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mardi 22 mai 2012
De violents orages, accompagnés de précipitations record, ont provoqué de très lourds dégâts matériels, mais pas de blessés, à Nancy dans la nuit de lundi à mardi, laissant un paysage de désolation entre avenues inondées et voitures à la dérive.

Une personne âgée a été retrouvée morte à son domicile par les pompiers mardi matin à Essey-lès-Nancy, a-t-on appris auprès de la préfecture de Meurthe-et-Moselle. "Nous ne connaissons pas encore son identité. Cette personne âgée a été découverte au cours d'une intervention des pompiers mardi vers 8h30", ont indiqué les services de l'Etat. Le parquet de Nancy a ouvert une enquête pour recherches des causes de la mort. Plus tôt dans la matinée, un camion de pompier et un bus urbain sont entrés en collision, blessant grièvement un pompier et légèrement deux passagers du bus.

Plus tôt dans la matinée, un camion de pompier et un bus urbain sont entrés en collision, blessant grièvement un pompier et légèrement deux passagers du bus.

Le soldat du feu, qui est tombé dans le coma, a été transporté vers le centre hospitalier de Nancy. Il est désormais conscient, a indiqué la préfecture, en précisant que son pronostic vital n'était pas engagé.

Plus de 200 pompiers ont mené 648 interventions toute la nuit, procédant à des dizaines d'évacuations, principalement sur la partie est de l'agglomération dans les communes d'Essey-lès-Nancy et Saint-Max.

Le maire de Nancy, André Rossinot, a indiqué qu'il demanderait à l'Etat la reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle.
Il n'y a pas d'autres blessés, et aucune autre personne dont la vie est en danger, mais beaucoup d'inondations. A Nancy, un sous-plafond est tombé sous le poids de l'eau, a indiqué à l'AFP la directrice de cabinet du préfet de Meurthe-et-Moselle, Magali Daverton, qui avait mis en place une cellule de crise en début de nuit.

A 7H30, 4.100 personnes étaient toujours privées d'électricité dans l'agglomération.

D'innombrables caves ont été submergées par les inondations dans toute l'agglomération et de nombreuses routes ont été défoncées par des torrents de boue comme on en avait jamais vus, selon les habitants.

A certains endroits, l'eau est montée jusqu'à 2 mètres, faisant dériver les voitures sur plusieurs centaines de mètres.

Contrairement aux autres, ma voiture n'a pas chaviré, car elle a été retenue par un poteau. Mais ça ne change rien: elle a été remplie de boue, se désolait un habitant de Saint-Max, Emmanuel Davy, mardi matin.

On ne pouvait rien faire, l'eau arrivait de partout, débordait des plaques d'égout, avec un débit impressionnant, a expliqué le sinistré. Il y a un petit cours d'eau, le Gremillon, qui était déjà saturé lundi. Avec les orages, il a complètement débordé, a-t-il ajouté.

Au milieu des fortes odeurs de fioul, en raison de nombreuses fuites, la gérante d'une entreprise de broderie, Carole, a pour sa part affirmé n'avoir jamais vu une telle chose.

C'est unique. Normalement, il n'y a jamais de crue ici depuis qu'ils ont canalisé la Meurthe il y a 30 ans, s'est-elle désolée.

Dans la quartier de la Commanderie, à Nancy, plus d'un mètre d'eau a inondé les caves en quelques minutes, a expliqué à l'AFP une habitante qui a dû faire face à un véritable torrent.


On n'y croyait pas, quand on disait à nos voisins de regarder par la fenêtre, ils étaient stupéfaits de la vitesse de la montée des eaux, a-t-elle raconté.

"A Nancy, un sous-plafond est tombé sous le poids de l'eau, obligeant à reloger quinze personnes. D'autres groupes de personnes sont relogées au cas par cas", a-t-elle poursuivi.  A Essey-lès-Nancy, certaines avenues sont ensevelies sous 2 mètres d'eau, "avec un très fort courant qui empêche les pompiers de traverser", a précisé Mme Daverton. Environ cinq mille habitants sont privés d'électricité dans toute l'agglomération, dont près de la moitié dans Nancy même.

FORTES PRÉCIPITATIONS DANS LE BAS-RHIN
 

Les secteurs les plus touchés sont ceux de Benfeld et de Barr, où le collège a été inondé au niveau de son sous-sol. Il devait garder porte close mardi. Les vingt-quatre internes et trois membres du personnel habitant sur place ont été relogés, ont précisé les pompiers.

