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mercredi 9 mai 2012
13:36
En quelques heures, l'énorme lac Cachet II en Patagonie chilienne disparaît, comme avalé par la Terre, un phénomène naturel surprenant qui s'accélère dans plusieurs lacs de la région en raison du réchauffement climatique, selon les experts.
Pour la seconde fois cette année, le lac qui contient quelque 200 millions de litres d'eau a commencé à se vider soudainement peu avant minuit le 31 mars dernier.
En quelques heures, il s'est asséché complètement, laissant derrière lui quelques flaques et des morceaux de glace provenant du glacier qui l'alimente. Assistante de recherche au centre d'Etudes Scientifiques (CECS), Daniela Carrion, se trouvait sur les lieux lorsque le phénomène s'est manifesté.
Quand nous nous sommes réveillés, nous avons vu un changement total dans la vallée, raconte-t-elle à l'AFP. Les zones que nous parcourions étaient inondées, jonchées de gigantesques morceaux de glace.
Le Cachet II se forme grâce à la fonte du glacier Colonia, qui avec ses énormes parois de glace fait fonction de barrage naturel de retenue.
Mais selon les scientifiques, le réchauffement des températures affaiblit peu à peu le glacier qui, quand il ne peut plus supporter la pression du lac qu'il enserre, laisse s'écouler l'eau par un tunnel se formant entre la roche et le glacier.
L'eau se déverse alors d'un seul coup dans le fleuve Baker, qui voit son débit habituel multiplié par trois.
Lorsque ce phénomène se produit, un système d'alerte se déclenche automatiquement pour avertir les rares habitants de la zone qui peuvent ainsi mettre leurs animaux à l'abri et rester attentifs à la montée des eaux.
La dernière fois, le dénivellement occasionné a été supérieur à 31 mètres selon un rapport de la Direction Générale des Eaux (DGA), qui surveille le lac avec un système satellitaire. La rapide descente du niveau de l'eau s'est répercutée sur le début du fleuve Baker, qui est passé de 1.100 m3/seconde à 3.511 m3/s indique la DGA dans un communiqué.
Récemment, ce phénomène de drainage soudain s'est produit dans plusieurs lacs alimentés par des glaciers et le lac Cachet se vide désormais trois fois par an en moyenne. Cette année, le phénomène s'est également produit le 27 janvier et, depuis 2008, il a été constaté à 11 reprises.
Les experts scientifiques ont tiré la sonnette d'alarme, indiquant que ces soudaines disparitions de lacs risquent d'augmenter en raison du réchauffement climatique et doivent être surveillés pour en prévenir les effets sur les communautés locales.
Si jusqu'à présent les disparitions de Cachet II n'ont pas provoqué de gros dégâts, ils suscitent une énorme curiosité.
Il y a eu une augmentation de ces phénomènes appelés GLOF (Glacial Lake Outburst Floods) et les projections prévoient qu'ils deviennent plus fréquents avec le réchauffement climatique, explique à l'AFP un glaciologue expert en changement climatique du CECS, Gino Casassa.
Selon M. Casassa, qui a reçu avec d'autres experts le Prix Nobel de la Paix en 2007 comme coordinateur du Panel Intergouvernemental du Changement Climatique au Chili, quelque 53 phénomènes de ce type se sont produits entre 1896 et janvier 2010, avec une accélération de leur fréquence ces dernières années.
Mais ces cas ne sont pas exclusifs à la Patagonie et se produisent également en Islande, en raison de la fonte des glaces provoquée par l'activité volcanique, ainsi que dans la chaîne de l'Himalaya.
Source ©AFP
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Pour la seconde fois cette année, le lac qui contient quelque 200 millions de litres d'eau a commencé à se vider soudainement peu avant minuit le 31 mars dernier.
En quelques heures, il s'est asséché complètement, laissant derrière lui quelques flaques et des morceaux de glace provenant du glacier qui l'alimente. Assistante de recherche au centre d'Etudes Scientifiques (CECS), Daniela Carrion, se trouvait sur les lieux lorsque le phénomène s'est manifesté.
Quand nous nous sommes réveillés, nous avons vu un changement total dans la vallée, raconte-t-elle à l'AFP. Les zones que nous parcourions étaient inondées, jonchées de gigantesques morceaux de glace.
Le Cachet II se forme grâce à la fonte du glacier Colonia, qui avec ses énormes parois de glace fait fonction de barrage naturel de retenue.
Mais selon les scientifiques, le réchauffement des températures affaiblit peu à peu le glacier qui, quand il ne peut plus supporter la pression du lac qu'il enserre, laisse s'écouler l'eau par un tunnel se formant entre la roche et le glacier.
L'eau se déverse alors d'un seul coup dans le fleuve Baker, qui voit son débit habituel multiplié par trois.
Lorsque ce phénomène se produit, un système d'alerte se déclenche automatiquement pour avertir les rares habitants de la zone qui peuvent ainsi mettre leurs animaux à l'abri et rester attentifs à la montée des eaux.
La dernière fois, le dénivellement occasionné a été supérieur à 31 mètres selon un rapport de la Direction Générale des Eaux (DGA), qui surveille le lac avec un système satellitaire. La rapide descente du niveau de l'eau s'est répercutée sur le début du fleuve Baker, qui est passé de 1.100 m3/seconde à 3.511 m3/s indique la DGA dans un communiqué.
Récemment, ce phénomène de drainage soudain s'est produit dans plusieurs lacs alimentés par des glaciers et le lac Cachet se vide désormais trois fois par an en moyenne. Cette année, le phénomène s'est également produit le 27 janvier et, depuis 2008, il a été constaté à 11 reprises.
Les experts scientifiques ont tiré la sonnette d'alarme, indiquant que ces soudaines disparitions de lacs risquent d'augmenter en raison du réchauffement climatique et doivent être surveillés pour en prévenir les effets sur les communautés locales.
Si jusqu'à présent les disparitions de Cachet II n'ont pas provoqué de gros dégâts, ils suscitent une énorme curiosité.
Il y a eu une augmentation de ces phénomènes appelés GLOF (Glacial Lake Outburst Floods) et les projections prévoient qu'ils deviennent plus fréquents avec le réchauffement climatique, explique à l'AFP un glaciologue expert en changement climatique du CECS, Gino Casassa.
Selon M. Casassa, qui a reçu avec d'autres experts le Prix Nobel de la Paix en 2007 comme coordinateur du Panel Intergouvernemental du Changement Climatique au Chili, quelque 53 phénomènes de ce type se sont produits entre 1896 et janvier 2010, avec une accélération de leur fréquence ces dernières années.
Mais ces cas ne sont pas exclusifs à la Patagonie et se produisent également en Islande, en raison de la fonte des glaces provoquée par l'activité volcanique, ainsi que dans la chaîne de l'Himalaya.
