sont même observées par endroit.

La circulation a été totalement coupée hier dans l'Arizona, où il est tombé jusqu'à 40 cm de neige dès les premières hauteurs. Des flocons ont même été observés jusqu'à la frontière mexicaine, à des latitudes très méridionales. Même en hiver, ces régions sont bien moins touchées par le neige que le nord-est des USA.

L'amélioration sera progressive sur ces régions, surtout effective à partir de demain soir. Des chutes de neige sont tout de même attendues sur les montagnes du nord-ouest du Mexique (Sierra Madre Occidentale), ce qui est exceptionnel en Mars.

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Et aussi des tornades.... deux dans la seule journée d'hier au Nebraska

....Et violents orages à partir de demain, nouvel outbreak (tornades) possible

A partir de mardi, de l'air plus frais va s'infiltrer par le nord et une perturbation très dynamique prendra naissance dans les Grandes Plaines. De violents orages et un nouveau risque de tornades (outbreak) est envisagé sur l'Oklahoma et le Texas. Cette situation potentiellement dangereuse persistera sur le même axe jusqu'à jeudi, avant de se décaler peu à peu vers l'est en toute fin de semaine.

Il faut noter que les Etats-Unis ont déjà été confrontés depuis la fin janvier à plusieurs épisodes tornadiques majeurs qui ont causé de nombreux dégâts et fait de nombreuses victimes. Cette fois, les tornades seront sans doute moins généralisées que lors de l'épisode de début Mars, mais le risque plus durable dans le temps.

Bref Crazy...vous dis je...


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Carte des records de température aux USA le 14/03/2012



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"Plus de 500 éléphants" ont été abattus dans le parc national de Bouba Ndjidda (nord du Cameroun) depuis janvier par des braconniers soudanais et tchadiens, a affirmé aujourd'hui le gestionnaire du centre touristique de cette réserve, contestant les chiffres des autorités.

"Nous (responsables et agents du parc) sommes tous unanimes à penser qu'il y a plus de 500 éléphants abattus", a affirmé Paul Bour, directeur du centre touristique du parc.

"De surcroît, il y a des pisteurs villageois qui rapportent que les braconniers leur ont dit avoir tenue une comptabilité à 650 (le nombre de pachydermes tués). Ce chiffre me paraît plausible", a-t-il insisté.

"Il y aurait moyen de connaître le nombre exact d'éléphants tués si l'administration voulait s'en donner les moyens, mais manifestement il y a une volonté de minimiser l'ampleur des massacres", a-t-il poursuivi. Le gouvernement avait fait état de "128 éléphants" abattus tandis que la direction du parc parle de "plus 480".

"Au niveau du parc, la situation semble s'être un peu calmé. Ce qu'on sait c'est que les braconniers se sont déportés vers le sud-est du parc en direction de la frontière avec la Centrafrique et le Tchad", a rapporté M. Bour, de retour du parc.

"Ces braconniers)ont fait preuve de témérité qui m'inciterait à la prudence. Ils ont une organisation très militaire. Ils sont très bien équipés. Ils seraient parfaitement capables d'oser un coup de main ou une réaction militaire face aux forces camerounaises" a-t-il estimé.

Un soldat camerounais a été tué le 8 mars, ce qui porterait à au moins trois le nombre de morts (deux militaires et un braconnier) depuis le déploiement de l'armée début mars, selon des informations ni confirmées ni infirmées par les autorités.

"Le retard du gouvernement camerounais à agir dans le parc de Bouba Ndjidda a été très critiqué. Les forces (militaires) sont arrivées trop tard pour sauver la plupart des éléphants du parc et en trop petit nombre pour dissuader les braconniers", a affirmé jeudi Natasha Kofoworola Quist, représentante de World Wildlife fund (WWF) pour l'Afrique centrale.

Source Le Figaro
Le marsouin aptère du Yangtsé est en voie d'extinction

Le marsouin aptère du fleuve Yangtsé, un marsouin dépourvu d'aileron dorsal en voie d'extinction, pourrait complètement disparaître d'ici 15 ans si aucune mesure de préservation efficace n'est adoptée, en raison de la surpêche et de la pollution, a averti lundi Zhu Zuoyan, académicien de l'Académie des sciences de Chine et conseiller politique.