La commune de Bernardvillé a été touchée par une crue torrentielle. Les pompiers n'ont pas fait état de blessés et les dégâts restent en général limités. Les pompiers du Bas-Rhin ont reçu plus de dix-sept cents appels entre 17 h 30 lundi et 6 h 30 mardi matin, donnant lieu à sept cent une interventions directement en rapport avec l'épisode orageux. Ils en effectuent environ cent soixante pour une journée normale.





Sources: Le monde, AFP, Reuters

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Un séisme de magnitude 5,8 a eu lieu en Bulgarie. L'épicentre se trouvait à 25 kms de Sofia, capitale bulgare, à une profondeur de 9,1 kms.

"Il n'a pas provoqué de victimes", a indiqué le ministre bulgare de l'Intérieur, Tsvetan Tsvetanov, dans un premier bilan.

Toutefois, les dégâts matériels -- cheminées effondrées, murs effondrés ou fissurés, fenêtres brisées -- sont relativement importants, selon un photographe de l'AFP sur place.


Un état-major de crise a été formé dans la petite ville de Pernik, à proximité de l'épicentre du séisme, et des renforts de pompiers, de policiers et secouristes ont été dépêchés sur place, a indiqué le ministre de l'Intérieur à l'agence de presse bulgare Focus.

Ce tremblement de terre survient après un séisme avec répliques dimanche en Italie, près de Ferrare, qui a fait six morts, selon un dernier bilan.

Le séisme a eu lieu à une trentaine de kilomètres de Sofia, près de la bourgade de Pernik.

Le tremblement de terre a été ressenti à Sofia, avec des objets tombant à terre dans des logements et de nombreux habitants quittant leurs appartement pour rester dans la rue. Mais, il n'y a pas eu de coupure de courant électrique ou du réseau téléphonique.

En août 2009, un tremblement de terre d'une magnitude de 5,0 sur l'échelle de Richter, avait eu lieu dans la mer Noire, entre la Bulgarie et la Roumanie, au sud-est du Cap de Kaliakra, sans toutefois faire de victimes, ni de dégâts sérieux, a indiqué l'Institut sismologique bulgare.
lundi 21 mai 2012
Une récente étude publiée la semaine dernière dans le journal Geoscience et dirigée par Katey Walter Anthony, de l'Université d'Alaska à Fairbanks, nous met en garde contre l'apparition très inquiétante de milliers de cratères sur la banquise de l’arctique, ceux ci laissent échapper du méthane en très grande quantité.

Avec le réchauffement climatique qui favorise la fonte massive de la banquise de l'arctique, ce méthane piégé depuis des millénaires dans la glace, s'échappe aujourd'hui dans l’atmosphère.Les chercheurs confirment que ce gaz à haute valeur d'effet de serre pourrait avoir un impact significatif sur le changement climatique dans les prochaines années. 


En effet le méthane est le deuxième gaz le plus nocif aprés le CO2 qui favorise l'effet de serre.

Depuis des relevés terrestres et aériens, l'équipe a identifié environ 150.000 fuites de méthane dans l'Alaska, le Groenland, et le début de la banquise.

Des échantillonnages locaux ont permis de démontrer que la plupart d'entre eux libéraient du méthane très ancien, provenant probablement d'importants gisements de gaz naturel ou de charbon engloutis sous les glaces, tandis que d'autres émettaient plutôt des gaz beaucoup plus jeune, sans doute formé par la décomposition de matière végétale.
 

Ces régions hébergent d'énormes quantités de gaz dans des lieux trés différents - dans et sous le pergélisol , sur et sous le lit de la mer, et comme en témoigne les dernières recherches dans d'enormes réservoirs géologiques pris sous les glaces.

"La diminution de la cryosphère ( les régions où la surface de la Terre est recouverte de neige et de glace ) constitue, depuis un certain temps déjà, un signal d’alarme symptomatique du réchauffement de la planète. Nous avons observé que la plupart des fuites se trouvaient justement tout le long de ces frontières du dégel au dessus du pergélisol ou encore des moraines et des fjords constitués par le recul des glaciers», écrivent-ils.

Pour vous donnez un exemple, les pertes relatives à la couche de glace au Groenland ont triplé au cours de la dernière décennie.