Source ©AFP
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13:29
Le séisme d'une magnitude de 5,5, qui a frappé lundi le nord-ouest de l'Azerbaïdjan, a détruit 1 360 maisons et endommagé 20 bâtiments sociaux, a annoncé mardi à Bakou le ministre des Situations d'urgence Kamaladdin Heydarov
On ne déplore pas de victime. Les régions de Zagatala, Balakan, Gakh ont été les plus touchées.
Selon l'Institut américain de géophysique (USGS), cette secousse de magnitude 5,6 sur l'échelle de Richter est survenue à 04H40 GMT, à 14 km au sud-est de la ville de Zaqatala, dans le nord-ouest de l'Azerbaïdjan, et à 291 km au nord-ouest de Baku.
Son épicentre a été localisé à 23,30 km de profondeur. Le nombre de maisons endommagées après le premier séisme était limité, mais cinq répliques survenues plus tard dans la même journée ont causé davantage de dommages.
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mardi 8 mai 2012
23:07
Les autorités chinoises ont ouvert une enquête sur des vendeurs de légumes,
soupçonnés d'asperger les choux avec du formol pour préserver leur fraîcheur,
nouveau scandale alimentaire dans ce pays qui en a connu beaucoup, a indiqué un
responsable mardi.
Cette affaire est la dernière d'une longue série de scandales dans l'industrie
agro-alimentaire chinoise, après notamment ceux du porc piqué au clenbutérol, un
anabolisant, et du lait contaminé à la mélamine, un additif mimant un taux élevé de
protéines.
Selon des informations parues dans la presse et sur internet, des dizaines de
marchands de légumes dans la province du Shandong (est), grande région agricole,
utilisent des produits chimiques pour maintenir la fraîcheur de leurs légumes
jusqu'à ce qu'ils parviennent sur les marchés.
Le formaldéhyde --ou formol-- est un liquide utilisé couramment pour préserver des
spécimens de laboratoires ou pour embaumer les corps. Cette substance, cancérigène,
peut être mortelle si elle est ingérée en trop grande quantité.
Un responsable de la ville de Dongxia a confirmé la pratique des vendeurs.
Nous enquêtons sur cette affaire, a-t-il déclaré, sans vouloir donner de détails. Cette pratique serait répandue dans le Shandong et la province voisine de Hebei, notamment lors des mois les plus chauds, selon l'agence officielle Chine Nouvelle. On fait ça couramment pour garder les choux frais. Sinon, les choux qui sont empilés les uns contre les autres dans les camions pourriraient en deux ou trois jours, a expliqué à l'agence un agriculteur de Dongxia.
Le chou est un des aliments de base de la nourriture chinoise, notamment dans le nord. En mars, une grande entreprise de volailles chinoise avait licencié quatre employés soupçonnés d'être impliqués dans une affaire de vente de viande de canards abattus alors qu'ils étaient malades. Le scandale alimentaire le plus retentissant reste celui du lait contaminé à la mélamine qui, en 2008, avait provoqué la mort de six enfants et rendu malade 300.000 autres. (
Source ©AFP
23:02
Drapeaux rouges sur les plages, appels à ne pas consommer de poisson cru au
pays du +ceviche+: les autorités sanitaires péruviennes tirent la sonnette d'alarme
après la mort mystérieuse de centaines de dauphins et de pélicans.
Le ministère de la santé a lancé une alerte sanitaire exhortant la population à s'abstenir de se rendre sur les plages dans la région de Lima et du littoral au nord du pays jusqu'à ce que soient connues les causes de la mort des animaux.
En moins de deux semaines 1.500 pélicans ont été retrouvés morts sur près de 200 km de côtes à Piura, à la frontière avec l'Équateur, et Lambayeque, à 790 km au nord de Lima, selon les chiffres du ministère de l'Agriculture.
Par ailleurs, près de 900 dauphins selon les chiffres officiels se sont échouée
morts sur le littoral nord du pays entre janvier et avril.
C'est incroyable que l'Institut de la mer (qui dépend du ministère de la Pêche) ne se prononce pas sur la mort massive de pélicans et de dauphins, s'est indigné lundi Carlos Bocanegra, un biologiste réputé de l'Université de Trujillo.
Je pense qu'on essaie de sauver certains intérêts, accuse-t-il, faisant allusion au puissant lobby des industriels de la pêche, un secteur prédominant de l'économie péruvienne.
Après avoir prudemment évoqué la possibilité d'un virus dans le cas des dauphins, le ministère de l'Environnement a écarté pour l'instant l'hypothèse d'un dommage collatéral de la pêche au filet ou d'une éventuelle contamination des eaux.
Quand nous saurons avec exactitude les causes scientifiques de ce qui provoque la
mort (des dauphins et des pélicans) nous lèverons l'alerte, a déclaré lundi le
responsable de l'environnement au ministère de la Santé Bernardo Ausejo, estimant
encore le délai à cinq ou dix jours. (rajout NA ...incroyable mais vrai voir article précédent et ses commentaires)
Pour sa part une ONG, l'Organisation scientifique pour la conservation des animaux
aquatiques (Orca) attribue le décès des dauphins aux activités d'exploration des
compagnies pétrolières dans la zone, qui, selon elle, produisent des bruits
affectant les cétacés victimes d'un impact acoustique.
Le directeur de l'ONG Mundo Azul, le biologiste allemand Stefan Austermühle, indique quant à lui à l'AFP que la mort massive des pélicans et des dauphins représente un risque pour la santé humaine en raison de la possible mutation d'un virus.
Dans le doute, les responsables du secteur de la santé dans les régions les plus touchées ont demandé aux habitants de la zone de ne pas manger de poisson cru, d'éviter de se baigner et de s'éloigner des plages où les animaux ont été trouvés morts.
Dans un éditorial du quotidien El Comercio l'ancien ministre de la santé Uriel Garcia évoque la pêche excessive de certaines espèces en particulier l'anchois, dont se nourrissent les pélicans, qui en fait mourraient ainsi de faim et pas de maladie.
Un expert en météorologie, Abraham Levy, estime quant à lui que le réchauffement des eaux du Pacifique pouvant être lié au phénomène de El Nino pourrait expliquer les récents phénomènes. Le réchauffement de la mer altère la chaîne alimentaire, qui est complexe et qui commence par le plancton pour se terminer avec les oiseaux marins d'un côté et les mammifères marins de l'autre, dit-il à l'AFP.
La vice-ministre de la Pêche, Patricia Majluf a pour sa part annoncé sa démission vendredi accusant le secteur de désordre, irrégularités et corruption, une autre façon de tirer la sonnette d'alarme.
Source © AFP
22:54
Au moins 26 personnes sont mortes et plus d'une centaine sont portées disparues après qu'une inondation eut balayé dimanche trois villages du nord montagneux de l'Afghanistan, dont un abritant une fête de mariage, a-t-on appris lundi auprès d'un responsable local.