Le nombre de ces mammifères a baissé de 6,3% en moyenne chaque année, et la population actuelle est d'environ 1 000 individus, a précisé M. Zhu, en marge de la session annuelle du Comité national de la Conférence consultative politique du Peuple chinois (CCPPC).

Outre la pollution et la surpêche, les grands projets hydrauliques et l'augmentation de la navigation sur le fleuve menacent aussi cette espèce, a-t-il ajouté.

Lors de la session, M. Zhu a soumis une proposition sur l'élargissement d'une zone de préservation dans la province du Hubei (centre-sud) pour mieux protéger le marsouin aptère.

Source: xinhua



Découverte d'une nappe de pollution près de l'épave d'un navire de RC en mer de Chine méridionale

Une nappe de pollution marron a été découverte à proximité du lieu où un bateau de République de Corée (RC) transportant des produits chimiques a coulé mardi, au large de la province du Guangdong (sud), selon un communiqué publié jeudi par le Bureau national des affaires océaniques.

Selon un communiqué publié jeudi par l'AOE, "une nappe de pétrole rousse" couvrant entre cinq et six kilomètres carrés a été repérée à la surface de la mer, au sud-ouest du site du naufrage. Cette nappe contenait une grande quantité de substances pétrolières, indiquant une fuite en provenance du vaisseau.

Le Kenosathena, immatriculé en RC, transportait 7 000 tonnes d'acide sulfurique concentré lorsqu'il a fait naufrage mardi vers 16H30, après que de l'eau eut envahi sa citerne de ballast, à 4,1 miles nautiques des côtes de la ville de Shanwei, indique le communiqué.

Quatre stations d'observation ont été mises en place autour de la zone pour tester le PH de l'eau. Les résultats des tests menés dans trois stations montrent que le PH y était légèrement inférieur à 8,0, contre un taux de 8,15 enregistré en novembre 2010. Il n'est cependant pas établi que cette différence soit causée par la fuite d'acide sulfurique dans l'eau.

En tenant compte des courants océaniques, les polluants auraient formé une zone ovale et se déplaceraient vers l'ouest, affirme le communiqué.

Source Agence de presse Xinhua 2012/03/16

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Le fameux volcan sicilien Etna, un des plus actifs au monde, s'est réveillé dans la nuit dernière.

Une colonne de cendres volcaniques haute de plus de 7 kms s’élève au-dessus du volcan.

Des coulées de lave émanent d’un nouveau cratère qui s’est formé sur la pente Sud-Est du mont.

La population n’est pas menacée, le fonctionnement de l’aéroport de Catane n’a pas été perturbé, affirment les services de sécurité de la région.

Les pentes d’Etna sont couvertes de 400 cratères actifs. Tous les trois mois, le volcan entre en éruption. Depuis le début de 2012, c’est le quatrième réveil d’Etna.

source AFP



Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) a émis une alerte vendredi concernant la région africaine du Sahel où plus d'un million d'enfants âgés de moins de cinq ans font face à une catastrophe dans le contexte de la crise alimentaire qui sévit dans la région.

Une estimation de l'UNICEF fait état de 15 millions de personnes qui risquent de faire face à l'insécurité alimentaire dans les pays du Sahel, dont 5,4 millions au Niger, trois millions au Mali, 1,7 million au Burkina Faso et 3,6 millions au Tchad, ainsi que plusieurs centaines de milliers au Sénégal, en Gambie et en Mauritanie.

L'UNICEF s'inquiète du fait que la saison sèche approche dans les pays affectés et s'attend à voir une plus grande affluence dans les centres de nutrition thérapeutiques.

« Une catastrophe multiple menace les enfants du Sahel », a déclaré le Directeur régional de l'agence, David Gressly.

Plus d'un million d'enfants âgés de moins de cinq ans sont menacés.