Toutes ces évolutions relatives à l'activité humaine et au réchauffement climatique induit, conduiront à un réchauffement inexorablement plus rapide de l’ensemble de la planète.

Nous vous invitons aussi à relire cet ancien article du mois de décembre dernier émanant de chercheurs russes qui stipulent que ces cratères de méthane en fuite peuvent atteindre des kilomètres de circonférence.



Source : Multiple © Nature Alerte


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Vingt-trois nouvelles études font le point sur la cohabitation, ou plutôt la compétition, existant entre des saumons du Pacifique d’élevage et sauvages. Les poissons libérés pour alimenter l’industrie de la pêche appauvriraient le patrimoine génétique des cinq espèces concernées, fragilisant leurs chances de survie dans le futur.

Les saumons sont anadromes. Ils se reproduisent en eau douce mais vivent principalement en eau de mer. Leurs populations souffrent depuis de nombreuses années de la destruction progressive de leurs habitats et de la construction de barrages sur les routes de migrations. Elles déclinent effectivement dans plusieurs régions du monde, comme l’océan Pacifique. Cette situation pose de nombreux problèmes, notamment parce que la pêche de ces poissons rapporte chaque année plusieurs milliards de dollars et emploie des milliers de personnes.

Pour pallier la disparition des saumons sauvages du Pacifique, de nombreuses écloseries ont vu le jour depuis les années 1970 au Canada, aux États-Unis, au Japon ou encore en Russie. Elles reproduisent artificiellement les cinq mêmes espèces de poissons, rassemblées sous le vocable « saumon du Pacifique », les font grandir à des vitesses record puis les libèrent dans l’environnement à l’état juvénile. Dans le seul Pacifique, plus de 5 milliards d'individus seraient ainsi mis à l'eau chaque année.

Les souches sauvages et d'élevage peuvent se reproduire entre elles et donc partager leur patrimoine génétique. Ce fait est déjà scientifiquement avéré et implique qu’il doit exister une cohabitation. Étonnamment, cette simple affirmation reste peu documentée, tout comme les conséquences écologiques liées à la libération massive d’animaux d’élevage. La revue Environmental Biology of Fishes vient de publier, non pas une, mais vingt-trois études qui décrivent en détail ces différents aspects et les conséquences possibles à long terme de ce type de pratique. La conclusion est simple : les saumons sauvages du Pacifique pourraient disparaître en premier, puis être suivis par leurs homologues d’élevage...



Des siècles d’évolution bientôt détruits par l’Homme ?

Les organismes sauvages abritent, contrairement aux autres, une grande diversité génétique puisqu’ils n’ont pas fait l’objet de sélections drastiques, causes d'un appauvrissement du patrimoine génétique, par des industriels cherchant à produire le plus grand nombre de poissons en un minimum de temps. Les poissons sauvages peuvent donc mieux répondre et s’adapter à des changements de l’environnement, là où leurs congénères trop bien élevés auraient du mal à trouver les bons gènes. Les sauvages n'ont-ils pour autant rien à craindre ? Pas si sûr, disent les chercheurs.

Les nouvelles études s’accordent en effet toutes sur un point : les deux groupes entrent en compétition pour l’accès à la nourriture et aux habitats, indifféremment dans les rivières ou les océans. Malheureusement, les souches d’élevage auraient actuellement le dessus. En causant la disparition progressive des saumons sauvages, elles provoquent inexorablement un appauvrissement de la diversité génétique.

Les individus relâchés, après avoir causé la disparition de leurs homologues, pourraient ensuite avoir beaucoup de mal à s’adapter à des changements environnementaux pouvant survenir dans le futur. Une augmentation rapide de la température des océans pourrait par exemple les mener vers l'extinction, ou du moins provoquer un effondrement de leur population mondiale, impactant directement la filière de la pêche. Des précautions devraient donc être prises dès maintenant pour éviter d’en arriver à ce point.
Les saumons d’élevage n’ont pas de frontière

Les efforts doivent être internationaux. Les études le démontrent également très bien. L’une d’entre elles relate le cas particulier du saumon kéta. Des spécimens libérés au Japon ont été incriminés, étude génétique à l’appui, dans la disparition de populations sauvages de l'Alaska, soit à plus de 4.000 km de leur point d’origine. L’explication est simple : les sources de nourriture présentes dans le Pacifique nord se retrouvent également dans la mer de Béring.

Ces études apportent un regard neuf sur l’exploitation des saumons dans le Pacifique. Il est urgent de développer des consortiums internationaux pour se pencher sur les problématiques abordées. 


