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samedi 7 juillet 2012
20:55
17 860 litres d’acide déversés accidentellement sur le site de forage de Bradford
Mercredi dernier à eu lieu un nouvel accident sur un site de forage au nord est de la Pennsylvanie. 17 860 litres d’acide chlorhydrique ont étés renversés à Leroy Township, le site de forage du compté de Bradford étant exploité par Chief Oil and Gas.
Le déversement survient deux semaines après qu’un geyser de méthane d’une hauteur de 30 pieds est entré en éruption près d’un puits ” Shell” de gaz naturel dans une commune proche, le conté de Tioga
Déjà, en 2011, la ville de Leroy ou Chesapeake Energy exploitait un puits avait subi un jaillissement de 38 000 litres de fluides de fracturation.
Le département de la protection de l’environnement met en cause un problème de valve. “L’acide à ouvert une brèche et à coulé hors de la garniture de protection”, à indiqué par mail le porte parole du DEP, Dan Spadoni.
” Un peu d’acide à été récupéré dans un bassin de sédimentation, alors que le reste s’est écoulé dans un champs puis s’est déversé dans un petit affluent au ruisseau Towanda provoquant quelques décès (mineurs) de poissons.
Des barrages ont étés érigés dans l’affluent avant que l’acide n’ait atteint le ruisseau Towanda.
Dans un rapport, le porte parole en chef Kristi Gittins à indiqué que la majorité de l’acide est resté dans la garniture de protection. Elle à estimé qu’environ 3 040 litres se seraient échappés au delà du site de forage.
Le chef des pompiers qui était intervenu sur le nettoyage du geyser de méthane de Shell indique que la fuite est désormais sous contrôle.
Source © et traduction No Fracking France
...ou encore...
Selon un communiqué de presse du bureau du shérif du comté de Nacogdoches, l'accident s'est produit vers 8 heures jeudi matin près Chireno, à environ 250 kilomètres au sud-est de Dallas. Les ouvriers ont témoigné que la rupture d'un bouchon d'une conduite d'eau à très haute pression a fauché trois de leur collégues sur son passage. Jérémie Keith Neeley a été tué sur le coup, les deux autres hommes ont été transporté à l’hôpital le plus proche, l'un est toujours hospitalisé..
Mercredi dernier à eu lieu un nouvel accident sur un site de forage au nord est de la Pennsylvanie. 17 860 litres d’acide chlorhydrique ont étés renversés à Leroy Township, le site de forage du compté de Bradford étant exploité par Chief Oil and Gas.
Le déversement survient deux semaines après qu’un geyser de méthane d’une hauteur de 30 pieds est entré en éruption près d’un puits ” Shell” de gaz naturel dans une commune proche, le conté de Tioga
Déjà, en 2011, la ville de Leroy ou Chesapeake Energy exploitait un puits avait subi un jaillissement de 38 000 litres de fluides de fracturation.
Le département de la protection de l’environnement met en cause un problème de valve. “L’acide à ouvert une brèche et à coulé hors de la garniture de protection”, à indiqué par mail le porte parole du DEP, Dan Spadoni.
” Un peu d’acide à été récupéré dans un bassin de sédimentation, alors que le reste s’est écoulé dans un champs puis s’est déversé dans un petit affluent au ruisseau Towanda provoquant quelques décès (mineurs) de poissons.
Des barrages ont étés érigés dans l’affluent avant que l’acide n’ait atteint le ruisseau Towanda.
Dans un rapport, le porte parole en chef Kristi Gittins à indiqué que la majorité de l’acide est resté dans la garniture de protection. Elle à estimé qu’environ 3 040 litres se seraient échappés au delà du site de forage.
Le chef des pompiers qui était intervenu sur le nettoyage du geyser de méthane de Shell indique que la fuite est désormais sous contrôle.
Source © et traduction No Fracking France
...ou encore...
Une personne a été tué deux autres ont été blessés dans un accident sur un site de forage de gaz de schiste dans l'Est du Texas .
Selon un communiqué de presse du bureau du shérif du comté de Nacogdoches, l'accident s'est produit vers 8 heures jeudi matin près Chireno, à environ 250 kilomètres au sud-est de Dallas. Les ouvriers ont témoigné que la rupture d'un bouchon d'une conduite d'eau à très haute pression a fauché trois de leur collégues sur son passage. Jérémie Keith Neeley a été tué sur le coup, les deux autres hommes ont été transporté à l’hôpital le plus proche, l'un est toujours hospitalisé..
...ou encore cette affaire qui reste toujours sans réponse des anciens exploitants du site face aux plaintes des résidents...
.etc...etc...etc...
20:16
Des pluies torrentielles et de violentes crues ont fait au moins 103 morts dans la région russe de Krasnodar (sud-ouest) alors que les secours ne cessaient samedi de retrouver de nouveaux corps dans cette zone de la riviera russe, dans le piémont du Caucase bordé par la mer Noire.
Quatre-vingt douze corps, selon un dernier bilan, ont été retrouvés dans le district de Krymsk, une zone de l'arrière-pays touchée par une crue de plusieurs mètres de haut durant la nuit, a indiqué une source policière locale.
Neuf corps ont également été retrouvés dans la station balnéaire de Gelendjik, et deux dans le port voisin de Novorossiisk. Un précédent bilan faisait état de 99 morts.
Selon les autorités locales, plus de 12.000 habitants et 4.000 habitations ont été touchés par le désastre.
Alors que le nombre des victimes n'a cessé d'augmenter et que le mécontentement grandissait dans la région, selon les témoignages, mais aussi sur l'internet où se multipliaient les accusations de négligence, Vladimir Poutine a fait savoir qu'il se rendait dans la zone.
Le président va survoler en hélicoptère les districts les plus touchés avant de participer à une réunion d'urgence sur place, a indiqué son porte-parole Dmitri Peskov.
Selon les témoignages, alors que la région était déjà sous de fortes pluies vendredi et que cinq personnes avaient péri à Gelendjik, une violente crue s'est déclenchée vers 3 heures du matin dans le district de Krymsk, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.
L'eau est montée très vite, elle a inondé le rez-de-chaussée des maisons en 5-10 minutes, a emporté des bordures de trottoir et même des plaques d'asphalte, a déclaré par téléphone à l'AFP une habitante de Krymsk, Tatiana Antonovna.
C'était très inattendu, beaucoup de personnes âgées ont dû périr, a ajouté cette femme, épargnée car sa maison est bâtie sur une hauteur.
Des canots sont apparus dans les rues voisines au matin, une femme avait passé la nuit dans un arbre et a été sauvée, a-t-elle encore raconté.
D'autres témoins ont décrit un mur d'eau qui dévastait tout sur son passage.
Plusieurs ont soupçonné qu'une retenue artificielle située en amont avait pu céder, déborder, voire qu'un lâcher d'eau du barrage avait été effectué.
A Moscou, le parti d'opposition Iabloko a affirmé disposer d'informations confirmant ces soupçons.
La montée rapide des eaux a été provoquée par un lâcher d'eau en catastrophe de la retenue de Neberdjaevski, située plus haut dans les montagnes. La population n'avait pas été informée, a écrit Iabloko dans un communiqué, exigeant que les coupables soient punis pour homicide par imprudence.
Selon le parti, la retenue n'a pas été équipée de moyens de réguler progressivement son niveau, malgré le précédent d'une inondation en 2002.
Le porte-parole d'Alexandre Tkatchev, le gouverneur de la région de Krasnodar, a qualifié ces accusations de délire.
Il est tombé sur la région cinq mois de précipitations d'un coup, a-t-il expliqué sur Twitter.
Le ministère des Situations d'urgence a également démenti cette version, affirmant que les retenues d'eau de la région n'étaient pas pleines.
Le comité d'enquête russe a néanmoins annoncé avoir ouvert une enquête et dépêché des enquêteurs sur place.
Dans cette zone côtière, le courant a été coupé, les routes bloquées et le trafic ferroviaire interrompu.
L'activité du port de Novorossiisk, le plus important port russe en mer Noire, a également été suspendue.
Le niveau de l'eau a atteint 4 à 7 mètres dans le district de Krymsk selon les autorités locales.
On n'a rien vu de pareil depuis 70 ans, a déclaré le gouverneur Alexandre Tkatchev.
Les secours ont indiqué préparer un camp de 60 tentes pour 1.000 places au total dans le district de Krymsk.
Source ©AFP 07/07/2012 18h30
Ajout du 08/07/2012
Le bilan des victimes de pluies torrentielles et de violentes crues dans la région russe de Krasnodar (sud-ouest) est passé de 134 à 141 morts dans la nuit, les secours continuant de retrouver de nouvelles victimes, selon un nouveau bilan communiqué dimanche par la police.
De nombreuses victimes n'ont pas encore pu être identifiées, a précisé à l'AFP un responsable de la force spéciale pour les catastrophes naturelles.
Selon les autorités locales, plus de 12.000 habitants et 4.000 habitations ont été touchés par le désastre.
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Une nappe de pétrole a été découverte dans la mer Noire près de Novorossiïsk le 7 juillet, rapporte l'agence Interfax, citant une déclaration de la société JSC Novorossiysk Commercial Sea Port.