« Des conditions plus extrêmes pourraient faire grimper ce chiffre à plus d'un million et demi, et les fonds n'arrivent toujours pas dans en quantités suffisantes pour nous permettre de nous préparer correctement », a-t-il ajouté.

A ce jour, l'UNICEF a reçu 24 millions de dollars sur les 119 millions demandées dans l'appel d'urgence pour 2012.

L'ONU et ses partenaires apportent un soutien aux victimes de la crise alimentaire au Sahel qui est due à un manque de précipitation et des mauvaises récoltes.

Le conflit entre des forces gouvernementales et des rebelles touaregs au nord du Mali a déplacé un grand nombre de personnes et cela a aggravé la crise alimentaire dans toute la région.

« L'intensification des combats au Mali et l'insécurité au nord du Nigéria et ailleurs, compliquent l'opération de distribution d'aide. Sans une aide humanitaire adéquate, et des efforts concentrés pour réduire les risques au moyen terme, nous risquons de voir toute une génération tomber dans la dépendance et la pauvreté », a indiqué M. Gressly.

Source UNICEF

Interdiction temporaire du maïs OGM: une mesure fragile et tardive

Tandis que la Commission européenne n'envisage pas de prendre des mesures d'urgence dans le dossier des cultures OGM, Bruno Le Maire a décidé de son coté de prendre une mesure conservatoire visant à interdire temporairement la culture de Mon 810 en France.

L'organisation écologiste Greenpeace a qualifié vendredi de fragile et tardive la décision du gouvernement d'interdire temporairement la culture du maïs transgénique Monsanto (MON810) après l'annulation, en novembre dernier, de la suspension, en vigueur depuis 2008.

Cette décision tardive et fragile n'a peut-être pas empêché la semaille d'OGM en France au cours des semaines passées, dit-elle dans un communiqué.

Depuis novembre et jusqu'à aujourd'hui, tout agriculteur désirant semer du maïs OGM en avait légalement le droit.

Personne ne peut donc garantir que certains exploitants français favorables aux OGM n'aient profité de la période du début des semailles pour semer du maïs OGM, estime l'ONG écologiste, en appelant à la vigilance citoyenne.


Par ailleurs, la mesure conservatoire décidée par le gouvernement français apparaît comme bien fragile au regard de la décision prise la Cour européenne de Justice d'annuler le moratoire de février 2008, ajoute Greenpeace, qui s'interroge: Combien de temps durera le montage juridique de la France?

Le Conseil d'Etat avait annulé fin novembre la suspension de culture du maïs OGM de Monsanto prise par le gouvernement français en février 2008 et remise en cause en septembre dernier par la Cour de justice européenne.

Le 20 février, le gouvernement a demandé une nouvelle fois à la Commision européenne de suspendre l'autorisation de mise en culture du maïs OGM MON810, en s'appuyant sur de nouvelles études scientifiques.

Les apiculteurs de l'Union nationale de l'Apiculture française (Unaf) ont salué l'annonce du gouvernement tout en s'inquiétant, eux aussi, des semis possiblement réalisés.

Cette nouvelle intervient alors que, selon plusieurs informations, des semis de maïs ont déjà commencé dans certaines régions, les conditions météo étant au rendez-vous, écrit le syndicat dans un communiqué.

Il est donc possible que quelques semis marginaux de maïs MON810 aient été réalisés avant l'entrée en vigueur de l'interdiction. Quel statut juridique sera accordé à ces semis?, questionne l'Unaf, pour qui les OGM sont incompatibles avec la santé de l'abeille et la pratique de l'apiculture.

Source ©AFP



Et pendant ce temps là en Afrique du Sud le maïs génétiquement modifié devient la norme: 72% des plantations de maïs en Afrique du Sud sont OGM.

Selon des recherches effectuées par le scientifique Kalaus Amann, le maïs génétiquement modifié occupe désormais 72% des surfaces plantées de maïs en Afrique du Sud.