 L’apparition d’un événement entraînant un effondrement des stocks de saumon aurait des conséquences désastreuses non seulement sur l’environnement, mais aussi sur de nombreuses filières économiques. Le risque a été présenté, les autorités visées ne pourront pas dire qu’elles n’ont pas été prévenues…

 
Source © Quentin Mauguit, Futura-Sciences



Dans un contexte fortement dépressionnaire, des pluies très abondantes à caractère orageux se sont produites ces dernières 36 h et devraient perdurer encore 24 h. Cette situation s'explique par une situation de blocage sur la France qui se trouve au coeur d'un conflit de masses d'air entre l'air frais qui descend des îles britanniques vers l'Espagne et l'air chaud remontant de Méditerranée.

Les pompiers du Perche Ornais ont été sollicités à de nombreuses reprises, la nuit dernière, pour des inondations chez des particuliers. Ils sont intervenus à onze reprises à Saint-Germain-de-la-Coudre, à douze reprises à La Rouge, huit fois au Theil-sur-Huisne et une fois à L’Hermitière. Ils ont également procédé à des mises en sécurité. Des coulées de boue ont été constatées sur les routes.

Deux passagers d'un TER ont été légèrement blessés près de Nancy quand leur train a déraillé parce que le ballast avait été déstabilisé par de violents orages. L'accident a eu lieu peu avant 7h00 sur la ligne Contrexéville-Nancy, entre Pont-Saint-Vincent et Vézelise (Meurthe-et-Moselle).

Les orages violents de la nuit ont provoqué de forts ruissellements, qui ont légèrement fait glisser le ballast. Selon les pompiers, le train est toutefois resté sur ses roues et n'a pas basculé. Deux passagers, légèrement blessés, ont été transportés vers le centre hospitalier de Nancy.

Dans le Doubs sur la commune de Courvières (Doubs) le violent orage, qui s’est abattu sur le secteur de Levier a foudroyé 7 bovins.

Dans le Jura, un orage a causé de fortes chutes de grêle avec des des grêlons parfois aussi gros qu’une balle de golf dans les secteurs de St Amour et de Salins les Bains.

De la Provence-Alpes-Côte-d'Azur à la Corse en remontant vers la vallée du Rhône, les préalpes et la Franche-Comté on relève les cumuls de pluies suivants depuis 24 heures :

    147,4 mm Carnoux en Provence (13)
    134,4 mm à Mimet (13)
    129,5 à Cassis (13)
    118 mm Simiane-Collongue (13)
    98,7 mm à Aix en Provence (13)
    95,3 mm à Aubagne (13)
    93,9 mm à Plan d'Aups Sainte Baume (13)
    85 mm à Toulon (83)
    82,4 mm au Cap Cepet (83)
    82,1 mm à la Destrousse (13)
    78 mm à Solenzara (Corse)
    71,6 mm à Hyeres (83)
    68 mm à Gourdon (46)
    65 mm à Aurillac (15)
    63 mm à Marseille Marignane (13), record mensuel de 62 mm en 24h du 15 mai 1983 battu
    58,8 mm à Nimes Courbessac (30)
    51,8 mm à Marseille (13)
    50,5 mm à Montplellier (34)
    47 mm à Ajaccio (Corse)
    41 mm à Pau (64)



Source : AFP, France 3, Chaine Météo

Au moins 1 000 personnes ont été évacuées à la suite d'une inondation qui a plongé sous les eaux la moitié d'une ville de la région de Yakutie, dans l'Extrême-Orient de Russie.

La plupart des habitants évacués de la ville de Srednekolymsk, qui sont au nombre de 3 500, ont déménagé dans les maisons de leurs proches ou de leurs connaissances. 150 personnes ont été placées dans trois centres d'évacuation.

Les eaux de la rivière de Kolyma ont atteint les toits des maisons construites sur les plaines de Srednekolymsk.

Selon les prévisions météo, la situation ne devrait pas s'améliorer dans la ville, qui a été victime de ce type d'inondation dévastatrice il y a des décennies.

Source
: Itar-Tass


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Surpêche : dernier jour de l'année pour manger du poisson... français...
 

Sans les importations, les Français ne mangeraient du poisson que 5 mois dans l'année, selon un rapport qui démontre que notre production répond de moins en moins à la demande.