La société a indiqué qu'en raison de fortes pluies du pétrole brut a été emporté par les pluies dans la mer Noire. La source de contamination vient de l'extérieur du port, mais la société n'a pas indiqué le lieu précis de la fuite. L’échelle de la pollution n'a pas encore été déterminé. Actuellement, les services de secours du port de Novorossiïsk ont engagés des opérations de décontamination.
Novorossiïsk se trouve parmi les villes les au sud de la Russie qui sont très touchées par les inondations causées par des pluies diluviennes prolongées. En raison des intempéries , l'entreprise Transneft a cessé toute expédition de pétrole vers le port de Novorossiïsk.
Source: Interfax
Quatre-vingt douze corps, selon un dernier bilan, ont été retrouvés dans le district de Krymsk, une zone de l'arrière-pays touchée par une crue de plusieurs mètres de haut durant la nuit, a indiqué une source policière locale.
Neuf corps ont également été retrouvés dans la station balnéaire de Gelendjik, et deux dans le port voisin de Novorossiisk. Un précédent bilan faisait état de 99 morts.
Selon les autorités locales, plus de 12.000 habitants et 4.000 habitations ont été touchés par le désastre.
Alors que le nombre des victimes n'a cessé d'augmenter et que le mécontentement grandissait dans la région, selon les témoignages, mais aussi sur l'internet où se multipliaient les accusations de négligence, Vladimir Poutine a fait savoir qu'il se rendait dans la zone.
Le président va survoler en hélicoptère les districts les plus touchés avant de participer à une réunion d'urgence sur place, a indiqué son porte-parole Dmitri Peskov.
Selon les témoignages, alors que la région était déjà sous de fortes pluies vendredi et que cinq personnes avaient péri à Gelendjik, une violente crue s'est déclenchée vers 3 heures du matin dans le district de Krymsk, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.
L'eau est montée très vite, elle a inondé le rez-de-chaussée des maisons en 5-10 minutes, a emporté des bordures de trottoir et même des plaques d'asphalte, a déclaré par téléphone à l'AFP une habitante de Krymsk, Tatiana Antonovna.
C'était très inattendu, beaucoup de personnes âgées ont dû périr, a ajouté cette femme, épargnée car sa maison est bâtie sur une hauteur.
Des canots sont apparus dans les rues voisines au matin, une femme avait passé la nuit dans un arbre et a été sauvée, a-t-elle encore raconté.
D'autres témoins ont décrit un mur d'eau qui dévastait tout sur son passage.
Plusieurs ont soupçonné qu'une retenue artificielle située en amont avait pu céder, déborder, voire qu'un lâcher d'eau du barrage avait été effectué.
A Moscou, le parti d'opposition Iabloko a affirmé disposer d'informations confirmant ces soupçons.
La montée rapide des eaux a été provoquée par un lâcher d'eau en catastrophe de la retenue de Neberdjaevski, située plus haut dans les montagnes. La population n'avait pas été informée, a écrit Iabloko dans un communiqué, exigeant que les coupables soient punis pour homicide par imprudence.
Selon le parti, la retenue n'a pas été équipée de moyens de réguler progressivement son niveau, malgré le précédent d'une inondation en 2002.
Le porte-parole d'Alexandre Tkatchev, le gouverneur de la région de Krasnodar, a qualifié ces accusations de délire.
Il est tombé sur la région cinq mois de précipitations d'un coup, a-t-il expliqué sur Twitter.
Le ministère des Situations d'urgence a également démenti cette version, affirmant que les retenues d'eau de la région n'étaient pas pleines.
Le comité d'enquête russe a néanmoins annoncé avoir ouvert une enquête et dépêché des enquêteurs sur place.
Dans cette zone côtière, le courant a été coupé, les routes bloquées et le trafic ferroviaire interrompu.
L'activité du port de Novorossiisk, le plus important port russe en mer Noire, a également été suspendue.
Le niveau de l'eau a atteint 4 à 7 mètres dans le district de Krymsk selon les autorités locales.
On n'a rien vu de pareil depuis 70 ans, a déclaré le gouverneur Alexandre Tkatchev.
Les secours ont indiqué préparer un camp de 60 tentes pour 1.000 places au total dans le district de Krymsk.
Source ©AFP 07/07/2012 18h30
Ajout du 08/07/2012
Le bilan des victimes de pluies torrentielles et de violentes crues dans la région russe de Krasnodar (sud-ouest) est passé de 134 à 141 morts dans la nuit, les secours continuant de retrouver de nouvelles victimes, selon un nouveau bilan communiqué dimanche par la police.
De nombreuses victimes n'ont pas encore pu être identifiées, a précisé à l'AFP un responsable de la force spéciale pour les catastrophes naturelles.
Selon les autorités locales, plus de 12.000 habitants et 4.000 habitations ont été touchés par le désastre.
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Une nappe de pétrole a été découverte dans la mer Noire près de Novorossiïsk le 7 juillet, rapporte l'agence Interfax, citant une déclaration de la société JSC Novorossiysk Commercial Sea Port.
La société a indiqué qu'en raison de fortes pluies du pétrole brut a été emporté par les pluies dans la mer Noire. La source de contamination vient de l'extérieur du port, mais la société n'a pas indiqué le lieu précis de la fuite. L’échelle de la pollution n'a pas encore été déterminé. Actuellement, les services de secours du port de Novorossiïsk ont engagés des opérations de décontamination.
Novorossiïsk se trouve parmi les villes les au sud de la Russie qui sont très touchées par les inondations causées par des pluies diluviennes prolongées. En raison des intempéries , l'entreprise Transneft a cessé toute expédition de pétrole vers le port de Novorossiïsk.
Source: Interfax
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vendredi 6 juillet 2012
17:56
Marseille - L'Agence de l'eau Rhône-Méditerranée et Corse et la Direction interrégionale de la mer Méditerranée (DIRM) ont dévoilé vendredi un plan d'action de 600 millions d'euros, entre 2013 et 2018, dont les priorités sont de restaurer les habitats marins et de traquer les rejets illicites en mer.
On engagera désormais 100 millions d'euros par an pour préserver la mer, c'est une manne financière gigantesque, a souligné le directeur de l'Agence de l'eau Rhône-Méditerranée et Corse, Martin Guespereau, lors d'une conférence de presse à Marseille organisée avec son homologue de la DIRM, Pierre-Yves Andrieu.
Sur ce montant, 75% seront consacrés à la réduction des flux polluants, 80% des pollutions en mer étant d'origine terrestre, a souligné M. Andrieu. (Ajout de nature Alerte: sans compter les plateformes offshore a venir bien entendu...subtil...) Le reste - 25 millions d'euros, un montant en très nette hausse par rapport aux budgets précédents - ira à la restauration des fonds marins, la recherche, la gestion, la surveillance et la sensibilisation des usagers de la mer.
Pour ce faire, 13 objectifs environnementaux (Ajout Nature Alerte ...c'est vrai ça ...13 c'est un bon chiffre...) ont été fixés pour la Méditerranée occidentale, touchant à la préservation des habitats et des espèces, à la réduction des différents types de pollution et de pression sur l'écosystème, au développement de la recherche, de la réglementation et de la sensibilisation.
Ces objectifs feront l'objet d'une consultation publique sur internet entre le 16 juillet et le 15 octobre 2012 (Ajout Nature Alerte:...Magnez vous si vous êtes en vacances, après c'est la rentrée, olé...), le plan d'action final devant être validé en 2015 par le préfet maritime de la Méditerranée et le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, qui chapeautent un conseil maritime de façade. (Ajout Nature Alerte...de façade c'est pour le crépi ?...)
Source ©AFP / 06 juillet 2012
______________________________________________________________________________________
...Et hep!!!... ça vous rappelle pas les négociations de 1973 ...?...bon ok...ça va ...je sors...
...Ah et puis ces deux dates à se souvenir...bien...sûr...!!!...alors...z'a vous de jouer...bon allez je démé...ninge...
On engagera désormais 100 millions d'euros par an pour préserver la mer, c'est une manne financière gigantesque, a souligné le directeur de l'Agence de l'eau Rhône-Méditerranée et Corse, Martin Guespereau, lors d'une conférence de presse à Marseille organisée avec son homologue de la DIRM, Pierre-Yves Andrieu.
Sur ce montant, 75% seront consacrés à la réduction des flux polluants, 80% des pollutions en mer étant d'origine terrestre, a souligné M. Andrieu. (Ajout de nature Alerte: sans compter les plateformes offshore a venir bien entendu...subtil...) Le reste - 25 millions d'euros, un montant en très nette hausse par rapport aux budgets précédents - ira à la restauration des fonds marins, la recherche, la gestion, la surveillance et la sensibilisation des usagers de la mer.
Ce plan d'action, le 10e mis en oeuvre pour le littoral et la mer par l'Agence de l'eau de la Méditerranée, s'inscrit dans le cadre d'une directive cadre européenne adoptée le 17 juin 2008, ( ajout Nature Alerte ...ça va, ils n'ont pas trop de retard...) visant à garantir un bon état écologique du milieu marin au plus tard en 2020. Ce bon état étant à définir.
Pour ce faire, 13 objectifs environnementaux (Ajout Nature Alerte ...c'est vrai ça ...13 c'est un bon chiffre...) ont été fixés pour la Méditerranée occidentale, touchant à la préservation des habitats et des espèces, à la réduction des différents types de pollution et de pression sur l'écosystème, au développement de la recherche, de la réglementation et de la sensibilisation.