"Nous avons retrouvé 26 corps, la plupart de femmes et d'enfants. Plus de 100 personnes manquent encore", a indiqué le chef de l'autorité de gestion des désastres de la province de Sari Pul. Vingt-et-un des morts assistaient au mariage et une quarantaine de maisons ont été détruites par l'inondation.
Le ministère de la Défense a envoyé deux hélicoptères sur la zone du sinistre. Des fonctionnaires afghans et des membres du Programme alimentaire mondial (PAM) y distribuent des kits contenant couvertures, tentes, édredons, barils d'eau, sacs de riz et médicaments aux victimes.
L'Afghanistan a connu son hiver le plus rude depuis 15 ans, marqué par de fortes chutes de neige, qui ont causé de nombreuses avalanches mortelles. La plus meurtrière à emporté au moins 50 personnes alors que 145 autres ont été portées disparues mi-mars. La fonte des neiges cause depuis lors des inondations dévastatrices. (DGO)
22:47
La préfecture a comptabilisé 80 interventions de pompiers, gendarmes et policiers.
Des routes ont été coupées et des quartiers de plusieurs communes inondés à la suite de très fortes pluies lundi soir en Guadeloupe. Des tronçons de plusieurs routes nationales ont été coupés par de brusques et fortes montées des eaux. Plusieurs quartiers, notamment à Pointe-à-Pitre, aux Abymes et au Gosier, ont été inondés, selon la préfecture.
Le niveau de l'eau a atteint par endroits 1,50 à 1,80 mètre, selon des témoignages diffusés par les radios locales. Les municipalités de Pointe-à-Pitre et des Abymes ont ouvert des écoles pour y accueillir les naufragés de la route. Dans un point de situation publié mardi à 2 heures (8 heures à Paris), la préfecture a indiqué que "toutes les personnes portées disparues ont été retrouvées, sauf une personne qui aurait été emportée par les eaux dans un canal des Abymes, selon un témoin".
Le jeune homme de 23 ans est finalement sain et sauf, a-t-on appris auprès des sapeurs-pompiers. Il avait regagné son domicile. Soufrant de contusions, il s'est signalé de lui-même mardi matin aux pompiers, qui l'ont conduit à l'hôpital.
Les pluies diluviennes avaient déjà fait de nombreux morts en janvier 2011. _________________________________________________________________________________________________
Des routes ont été coupées et des quartiers de plusieurs communes inondés à la suite de très fortes pluies lundi soir en Guadeloupe. Des tronçons de plusieurs routes nationales ont été coupés par de brusques et fortes montées des eaux. Plusieurs quartiers, notamment à Pointe-à-Pitre, aux Abymes et au Gosier, ont été inondés, selon la préfecture.
Le niveau de l'eau a atteint par endroits 1,50 à 1,80 mètre, selon des témoignages diffusés par les radios locales. Les municipalités de Pointe-à-Pitre et des Abymes ont ouvert des écoles pour y accueillir les naufragés de la route. Dans un point de situation publié mardi à 2 heures (8 heures à Paris), la préfecture a indiqué que "toutes les personnes portées disparues ont été retrouvées, sauf une personne qui aurait été emportée par les eaux dans un canal des Abymes, selon un témoin".
Le jeune homme de 23 ans est finalement sain et sauf, a-t-on appris auprès des sapeurs-pompiers. Il avait regagné son domicile. Soufrant de contusions, il s'est signalé de lui-même mardi matin aux pompiers, qui l'ont conduit à l'hôpital.
Les pluies diluviennes avaient déjà fait de nombreux morts en janvier 2011. _________________________________________________________________________________________________
lundi 7 mai 2012
12:39
Le braconnage des rhinocéros pour leur corne, exploitée par la médecine traditionnelle asiatique, a augmenté de façon exponentielle depuis quelques années, mettant en péril le travail effectué depuis des décennies pour reconstituer la population sauvage de cet animal.
Les chiffres sont éloquents. Dans la seule Afrique du Sud, qui abrite entre 70 et 80% de tous les rhinos du monde, la courbe du massacre a grimpé en flèche: treize rhinos braconnés en 2007, 448 en 2011, déjà 200 pour les quatre premiers mois de 2012.
Au Kenya, au Zimbabwe et dans les pays voisins, les chiffres sont moins alarmants, mais le braconnage est également en hausse.
A ce rythme-là, met en garde le Groupe de gestion des rhinos (RMG) de la Communauté d'Afrique australe, le nombre de morts par an risque de dépasser prochainement le nombre de naissances. L'espèce s'engagerait alors sur la voie d'un inexorable déclin.
Car ces massifs herbivores aux formes préhistoriques reviennent de loin. Les rhinocéros blancs et noirs, les deux sous-espèces africaines, avaient été quasiment exterminées aux XIXe et XXe siècles.
Depuis quelques années, grâce aux efforts de conservation et au travail des très lucratives fermes d'élevage, la population est de nouveau en augmentation: on estime actuellement à 20.700 le nombre de rhinos blancs survivant en Afrique, et à 4.800 le nombre de noirs.
Ce succès, fragile mais porteur d'espoir, est aujourd'hui remis en cause par la reprise du braconnage. La demande de corne de rhinocéros, utilisée dans la médecine traditionnelle asiatique, a explosé. Son prix sur le marché noir avoisine celui de l'or, autour de 50.000 euros le kilo, selon des sources concordantes.
La Chine, autrefois grande consommatrice, réussit assez bien à faire respecter l'interdiction de vente et de trafic de corne, selon Traffic, organisme indépendant de surveillance du commerce illégal d'animaux.
L'attitude des gens a changé depuis 1993, quand l'utilisation de la corne de rhinocéros dans la médecine chinoise a été interdite, et ils utilisent maintenant d'autres choses, comme des cornes de buffle, à la place, constate Luo Anan, porte-parole de l'organisation sur place.
La demande provient principalement du Vietnam, note-t-elle.
La corne de rhino y est utilisée sous forme de poudre pour soigner la fièvre, garder la forme à tout âge, voire pour combattre le cancer! Sans le moindre fondement scientifique: cet étrange appendice nasal est en effet composé exclusivement de kératine, la même matière que les ongles humains.
Bien que des saisies ponctuelles de cornes de rhino montrent que la loi commence à être appliquée (au Vietnam), les marchés de la médecine traditionnelle y fleurissent plus que dans d'autres pays asiatiques, note Tom Milliken, directeur de Traffic.
Attirés par l'appât du gain, les braconniers se sont organisés, avec des complicités aux endroits stratégiques. En février, quatre rangers du célèbre parc Kruger ont ainsi été arrêtés. Avec un GPS et un téléphone portable, rien de plus facile que de localiser les rhinos.
Une fois l'animal repéré, certains gangs opèrent en hélicoptère, d'autres par voie terrestre. Le rhino est anesthésié, ou simplement abattu à l'arme lourde. En quelques minutes, la corne est arrachée à la scie ou à la hache.
Les animaux qui n'ont pas été tués pendant l'assaut meurent en général de leur blessure. S'il s'agit d'une femelle, son petit meurt lui aussi peu après, faute de soins.