Lundi 21 mai est le dernier jour de l’année 2012 où les Français peuvent manger du poisson. Plus exactement, ce lundi serait le dernier jour si notre consommation de produits de la mer était uniquement basée sur la pêche française et si les importations ne venaient pas compléter l’offre, explique un rapport publié par l’alliance OCEAN2012 et le groupe de réflexion «nef», la "new economics foundation". Ces organisations qui militent contre la surpêche ont calculé pour chaque pays européen, en fonction de leur consommation actuelle, le «jour de dépendance à l’égard du poisson».
Une dépendance accrue

Pour l’ensemble de l’Union européenne, ce jour arrive le 6 juillet : la  moitié de la consommation annuelle est donc satisfaite par les poissons pêchés dans des eaux extra-communautaires. L’UE «exporte sa surpêche» déplorent les auteurs du rapport. La France est encore plus dépendante que la moyenne et son degré d’autosuffisance diminue, malgré la taille de ses côtes, précise la nef. En 2000 le «jour de dépendance» était le 21 juin, un mois plus tard.

D’autres pays européens comme l’Espagne (avec un jour de dépendance le 25 mai), le Portugal 30 mars), l’Italie (21 avril) et l’Allemagne (20 avril) ont également une autosuffisance plus faible que la moyenne européenne. Sans l’aquaculture, incluse dans ces calculs, la dépendance aux poissons importés commencerait un mois plus tôt en Europe, précise la nef.
Pour une autre gestion de la pêche

Le modèle actuel, impliquant une dépendance accrue à la pêche extra européenne, doit être réformé, estiment les organisations regroupées au sein d’OCEAN2012. En cause : la surpêche et la baisse des stocks halieutiques, surexploités et qui ne parviennent plus à se reconstituer. Restaurer 43 des 150 stocks de l’UE permettrait de gagner deux mois d’autosuffisance, selon les projections de la nef.

Dans de précédents rapports, OCEANA2012 et la nef ont dénoncé le coût exorbitant d’une mauvaise gestion des stocks halieutiques dans l’UE –qui subventionne la surpêche- et calculé les bénéfices d’une gestion durable, qui permettrait d’augmenter les prises et de créer des emplois. Dans la ligne de mire de ces associations : la réforme de la Politique commune de la pêche qui doit être adoptée en septembre prochain par le Parlement européen.


 50 milliards de dollars engloutis chaque année

A l’échelle du globe, 75% des stocks de poissons sont exploités à leur maximum ou surexploités, d’après les chiffres de la FAO
(agence des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture). Les prises stagnent à 85 millions de tonnes par an depuis une dizaine d’années, et ce malgré les investissements coûteux réalisés dans le secteur des pêcheries pour aller chercher le poisson toujours plus loin et plus profond.

D’après le rapport de la FAO et de la Banque Mondiale publié en octobre 2008, la mauvaise gestion et la surpêche entraînent une perte annuelle de 50 milliards de dollars.
Le rapport prône deux moyens pour récupérer ces «milliards engloutis» : réduire l’effort de pêche pour augmenter sa rentabilité et reconstruire les stocks de poissons pour permettre à terme une augmentation des rendements et une baisse des coûts de production. Si les stocks étaient reconstitués, estime ce rapport, la moitié de l’effort de pêche actuel suffirait pour réaliser les mêmes prises.



Source © Sciences & Avenir.fr
D’après une étude américano-canadienne, le nombre de requins présents dans l’océan Pacifique aurait chuté de 90 % en dix ans.

Selon une étude américano-canadienne publiée fin avril dans la revue Conservation Biologie, le déclin des populations de requins s’accentue lorsque l’on se rapproche des lieux de peuplement humain. Le constat dressé par les scientifiques est sans appel : au cours de ces trente dernières années, de 30 à 70 millions de squales auraient été tués chaque année par l’Homme (NDLR : plus de 100 selon certaines associations de protection de la nature).

De quoi menacer sérieusement la préservation de cet animal dont un tiers des espèces sont actuellement menacées d’extinction. Situés au sommet de la chaîne alimentaire marine, les requins sont de ce fait des régulateurs de la biodiversité et leur disparition aurait de très graves conséquences pour l’écosystème océanique.

Or, « il reste moins de 10 % des populations de ces requins dans les zones peuplées », estime Marc Nadon, cité par nos confrères du Nouvelobs.com, chercheur à l’Institut de recherche marine et atmosphérique de l’Université d’Hawaï (États-Unis), auteur principal de l’étude et selon lequel « hommes et requins ne font pas bon ménage ».