Ces objectifs feront l'objet d'une consultation publique sur internet entre le 16 juillet et le 15 octobre 2012 (Ajout Nature Alerte:...Magnez vous si vous êtes en vacances, après c'est la rentrée, olé...), le plan d'action final devant être validé en 2015 par le préfet maritime de la Méditerranée et le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, qui chapeautent un conseil maritime de façade. (Ajout Nature Alerte...de façade c'est pour le crépi ?...)
Source ©AFP / 06 juillet 2012
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...Et hep!!!... ça vous rappelle pas les négociations de 1973 ...?...bon ok...ça va ...je sors...
...Ah et puis ces deux dates à se souvenir...bien...sûr...!!!...alors...z'a vous de jouer...bon allez je démé...ninge...
17:29
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La Commission baleinière internationale (CBI), réunie à Panama, a rejeté jeudi la demande du Danemark d'augmenter ses quotas de chasse à la baleine pour les peuples indigènes du Groenland, dont 10 baleines à bosse par an, et la chasse sera interdite dès fin 2012.
Les autres membres de l'Union européenne ont voté contre le Danemark après l'échec de discussions visant à diminuer le nombre de captures proposées, ce qui a surpris des observateurs présents à la réunion annuelle de la CBI.
Des délégués et des représentants des associations écologistes se sont dits préoccupés par l'augmentation de la vente de viande de baleine au Groenland, ce qui démontrerait qu'il s'agirait d'une chasse commerciale déguisée et non d'une pratique traditionnelle destinée à la consommation indigène, autorisée par la CBI.
Chasse interdite dès fin 2012
Le Danemark avait demandé de se voir allouer un quota de 1.326 prises entre 2013 et 2018, dont 10 baleines à bosse par an, en légère augmentation par rapport à un accord négocié il y a deux ans.
En raison du vote négatif de la Commission, le Danemark ne sera plus autorisé à chasser de baleines à l'expiration de ses quotas, fin 2012.
"Nous allons rentrer à la maison et réfléchir à ce que nous allons faire à l'avenir", a déclaré le délégué danois, Ole Samsing, devant la presse.
Vingt-cinq pays ont soutenu la demande danoise, 34 s'y sont opposés et trois se sont abstenus.
"Il me semble que certains pays n'ont pas assumé leurs responsabilités. C'est dommage", a également déploré Ole Samsing.
Les opposants à la chasse ont reproché au Danemark de n'avoir pas su négocier avec les autres pays.
"Ces cinq dernières années, nous avons vu les efforts du Groenland pour progressivement augmenter ses prises et son insistance à obtenir la complicité de la Commission", a critiqué le délégué néo-zélandais, Gerard van Bohemen.
Le Monégasque Fréderic Briand, vétéran de la protection des baleines, a estimé que le Danemark et le Groenland auraient dû "présenter leur demande d'une façon plus mesurée, sans aller directement à l'affrontement".
"Dysfonctionnements"
L'Islande - unique pays avec la Norvège à se livrer ouvertement à la pêche commerciale - a estimé pour sa part que la Commission pâtissait de "dysfonctionnements".
"Je ne sais vraiment pas ce que nous cherchons", déclaré le délégué islandais Johann Gudmundssona, qui s'est demandé si cette décision s'adressait "aux gens qui veulent faire des océans des espèces de musées".
La Commission, dont la réunion annuelle se déroule jusqu'à vendredi, a approuvé mardi des quotas de chasse pour les populations autochtones des Etats-Unis, de la Russie et de Saint-Vincent-et-Grenadines, dans les Caraïbes.
Source © AFP
La Commission baleinière internationale (CBI), réunie à Panama, a rejeté jeudi la demande du Danemark d'augmenter ses quotas de chasse à la baleine pour les peuples indigènes du Groenland, dont 10 baleines à bosse par an, et la chasse sera interdite dès fin 2012.
Les autres membres de l'Union européenne ont voté contre le Danemark après l'échec de discussions visant à diminuer le nombre de captures proposées, ce qui a surpris des observateurs présents à la réunion annuelle de la CBI.
Des délégués et des représentants des associations écologistes se sont dits préoccupés par l'augmentation de la vente de viande de baleine au Groenland, ce qui démontrerait qu'il s'agirait d'une chasse commerciale déguisée et non d'une pratique traditionnelle destinée à la consommation indigène, autorisée par la CBI.
Chasse interdite dès fin 2012
Le Danemark avait demandé de se voir allouer un quota de 1.326 prises entre 2013 et 2018, dont 10 baleines à bosse par an, en légère augmentation par rapport à un accord négocié il y a deux ans.
En raison du vote négatif de la Commission, le Danemark ne sera plus autorisé à chasser de baleines à l'expiration de ses quotas, fin 2012.
"Nous allons rentrer à la maison et réfléchir à ce que nous allons faire à l'avenir", a déclaré le délégué danois, Ole Samsing, devant la presse.
Vingt-cinq pays ont soutenu la demande danoise, 34 s'y sont opposés et trois se sont abstenus.
"Il me semble que certains pays n'ont pas assumé leurs responsabilités. C'est dommage", a également déploré Ole Samsing.
Les opposants à la chasse ont reproché au Danemark de n'avoir pas su négocier avec les autres pays.
"Ces cinq dernières années, nous avons vu les efforts du Groenland pour progressivement augmenter ses prises et son insistance à obtenir la complicité de la Commission", a critiqué le délégué néo-zélandais, Gerard van Bohemen.
Le Monégasque Fréderic Briand, vétéran de la protection des baleines, a estimé que le Danemark et le Groenland auraient dû "présenter leur demande d'une façon plus mesurée, sans aller directement à l'affrontement".
"Dysfonctionnements"
L'Islande - unique pays avec la Norvège à se livrer ouvertement à la pêche commerciale - a estimé pour sa part que la Commission pâtissait de "dysfonctionnements".
"Je ne sais vraiment pas ce que nous cherchons", déclaré le délégué islandais Johann Gudmundssona, qui s'est demandé si cette décision s'adressait "aux gens qui veulent faire des océans des espèces de musées".
La Commission, dont la réunion annuelle se déroule jusqu'à vendredi, a approuvé mardi des quotas de chasse pour les populations autochtones des Etats-Unis, de la Russie et de Saint-Vincent-et-Grenadines, dans les Caraïbes.
Mercredi, la Corée du Sud a créé la surprise en annonçant la reprise de campagnes de pêche scientifiques, abandonnées depuis 26 ans, une pratique tolérée par la CBI qui interdit la chasse commerciale aux cétacés depuis 1986.
Lundi, le Japon avait fait capoter un vote sur la création d'un sanctuaire pour baleines dans l'Atlantique sud.Source © AFP
17:19
En un quart de siècle de forte expansion économique, le niveau de vie a quadruplé au Vietnam. L’envers de la médaille : une forte pollution industrielle.
«Si la pollution de l’environnement se poursuit au rythme actuel, nous ne pourrons pas prévoir ce qu’il adviendra du développement socio-économique du pays», a résumé Bui Thi An, qui représente Hanoi à l’Assemblée nationale du Vietnam.
Plusieurs de ses collègues ont également estimé que des dizaines de millions de Vietnamiens vivent aujourd’hui dans des environnements pollués. Une grande partie de la faute en incombe aux parcs industriels qui, selon le site VietnamNet, produisent des «rivières de la honte».
Sur les 283 Parcs industriels du pays, 35% n’ont pas de système de traitement des eaux usagées et beaucoup d’autres disposent de systèmes peu performants.
Par exemple, les autorités viennent de découvrir que trois parcs industriels aux alentours du port de Danang, dans le centre, et un autre dans la province septentrionale de Phu Tho ont endommagé l’environnement pendant des années.
«Nous allons continuer de poursuivre les inspections et les parcs industriels qui ne se doteront pas de systèmes adéquats de traitement des eaux usagées perdront leur autorisation de fonctionner», a déclaré à la mi-juin Nguyên Minh Quang, ministre des Ressources naturelles et de l’Environnement.
Environ 70% des trois millions de mètres cubes d’eaux usagées produites quotidiennement sont déversées dans la nature. Fleuves, cours d’eau et canaux sont de plus en plus victimes d’une pollution industrielle qui coûte au Vietnam, selon la Banque mondiale, 5,5% de son PIB.
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«Si la pollution de l’environnement se poursuit au rythme actuel, nous ne pourrons pas prévoir ce qu’il adviendra du développement socio-économique du pays», a résumé Bui Thi An, qui représente Hanoi à l’Assemblée nationale du Vietnam.
Plusieurs de ses collègues ont également estimé que des dizaines de millions de Vietnamiens vivent aujourd’hui dans des environnements pollués. Une grande partie de la faute en incombe aux parcs industriels qui, selon le site VietnamNet, produisent des «rivières de la honte».
Sur les 283 Parcs industriels du pays, 35% n’ont pas de système de traitement des eaux usagées et beaucoup d’autres disposent de systèmes peu performants.
Par exemple, les autorités viennent de découvrir que trois parcs industriels aux alentours du port de Danang, dans le centre, et un autre dans la province septentrionale de Phu Tho ont endommagé l’environnement pendant des années.