Pour tenter d'endiguer l'hécatombe, le gouvernement sud-africain a déployé depuis l'an dernier des commandos de l'armée le long des frontières, notamment dans le parc Kruger, qui jouxte le Mozambique. Les guides, qui se communiquent entre eux par radio l'emplacement des lions, léopards et éléphants, n'ont plus le droit de signaler les rhinos.
A la recherche de solutions dissuasives, certains propriétaires de réserves privées, qui n'ont pas les moyens d'entretenir des patrouilles armées, ont tenté de décorner eux-mêmes leurs animaux. Difficile, et jamais définitif, puisque la corne repousse. D'autres injectent des colorants, voire des substances toxiques dans les cornes.
Régulièrement, le débat sur la légalisation de la vente de corne revient à la surface. Sans convaincre les spécialistes de la conservation animale. Qui s'accordent à dire que la seule mesure vraiment efficace, à long terme, sera de tarir la demande, par un renforcement de la répression dans les pays importateurs, et par l'éducation des consommateurs.
Source ©AFP
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Les chiffres sont éloquents. Dans la seule Afrique du Sud, qui abrite entre 70 et 80% de tous les rhinos du monde, la courbe du massacre a grimpé en flèche: treize rhinos braconnés en 2007, 448 en 2011, déjà 200 pour les quatre premiers mois de 2012.
Au Kenya, au Zimbabwe et dans les pays voisins, les chiffres sont moins alarmants, mais le braconnage est également en hausse.
A ce rythme-là, met en garde le Groupe de gestion des rhinos (RMG) de la Communauté d'Afrique australe, le nombre de morts par an risque de dépasser prochainement le nombre de naissances. L'espèce s'engagerait alors sur la voie d'un inexorable déclin.
Car ces massifs herbivores aux formes préhistoriques reviennent de loin. Les rhinocéros blancs et noirs, les deux sous-espèces africaines, avaient été quasiment exterminées aux XIXe et XXe siècles.
Depuis quelques années, grâce aux efforts de conservation et au travail des très lucratives fermes d'élevage, la population est de nouveau en augmentation: on estime actuellement à 20.700 le nombre de rhinos blancs survivant en Afrique, et à 4.800 le nombre de noirs.
Ce succès, fragile mais porteur d'espoir, est aujourd'hui remis en cause par la reprise du braconnage. La demande de corne de rhinocéros, utilisée dans la médecine traditionnelle asiatique, a explosé. Son prix sur le marché noir avoisine celui de l'or, autour de 50.000 euros le kilo, selon des sources concordantes.
La Chine, autrefois grande consommatrice, réussit assez bien à faire respecter l'interdiction de vente et de trafic de corne, selon Traffic, organisme indépendant de surveillance du commerce illégal d'animaux.
L'attitude des gens a changé depuis 1993, quand l'utilisation de la corne de rhinocéros dans la médecine chinoise a été interdite, et ils utilisent maintenant d'autres choses, comme des cornes de buffle, à la place, constate Luo Anan, porte-parole de l'organisation sur place.
La demande provient principalement du Vietnam, note-t-elle.
La corne de rhino y est utilisée sous forme de poudre pour soigner la fièvre, garder la forme à tout âge, voire pour combattre le cancer! Sans le moindre fondement scientifique: cet étrange appendice nasal est en effet composé exclusivement de kératine, la même matière que les ongles humains.
Bien que des saisies ponctuelles de cornes de rhino montrent que la loi commence à être appliquée (au Vietnam), les marchés de la médecine traditionnelle y fleurissent plus que dans d'autres pays asiatiques, note Tom Milliken, directeur de Traffic.
Attirés par l'appât du gain, les braconniers se sont organisés, avec des complicités aux endroits stratégiques. En février, quatre rangers du célèbre parc Kruger ont ainsi été arrêtés. Avec un GPS et un téléphone portable, rien de plus facile que de localiser les rhinos.
Une fois l'animal repéré, certains gangs opèrent en hélicoptère, d'autres par voie terrestre. Le rhino est anesthésié, ou simplement abattu à l'arme lourde. En quelques minutes, la corne est arrachée à la scie ou à la hache.
Les animaux qui n'ont pas été tués pendant l'assaut meurent en général de leur blessure. S'il s'agit d'une femelle, son petit meurt lui aussi peu après, faute de soins.
Pour tenter d'endiguer l'hécatombe, le gouvernement sud-africain a déployé depuis l'an dernier des commandos de l'armée le long des frontières, notamment dans le parc Kruger, qui jouxte le Mozambique. Les guides, qui se communiquent entre eux par radio l'emplacement des lions, léopards et éléphants, n'ont plus le droit de signaler les rhinos.
A la recherche de solutions dissuasives, certains propriétaires de réserves privées, qui n'ont pas les moyens d'entretenir des patrouilles armées, ont tenté de décorner eux-mêmes leurs animaux. Difficile, et jamais définitif, puisque la corne repousse. D'autres injectent des colorants, voire des substances toxiques dans les cornes.
Régulièrement, le débat sur la légalisation de la vente de corne revient à la surface. Sans convaincre les spécialistes de la conservation animale. Qui s'accordent à dire que la seule mesure vraiment efficace, à long terme, sera de tarir la demande, par un renforcement de la répression dans les pays importateurs, et par l'éducation des consommateurs.
Source ©AFP
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12:33
Le gouvernement américain a proposé vendredi une nouvelle réglementation demandant plus de transparence sur les produits chimiques utilisés par les entreprises qui exploitent le gaz des gisements de schiste par la fragmentation hydraulique, ou fracking.
Mais ce texte ne demande aux entreprises de déclarer les produits qu'une fois le forage achevé, ce qui a déclenché la colère des défenseurs de l'environnement, inquiets des conséquences du fracking sur la qualité de l'eau potable.
Sous pression pour renforcer la réglementation sur le fracking, une technique basée sur une injection à forte pression d'eau mêlée à des additifs chimiques et du sable, le ministère des Affaires intérieures, chargé de la protection des ressources naturelles, a proposé que les groupes gaziers révèlent quelles substances chimiques ils injectent dans les puits lorsqu'ils travaillent sur des terres publiques ou appartenant à des réserves indiennes.
Les groupes gaziers et entreprises de forage devront également, selon le projet destiné à actualiser une réglementation vieille de 30 ans, prendre plus de précautions pour éviter les fuites de gaz et de produits chimiques depuis les puits forés, ainsi que dans l'utilisation des eaux usées et très toxiques provenant du fracking.
Cette nouvelle réglementation, qui pourrait prendre effet à la fin de l'année après une période de commentaires du public, augmenterait le coût moyen par puit de 11.833 dollars, a estimé le département de l'Intérieur.
Pour Jessica Ennis, de l'association Earthjustice, les nouvelles règles sont très insuffisantes par rapport à ce qui est nécessaire pour protéger la santé du grand public.