Les plantations de maïs génétiquement modifié en Afrique du Sud ne sont pas nouvelles. On modifie génétiquement une semence de maïs afin, par exemple, de la rendre plus résistante aux insectes nuisibles ou à la sécheresse. Parfois aussi pour multiplier le nombre de grains sur un épi. Kalaus Ammann, un scientifique biotechnique indépendant a rendu publiques ses conclusions à ce sujet le 9 mars. Il a annoncé:

En 2011, la surface couverte par le maïs modifié en Afrique du Sud a augmenté pour la 14ème année consécutive. Elle atteint désormais 2,3 millions d’hectares.

Les champs de maïs modifié ont augmenté de 100 000 hectares pour la seconde année consécutive. Désormais, ils atteignent 72% du total du maïs commercialement exploité en Afrique du Sud. Le maïs OGM n’est pas le seul à être concerné par cette multiplication des surfaces.

Les plantations de soja OGM ont aussi augmenté. Une augmentation de 20%, passant de 390 000 ha en 2010 à environ 450 000 ha pour répondre à une demande accrue.


Amann déclare qu’une étude du Maize Trust montre qu’environ 12 millions d’hectares de mais “biotech”, jaune mais aussi blanc, ont été planté en Afrique du Sud entre 2001 et 2010. Cela représente une récolte de 40 millions de tonnes de grains. 40 millions de tonnes consommées, d’une manière ou d’une autre, en un an, par 40 millions de Sud Africains, 800 millions de poulets, 1,4 millions de bovins, et 3 millions de cochons.

Amann prévoit aussi de beaux jours pour les récoltes génétiquement modifiées. Entre 2012 et 2015, les plantations vont se multiplier dans le monde.

Environ 10 pays pourraient adopter les semences modifiées pour la première fois. 3 en Asie et 7 en Afrique sub-saharienne.

On ignore si les aliments génétiquement modifiés vont avoir des répercussions sur la santé des hommes à long terme.

Source moneyweb.co.za
"Les gouvernements des pays de l'OCDE n'ont dans l'ensemble guère progressé dans la réduction de la pollution de l'eau d'origine agricole au cours de ces dix dernières années", souligne l'OCDE dans un rapport publié le 12 mars.

Pourtant, les actions engagées dans ces pays pour réduire les pollutions agricoles coûtent chaque année des milliards de dollars aux contribuables, auxquels il faut ajouter le coût pour la société et l'environnement.

L'OCDE demande donc davantage d'efficacité dans les politiques mises en place, d'autant plus que "la hausse du prix des matières premières observée ces dernières années – une tendance qui selon l'OCDE et la FAO devrait se poursuivre au cours de la décennie à venir – a favorisé l'intensification de la production, augmentant les risques de pollution de l'eau".

L'OCDE recommande aux gouvernements de faire respecter la réglementation et les normes de qualité de l'eau existantes et de supprimer les aides à l'agriculture liées à la production et aux intrants, pour atténuer la pression exercée sur les systèmes aquatiques.

En 2008, environ 50 % de la totalité du soutien dispensé aux producteurs agricoles dans les pays de l'OCDE incitaient ces derniers à utiliser des intrants.

L'organisation préconise également l'adoption du principe pollueur-payeur et la mise en place d'objectifs et de normes de qualité de l'eau réalistes en agriculture.

Des instruments diversifiés doivent également être mis en œuvre, tels que des échanges de crédits de qualité de l'eau ou des accords entre les compagnies des eaux et les agriculteurs pour réduire la pollution et les coûts de traitement de l'eau.

Source Afp


...Un danger pour l'eau mais pas que...il y a aussi l'état des sols...ouh et là aussi c'est pas beau...

....et pourtant il existe des solutions...


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Alerte de l'AIE: si les émissions de CO2 ne sont pas réduites d'ici cinq ans, le monde devra faire face à de dangereux bouleversements.

Réputée pour ne pas être alarmiste et parfois critiquée pour son excès d'optimisme, l'Agence Internationale de l'Energie (AIE) a annoncé que si des mesures concrètes ne sont pas prises d'ici cinq ans, le monde se retrouvera prisonnier des sources d'énergie à forte émission de gaz à effet de serre, ces dernières faisant passer les températures par-delà la barre des 2°C Celsius supplémentaires, une donnée considérée par de nombreux scientifiques et représentants officiels comme faisant état d'une "sécurité" relative.