«Nous allons continuer de poursuivre les inspections et les parcs industriels qui ne se doteront pas de systèmes adéquats de traitement des eaux usagées perdront leur autorisation de fonctionner», a déclaré à la mi-juin Nguyên Minh Quang, ministre des Ressources naturelles et de l’Environnement.
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14:12
Les experts météorologues mettent en garde de nombreuses régions du Royaume-Uni, Des pluies diluviennes risquent de s'abattre sur plusieur contés, avec des niveaux de précipitation égalant en 24 h 00 celles d'un mois complet dans certains endroits.
L’agence de l'environnement a exhorté 86 communautés en Angleterre et au Pays de Galles, principalement dans l'est et au nord-est de l'Angleterre, à être extrêmement vigilants. Elle a lancé hier une alerte aux inondations qui pourraient être les pires de l'année, de fortes pluies ont déjà commencé à frapper l'East Anglia et l'East Midlands.
Deux bandes de fortes pluies sont attendues ce vendredi et samedi matin, elles vont traverser le pays du nord au sud, et l'alerte est donné sur le Yorkshire, le Nord-Est de l'Angleterre, les Midlands, l'East Anglia et la moitié nord du pays de Galles où sont attendus des pluies diluviennes qui risquent de créer d'importantes inondations..
Les régions du Cambridgeshire et l'Essex seraient touchées en premier lieu, avant que ces pluies remontent vers le nord.
Entre 20mm et 40mm voir 60 mm de pluie devrait tomber dans les régions centrales et le nord de l'Angleterre en 24 h 00, soit la chute moyenne mensuelle d'un mois de Juillet.
L’agence écossaise de protection de l'environnement a émis des alertes d'inondations pour le Tayside ainsi que l'Ayrshire et l'Arran.
Il n'y a pas de système d'alerte contre les inondations en Irlande du Nord, néanmoins le Met Office lance une alerte jaune pour l'ensemble du pays, soyez vigilant.
Pete Fox appelle les communes à distribuer des sac en plastique aux populations afin de pouvoir protéger leurs affaires personnelles,par exemple les photos et albums de familles et objets de valeurs. Il est recommandé de garer les voitures sur les hauteurs.
Plus de cinq millions de foyers sont jugés à risque d'inondation, at-il ajouté.
Au cours du week-end, de fortes pluies sont attendues dans le nord de l'Angleterre, le centre et le sud de l'Ecosse .
Soyez vigilant dés maintenant!!!
© Nature Alerte
L’agence de l'environnement a exhorté 86 communautés en Angleterre et au Pays de Galles, principalement dans l'est et au nord-est de l'Angleterre, à être extrêmement vigilants. Elle a lancé hier une alerte aux inondations qui pourraient être les pires de l'année, de fortes pluies ont déjà commencé à frapper l'East Anglia et l'East Midlands.
Deux bandes de fortes pluies sont attendues ce vendredi et samedi matin, elles vont traverser le pays du nord au sud, et l'alerte est donné sur le Yorkshire, le Nord-Est de l'Angleterre, les Midlands, l'East Anglia et la moitié nord du pays de Galles où sont attendus des pluies diluviennes qui risquent de créer d'importantes inondations..
Les régions du Cambridgeshire et l'Essex seraient touchées en premier lieu, avant que ces pluies remontent vers le nord.
Entre 20mm et 40mm voir 60 mm de pluie devrait tomber dans les régions centrales et le nord de l'Angleterre en 24 h 00, soit la chute moyenne mensuelle d'un mois de Juillet.
L’agence écossaise de protection de l'environnement a émis des alertes d'inondations pour le Tayside ainsi que l'Ayrshire et l'Arran.
Il n'y a pas de système d'alerte contre les inondations en Irlande du Nord, néanmoins le Met Office lance une alerte jaune pour l'ensemble du pays, soyez vigilant.
Pete Fox appelle les communes à distribuer des sac en plastique aux populations afin de pouvoir protéger leurs affaires personnelles,par exemple les photos et albums de familles et objets de valeurs. Il est recommandé de garer les voitures sur les hauteurs.
Plus de cinq millions de foyers sont jugés à risque d'inondation, at-il ajouté.
Au cours du week-end, de fortes pluies sont attendues dans le nord de l'Angleterre, le centre et le sud de l'Ecosse .
Soyez vigilant dés maintenant!!!
© Nature Alerte
12:54
Jeudi après-midi, vers 14 h 30, au cœur de l'usine papetière Smurfit Kappa à Biganos, un cuvier de 4 500 m³ a éclaté, déversant 3 500 m³ de liqueur noire, un liquide huileux, de couleur marron, composé de jus de cuisson de bois et de soude caustique, qui est notamment recyclé comme combustible dans les chaudières de l'usine.
Les responsables de la papeterie ont immédiatement fait évacuer l'usine dans laquelle travaillaient, à ce moment-là, près de 150 personnes, en raison du risque corrosif de ce liquide dont le PH est de 13. La production de papier kraft a également été arrêtée pour une durée indéterminée.
La Leyre est devenue toute noire
L'eau claire de la Leyre ne l'est plus. Depuis hier, en fin d'après-midi, l'eau est devenue brunâtre, voire noire par endroits et elle est clairsemée de bouts de mousse blanche et marron. De temps en temps, un poisson mort dérive vers l'embouchure. En effet, la Leyre, qui serpente au cœur du Parc naturel régional des Landes de Gascogne constitue le principal apport en eau douce du Bassin et il ne fait donc aucun doute que l'eau polluée hier par l'accident de l'usine Smurfit s'est déjà déversée dans la Petite Mer après avoir traversé le parc ornithologique du Teich…
2 kilomètres de cours d'eau
Il n'y a pas eu de blessés mais le liquide s'est répandu, en une forme de vague, qui a sauté les murets, à l'intérieur du site. Une partie de ce liquide, estimée entre 100 et 500 m³, s'est ensuite déversée dans le Lacanau, un ruisseau qui se jette dans la Leyre, elle-même se jetant dans le bassin d'Arcachon. Un barrage filtrant a été mis en place pour endiguer et limiter cette pollution.
Le sous-préfet d'Arcachon, Jean-Pierre Hamon, rapidement sur les lieux, a réuni un PC d'urgence au cœur de l'usine papetière, avec les pompiers du Sdis, les gendarmes des brigades de Biganos, Gujan-Mestras, et du Psig, sous l'autorité du commandant Vidalo, chef de la compagnie de gendarmerie d'Arcachon, l'ONF, la Dreal, la direction départementale des territoires et de la mer, ainsi que les responsables de Smurfit Kappa, le PDG Laurent Sellier et le directeur Nicolas Le Feuvre.
Des mesures conservatoires ont été prises. Les gendarmes ont fait sortir les canoës de la Leyre et interdit toutes activités sur la rivière. Le maire du Teich, François Deluga, a fait fermer les écluses du parc ornithologique, interdit la baignade sur les rives de la Leyre et prévenu les loueurs de canoës kayaks que l'activité était interdite aujourd'hui. Autant de mesures que devait conforter un arrêté préfectoral.
Pompiers et gendarmes ont, dans le même temps, procédé à une évaluation de la situation sur les deux kilomètres de cours d'eau où étaient visibles des traces de pollution. Le sous-préfet a même survolé la zone à bord d'un hélicoptère du Sdis.
Plainte des ostréiculteurs
Le président des ostréiculteurs, Olivier Laban, immédiatement informé, a de son côté, adressé un SMS aux ostréiculteurs pour leur recommander de ne faire aucun mouvement d'eau, de fermer les vannes de leurs circuits fermés.
En début de soirée, alors que des poissons morts étaient signalés à deux endroits des cours d'eau, au point de rejet de ce liquide et à mi-parcours, les analyses effectuées sur huit points permanents de contrôle depuis 16 h 30 établissaient un PH normal de 7. « La fuite est maîtrisée et la dilution fonctionne bien », observait le sous-préfet, qui ajoutait que « l'alimentation en eau potable des communes du Bassin n'est pas concernée par cet accident ».
Olivier Laban, désolé pour la faune et la flore de la Leyre, restait cependant très inquiet pour les ostréiculteurs : « J'espère que les forts coefficients de marée, ce soir et demain (aujourd'hui) vont favoriser la dilution de ce liquide, mais ce que j'ai vu dans la Leyre est très impressionnant. »
Jeudi soir, le président du comité régional conchylicole a chargé Me François Ruffié de déposer ce matin une plainte pour pollution : « Nous avions déjà déposé une plainte en 2009 car un bassin de rétention de l'usine n'était plus aux normes. Des travaux vont être engagés mais on sent très bien que cette usine est une menace. »
Le Bassin sous surveillance
Ce vendredi matin, une réunion doit avoir lieu à la sous-préfecture d'Arcachon, en présence du président des ostréiculteurs, des responsables du Siba et d'Ifremer afin de mettre en place un dispositif de suivi pour connaître l'impact de cette pollution dans les eaux du Bassin.
Même si le risque semble inexistant, une surveillance de la qualité des eaux de baignade sera également effectuée ce vendredi matin sur les plages de la côte sud du Bassin.
Le parquet de Bordeaux a confié l'enquête sur les circonstances et les conséquences de cet accident industriel à la brigade des recherches de la compagnie de gendarmerie d'Arcachon.
Jeudi soir, les constatations des enquêteurs sur le site étaient terminées. Mais l'activité de la papeterie était toujours arrêtée.