Source ©AFP
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Pierre Dac et le Biglotron par richardvallouise
Mais ce texte ne demande aux entreprises de déclarer les produits qu'une fois le forage achevé, ce qui a déclenché la colère des défenseurs de l'environnement, inquiets des conséquences du fracking sur la qualité de l'eau potable.
Sous pression pour renforcer la réglementation sur le fracking, une technique basée sur une injection à forte pression d'eau mêlée à des additifs chimiques et du sable, le ministère des Affaires intérieures, chargé de la protection des ressources naturelles, a proposé que les groupes gaziers révèlent quelles substances chimiques ils injectent dans les puits lorsqu'ils travaillent sur des terres publiques ou appartenant à des réserves indiennes.
Les groupes gaziers et entreprises de forage devront également, selon le projet destiné à actualiser une réglementation vieille de 30 ans, prendre plus de précautions pour éviter les fuites de gaz et de produits chimiques depuis les puits forés, ainsi que dans l'utilisation des eaux usées et très toxiques provenant du fracking.
Cette nouvelle réglementation, qui pourrait prendre effet à la fin de l'année après une période de commentaires du public, augmenterait le coût moyen par puit de 11.833 dollars, a estimé le département de l'Intérieur.
Pour Jessica Ennis, de l'association Earthjustice, les nouvelles règles sont très insuffisantes par rapport à ce qui est nécessaire pour protéger la santé du grand public.
La divulgation des substances chimiques utilisées devrait l'être avant qu'elles soient utilisées.
Au vu des informations qui nous parviennent constamment sur des cas de pollution de l'air et de l'eau par le fracking, cela fait longtemps que les lois fédérales auraient dû être mises à jour, a-t-elle ajouté.
Source ©AFP
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Pierre Dac et le Biglotron par richardvallouise
12:27
Les inondations au Népal dans la région de l'Annapurna pourraient avoir causé la mort de 60 personnes, a annoncé la police dimanche, et les secours n'avaient plus aucun espoir de retrouver des survivants.
"Pour l'instant, 12 des 15 corps retrouvés ont été identifiés et nous avons une liste de 43 disparus, dont trois touristes ukrainiens. Les chances de retrouver des survivants sont proches de zéro", a déclaré à l'AFP le responsable de la police locale, Sailesh Thapa.
Seules huit personnes ont survécu à une rapide montée des eaux samedi de la rivière Seti, qui ont emporté les familles qui pique-niquaient sur les berges et tout un village situé près de de la ville touristique de Pokhara.
En débordant, la Seti a emporté deux bâtiments et plusieurs cabanes dans le village de Kharapani, au pied de l'Annapurna, un des sites les plus touristiques du Népal.
La plupart des disparus sont des Népalais. "Il n'y avait rien d'anormal. Les gens ont été surpris par les eaux alors qu'ils pique-niquaient en famille, se reposaient ou que d'autres travaillaient. Un torrent de boue charriant des débris a brusquement tout envahi et emporté les gens", a raconté le Kathmandu Post.
Des chiens renifleurs ont été dépêchés sur la zone du sinistre depuis la capitale à 200 km de là, tandis que la police et l'armée tentaient de retrouver des survivants.
Le Premier ministre, Baburam Bhattari, a interrompu ses activités pour se rendre dans le village et a promis de prendre en charge le coût des funérailles, a déclaré son porte-parole, Bishwadeep Pandey.
Habituellement, les inondations se produisent plus tardivement, pendant la mousson, et les causes de cette catastrophe n'étaient pas encore connues.
La région de l'Annapurna attire chaque année des milliers de randonneurs, népalais et étrangers.
D'une altitude de 8.091 mètres, l'Annapurna fait partie des 14 plus hauts sommets du monde.
Source: © AFP
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"Pour l'instant, 12 des 15 corps retrouvés ont été identifiés et nous avons une liste de 43 disparus, dont trois touristes ukrainiens. Les chances de retrouver des survivants sont proches de zéro", a déclaré à l'AFP le responsable de la police locale, Sailesh Thapa.
Seules huit personnes ont survécu à une rapide montée des eaux samedi de la rivière Seti, qui ont emporté les familles qui pique-niquaient sur les berges et tout un village situé près de de la ville touristique de Pokhara.
En débordant, la Seti a emporté deux bâtiments et plusieurs cabanes dans le village de Kharapani, au pied de l'Annapurna, un des sites les plus touristiques du Népal.
La plupart des disparus sont des Népalais. "Il n'y avait rien d'anormal. Les gens ont été surpris par les eaux alors qu'ils pique-niquaient en famille, se reposaient ou que d'autres travaillaient. Un torrent de boue charriant des débris a brusquement tout envahi et emporté les gens", a raconté le Kathmandu Post.
Des chiens renifleurs ont été dépêchés sur la zone du sinistre depuis la capitale à 200 km de là, tandis que la police et l'armée tentaient de retrouver des survivants.
Le Premier ministre, Baburam Bhattari, a interrompu ses activités pour se rendre dans le village et a promis de prendre en charge le coût des funérailles, a déclaré son porte-parole, Bishwadeep Pandey.
Habituellement, les inondations se produisent plus tardivement, pendant la mousson, et les causes de cette catastrophe n'étaient pas encore connues.
La région de l'Annapurna attire chaque année des milliers de randonneurs, népalais et étrangers.
D'une altitude de 8.091 mètres, l'Annapurna fait partie des 14 plus hauts sommets du monde.
Source: © AFP
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12:21
Le séisme de magnitude 5,5 qui s'est produit jeudi à la frontière Iran-Irak a blessé 3,518 personnes, a rapporté vendredi l'agence de presse semi-officielle Mehr.
Le chef de l' Organisation de sauvetage et de secours Mozaffar Mahmoud a déclaré que dans le tremblement de terre dans la province d'Ilam à la frontière entre l' Iran et l'Irak, 3,518 personnes ont été blessées et 50 villages ont été endommagés entre 30 à 80%, a indiqué le rapport.
En outre, le gouverneur de la ville d' Abdanan à Ilam a dit à Mehr qu'il n'y a pas eu de victimes mortelles dans le tremblement de terre, mais deux villages de la région de Murmuri ont été totalement ruinés.
À 14h09 heure locale (10h39 GMT) jeudi, un tremblement de terre dont l'épicentre à une profondeur de 10 km, à 32,74 degrés de latitude nord et à 47,61 degrés de longitude est, a secoué la région de Murmuri à Ilam en Iran.
L'Iran, y compris sa capitale, Téhéran, est placé sur plusieurs lignes de failles majeures dans la croûte terrestre, et est sujette aux tremblements de terre fréquents. Des tremblements de terre modérés ont parfois causé des dommages énormes dans certaines régions en raison de mauvaise construction.