« Les résultats suggèrent que les hommes ont aujourd’hui une influence plus forte sur l’abondance des requins de récifs que la qualité de l’habitat ou les facteurs océanographiques », précisent les scientifiques, qui ont mené plus de 1 600 enquêtes sous-marines dans près de quarante-six îles et atolls du Pacifique.


À ces données recueillies entre 2004 et 2010 s’ajoutent les informations collectées par les chercheurs auprès des populations humaines ainsi que les mesures de températures relevées par des satellites à la surface de l’océan. Inédite, l’étude a permis de recenser les effectifs de squales présents dans l’océan Pacifique.

Interrogé par le Figaro.fr, M. Nadon déplore « que le nombre de requins de récifs (ait) fortement diminué, surtout autour des îles très peuplées ». » La baisse y dépasse les 90 % comparativement aux requins évoluant à proximité de récifs coralliens et îles isolées », souligne-t-il.

Victimes de la surpêche et du shark finning, – une pratique qui consiste à couper les ailerons des squales avant de rejeter les corps ainsi amputés à la mer –, les requins sont surtout traqués pour leurs ailerons, très convoités en Asie.

Pour satisfaire une demande croissante de ce met très prisé et auquel certaines cultures attribuent des vertus aphrodisiaques, les flottes de pêche étrangères vont jusqu’à employer les populations des atolls peu peuplés du Pacifique pour pêcher les mammifères marins. De fait, mêmes les lagons les plus isolés accusent une diminution dramatique des effectifs de requins, sachant que les prises accidentelles par les pêches industrielle et de loisir sont aussi monnaie courante.

Plusieurs zones étudiées par les scientifiques telles que les îles du nord-ouest de l’archipel d’Hawaï, trois des îles Mariannes (États-Unis) et toutes les îles du Pacific Remote Island Area (États-Unis) sont de surcroît des espaces maritimes placés sous protection fédérale. Une précision qui démontre les limites des réserves marines dans les régions éloignées où les réglementations sont mal voire pas du tout appliquées.

« L’application (des réglementations) de ces îles est un défi majeur méconnu de la conservation et, […] si l’on ne l’aborde pas de manière efficace, les requins de récifs de ces îles auront tous été péchés d’ici les dix prochaines années », prévient la maîtresse de conférence à l’Université de Victoria en Colombie-Britannique (Canada) et co-auteure de l’étude Julia Baum, citée par Greenetvert.fr.

Les chercheurs souhaitent surveiller sur le long terme l’impact de l’activité humaine sur les populations de squales afin de comprendre comment l’Homme altère l’équilibre des océans. D’autres mauvaises surprises sont certainement à prévoir.


Source © anna demontis/Zegreenweb



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Les feux continuent leurs ravages dans l'est de l'état d'Arizona, déjà 30 000 hectares de forets sont partis en fumées
 

Dans l'est de l'état de l'Arizona l'important feu de foret au nom de code le sunflower fire continue inexorablement sa progression. Le feu qui a démarré le 12 mai dernier a déjà ravagé plus de 16 000 hectares de foret, il se trouvait hier à environ 40 Kms au sud de la ville de Payson. seulement 33 % du front étendu était contenu par les forces anti incendie déployées sur le terrain. Il ne menace pour l'instant aucune habitation.

En revanche les pompiers qui luttent sur un autre feu (nom de code Gladiator Fire) au nord de la ville de Phoenix et qui a déjà ravagé prés de 13.000 hectares, ont profité d'une météo plus clémente pour tenter de le contenir loin des abords des villes situées à 100 km au nord de phœnix . Il se répand dans la région comme une traînée de poudre.


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Des inondations ont fait un mort et deux disparus à Lanzhou, capitale de la province du Gansu (nord-ouest).

Du dimanche soir au lundi matin, des inondations ont envahi plusieurs districts et bourgs de la ville. Dans le bourg de Yuzhong, un villageois a trouvé la mort, et deux autres ont été porté disparus, selon le gouvernement local.

Les opérations de recherche se poursuivent, ont annoncé lundi les autorités du gouvernement local.

Dans la province du Jiangxi, des orages et des pluies torrentielles de vendredi à samedi ont entraîné l'évacuation de 30 000 personnes, et plus de 200 maisons se sont effondrées.


