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dimanche 13 janvier 2013
Des pluies torrentielles et des vents violents ont frappé le centre et le Sud du Malawi.

Plusieurs villages ont été très durement touchés par ces intempéries, avec des dizaines de maisons qui se sont effondrées.


Des fleuves sont sortis de leur lit provoquant des inondations dans plusieurs banlieues.


Des opérations de sauvetage avec ravitaillements en nourritures et matériels de première nécessité ont été mises en place dans les districts les plus touchés.

Trois personnes sont mortes et plus de 5000 autres ont été déplacées et hébergées dans des églises ou des écoles.
Une grande éruption du volcan Manam,au nord de la Nouvelle-Guinée, semble avoir eu lieu ce matin vers 05:30. Le VAAC de Darwin a signalé que le panache de cendres s'est élevé à environ 14 km d'altitude.
Un point chaud est même visible sur les données satellitaires du MODIS. L'île est isolée et la majorité de sa population a été déplacé depuis la dernière activité majeure du volcan en 2004.



Une éruption violente du volcan Stromboli, couplé avec l'effondrement de la partie Nord Est de son cratère a été observé, il a provoqué un énorme panache de cendres et de vapeur visible depuis les autres îles de l'archipel.

L'explosion combinée avec d'importantes chutes de pierres a entrainé une importante coulée de lave qui aujourd'hui encore se déverse dans la mer, un énorme panache de cendres et de vapeurs s'en dégage.

La situation est surveillée en permanence par l'Institut national de géophysique et de vulcanologie de Rome.

Le Maire, Mark Giorgianni assure rester en contact permanent avec les volcanologues. La situation est sous contrôle. Les habitants sont tous en sureté et n'ont rien à craindre.

Ce matin un vol de reconnaissance avec des experts de la défense civile à son bord a été effectué pour évaluer la situation et l'étendue du phénomène éruptif.


© Nature Alerte
samedi 12 janvier 2013
Des centaines de milliers de poissons morts ont été signalés cette semaine sur les plages de l'île Masonboro par les responsables de l'environnement de Caroline du Nord aux états unis, selon un porte-parole du ministère de l' Environnement et des Ressources naturelles américains.


Les aloses se déplaçant en très grand nombres et en formation dans d'énormes bancs, c'est en s'égarant dans une baie trop exiguë de l'ile, expliquent les experts, que leurs présences a fait descendre les niveaux d'oxygène dissous dans l'eau, qui ont fini par atteindre
en moins d'une heure des niveaux à près de zéro, cette situation anaérobique a fini par tous les tuer.

Eh ben en voilà des bonnes explications...enfin on va faire mine d'y croire...


© Nature Alerte

Source : http://www.wect.com/story/20566054/thousands-of-dead-fish-reported-on-masonboro-island
...No comment... 

 
jeudi 10 janvier 2013
La moitié de la nourriture produite dans le monde serait gaspillée chaque année, soit entre 1,2 et 2 milliards de tonnes d'aliments, selon un rapport rendu public jeudi par les médias britanniques.

"Entre 30 et 50%" des 4 milliards de tonnes de nourriture produites annuellement dans le monde "n'atteindra jamais un estomac humain", expliquent les auteurs du rapport de l'Institution of Mechanical Engineers (IMeche), un organisme qui vise à promouvoir l'ingénierie dans le monde.

Intitulé "Global Food: Waste Not, Want Not", le rapport dénonce "des infrastructures et dispositifs de stockage inadaptés" et "des dates limite de vente trop strictes". Les auteurs pointent aussi du doigt le comportement des consommateurs, critiquant notamment les offres "un acheté-un offert" ou l'exigence de "perfection esthétique" du produit aux yeux des acheteurs.

En Europe et aux Etats-Unis notamment, "jusqu'à la moitié de la nourriture achetée est jetée par le consommateur lui-même", poursuit le texte. Cette perte nette ne se limite pas, selon le rapport, aux déchets générés par les aliments non consommés. Le gâchis est visible à tous les niveaux de la chaîne de production alimentaire: "550 milliards de mètres cube d'eau" sont ainsi utilisés en vain pour faire pousser ces aliments perdus.

Selon le Dr Tim Fox de l'Imeche, "la quantité de nourriture gâchée dans le monde est stupéfiante. Ces aliments pourraient être utilisés pour nourrir la population mondiale grandissante et plus particulièrement ceux qui souffrent de faim". Entre 2010 et 2012, 860 millions de personnes à travers le monde souffraient de malnutrition, selon l'organisation de l'ONU pour l'agriculture et l'alimentation (FAO).