"Comme les années passent et qu'aucun signal clair n'a été émis en vue de susciter les investissements dans les énergies propres, notre enfermement dans les infrastructures à fortes émissions rend plus difficile et plus coûteuse l'atteinte de notre sécurité énergétique ainsi que de nos objectifs en matière de climat." explique Fatih Birol, économiste en chef de l'AIE.

L'AIE a annoncé que si nous continuons à agir comme si de rien n'était, les infrastructures existantes, et leur dépendance aux énergies polluantes et contre-productives, ne laisseront aux sociétés aucune marge de manœuvre pour freiner le changement climatique.

Actuellement, les infrastructures existantes et celles en cours de construction "verrouillent" déjà 80% des émissions futures. Bien entendu, ce scénario présuppose que les gouvernements refuseront d'abandonner les sources d'énergie à fortes émissions de gaz à effet de serre, et ce, même après l'aggravation des impacts du changement climatique.

L'AIE prévoit que la production de charbon pourrait grimper de 65% d'ici 2035, et que le prix du pétrole atteindra près de 150 dollars le baril.

Néanmoins, l'agence prévoit qu'en 2035 les subventions dédiées au financement des énergies renouvelables seront multipliées par quatre jusqu'à atteindre 250 milliards de dollars par an.

Un peu plus loin, elle avertit que délaisser l'énergie nucléaire, suite au désastre de Fukushima, rendra le combat contre le changement climatique plus difficile et plus coûteux.


" La prospérité, ainsi que la croissance économique et démographique, feront inévitablement augmenter les besoins énergétiques ces dix prochaines années. Néanmoins, nous ne pouvons continuer à nous reposer sur une utilisation précaire et non durable de l'énergie" dit Maria Van der Hoeven, directrice exécutive de l'AIE.

"Les gouvernements doivent présenter des mesures plus fortes en vue d'engendrer les investissements dans des technologies efficaces et pauvres en émissions de CO2. L'accident nucléaire de Fukushima, les crises dans certaines parties du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord, ainsi qu'une forte hausse de la demande en énergie en 2010 qui a conduit les émissions de CO2 à un niveau record, soulignent l'urgence et l'importance du défi à relever.

Le rapport de l'AIE est dans la droite ligne des recherches actuelles. Une étude publiée dans la revue Nature le mois dernier démontre que les émissions connaîtront un pic dans moins d'une décennie, et qu'elles diminueront ensuite rapidement si le monde arrive à éviter une augmentation des températures de plus de 2°C Celsius.

Malgré la répétition de ce type d'avertissement, les différentes nations sont lentes et ambigües quant à la prise en compte sérieuse du changement climatique.

Source © Jeremy Hance, mongabay.com


Le rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Ocde) révèle que 3,9 milliards de personnes risquent de vivre un stress hydrique d’ici à 2050, si l’on ne change pas le mode de gestion de l’eau.


Les prévisions sur la disponibilité en eau se suivent et se ressemblent. Le nouveau rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (Ocde), intitulé « Meeting the water reforme challenge », n’apporte pas de nouvelles qui rassurent.

Les auteurs sont formels. Pour éviter à la planète une grave détérioration qualitative et quantitative de ses ressources en eau, « il est urgent de réformer la façon dont l’eau est gérée », préviennent les rédacteurs du rapport. Les scénarii sont alarmants.


Le monde comptera plus d’habitants qui n’auront pas accès à cette ressource vitale, « alors que les projections tablent sur une augmentation de 55 % de la demande d’eau d’ici à 2050 ; celle-ci donnera lieu à une vive concurrence.

D’ici là, 3,9 milliards de personnes, soit plus de 40 % de la population mondiale, vivront vraisemblablement dans des bassins hydrographiques confrontés à un fort stress hydrique », renseigne le rapport.

Pollution des cours d’eau

Les statistiques indiquent que plus de 240 millions de personnes vivant majoritairement dans des zones rurales n’auront pas accès à une source d’eau améliorée d’ici à 2050 et près de 1,4 milliard de personnes resteront privées d’accès à un assainissement de base.