D'après le Centre météorologique national, des tempêtes, des chutes de grêle et des vents violents sont attendus lundi et mardi dans des régions du Gansu (nord-ouest), du Ningxia (nord-ouest), du Shaanxi (nord-ouest), du Sichuan (sud-ouest) et du Guizhou (sud-ouest).

Des orages et des chutes de grêle devraient frapper certaines zones du Guangxi (sud) et du Hunan (centre) mardi, a-t-on appris de la même source.

Source chine Info

La justice allemande a décidé vendredi de libérer sous caution Paul Watson, le fondateur de l'organisation écologiste Sea Shepherd, en attendant l'examen d'une demande d'extradition vers le Costa Rica.

Le Canadien a été arrêté dimanche à l'aéroport de Francfort en vertu d'une demande d'extradition du Costa Rica, qui l'accuse d'avoir mis en danger un équipage costaricien lors d'une opération contre la chasse aux requins en 2002.

Réputé pour ses coups de force contre les chalutiers, M. Watson est le fondateur de l'organisation non gouvernementale Sea Shepherd ("Berger de la mer"), qui se consacre à la protection des océans. Il l'a créée en 1977 après une rupture avec Greenpeace.

Le tribunal de Francfort (ouest) a indiqué dans un communiqué que les faits signalés dans la requête du Costa Rica étaient réprimés par le droit allemand et n'étaient pas prescrits.

Plusieurs démarches doivent être effectuées par le ministère allemand de la Justice pour aboutir à une extradition du militant écologiste, a expliqué à l'AFP Ingo Nöhre, un porte-parole du ministère.

En attendant, le tribunal a ordonné la remise en liberté de Paul Watson contre paiement d'une caution de 250.000 euros. Il lui est cependant interdit de quitter le territoire allemand avant la décision éventuelle d'extradition, a souligné le tribunal.

Contesté pour ses méthodes dures, Paul Watson que les membres de l'ONG appellent affectueusement le "Capitaine" avait déclaré dans un entretien avec l'AFP en 2010 n'avoir de comptes à rendre qu'aux baleines ou aux phoques.

Son organisation n'a pas hésité à éperonner en 1979 le baleinier Sierra, qui a coulé dans le port de Lisbonne, même si elle assure tout faire pour "ne mettre personne en danger". Le Japon, pays toujours adepte de la chasse à la baleine, avait qualifié par le passé ses méthodes de "terroristes".

Source © AFP
Craignant que leur maison ne s’effondre sur elles, des milliers de personnes ont passé la nuit dans des tentes ou dans leur voiture.
Le tremblement de terre a entraîné la mort de sept personnes et provoqué d’importants dégâts au patrimoine culturel. De nombreux édifices, dont des églises et un château datant du XIVe siècle, ont été endommagés ou se sont effondrés.

4.000 personnes ont été installées dans diverses structures, selon les autorités locales. Nombreux sont ceux qui ont dormi dans leurs véhicules garés le plus loin possible de tout immeuble.


Le chef du gouvernement italien a décidé d’anticiper son retour du sommet de l’Otan pour etre en Italie dès aujourd’hui.
 

Source AFP et Reuters
dimanche 20 mai 2012
Un nouveau séisme de magnitude 5,1 a frappé dimanche la zone entourant Ferrare, dans le nord-est de l'Italie, a annoncé l'institut de géophysique, tandis que 3.000 personnes ont été jusqu'à présent évacuées de leur domicile, selon la protection civile. 

Cette forte réplique du tremblement de terre survenu dans la nuit s'est produite à 13H18 GMT et a duré plusieurs secondes, provoquant de nouveaux effondrements. 

Cette secousse a entraîné la chute d'un pompier du haut d'un mur, près de la Tour de l'Horloge à Finale Emilia, selon les media italiens. 
 Immédiatement secouru, le pompier a été transporté à l'hôpital, sans connaissance et dans un état grave, selon l'agence italienne Ansa. 

Dans le centre de Sant'Agostino de Ferrare, près de la grande ville, un nouveau pan de la mairie, déjà percée de trous béants, s'est écroulé. 

Le séisme a aussi été ressenti à Bologne et Milan. 

 Pour le moment, selon la protection civile, environ 3.000 personnes ont dû être évacuées de leurs habitations en Emilie Romagne, entre Modène et Ferrare (nord-est de l'Italie) après le fort séisme de magnitude 6 qui a frappé la zone dimanche matin, a annoncé la protection civile. 