Le tremblement de terre le plus meurtrier qui a frappé l'Iran ces dernières années s'est produit le 26 décembre 2003, lorsqu'un tremblement de terre de magnitude 6,6 a frappé la ville de Bam et ses environs dans la province de Kerman. Le séisme a fait plus de 26.000 morts et quelque 30.000 blessés.
Des responsables iraniens ont suggéré de déplacer la capitale de Téhéran à d'autres endroits. L'idée n'est pas quelque chose de nouveau, et elle est liée à une planification préliminaire qui a été faite à la fin des les années 1980 et à nouveau début des années 1990.
Source AP
Le chef de l' Organisation de sauvetage et de secours Mozaffar Mahmoud a déclaré que dans le tremblement de terre dans la province d'Ilam à la frontière entre l' Iran et l'Irak, 3,518 personnes ont été blessées et 50 villages ont été endommagés entre 30 à 80%, a indiqué le rapport.
En outre, le gouverneur de la ville d' Abdanan à Ilam a dit à Mehr qu'il n'y a pas eu de victimes mortelles dans le tremblement de terre, mais deux villages de la région de Murmuri ont été totalement ruinés.
À 14h09 heure locale (10h39 GMT) jeudi, un tremblement de terre dont l'épicentre à une profondeur de 10 km, à 32,74 degrés de latitude nord et à 47,61 degrés de longitude est, a secoué la région de Murmuri à Ilam en Iran.
L'Iran, y compris sa capitale, Téhéran, est placé sur plusieurs lignes de failles majeures dans la croûte terrestre, et est sujette aux tremblements de terre fréquents. Des tremblements de terre modérés ont parfois causé des dommages énormes dans certaines régions en raison de mauvaise construction.
Le tremblement de terre le plus meurtrier qui a frappé l'Iran ces dernières années s'est produit le 26 décembre 2003, lorsqu'un tremblement de terre de magnitude 6,6 a frappé la ville de Bam et ses environs dans la province de Kerman. Le séisme a fait plus de 26.000 morts et quelque 30.000 blessés.
Des responsables iraniens ont suggéré de déplacer la capitale de Téhéran à d'autres endroits. L'idée n'est pas quelque chose de nouveau, et elle est liée à une planification préliminaire qui a été faite à la fin des les années 1980 et à nouveau début des années 1990.
Source AP
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dimanche 6 mai 2012
12:05
Au moins 30 personnes ont été blessées dimanche par le passage d'une tornade à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Tokyo. Plusieurs dizaines de maisons ont été endommagées, et des milliers de personnes privées d'électricité.
Des pompiers et des équipes médicales se sont rendus à Tsukuba, une ville durement frappée par la tornade. Un garçon de 14 ans, blessé, était dans un état grave, et dix autres personnes étaient soignées dans des hôpitaux, selon les pompiers.
Selon la chaîne de télévision NHK, quelque 200 maisons ont été endommagées. Et d'après Tokyo Electric Power Co. (TEPCO), 24.000 foyers étaient privés d'électricité, alors que des vents violents et des éclairs s'ajoutaient aux dégâts provoqués par la tornade.
La centrale de Fukushima n'a pas été affectée par la tornade, a précisé TEPCO.
Les tornades sont relativement rares dans la région de Tokyo.
Source © AP ________________________________________________________________________________________________
Des pompiers et des équipes médicales se sont rendus à Tsukuba, une ville durement frappée par la tornade. Un garçon de 14 ans, blessé, était dans un état grave, et dix autres personnes étaient soignées dans des hôpitaux, selon les pompiers.
Selon la chaîne de télévision NHK, quelque 200 maisons ont été endommagées. Et d'après Tokyo Electric Power Co. (TEPCO), 24.000 foyers étaient privés d'électricité, alors que des vents violents et des éclairs s'ajoutaient aux dégâts provoqués par la tornade.
La centrale de Fukushima n'a pas été affectée par la tornade, a précisé TEPCO.
Les tornades sont relativement rares dans la région de Tokyo.
Source © AP ________________________________________________________________________________________________
samedi 5 mai 2012
16:32
Alerte ! Pendant que tout le monde est affairé avec les élections, les pétroliers ont ouvert la France à l’exploitation du Gaz de Schiste
On se doutait que ça allait nous tomber dessus, mais on ne s’y attendait pas pendant une période aussi cruciale pour l’avenir de notre pays.
Le permis d’exploration du Gaz de Schiste vient d’être validé à Cahors !
Dominique Pouyer-Hue, coprésidente de Vigilance Périgord, a appris la nouvelle mercredi.
La Dreal Midi-Pyrénées (Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement) vient de terminer l'instruction du permis de Cahors et l'a validé !
Pourtant, la loi interdisait la fracturation hydraulique comme technique d'exploration et d'exploitation du gaz de schiste. Mais voila, on avait oublié le côté retors des pétroliers. Ils veulent exploiter pour engranger un maximum de bénéfices, et bien sur ils sont prêts à tout.
« Le terme de fracturation hydraulique n'apparaît pas dans les textes des pétitionnaires qui usent d'un vocabulaire adapté pour arriver à leur fin. Mais leur technique mentionnée correspond à sa définition », ajoute la coprésidente.
Et c’est là ou est le problème. Nous allons droit vers une pollution des nappes phréatiques, du sol, et vraisemblablement vers des risques de secousses sismiques. Car ce sont les résultats de la fracturation hydraulique. Et les pétroliers auront beau dire que leurs techniques ont évoluées et que nulle part il n’est mentionné de fracturation hydraulique, le résultat on le connait : Pollution excessive et inutile.
Selon les sources de l'association sarladaise, (Sarlat, Périgord) le permis de Cahors, qui concerne une zone allant de Montauban jusqu'au sud du département, serait aujourd'hui sur le bureau de François Fillon, désormais en charge du Ministère de l'Écologie en relais de Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM).
« C'est une course contre la montre qui s'engage. Il ne faut pas qu'il le signe tant qu'il est en poste, peut-être jusqu'à dimanche, sinon, les sociétés américaines pourront venir explorer le gaz de schiste d'ici peu. »
Et si la gauche passe ? « Je n'ai pas plus confiance en la gauche. Nous n'avons pas obtenu de la part de François Hollande la garantie qu'il ne signera pas. »
Les pétroliers ont bel et bien contournés la loi.
Fidèle à son travail d'alerte, Dominique Pouyer-Hue a appelé mercredi Jean-Fred Droin, le conseiller général du canton de Sarlat et a envoyé une communication au député Germinal Peiro, maire de Castelnaud qui figure sur la zone du permis de Cahors. Ce dernier s'est déclaré « révolté » par la nouvelle.
« Ils ont contourné la loi en n'utilisant pas le terme de fracturation hydraulique. C'est une supercherie. Je me rappelle des déclarations de NKM l'an passé à La Roque-Gageac… On avait des craintes sur la position du gouvernement, malheureusement, elles étaient justifiées. »
Malgré la présidentielle, Il y a urgence si on veut éviter de voir débarquer les camions et commencer les forages, comme c'est déjà le cas dans l'Ain.