Plus grave, l’humanité vit une pollution inquiétante des réserves d’eaux de surface ou souterraines. « L’augmentation des apports d’azote, de phosphore et de pesticides d’origine agricole ainsi que des rejets d’eaux usées insuffisamment traitées amplifieront la pollution des eaux souterraines, des cours d’eau et des océans. Ce qui aura des effets dommageables sur la santé humaine et l’environnement », avertissent les scientifiques.

En réalité, l’accroissement de la population mondiale et l’augmentation des surfaces irriguées, l’urbanisation galopante, la pollution des sources d’eau exposent l’humanité à des « conséquences sanitaires, comme la recrudescence des maladies hydriques ». Cette rareté aura également des impacts négatifs sur l’agriculture.

Pour prévenir l’humanité de ce désastre, il est plus que nécessaire, pour les gouvernements et les personnes, « de développer des stratégies ou des attitudes d’économie d’eau ». Le secrétaire général de l’Organisation, Angel Gurría, part plus loin dans la proposition de solutions d’atténuation des conséquences. «Faute d’une modification en profondeur des politiques, nous nous exposons à des coûts élevés sur le plan de la croissance économique, de la santé humaine et de l’environnement », prévient-il.

En revanche, soutient le secrétaire général, un financement pérenne, une gouvernance efficace et des politiques cohérentes peuvent permettre aux gouvernements de mettre à profit le potentiel de l’eau. Des instruments économiques, tels que les tarifications, taxes et transferts, les « 3T », sont des « outils puissants qui aident à assurer une utilisation efficace de l’eau ».



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France 2 diffusera le mardi 20 mars à 20h35 le documentaire inédit «La soif du monde» (90’), un film de Yann Arthus-Bertrand dans le cadre du 6e Forum Mondial de l’Eau. Le documentaire sera projeté dans plus de 60 pays le 22 mars 2012 à l’occasion de la Journée mondiale de l’eau (World Water Day - United Nations)


vendredi 16 mars 2012
Du pétrole a recommencé à s'échapper du plancher océanique brésilien, près d'un puits en haute mer appartenant à Chevron, qui avait déjà déversé au moins 416 000 litres de pétrole dans l'océan l'an dernier, ont affirmé les autorités brésiliennes jeudi.

L'ampleur la nouvelle fuite, qui est toujours en cours, est inconnue pour le moment, a indiqué une porte-parole de l'Agence nationale du pétrole (ANP). Elle a précisé que la fuite avait été détectée parce qu'une nappe de pétrole est apparue à la surface de l'océan.

Le pétrole ne provient pas du puits puisque celui-ci a été scellé et semble plutôt provenir de fissures sur le plancher océanique autour du puits, a dit la porte-parole, qui a réclamé l'anonymat parce qu'elle n'était pas autorisée à discuter de ce dossier publiquement.

Cette nouvelle fuite représente un défi supplémentaire pour extraire le pétrole des gisements en haute mer découverts au cours des dernières années au large du Brésil. Les experts estiment qu'au moins 50 milliards de barils se cachent au large des côtes brésiliennes, la plus importante découverte du genre en Amérique latine depuis 30 ans.

Dans un communiqué, l'ANP a déclaré qu'elle imposerait une amende d'un montant non précisé à Chevron pour avoir échoué à empêcher une nouvelle fuite autour du puits. L'entreprise a déjà reçu des amendes de plus de 100 millions de dollars US pour la fuite précédente.

L'an dernier, l'ANP a interdit à Chevron de poursuivre ses activités de forage au Brésil en attendant les résultats de l'enquête sur la fuite.

Chevron a confirmé dans un communiqué qu'il y avait «une nouvelle petite fuite» et que ses experts s'affairaient à collecter le pétrole à la surface de l'océan.

Le lieu de la fuite se situe à environ 370 kilomètres au large du nord-est de l'État de Rio de Janeiro.