La plupart des évacués, 2.500, se trouvent dans la région de Modène alors que 500 sont dans le département de Ferrare. Le séisme a aussi contraint les autorités à évacuer 500 détenus de la prison de Ferrare.

 Le premier séisme, de magnitude révisée à 6 a été enregistré par l'institut national de géophysique à 04H04 (02H04 GMT). Il est survenu à 5,1 km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36 km au nord de Bologne.

Source ©AFP 
Un séisme de magnitude 5,9 sur l'échelle ouverte de Richter a secoué à l'aube, la région de la ville italienne de Bologne, faisant 6 morts et provoquant des dégâts matériels notables. 

Sous l'impact, plusieurs maisons et clochers d'églises de la région se sont écroulés, et des hôpitaux ont été évacués par mesure de sécurité.

La forte secousse sismique a duré une vingtaine de secondes interminables. Elle a été ressentie dans tout le nord-est de la péninsule, de l'Emilie-Romagne à la Vénétie -une famille de touristes colombiens a raconté à l'AFP avoir été prise de panique à Venise-, et même plus légèrement en Lombardie, dans le Frioul ou en Toscane. Elle avait été précédée d'une première, qui n'avait pas causé de dommages, et suivie de deux autres, moins fortes.

La secousse s'est produite à 04h04 et son épicentre a été localisé à une profondeur de 10 km à Finale Emilia, à 36 km au nord de Bologne. . Le séisme a été ressenti dans plusieurs agglomérations de la région d'Emilie-Romagne, à Bologne, Modène, Ferrare, mais également à Rovigo, Vérone et Mantoue.
 

Parmi les victimes figurent quatre ouvriers qui travaillaient de nuit dans des usines. Un Marocain de 29 ans a été tué par la chute d'une poutrelle lors de l'écroulement d'un hangar d'une fabrique de polystyrène expansé à Ponte Rodoni di Bondeno. Deux autres ouvriers italiens ont succombé dans une usine de céramique à Sant-Agostino, quand le toit est tombé sur eux.Le corps d'un quatrième ouvrier a été retrouvé dans la matinée sous les décombres d'une fonderie dans un autre village de la zone.

Deux femmes sont décédées après avoir été prises de malaise à la suite du déclenchement du séisme: une Allemande de 37 ans qui était en déplacement de travail, près de Bologne et une femme de plus de cent ans.

Une cinquantaine de personnes ont été blessées dans la région de Ferrare et de Modène, zone de l'épicentre, mais aucune ne serait gravement atteinte.
Dans la région de Bologne-Ferrare certaines structures habitées sont tombées.

Aucun dégât n'a été rapporté dans la ville de Bologne. Néanmoins les pompiers ont rapporté des "affaissements de structures" près de la ville de Bondeno.


Des milliers de personnes se sont précipitées dans les rues des localités de la région alors que se faisaient sentir plusieurs répliques de fortes intensité.


Contrairement à ce que beaucoup pense la zone de la Plaine du Pô n'est pas asismique. Ferrare en a subi un très important au quinzième siècle dont on peut encore voir les traces. L'Italie est un pays hautement sismique. Les sismologues indiquent que des séismes de magnitude 6 ont touché par le passé cette région.

En 2009, l'Italie avait été touchée par un séisme d'une magnitude de 6,3 qui avait fait près de 300 morts dans la ville de L'Aquila dans le centre du pays.



Source AFP

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Séisme dans le nord-est de l'Italie par BFMTV

samedi 19 mai 2012
Une pollution a été constatée, jeudi dernier, dans l’Oudon, l’affluent le plus important de la rive droite de la Mayenne. 

Bilan : une mortalité importante des poissons. Des traces d’un produit qui reste encore à déterminer ont été relevées dès l’entrée du cours d’eau en Maine-et-Loire et jusqu’à plusieurs kilomètres en aval.

Avant d’en savoir plus sur la nature et l’origine du ou des polluants, qui devraient être déterminées par des analyses actuellement en cours, la préfecture de Maine-et-Loire a fait valoir le principe de précaution en interdisant la pêche et la consommation de poissons récemment pêchés, depuis son point d’entrée en Maine-et-Loire, au nord de L’Hôtellerie-de-Flée, jusqu’à sa confluence avec la Mayenne, à trois kilomètres du Lion-d’Angers.



Source : Ouest France

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