Quant à la nuance de gravité entre permis d'exploration et permis d'exploitation, elle n'existe pour ainsi dire pas pour Dominique Pouyer-Hue : « Le permis d'exploration court sur 5 ans et les sociétés peuvent en bénéficier à trois reprises. Donc avant qu'une enquête publique ait lieu avec une étude d'impact, il peut se passer quinze ans. Quinze ans de dégâts et de pollution. »
C’est clair. En plus de la vigilance, il est nécessaire de se mobiliser.
Quand les forages auront commencé, il sera trop tard. Le fléau ce sera abattu sur la région et sur ce pays. Au moyen-âge il y avait la peste, aujourd’hui elle revêt une autre forme, plus insidieuse, avec une mort plus lente mais impitoyable de toutes les formes vivantes : La pollution par les hydrocarbures.
Source: © Hélios / Bistro Bar Blog
Le site de vigilance perigord:
http://www.vigilance-perigord.net
On se doutait que ça allait nous tomber dessus, mais on ne s’y attendait pas pendant une période aussi cruciale pour l’avenir de notre pays.
Le permis d’exploration du Gaz de Schiste vient d’être validé à Cahors !
Dominique Pouyer-Hue, coprésidente de Vigilance Périgord, a appris la nouvelle mercredi.
La Dreal Midi-Pyrénées (Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement) vient de terminer l'instruction du permis de Cahors et l'a validé !
Pourtant, la loi interdisait la fracturation hydraulique comme technique d'exploration et d'exploitation du gaz de schiste. Mais voila, on avait oublié le côté retors des pétroliers. Ils veulent exploiter pour engranger un maximum de bénéfices, et bien sur ils sont prêts à tout.
Avec une armada de spécialistes en sémantique et en contournement des textes, ils y sont arrivés.
« Le terme de fracturation hydraulique n'apparaît pas dans les textes des pétitionnaires qui usent d'un vocabulaire adapté pour arriver à leur fin. Mais leur technique mentionnée correspond à sa définition », ajoute la coprésidente.
Et c’est là ou est le problème. Nous allons droit vers une pollution des nappes phréatiques, du sol, et vraisemblablement vers des risques de secousses sismiques. Car ce sont les résultats de la fracturation hydraulique. Et les pétroliers auront beau dire que leurs techniques ont évoluées et que nulle part il n’est mentionné de fracturation hydraulique, le résultat on le connait : Pollution excessive et inutile.
Selon les sources de l'association sarladaise, (Sarlat, Périgord) le permis de Cahors, qui concerne une zone allant de Montauban jusqu'au sud du département, serait aujourd'hui sur le bureau de François Fillon, désormais en charge du Ministère de l'Écologie en relais de Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM).
« C'est une course contre la montre qui s'engage. Il ne faut pas qu'il le signe tant qu'il est en poste, peut-être jusqu'à dimanche, sinon, les sociétés américaines pourront venir explorer le gaz de schiste d'ici peu. »
Et si la gauche passe ? « Je n'ai pas plus confiance en la gauche. Nous n'avons pas obtenu de la part de François Hollande la garantie qu'il ne signera pas. »
Les pétroliers ont bel et bien contournés la loi.
Fidèle à son travail d'alerte, Dominique Pouyer-Hue a appelé mercredi Jean-Fred Droin, le conseiller général du canton de Sarlat et a envoyé une communication au député Germinal Peiro, maire de Castelnaud qui figure sur la zone du permis de Cahors. Ce dernier s'est déclaré « révolté » par la nouvelle.
« Ils ont contourné la loi en n'utilisant pas le terme de fracturation hydraulique. C'est une supercherie. Je me rappelle des déclarations de NKM l'an passé à La Roque-Gageac… On avait des craintes sur la position du gouvernement, malheureusement, elles étaient justifiées. »
Malgré la présidentielle, Il y a urgence si on veut éviter de voir débarquer les camions et commencer les forages, comme c'est déjà le cas dans l'Ain.
Quant à la nuance de gravité entre permis d'exploration et permis d'exploitation, elle n'existe pour ainsi dire pas pour Dominique Pouyer-Hue : « Le permis d'exploration court sur 5 ans et les sociétés peuvent en bénéficier à trois reprises. Donc avant qu'une enquête publique ait lieu avec une étude d'impact, il peut se passer quinze ans. Quinze ans de dégâts et de pollution. »
C’est clair. En plus de la vigilance, il est nécessaire de se mobiliser.
Quand les forages auront commencé, il sera trop tard. Le fléau ce sera abattu sur la région et sur ce pays. Au moyen-âge il y avait la peste, aujourd’hui elle revêt une autre forme, plus insidieuse, avec une mort plus lente mais impitoyable de toutes les formes vivantes : La pollution par les hydrocarbures.
Source: © Hélios / Bistro Bar Blog
Le site de vigilance perigord:
http://www.vigilance-perigord.net
16:24
Une marée rouge de 780 kilomètres carrés de superficie a été détectée dans les eaux au large de la ville de Rizhao, dans la province du Shandong (est), selon une annonce publiée samedi par l'Administration océanique d'Etat (AOE).
Le bureau de l'AOE pour la mer de Chine septentrionale, situé dans la ville de Qingdao (Shandong), a indiqué que les échantillons d'algue prélevés dans ces eaux par un vaisseau de patrouille maritime n'ont révélé aucune trace de toxines.
Cette marée rouge est la première à être détectée cette année en mer de Chine orientale et en mer Jaune. Selon l'annonce de l'AOE, cette marée rouge est due à une prolifération de l'algue Noctiluca scintillans.
Bien qu'elle soit non toxique, cette algue peut s'attacher aux branchies des poissons et suffoquer ces derniers. La densité de l'algue augmente avec la hausse des températures et de la salinité de l'eau, et son apparition pourrait nuire aux secteurs de la pêche et de l'aquaculture, a expliqué l'AOE.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua) - Xing Yaofeng, le 05-05-2012
Le bureau de l'AOE pour la mer de Chine septentrionale, situé dans la ville de Qingdao (Shandong), a indiqué que les échantillons d'algue prélevés dans ces eaux par un vaisseau de patrouille maritime n'ont révélé aucune trace de toxines.
Cette marée rouge est la première à être détectée cette année en mer de Chine orientale et en mer Jaune. Selon l'annonce de l'AOE, cette marée rouge est due à une prolifération de l'algue Noctiluca scintillans.
Bien qu'elle soit non toxique, cette algue peut s'attacher aux branchies des poissons et suffoquer ces derniers. La densité de l'algue augmente avec la hausse des températures et de la salinité de l'eau, et son apparition pourrait nuire aux secteurs de la pêche et de l'aquaculture, a expliqué l'AOE.