Source Associated Press
Ce sont des chercheurs belges de l'Institut de Médecine Tropicale et du Centre d'Etudes et de Recherche Vétérinaires et Agrochimiques qui sont arrivés les premiers à démontrer comment le virus de la langue bleue a pu se transmettre entre les animaux.

La propagation du virus serait causée par une mouche de la famille des Ceratopogonidea.

Le virus de Schmallenberg a été découvert en novembre 2011 en Allemagne dans des échantillons de boeufs et de moutons. Le virus, qui provoque des malformations chez les ovins et les bovins, s'est propagé aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, en France, en Grande-Bretagne, en Italie ainsi qu'en Espagne.

Plus de 800 élevages sont touchés en Allemagne.

En Belgique, le virus affecterait plus de 200 élevages de bétail et touche principalement les moutons, annonce le site de l'Agence fédérale pour la protection de la chaîne alimentaire (Afsca).

Il n'existe actuellement ni vaccin ni remède contre le virus, qui n'est pas dangereux pour l'homme.

Source © Belga
PARIS - Les niveaux de particules fines sont particulièrement élevés dans l'air en Ile-de-France depuis lundi et le seuil d'alerte a été dépassé jeudi, a indiqué vendredi AirParif dans un communiqué.

Selon l'organisme de surveillance de la qualité de l'air dans la région, la prévision de l'indice pour la journée de vendredi était de 9 (sur 10), soit une qualité mauvaise. L'indice 1 est très bon, l'indice 10 est très mauvais. Les niveaux réels sont connus au lendemain du jour dit, puisqu'il s'agit d'une moyenne sur la journée, selon les indications fournies par Airparif à l'AFP.

L'épisode de pollution pourrait se prolonger samedi, mais avec des niveaux en baisse, avec l'arrivée de perturbations et de la pluie en fin de journée.

La pollution de cette semaine est due à la météo marquée par des conditions anticycloniques stables et printanières. Il y a des émissions de particules, et aussi, sous l'effet des rayons du soleil et des températures, la création de particules à partir de gaz qui réagissent entre eux, a-t-on précisé.

Ces particules fines sont notamment émises par les véhicules, l'industrie, le chauffage, l'agriculture, mais aussi apportées par le vent d'autres régions voire d'autres pays européens.

Lors d'un épisode de pollution, il est recommandé aux patients souffrant d'une pathologie chronique, asthmatiques, insuffisants respiratoires ou cardiaques d'être vigilants par rapport à toute aggravation de leur état. Aucune mesure de confinement n'est recommandée, rappelle Airparif.

L'association de surveillance rappelle que les seuils d'information et d'alerte ont été abaissés depuis l'an dernier, et qu'on n'est pas dans une situation pire que les autres années. Le seuil d'information est passé de 80 à 50 microgrammes/m3 (sur avis de l'Organisation mondiale de la santé) et le seuil d'alerte de 125 à 80 microgrammes/m3 (sur avis du Conseil supérieur d'hygiène publique de France).


Source ©AFP / 16 mars 2012 17h04
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Paris et Madrid sont hostiles à la proposition de Bruxelles d'interdire les rejets en mer de poissons morts


Tout mettre en oeuvre pour préserver les stocks d’espèces menacées de poissons serait dans l’intérêt général. La Commissaire européenne aux Affaires maritimes et à la Pêche Maria Damanaki l’a bien compris, elle qui prône notamment une interdiction des rejets en mer de poissons morts.

Tel n’est cependant pas le vœu de la France et de l’Espagne, qui selon nos confrères du Guardian préparent une déclaration commune permettant à cette pratique de perdurer « indéfiniment »…

Problème : ces deux pays sont en quelque sorte les « tauliers » du secteur, et c’est un peu comme si leur voix comptait double. En conséquence, le fait qu’ils bloquent les velléités réformatrices de Bruxelles pourrait s’avérer un coup très dur pour les ressources halieutiques, victimes de la surpêche et de fait en perpétuelle diminution.