Source Sudouest.fr
Les responsables de la papeterie ont immédiatement fait évacuer l'usine dans laquelle travaillaient, à ce moment-là, près de 150 personnes, en raison du risque corrosif de ce liquide dont le PH est de 13. La production de papier kraft a également été arrêtée pour une durée indéterminée.
La Leyre est devenue toute noire
L'eau claire de la Leyre ne l'est plus. Depuis hier, en fin d'après-midi, l'eau est devenue brunâtre, voire noire par endroits et elle est clairsemée de bouts de mousse blanche et marron. De temps en temps, un poisson mort dérive vers l'embouchure. En effet, la Leyre, qui serpente au cœur du Parc naturel régional des Landes de Gascogne constitue le principal apport en eau douce du Bassin et il ne fait donc aucun doute que l'eau polluée hier par l'accident de l'usine Smurfit s'est déjà déversée dans la Petite Mer après avoir traversé le parc ornithologique du Teich…
2 kilomètres de cours d'eau
Il n'y a pas eu de blessés mais le liquide s'est répandu, en une forme de vague, qui a sauté les murets, à l'intérieur du site. Une partie de ce liquide, estimée entre 100 et 500 m³, s'est ensuite déversée dans le Lacanau, un ruisseau qui se jette dans la Leyre, elle-même se jetant dans le bassin d'Arcachon. Un barrage filtrant a été mis en place pour endiguer et limiter cette pollution.
Le sous-préfet d'Arcachon, Jean-Pierre Hamon, rapidement sur les lieux, a réuni un PC d'urgence au cœur de l'usine papetière, avec les pompiers du Sdis, les gendarmes des brigades de Biganos, Gujan-Mestras, et du Psig, sous l'autorité du commandant Vidalo, chef de la compagnie de gendarmerie d'Arcachon, l'ONF, la Dreal, la direction départementale des territoires et de la mer, ainsi que les responsables de Smurfit Kappa, le PDG Laurent Sellier et le directeur Nicolas Le Feuvre.
Des mesures conservatoires ont été prises. Les gendarmes ont fait sortir les canoës de la Leyre et interdit toutes activités sur la rivière. Le maire du Teich, François Deluga, a fait fermer les écluses du parc ornithologique, interdit la baignade sur les rives de la Leyre et prévenu les loueurs de canoës kayaks que l'activité était interdite aujourd'hui. Autant de mesures que devait conforter un arrêté préfectoral.
Pompiers et gendarmes ont, dans le même temps, procédé à une évaluation de la situation sur les deux kilomètres de cours d'eau où étaient visibles des traces de pollution. Le sous-préfet a même survolé la zone à bord d'un hélicoptère du Sdis.
Plainte des ostréiculteurs
Le président des ostréiculteurs, Olivier Laban, immédiatement informé, a de son côté, adressé un SMS aux ostréiculteurs pour leur recommander de ne faire aucun mouvement d'eau, de fermer les vannes de leurs circuits fermés.
En début de soirée, alors que des poissons morts étaient signalés à deux endroits des cours d'eau, au point de rejet de ce liquide et à mi-parcours, les analyses effectuées sur huit points permanents de contrôle depuis 16 h 30 établissaient un PH normal de 7. « La fuite est maîtrisée et la dilution fonctionne bien », observait le sous-préfet, qui ajoutait que « l'alimentation en eau potable des communes du Bassin n'est pas concernée par cet accident ».
Olivier Laban, désolé pour la faune et la flore de la Leyre, restait cependant très inquiet pour les ostréiculteurs : « J'espère que les forts coefficients de marée, ce soir et demain (aujourd'hui) vont favoriser la dilution de ce liquide, mais ce que j'ai vu dans la Leyre est très impressionnant. »
Jeudi soir, le président du comité régional conchylicole a chargé Me François Ruffié de déposer ce matin une plainte pour pollution : « Nous avions déjà déposé une plainte en 2009 car un bassin de rétention de l'usine n'était plus aux normes. Des travaux vont être engagés mais on sent très bien que cette usine est une menace. »
Le Bassin sous surveillance
Ce vendredi matin, une réunion doit avoir lieu à la sous-préfecture d'Arcachon, en présence du président des ostréiculteurs, des responsables du Siba et d'Ifremer afin de mettre en place un dispositif de suivi pour connaître l'impact de cette pollution dans les eaux du Bassin.
Même si le risque semble inexistant, une surveillance de la qualité des eaux de baignade sera également effectuée ce vendredi matin sur les plages de la côte sud du Bassin.
Le parquet de Bordeaux a confié l'enquête sur les circonstances et les conséquences de cet accident industriel à la brigade des recherches de la compagnie de gendarmerie d'Arcachon.
Jeudi soir, les constatations des enquêteurs sur le site étaient terminées. Mais l'activité de la papeterie était toujours arrêtée.
Source Sudouest.fr
jeudi 5 juillet 2012
20:43
Un étude récente révèle que les ormeaux blancs que l'on trouvait aisément et par millions sur la côte sud de la Californie il y a une vingtaine d'années, ont vu leur nombres diminué drastiquement au cours de la dernière décennie et sont aujourd'hui au bord de l'extinction.
Dans une étude publiée cette semaine, les scientifiques de la National Oceanic and Atmospheric Administration ont rapporté "un déclin dramatique et continue de la population des ces mollusques de mer dans la région de San Diego, une tendance qui n'a fait qu'empirer depuis qu'ils ont été protégés de la surpêche dans les années 1990.
Cette enquête constate une réduction de 78 pour cent du nombre d' ormeaux blancs dans les rochers de la côte de San Diego depuis 2002, et pour ceux qui restent, ils sont si vieux ou si isolés qu'ils ne peuvent plus se reproduire.
Les chercheurs nous avertissent, que si rien n'est fait pour lancer un programme de reproduction de frayage artificiel en bassin, les animaux trop âgés ( ils peuvent vivre 35 ans) restant sur la côte, ne seront pas en mesure de se reproduire eux même.
"A ce stade, sans intervention humaine, l' espèce pourrait s'éteindre dans la prochaine décennie", a déclaré la co-auteure Melissa Neuman, coordinatrice de la récupération des ormeaux pour le service de la NOAA National Marine Fisheries.
Leur rapport, publié dans une revue de Conservation biologique, exhorte "une conservation proactive immédiate par élevage en captivité de l'ormeau blanc avant de les relâcher dans la nature", stipulant qu'il est le seul moyen actuel de les sauver.
"Cette étude met en évidence l'urgence et l'importance d'un élevage en captivité immédiate", a déclaré Kevin Stierhoff, auteur principal de l'étude et spécialiste de la NOAA
L'ormeau blanc étaient très abondants dans les forêts de varech et les récifs rocheux entre Point Conception et Baja en Californie jusque dans les années 1970. Les plongeurs pêcheurs professionnels en ont péché plus de 350.000 dans les année 1980. Cette surexploitation a causé des dégâts irréversibles et la pêche de l'ormeau blanc a été interdite en 1997. L'ormeau blanc a été considéré comme une espèce en voie de disparition par le gouvernement fédéral dés 2001.
Actuellement, seulement quelques milliers sont encore en vie.
L'ormeau blanc est l'une des sept espèces d'ormeaux qui vivent dans les eaux de la Californie. Jusqu'ici ils étaient tous considérés comme à l'abri de l'extinction. L'ormeau noir, un cousin de l'ormeau blanc, a été classée en danger critique d'extinction en 2009.
"Le cas de l'ormeau blanc," note ce rapport, "montre que les invertébrés marins à haute valeur commerciale, sont incontestablement devenu vulnérables."
En revanche ce rapport ne dit absolument rien sur l'eutrophisation dramatique qui touche les côtes de San Diego et de ces possibles incidences sur ces mollusques...étrange...
© Nature Alerte
Source Los Angeles Times
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Dans une étude publiée cette semaine, les scientifiques de la National Oceanic and Atmospheric Administration ont rapporté "un déclin dramatique et continue de la population des ces mollusques de mer dans la région de San Diego, une tendance qui n'a fait qu'empirer depuis qu'ils ont été protégés de la surpêche dans les années 1990.
Cette enquête constate une réduction de 78 pour cent du nombre d' ormeaux blancs dans les rochers de la côte de San Diego depuis 2002, et pour ceux qui restent, ils sont si vieux ou si isolés qu'ils ne peuvent plus se reproduire.
Les chercheurs nous avertissent, que si rien n'est fait pour lancer un programme de reproduction de frayage artificiel en bassin, les animaux trop âgés ( ils peuvent vivre 35 ans) restant sur la côte, ne seront pas en mesure de se reproduire eux même.
"A ce stade, sans intervention humaine, l' espèce pourrait s'éteindre dans la prochaine décennie", a déclaré la co-auteure Melissa Neuman, coordinatrice de la récupération des ormeaux pour le service de la NOAA National Marine Fisheries.
Leur rapport, publié dans une revue de Conservation biologique, exhorte "une conservation proactive immédiate par élevage en captivité de l'ormeau blanc avant de les relâcher dans la nature", stipulant qu'il est le seul moyen actuel de les sauver.