Source © Chine Nouvelle (Xinhua) - Xing Yaofeng, le 05-05-2012
16:19
L'arrêt du dernier réacteur encore actif au Japon a débuté, en vue d'une campagne de maintenance de plusieurs mois. Cette mesure intervient un peu plus d'un an après l'accident nucléaire de Fukushima qui a forcé les autorités à prendre de nouvelles précautions.
Hokkaido Electric Power (Hepco), l'une des neuf compagnies régionales de l'archipel, a indiqué avoir commencé à stopper le réacteur Tomari 3, dernière unité active des 50 que compte le Japon.
Sur un parc de 50 unités, plus aucune ne sera en service à partir de dimanche. La dernière encore en marche, Tomari 3 (nord), est en effet entrée samedi en processus d'extinction pour maintenance.
D'autres réacteurs, arrêtés aussi pour entretien obligatoire après 13 mois de fonctionnement en continu, n'ont pu redémarrer jusqu'à présent: les autorités veulent au préalable leur faire passer des tests de résistance et obtenir l'aval des élus locaux.
Le gouvernement plaide désormais pour la relance des réacteurs qui ont réussi les examens de résistance aux catastrophes naturelles et répondent aux nouvelles règles. Mais les élus locaux, dont l'accord est nécessaire, hésitent à prendre cette responsabilité face à des citoyens méfiants.
Les industriels militent également pour le redémarrage, menaçant sans cela de déplacer des sites de production à l'étranger. Pour compenser l'absence d'énergie nucléaire, les compagnies d'électricité ont dopé ou remis en marche des centrales thermiques et exigent des sociétés et particuliers une réduction de consommation.
Le gouvernement est néanmoins conscient que la politique énergétique antérieure à la catasptrophe de Fukushima est caduque: elle était basée sur une augmentation de la part du nucléaire à plus de 50% de l'électricité en 2030, contre 30% environ avant le désastre de Fukushima, ce qui est devenu inadmissible pour les citoyens nippons.
La population espère dans sa majorité la suppression des centrales atomiques sur le sol japonais, mais seulement une minorité exige un arrêt immédiat.
D'ailleurs des milliers de Japonais ont manifesté samedi à Tokyo pour célébrer la fermeture du dernier des 50 réacteurs nucléaires du pays qui était encore en fonctionnement.
"Aujourd'hui, c'est un jour historique", a lancé Masashi Ishikawa, un militant anti-nucléaire, à d'autres manifestants rassemblés dans un parc de Tokyo. "Il y tellement de centrales nucléaires, mais aucune ne sera en fonctionnement aujourd'hui, et c'est grâce à nos efforts", a-t-il ajouté.
Le Japon n'aura plus d'électricité nucléaire pour la première fois depuis quarante ans quand le troisième réacteur de la centrale nucléaire de Tomari, dans l'île d'Hokkaido, aura fermé pour subir des contrôles et des travaux de maintenance.
Source © ATS
Hokkaido Electric Power (Hepco), l'une des neuf compagnies régionales de l'archipel, a indiqué avoir commencé à stopper le réacteur Tomari 3, dernière unité active des 50 que compte le Japon.
Sur un parc de 50 unités, plus aucune ne sera en service à partir de dimanche. La dernière encore en marche, Tomari 3 (nord), est en effet entrée samedi en processus d'extinction pour maintenance.
D'autres réacteurs, arrêtés aussi pour entretien obligatoire après 13 mois de fonctionnement en continu, n'ont pu redémarrer jusqu'à présent: les autorités veulent au préalable leur faire passer des tests de résistance et obtenir l'aval des élus locaux.
Le gouvernement plaide désormais pour la relance des réacteurs qui ont réussi les examens de résistance aux catastrophes naturelles et répondent aux nouvelles règles. Mais les élus locaux, dont l'accord est nécessaire, hésitent à prendre cette responsabilité face à des citoyens méfiants.
Les industriels militent également pour le redémarrage, menaçant sans cela de déplacer des sites de production à l'étranger. Pour compenser l'absence d'énergie nucléaire, les compagnies d'électricité ont dopé ou remis en marche des centrales thermiques et exigent des sociétés et particuliers une réduction de consommation.
Le gouvernement est néanmoins conscient que la politique énergétique antérieure à la catasptrophe de Fukushima est caduque: elle était basée sur une augmentation de la part du nucléaire à plus de 50% de l'électricité en 2030, contre 30% environ avant le désastre de Fukushima, ce qui est devenu inadmissible pour les citoyens nippons.
La population espère dans sa majorité la suppression des centrales atomiques sur le sol japonais, mais seulement une minorité exige un arrêt immédiat.
D'ailleurs des milliers de Japonais ont manifesté samedi à Tokyo pour célébrer la fermeture du dernier des 50 réacteurs nucléaires du pays qui était encore en fonctionnement.
"Aujourd'hui, c'est un jour historique", a lancé Masashi Ishikawa, un militant anti-nucléaire, à d'autres manifestants rassemblés dans un parc de Tokyo. "Il y tellement de centrales nucléaires, mais aucune ne sera en fonctionnement aujourd'hui, et c'est grâce à nos efforts", a-t-il ajouté.
Le Japon n'aura plus d'électricité nucléaire pour la première fois depuis quarante ans quand le troisième réacteur de la centrale nucléaire de Tomari, dans l'île d'Hokkaido, aura fermé pour subir des contrôles et des travaux de maintenance.
Source © ATS
vendredi 4 mai 2012
23:25
+ 133% Les poules françaises pondraient-elles des œufs d’or ?
Le prix des œufs, qui a plus que doublé en un an en France, peut le laisser croire. D’après la revue Agreste du ministère de l’Agriculture, publiée jeudi, les œufs ont coûté, en janvier 2012, 106% de plus qu’un an auparavant, 133% de plus si l’on compare les mois de février des deux années et 119% de plus en mars.
La raison ?
Les aviculteurs qui n’ont pas encore mis leurs élevages traditionnels en batterie aux normes européennes n’ont plus le droit de vendre leurs œufs dans le commerce de détail, ni de les exporter. Ils peuvent toutefois toujours les écouler, à titre provisoire, dans l’industrie.
Ces normes, établies en 1999 et qui sont entrées en vigueur au 1er janvier, prévoient de donner à chaque poule au minimum 750 cm2 d’espace dans leur cage – soit une feuille A4 agrandie d’une petite carte postale –, et d’équiper celle-ci d’un nid pour pondre, de grattoirs et de perchoirs notamment.
Le non-respect de ces nouvelles normes ne pose pas qu’un problème de bien-être animal, mais aussi de distorsion de concurrence par rapport aux éleveurs qui ont réalisé les investissements pour se mettre en conformité avec les normes européennes. D’où les restrictions à la vente, qui ont entraîné une pénurie d’œufs et une explosion de leurs coûts, en France comme dans onze autres pays européens qui ont pris du retard dans les mises aux normes.
Source Ats
...En voilà une info qui me donne enfin le prétexte de placer ici ma phrase fétiche...
...Ben tiens....ben vi...et alors...quoi?...non rien....
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