À croire que l’Hexagone et nos voisins d’outre-Pyrénées – lesquels disposent certes de la flotte la plus étendue du Vieux Continent et de subventions plus élevées que celles reçues par tous les autres États membres de l’Union Européenne (UE) – ont des œillères, ou que dans leur esprit les profits à court terme valent plus que la pérennité de leur activité.

Littéralement bichonnés par leurs ministres respectifs, qui jugent l’interdiction précitée « irréaliste » et « trop prescriptive », les pêcheurs français et espagnols peuvent a priori dormir sur leurs deux oreilles : sauf soudaine prise de conscience environnementale qui, répétons-le, ferait aussi leurs affaires à long terme, le système actuel devrait subsister au moins provisoirement. Un système qui, pour faire simple, les autorise à rejeter en mer des poissons capturés comestibles mais moins « précieux » pour maximiser leurs bénéfices.

La contre-offensive de Paris et Madrid « tuera la réforme » si d’aventure elle devait être couronnée de succès, a assuré une source proche du dossier au quotidien britannique. Le journaliste et écrivain alimentaire Hugh Fearnley-Whittingstall, lui aussi favorable à une proscription des rejets, indispensable à ses yeux pour permettre le renouvellement des effectifs, n’est pas plus optimiste et assimile la déclaration franco-espagnole à « un appel pour le maintien du statu quo permettant à des centaines de milliers de tonnes de poissons parfaitement comestibles d’être gaspillées dans les eaux territoriales européennes ».

« Certains pays ne reculeront devant rien pour ralentir la réforme de la politique commune de la pêche »

Histoire de sauver les apparences, la France et l’Espagne (qui a changé de gouvernement mais pas d’avis sur la question) ont toutefois « (réaffirmé) leur engagement en faveur d’une réforme ambitieuse de la politique commune de la pêche » et « réitèrent leur point de vue que la pratique de gaspillage de rejeter des poissons, qui est tolérée et même, dans certains cas, promue par le système de gestion actuel (NDLR : celui-ci oblige notamment les pêcheurs à rejeter leur excédent en cas de franchissement), constitue un obstacle majeur sur la route d’une politique de pêche durable ». Incohérence ? Les deux pays plaident en fait pour une approche plus « pragmatique », pour une stratégie par paliers, spécialement dans ce contexte de pêcheries mixtes, qui exclut à leurs yeux une abrogation totale et définitive.

Celle-ci préoccupe grandement Ruth Davis, conseiller politique en chef de Greenpeace Grande-Bretagne, pour qui cette déclaration démontre que « certains pays ne reculeront devant rien pour ralentir la réforme de la politique commune de la pêche (PCP) ». Et d’ajouter : « Ce faisant, ils défendent les intérêts d’une minorité de très puissants, avides, les grandes enseignes de la pêche industrielle, au détriment de plusieurs milliers de pêcheurs “durables” ».

Paris et Madrid ont d’ores et déjà entraîné Bruxelles et Lisbonne dans leur sillage, rapporte le Guardian. Chypre, l’Italie et l’Irlande pourraient eux aussi céder devant le lobbying appuyé des représentants français et espagnols. L’Allemagne, elle, serait encore indécise, tandis que la Grande-Bretagne a fait savoir par le biais de son ministre de la Pêche Richard Benyon qu’elle soutenait l’interdiction des rejets. L’un des rares bons élèves au milieu d’une classe pour le moins dissipée.

Source : © Guillaume Duhamel / zegreenweb





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Un séisme de magnitude 4.67 sur l’échelle de Richter s’est produit à 15 h dans la Région du Lac Alaotra, à 151 km au Nord Est d’Antananarivo. La localisation exacte de ce séisme est la suivante : Lat : 17.73 Sud et long : 48.32 E.

Le séisme a été ressenti dans la Capitale pendant environ 10 secondes. Aux alentours d’Ambatondrazaka, Amparafaravola, il a été ressenti d’une manière assez forte.

La Région du Lac Alaotra est une des zones sismiques à forte sismicité de Madagascar.

"Il ne devrait pas y avoir de dégâts matériels, ni de perte de vie humaine", indique un communiqué du Bureau National de Gestion des Risques et des Catastrophes de Madagascar.

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