Source: 7s7.be



La communauté internationale s’inquiète de la présence croissante de «vif argent» dans tous les compartiments de l’environnement, aggravée par la production d’or et la combustion de charbon. L’empoisonnement est planétaire, avec une accélération du phénomène en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie. Un traité contraignant est en cours de discussion sous l’égide du Pnue.

La production mondiale de mercure est en baisse, mais les émissions de ce métal toxique grimpent en flèche. La faute à l’orpaillage (35% des émissions) et à la production d’énergie par combustion de charbon (24% des émissions) qui se développent rapidement en Afrique, en Amérique du Sud, et particulièrement en Asie. C’est pour réduire les rejets liés à ces activités industrielles et minières et s'attaquer à la pollution historique de certains sites que le premier traité mondial contraignant sur le sujet est en cours de négociation sous l’égide du Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue). Un Comité de négociation intergouvernemental sur le mercure se tiendra à Genève (Suisse) du 13 au 18 janvier 2013.
Le Pnue publie ces jours-ci un rapport inquiétant sur les conséquences environnementales et sanitaires de la présence de mercure dans les sols, les milieux aquatiques et dans l’organisme des humains.
«Au cours des 100 dernières années, à cause des émissions liées à l'activité humaine, la quantité de mercure présente dans les 100 premiers mètres des océans de la planète a doublé. Dans les eaux plus profondes, la concentration de mercure a augmenté de 25%» détaille le Pnue. Grand prédateur, l’homme ingère le mercure via les poissons contaminés.

Les activités d’orpaillage sont également dévastatrices pour la santé de 10 à 15 millions de personnes, note le Pnue.
Un chiffre qui devrait croître avec le renchérissement du prix de l’or. Des techniques d’extraction alternatives utilisant peu ou pas de mercure existent, selon le Pnue, «mais les conditions socioéconomiques et la faible prise de conscience vis-à-vis des risques liés au mercure font obstacle à l’adoption de ces nouvelles techniques».

«On estime à 3 millions le nombre de femmes et d’enfants qui travaillent dans ce secteur», souligne le Pnue. Un chiffre préoccupant, tant l’exposition au mercure pendant la grossesse, via l’allaitement et lors de la croissance sont dévastateurs pour les enfants.
«Il peut provoquer des troubles comportementaux légers ou des retards de développement chez les enfants exposés in utero ou après la naissance, même en l'absence de signes toxiques chez la mère», précise l’Anses.

«Nous devons maintenant définir des objectifs nationaux chiffrés de réduction de ces rejets», précise Fernando Lugris (Uruguay), président du Comité de négociation intergouvernemental. «Il faut également œuvrer à la formalisation (du secteur de l’orpaillage), qui n'est que très peu réglementé. Cela permettra à la fois de réduire les risques sanitaires liés au mercure et de renforcer les droits des travailleurs dans le cadre du droit du travail», souhaite Fernando Lugris.

«Les négociations s’annoncent très tendues», redoute Marie Grosman, vice-présidente pour l’Europe de l’Alliance mondiale pour une dentisterie sans mercure.
L’ONG, qui espérait jusque-là arracher une interdiction mondiale des amalgames dentaires contenant du mercure, est assez pessimiste à la veille des négociations: «On sent le poids très fort des lobbies, notamment chinois et indiens, et ce dans beaucoup des secteurs industriels où le mercure est utilisé», précise-t-elle au Journal de l’environnement.

D’autres activités industrielles sont fortement émettrices de mercure. La production d’acier et de ciment (gros consommateurs de combustibles fossiles), la fabrication du polychlorure de vinyle (PVC) ou encore les industries utilisant le procédé chlore-alcali (production de chlore et de soude à partir de sel). Les soins dentaires sont aussi de grands consommateurs et producteurs de déchets de mercure (340 tonnes de mercure utilisées tous les ans, dont près de 100 t finissent en déchets), tout comme les appareils électroniques, interrupteurs, piles, ampoules basse consommation ou cosmétiques (crèmes éclaircissantes pour la peau ou mascara).

Même si la qualité des données disponibles sur le sujet s’améliore, l’estimation des quantités de mercure émises chaque année dans le monde oscille entre 1.010 et 4.070 t. Il a été récemment estimé que 200 t se déposaient chaque année dans l’Arctique. «Des études montrent que les niveaux de mercure chez certaines espèces de la faune arctique ont été multipliés par 10 au cours des 150 dernières années, principalement à cause de l'activité humaine, semble-t-il», précise le Pnue.






La pollution au mercure touche 200.000 enfants en Europe

L’intoxication au mercure affecte le développement cérébral chez l’Homme. En Europe, plus de 200.000 enfants présentent des taux de mercure largement supérieurs au seuil établi par l’OMS. Dans une étude récente, une équipe de recherche mixte, qui a pris en compte l'impact sur l'économie de ce problème sanitaire, révèle qu’en Europe, réduire les risques d’exposition au méthylmercure ferait économiser presque 10 milliards d’euros par an.