"Cette étude met en évidence l'urgence et l'importance d'un élevage en captivité immédiate", a déclaré Kevin Stierhoff, auteur principal de l'étude et spécialiste de la NOAA
L'ormeau blanc étaient très abondants dans les forêts de varech et les récifs rocheux entre Point Conception et Baja en Californie jusque dans les années 1970. Les plongeurs pêcheurs professionnels en ont péché plus de 350.000 dans les année 1980. Cette surexploitation a causé des dégâts irréversibles et la pêche de l'ormeau blanc a été interdite en 1997. L'ormeau blanc a été considéré comme une espèce en voie de disparition par le gouvernement fédéral dés 2001.
Actuellement, seulement quelques milliers sont encore en vie.
L'ormeau blanc est l'une des sept espèces d'ormeaux qui vivent dans les eaux de la Californie. Jusqu'ici ils étaient tous considérés comme à l'abri de l'extinction. L'ormeau noir, un cousin de l'ormeau blanc, a été classée en danger critique d'extinction en 2009.
"Le cas de l'ormeau blanc," note ce rapport, "montre que les invertébrés marins à haute valeur commerciale, sont incontestablement devenu vulnérables."
En revanche ce rapport ne dit absolument rien sur l'eutrophisation dramatique qui touche les côtes de San Diego et de ces possibles incidences sur ces mollusques...étrange...
Ben oui il va falloir lancer un programme de reproduction en bassin avant de relâcher des beaux ormeaux dans la nature....et ce certainement pour les touristes? ... En attendant l'eutrophisation a de beaux jours devant elle...elle ira en s'empirant pour mieux les recevoir...
© Nature Alerte
Source Los Angeles Times
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20:26
Une pulvérisation de dispersant de pétrole a été conduite dans le golf de Mexico, au large de la commune de Plaquemine au sud de la ville de New Orleans en Louisiane, sans qu'aucun préavis n'est été émis aux autoritées publiques, le maire de la commune se plaint et réclame des explications.
Billy Nungesser est contrarié parce qu'aucun préavis ne lui a été notifié avant qu'une opération de pulvérisation de dispersants pour réduire les nappes de pétrole polluantes en mer soit effectuée au large de sa commune le 13 Juin dernier. Il ne croit pas non plus aux explications ultérieures qui lui ont été fourni et qui affirme qu'ils s'agissait simplement d'exercices, où les avions ne pulvérisaient en fait que de l'eau.
PJ Hahn le responsable communal de la gestion des zones côtières, affirme quant à lui, qu'il a été directement prévenu par des pécheurs qui travaillaient au large pendant la pulvérisation du 13 Juin dernier. Ils lui indiquaient qu'un avion volant a basse altitude dispersait des produits qui se transformaient en mousses au contact de l'eau de mer, et ils lui réclamaient des explications en effet le dispersant utilisé leur brulait la peau et les yeux.
PJ Hahn affirme que les pécheurs se plaignaient.
" le produit leur brûlait la peau et leur provoquaient des éruptions cutanées, lorsqu'ils remontaient les filets. J'ai immédiatement appelait le garde côtier qui m'a affirmé qu'aucun préavis de pulvérisation n'était prévu dans ses rapports"
les pécheurs lui ont immédiatement transmis des photos prises avec leur téléphones portables, montrant effectivement de large trainées blanches sur l'océan.
Ce n'est qu'à partir de ce moment là que le maire Billy Nungesser a reçu un appel de la "Marine Spill Response Corp" ( MSRC ), une association d'industries pétrolières à but non lucratif spécialiste du nettoyage des pollutions marines, lui confirmant effectivement le départ d'avions depuis la base de Kiln dans le Mississippi, pour des exercices de pulvérisation n'épandant que de l'eau.
Après avoir lui même consulté les photos transmises par les pécheurs le maire, Billy Nungesser, n'en croit pas un mot.
"«Regardez vous même les images! ils pulvérisent autre chose que de l'eau . Nous voulons simplement des réponses à nos questions, et de plus amples explications. "
Judith Roos la porte parole du MSRC affirme quant à elle, que cette pulvérisation n'avait pour but que de nettoyer les réservoirs des avions avec de l'eau. Ces avions n'ont pas été utilisé depuis deux ans, depuis la catastrophe de deep water.
Elle ne veut pas commenter les photos prises par les pécheurs, qui lui paraissent douteuses.
Elle affirme que les gardes côtiers sont prévenus de chaque sortie, et qu'elle ne comprend pas pourquoi le garde côtier ce jour là n'était pas avisé . Elle ajoute qu'elle ne voit aucun inconvénient à ajouter les maires à la liste des personnes à prévenir lors des interventions de la MSRC.
Le maire et le responsable côtier de la commune ont déposé plainte et lancent un ultimatum au 3 juillet vers les autorités pour leur fournir de plus amples informations, avant de déposer ce dossier devant la justice.
© Nature Alerte
Source : www.nola.com
Billy Nungesser est contrarié parce qu'aucun préavis ne lui a été notifié avant qu'une opération de pulvérisation de dispersants pour réduire les nappes de pétrole polluantes en mer soit effectuée au large de sa commune le 13 Juin dernier. Il ne croit pas non plus aux explications ultérieures qui lui ont été fourni et qui affirme qu'ils s'agissait simplement d'exercices, où les avions ne pulvérisaient en fait que de l'eau.
PJ Hahn le responsable communal de la gestion des zones côtières, affirme quant à lui, qu'il a été directement prévenu par des pécheurs qui travaillaient au large pendant la pulvérisation du 13 Juin dernier. Ils lui indiquaient qu'un avion volant a basse altitude dispersait des produits qui se transformaient en mousses au contact de l'eau de mer, et ils lui réclamaient des explications en effet le dispersant utilisé leur brulait la peau et les yeux.
PJ Hahn affirme que les pécheurs se plaignaient.
" le produit leur brûlait la peau et leur provoquaient des éruptions cutanées, lorsqu'ils remontaient les filets. J'ai immédiatement appelait le garde côtier qui m'a affirmé qu'aucun préavis de pulvérisation n'était prévu dans ses rapports"
les pécheurs lui ont immédiatement transmis des photos prises avec leur téléphones portables, montrant effectivement de large trainées blanches sur l'océan.
Ce n'est qu'à partir de ce moment là que le maire Billy Nungesser a reçu un appel de la "Marine Spill Response Corp" ( MSRC ), une association d'industries pétrolières à but non lucratif spécialiste du nettoyage des pollutions marines, lui confirmant effectivement le départ d'avions depuis la base de Kiln dans le Mississippi, pour des exercices de pulvérisation n'épandant que de l'eau.
Après avoir lui même consulté les photos transmises par les pécheurs le maire, Billy Nungesser, n'en croit pas un mot.
"«Regardez vous même les images! ils pulvérisent autre chose que de l'eau . Nous voulons simplement des réponses à nos questions, et de plus amples explications. "
Judith Roos la porte parole du MSRC affirme quant à elle, que cette pulvérisation n'avait pour but que de nettoyer les réservoirs des avions avec de l'eau. Ces avions n'ont pas été utilisé depuis deux ans, depuis la catastrophe de deep water.
Elle ne veut pas commenter les photos prises par les pécheurs, qui lui paraissent douteuses.
Elle affirme que les gardes côtiers sont prévenus de chaque sortie, et qu'elle ne comprend pas pourquoi le garde côtier ce jour là n'était pas avisé . Elle ajoute qu'elle ne voit aucun inconvénient à ajouter les maires à la liste des personnes à prévenir lors des interventions de la MSRC.
Le maire et le responsable côtier de la commune ont déposé plainte et lancent un ultimatum au 3 juillet vers les autorités pour leur fournir de plus amples informations, avant de déposer ce dossier devant la justice.
© Nature Alerte
Source : www.nola.com
20:16
La Corée du Sud reprend la chasse à la baleine
Séoul a annoncé reprendre la chasse à la baleine, après 26 ans d’interruption, provoquant l’indignation des défenseurs de l’environnement.
Lors de la réunion de la Commission baleinière internationale (CBI), au Panama, la Corée du Sud a déclaré reprendre la chasse à la baleine, après 26 ans d’interruption. Le pays justifie sa décision en l’inscrivant dans le cadre d’une « recherche scientifique », à l’instar du Japon qui utilise ce même argument, lui permettant de chasser et de vendre la viande.
Le ministre des Affaires étrangères en Nouvelle-Zélande, Murray McCully, s’indigne : « le projet de Séoul n’a pas plus de crédibilité que le programme soi-disant scientifique conduit par le Japon, dont on sait depuis longtemps qu’il cache une chasse commerciale ».
Un sujet de critiques internationales
Si le projet de Séoul ne devrait pas intervenir avant l’été 2013, devant être examiné par un comité scientifique de la CBI, on observe déjà une grande levée de boucliers. La Fédération coréenne pour l’environnement a ainsi appelé le gouvernement à revenir sur ses plans : « nous condamnons le ministère de l’Agriculture et de la Pêche pour marcher dans les traces du Japon en matière de chasse à la baleine, qui est devenu un sujet de critiques internationales ».
De même, la Première ministre australienne Julia Gillard, a déclaré : « je suis très déçue de l’annonce de la Corée du Sud. Nous sommes totalement opposés à la chasse à la baleine, il n’y a aucune excuse pour une chasse à la baleine sous des prétextes scientifiques ».
La Corée du Sud autorise déjà la vente de viande de baleines attrapées accidentellement dans les filets de pêche. Néanmoins, le taux anormalement élevé de baleines capturées « par erreur » fait dire aux protecteurs de l’environnement que beaucoup sont déjà tuées délibérément.
Source AFP
Séoul a annoncé reprendre la chasse à la baleine, après 26 ans d’interruption, provoquant l’indignation des défenseurs de l’environnement.
Lors de la réunion de la Commission baleinière internationale (CBI), au Panama, la Corée du Sud a déclaré reprendre la chasse à la baleine, après 26 ans d’interruption. Le pays justifie sa décision en l’inscrivant dans le cadre d’une « recherche scientifique », à l’instar du Japon qui utilise ce même argument, lui permettant de chasser et de vendre la viande.
Le ministre des Affaires étrangères en Nouvelle-Zélande, Murray McCully, s’indigne : « le projet de Séoul n’a pas plus de crédibilité que le programme soi-disant scientifique conduit par le Japon, dont on sait depuis longtemps qu’il cache une chasse commerciale ».
Un sujet de critiques internationales
Si le projet de Séoul ne devrait pas intervenir avant l’été 2013, devant être examiné par un comité scientifique de la CBI, on observe déjà une grande levée de boucliers. La Fédération coréenne pour l’environnement a ainsi appelé le gouvernement à revenir sur ses plans : « nous condamnons le ministère de l’Agriculture et de la Pêche pour marcher dans les traces du Japon en matière de chasse à la baleine, qui est devenu un sujet de critiques internationales ».
De même, la Première ministre australienne Julia Gillard, a déclaré : « je suis très déçue de l’annonce de la Corée du Sud. Nous sommes totalement opposés à la chasse à la baleine, il n’y a aucune excuse pour une chasse à la baleine sous des prétextes scientifiques ».
La Corée du Sud autorise déjà la vente de viande de baleines attrapées accidentellement dans les filets de pêche. Néanmoins, le taux anormalement élevé de baleines capturées « par erreur » fait dire aux protecteurs de l’environnement que beaucoup sont déjà tuées délibérément.
Source AFP
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20:06
Des pluies torrentielles ont frappé la ville de Nanchong mercredi, provoquant des inondations et de nombreux glissements de terrain.
La Commission de sauvetage et de secours aux sinistrés et le ministère chinois des affaires civiles ont lancé une intervention d'urgence nationale pour envoyer des équipes de secours sur les zones sinistrées du Sichuan .
Le transport de 5 000 tentes et 20 000 couvertures ont été déployé d'urgence pour venir en aide aux sinistrés.
Selon le rapport du département des affaires civiles de la province de Sichuan, plus de 4,6 millions de personnes ont été touchées par les pluies, les inondations et les glissements de terrain, on recense 13 morts à Dazhou,Nanchong et Bazhong depuis le 29 juin, le gouvernement a évacué environ 250 000 personnes.
© Nature Alerte
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La Commission de sauvetage et de secours aux sinistrés et le ministère chinois des affaires civiles ont lancé une intervention d'urgence nationale pour envoyer des équipes de secours sur les zones sinistrées du Sichuan .
Le transport de 5 000 tentes et 20 000 couvertures ont été déployé d'urgence pour venir en aide aux sinistrés.
Selon le rapport du département des affaires civiles de la province de Sichuan, plus de 4,6 millions de personnes ont été touchées par les pluies, les inondations et les glissements de terrain, on recense 13 morts à Dazhou,Nanchong et Bazhong depuis le 29 juin, le gouvernement a évacué environ 250 000 personnes.
© Nature Alerte
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mercredi 4 juillet 2012
15:45
Selon un rapport publié par AsiaOne.com, les résidents du village de Kampung Sungai Rual ont révélé à la presse que l'industrie forestière dans la région affecte dramatiquement la rivière d'où ils tirent l'eau de leur subsistance.
Le chef du village Abdul Rashid Bernas a confirmé qu'il est confronté à ce problème depuis longtemps mais qu'en plus l'état de la rivière a empiré récemment.
Nous vivions une légère accalmie depuis que l'exploitation forestière dans la région avait largement réduit son activité fin 2010 , mais en Janvier dernier, elle a augmenté de façon spectaculaire, au grand détriment de la rivière et des villageois, pour qui elle est la seule ressource en eau.
"La saison des pluies ne fait qu'aggraver la situation, les pluies charrient les limons que laisse derrière elle l'exploitation forestière, et qui viennent gravement troublé notre rivière"
Aujourd'hui nous avons de très gros problèmes pour nous approvisionner en eau potable, et nous appelons d'urgence le gouvernement à intervenir, notre existence est maintenant menacée.
Nous devons également faire face à un nouveau phénomène imprévu, le déferlement d' éléphants sauvages déchaînés dans nos villages, et qui détruisent dans leur passages toutes nos cultures.
Rahmat Topani directeur de la faune et des parcs nationaux du Kelatan confirme que l'exploitation forestière intensive force les éléphants à fuir leur habitats et à aller chercher de la nourriture ailleurs et en particulier aux abords des villages.
En attendant une réaction de leur gouvernement, les villageois ont du mal à survivre et à joindre les deux bouts, pour nourrir leur familles, ils doivent avoir accès à l'eau potable: Ils exigent aujourd'hui un droit d’accès à l'eau potable pour tous les Malaisiens.
© Nature Alerte
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Les Penans : derniers nomades de Malaisie par Diablangel
Le chef du village Abdul Rashid Bernas a confirmé qu'il est confronté à ce problème depuis longtemps mais qu'en plus l'état de la rivière a empiré récemment.
Nous vivions une légère accalmie depuis que l'exploitation forestière dans la région avait largement réduit son activité fin 2010 , mais en Janvier dernier, elle a augmenté de façon spectaculaire, au grand détriment de la rivière et des villageois, pour qui elle est la seule ressource en eau.
"La saison des pluies ne fait qu'aggraver la situation, les pluies charrient les limons que laisse derrière elle l'exploitation forestière, et qui viennent gravement troublé notre rivière"
Aujourd'hui nous avons de très gros problèmes pour nous approvisionner en eau potable, et nous appelons d'urgence le gouvernement à intervenir, notre existence est maintenant menacée.
Nous devons également faire face à un nouveau phénomène imprévu, le déferlement d' éléphants sauvages déchaînés dans nos villages, et qui détruisent dans leur passages toutes nos cultures.
Rahmat Topani directeur de la faune et des parcs nationaux du Kelatan confirme que l'exploitation forestière intensive force les éléphants à fuir leur habitats et à aller chercher de la nourriture ailleurs et en particulier aux abords des villages.
En attendant une réaction de leur gouvernement, les villageois ont du mal à survivre et à joindre les deux bouts, pour nourrir leur familles, ils doivent avoir accès à l'eau potable: Ils exigent aujourd'hui un droit d’accès à l'eau potable pour tous les Malaisiens.
© Nature Alerte
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Les Penans : derniers nomades de Malaisie par Diablangel
15:35
Dans la soirée de lundi, aux environs de 22 h 30, une pollution a été constatée dans le Lignon, un cours d'eau qui prend sa source dans le Sidobre, au niveau de Guyor, sur la commune du Bez, traversant Lacrouzette avant de se jeter dans l'Agout, en amont de Burlats.
Cette importante pollution, visible encore dans la journée d'hier par sa forte couleur blanc laiteux, a nécessité l'intervention des techniciens de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques du Tarn (Onema 81), dont le responsable départemental Daniel Maynadier.
«Il semblerait que le phénomène soit lié à une fuite dans un bassin de décantation puisque le polluant est composé de boues de sciages de granit, a-t-il constaté . Cette pollution est importante au niveau de l'impact qu'elle peut avoir sur la faune du cours d'eau!»
Aujourd'hui, la totalité des entreprises spécialisées dans le granit sont équipées de bassins de décantation.
L'enquête menée par les gendarmes de la brigade de Montredon-Labessonnié, avec le concours technique de l'Onema, devrait rapidement déterminer l'origine de cet incident qui, de fait, a entraîné le polluant via le confluent du Lignon avec l'Agout, en amont de la commune de Burlats.
Source © La dépêche
Cette importante pollution, visible encore dans la journée d'hier par sa forte couleur blanc laiteux, a nécessité l'intervention des techniciens de l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques du Tarn (Onema 81), dont le responsable départemental Daniel Maynadier.
«Il semblerait que le phénomène soit lié à une fuite dans un bassin de décantation puisque le polluant est composé de boues de sciages de granit, a-t-il constaté . Cette pollution est importante au niveau de l'impact qu'elle peut avoir sur la faune du cours d'eau!»
Aujourd'hui, la totalité des entreprises spécialisées dans le granit sont équipées de bassins de décantation.
L'enquête menée par les gendarmes de la brigade de Montredon-Labessonnié, avec le concours technique de l'Onema, devrait rapidement déterminer l'origine de cet incident qui, de fait, a entraîné le polluant via le confluent du Lignon avec l'Agout, en amont de la commune de Burlats.
Source © La dépêche
15:31
Huit personnes, dont quatre enfants, ont péri à la suite d'inondations provoquées par des pluies torrentielles dans le nord-est de la Turquie. Deux personnes étaient portées disparues et 21 autres ont été blessées.
Les équipes de secours ont découvert les corps d'un père et de ses deux enfants, ainsi que les cadavres de deux autres enfants dans le soubassement d'un immeuble d'un quartier populaire de la ville portuaire de Samsun, située sur la mer Noire, particulièrement affectée par les précipitations. Des habitants ont retrouvé dans la même ville dans les décombres de sa maison le corps d'une femme dont l'identité est inconnue.
Les pluies ont provoqué la sortie de son lit d'une rivière mardi soir, inondant des maisons, des magasins et entraînant des voitures dans le port de Samsun, sur la mer noire, a précisé l'agence de presse officielle Anadolu. Deux frères, âgés de un an et cinq ans, ainsi qu'un père et ses deux fils de 9 et 16 ans se sont noyés lors de l'inondation de leur maison.
Source : Agence Anatolie
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Samsun'da Sel Felaketi par trthaber
Les équipes de secours ont découvert les corps d'un père et de ses deux enfants, ainsi que les cadavres de deux autres enfants dans le soubassement d'un immeuble d'un quartier populaire de la ville portuaire de Samsun, située sur la mer Noire, particulièrement affectée par les précipitations. Des habitants ont retrouvé dans la même ville dans les décombres de sa maison le corps d'une femme dont l'identité est inconnue.
Les pluies ont provoqué la sortie de son lit d'une rivière mardi soir, inondant des maisons, des magasins et entraînant des voitures dans le port de Samsun, sur la mer noire, a précisé l'agence de presse officielle Anadolu. Deux frères, âgés de un an et cinq ans, ainsi qu'un père et ses deux fils de 9 et 16 ans se sont noyés lors de l'inondation de leur maison.
Source : Agence Anatolie
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Samsun'da Sel Felaketi par trthaber
mardi 3 juillet 2012
21:37
En se basant sur des théories scientifiques, des modélisations d'écosystèmes et des preuves paléontologiques, une équipe de 18 chercheurs, incluant un professeur de la Simon Fraser University (SFU, Vancouver), prédit que les écosystèmes de la Terre vont faire face à un effondrement imminent et irréversible.
Dans un article récemment publié dans Nature intitulé "Approaching a state-shift in Earth's biosphere", les auteurs examinent l'accélération de la perte de biodiversité, les fluctuations climatiques de plus en plus extrêmes, l'interconnexion grandissante des écosystèmes et le changement radical du bilan énergétique global. Ils suggèrent que tous ces éléments constituent des précurseurs à l'apparition d'un état planétaire de seuil ou encore d'un point de basculement[1]. Si cela s'avérait exact, ce que les auteurs prédisent pour le siècle en cours, les écosystèmes de la planète, tels que nous les connaissons, pourraient rapidement et irréversiblement s'effondrer.
"Le dernier point de basculement dans l'histoire de la Terre est apparu il y a 12 000 ans, lorsque notre planète est passée de l'âge de glace, qui a duré 100 000 ans, à un état interglaciaire", a déclaré Arne Mooers, un des auteurs de l'article et professeur de biodiversité à SFU. "A ce moment, des changements biologiques les plus extrêmes menant à notre état actuel sont apparus en seulement 1000 ans. C'est comme passer de l'état de bébé à l'âge adulte en moins d'une année. Mais la planète est en train de changer encore plus rapidement aujourd'hui".
"Il y a une probabilité très élevée que le prochain changement d'état global sera extrêmement perturbateur pour nos civilisations. Souvenez-vous, nous sommes passés de l'état de chasseurs-cueilleurs à celui capable de marcher sur la Lune dans une des périodes les plus stables et anodines de toute l'histoire de la Terre", a souligné Arne Moeers. "Lorsque le seuil sera atteint, ce sera un point de non-retour. Ainsi, si un système bascule vers un nouvel état parce que vous y ajoutez beaucoup d'énergie, même si vous retirez ensuite cette nouvelle énergie, il ne repassera pas dans son état précédent. La planète ne possède pas la mémoire de son état précédent". Autrement dit, lorsque les activités humaines modifient le bilan radiatif de la Terre en émettant massivement des gaz à effet de serre, nous prenons un risque très élevé : celui de faire basculer brutalement tout le système climatique vers un nouvel état d'équilibre, sans que nos sociétés soient capables de s'adapter, tout comme les écosystèmes actuels.
Ces projections contredisent une croyance populaire répandue selon laquelle la pression de l'Homme sur le changement climatique qui détruit notre planète est encore contestable, et qu'un effondrement serait alors graduel et étalé sur plusieurs siècles. L'étude conclut que nous serions avisés de ne pas transformer la surface de la Terre de plus de 50%, ou nous ne serions plus capables d'inverser ce processus.
Or, nous avons aujourd'hui atteint 43% de ces changements, en convertissant les paysages en zones agricoles et urbaines. "En un mot, les hommes n'ont rien fait réellement de significatif pour éviter le pire car les structures sociales existantes ne sont juste pas les bonnes", dit Mooers. "Mes collègues qui étudient les changements climatiques induits à travers l'histoire de la Terre sont plus qu'inquiets. En fait, ils sont terrifiés"...
Source © Christophe Magdelaine / notre-planete.info
_____________________________________________________________________________________
Voici les liens des trois parties:
partie 1/3 (ci dessous)
http://www.dailymotion.com/user/nature-boy-79/video/x8oy9l_la-11eme-heure-ecologie-13_news
Partie 2/3
http://www.dailymotion.com/user/nature-boy-79/video/x8oz58_la-11eme-heure-ecologie-23_news
partie 3/3
http://www.dailymotion.com/user/nature-boy-79/video/x8ozy6_la-11eme-heure-ecologie-33_news
La 11ème Heure ecologie 1/3 par nature-boy-79
Dans un article récemment publié dans Nature intitulé "Approaching a state-shift in Earth's biosphere", les auteurs examinent l'accélération de la perte de biodiversité, les fluctuations climatiques de plus en plus extrêmes, l'interconnexion grandissante des écosystèmes et le changement radical du bilan énergétique global. Ils suggèrent que tous ces éléments constituent des précurseurs à l'apparition d'un état planétaire de seuil ou encore d'un point de basculement[1]. Si cela s'avérait exact, ce que les auteurs prédisent pour le siècle en cours, les écosystèmes de la planète, tels que nous les connaissons, pourraient rapidement et irréversiblement s'effondrer.
"Le dernier point de basculement dans l'histoire de la Terre est apparu il y a 12 000 ans, lorsque notre planète est passée de l'âge de glace, qui a duré 100 000 ans, à un état interglaciaire", a déclaré Arne Mooers, un des auteurs de l'article et professeur de biodiversité à SFU. "A ce moment, des changements biologiques les plus extrêmes menant à notre état actuel sont apparus en seulement 1000 ans. C'est comme passer de l'état de bébé à l'âge adulte en moins d'une année. Mais la planète est en train de changer encore plus rapidement aujourd'hui".
"Il y a une probabilité très élevée que le prochain changement d'état global sera extrêmement perturbateur pour nos civilisations. Souvenez-vous, nous sommes passés de l'état de chasseurs-cueilleurs à celui capable de marcher sur la Lune dans une des périodes les plus stables et anodines de toute l'histoire de la Terre", a souligné Arne Moeers. "Lorsque le seuil sera atteint, ce sera un point de non-retour. Ainsi, si un système bascule vers un nouvel état parce que vous y ajoutez beaucoup d'énergie, même si vous retirez ensuite cette nouvelle énergie, il ne repassera pas dans son état précédent. La planète ne possède pas la mémoire de son état précédent". Autrement dit, lorsque les activités humaines modifient le bilan radiatif de la Terre en émettant massivement des gaz à effet de serre, nous prenons un risque très élevé : celui de faire basculer brutalement tout le système climatique vers un nouvel état d'équilibre, sans que nos sociétés soient capables de s'adapter, tout comme les écosystèmes actuels.
Ces projections contredisent une croyance populaire répandue selon laquelle la pression de l'Homme sur le changement climatique qui détruit notre planète est encore contestable, et qu'un effondrement serait alors graduel et étalé sur plusieurs siècles. L'étude conclut que nous serions avisés de ne pas transformer la surface de la Terre de plus de 50%, ou nous ne serions plus capables d'inverser ce processus.
Or, nous avons aujourd'hui atteint 43% de ces changements, en convertissant les paysages en zones agricoles et urbaines. "En un mot, les hommes n'ont rien fait réellement de significatif pour éviter le pire car les structures sociales existantes ne sont juste pas les bonnes", dit Mooers. "Mes collègues qui étudient les changements climatiques induits à travers l'histoire de la Terre sont plus qu'inquiets. En fait, ils sont terrifiés"...
Source © Christophe Magdelaine / notre-planete.info
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Je vous invite à regarder ce documentaire avec attention vous y trouverez l'essentiel à connaitre sur les raisons du dérèglement écologique que notre planète traverse actuellement , et dans la troisième partie les fondements majeurs de notre incapacité collective à réagir...
Voici les liens des trois parties:
partie 1/3 (ci dessous)
http://www.dailymotion.com/user/nature-boy-79/video/x8oy9l_la-11eme-heure-ecologie-13_news
Partie 2/3
http://www.dailymotion.com/user/nature-boy-79/video/x8oz58_la-11eme-heure-ecologie-23_news
partie 3/3
http://www.dailymotion.com/user/nature-boy-79/video/x8ozy6_la-11eme-heure-ecologie-33_news
La 11ème Heure ecologie 1/3 par nature-boy-79
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