Si le mercure peut être émis de façon naturelle comme lors des éruptions volcaniques, il est principalement généré par la combustion de sources d’énergie fossile. La pollution est souvent due à la phase gazeuse du composé. En effet, dans l'environnement, et en particulier dans les lacs, les voies navigables et les zones humides, le mercure peut réagir et former un composé organique fortement toxique, le méthylmercure (MeHg). Les océans sont fortement contaminés au mercure, en raison de la capacité de bioaccumulation du phytoplancton.


La principale source d’ingestion de MeHg pour l’Homme est donc la consommation de produits de la mer. Le corps humain peut absorber 6 fois plus facilement ce composé organique que le mercure inorganique. En outre, une forte exposition au MeHg affecte le développement du cerveau. Le méthylmercure peut traverser la barrière hématoencéphalique et réagir directement avec les cellules du cerveau. S’il est trop exposé durant sa formation, le cerveau humain développe de mauvaises aptitudes à apprendre, à la suite de troubles du comportement.

Une équipe mixte européenne de recherche s’est intéressée à l’impact du mercure sur l’Homme en Europe. L’étude est basée sur le projet Democophes qui propose une étude cohérente de la biosurveillance des êtres humains. Les biologistes ont prélevé des échantillons de cheveux tant sur les enfants que sur leurs mères, et ce dans 17 pays. Les résultats d’analyse révèlent que 1.866.000 enfants nés en Europe sont exposés à des niveaux toxiques de MeHg, c’est-à-dire supérieurs à 0,58 µg/g de cheveu.

La bio accumulation dans la chaîne alimentaire. Le mercure est émis en majorité par les centrales électriques au charbon, l'industrie, les mines... Il finit dans les mers, où il se transforme en méthylmercure, très dangereux pour l'Homme. Les grands prédateurs au sommet de la chaîne alimentaire, comme les orques ou les requins, ont le taux de méthylmercure le plus important.

Les enfants d’Espagne et du Portugal les plus touchés par le mercure

En outre, 232.000 d’entre eux sont exposés à des taux très alarmants. Il s’agit d’une concentration supérieure à 2,45 µg/g de cheveux, qui est le seuil d’alarme de l’Organisation mondiale de la santé. Mais tous les enfants ne sont pas égaux devant le risque. Les enfants touchés par l’empoisonnement au méthylmercure proviennent principalement du Portugal et d’Espagne.
L’équipe de recherche mixte s’est par la suite intéressée au prix de la pollution au mercure sur l’Europe. D’après leur étude, publiée en libre accès sur le site du journal Environmental Health, réduire les expositions prénatales au MeHg et nettoyer au plus possible les zones à fort taux de mercure pourraient faire économiser presque 10 milliards d’euros par an à l’Union européenne.

Le mercure est mauvais pour le QI, donc pour l'économie...

Les chercheurs ont estimé ce prix en se basant sur l’impact de la baisse de quotient intellectuel (QI) des enfants empoisonnés au mercure. L’idée est brutale mais simple : plus le QI d’un individu est bas, moins il est productif. Philippe Grandjean, l’un des auteurs, explique comment calculer ce que rapporte un certain QI. « Si nous convertissons les effets du MeHg sur le développement du cerveau en points de QI, alors les avantages du contrôle de la pollution de MeHg équivalent à 700.000 points de QI par an. Ces points représentent des bénéfices d’un montant de 8 à 9 milliards d’euros par an pour l'ensemble de l'Union européenne. La réduction de l'exposition serait principalement bénéfique pour le sud de l'Europe. »

Le méthylmercure a un cycle de vie de plusieurs milliers d’années, ce qui expose de nombreuses générations à des niveaux toxiques. Toutefois, atténuer les dommages causés par le mercure à l’échelle européenne, voire mondiale, demanderait un important travail de coopération entre les politiques. Les Nations unies sont en train d’établir un projet de nettoyage du mercure : reste à voir si le projet tiendra.



Source : Futura-Sciences



Des villageois de la minorité ethnique karen, au centre d'un conflit légal de près de dix ans avec les autorités thaïlandaises, ont gagné jeudi leur combat pour obtenir de meilleures compensations après une pollution au plomb provoquée par une mine.

La cour administrative suprême a ordonné au gouvernement de payer au total 3,9 millions de bahts (près de 100.000 euros) aux 22 plaignants d'un village karen de la province de Kanchanaburi, dans l'ouest du pays.

Elle a estimé que le Département de contrôle de la pollution avait échoué à mettre en place un plan d'urgence en cas de fuite et que les efforts pour régler le problème l'avait aggravé.
Un tribunal avait attribué en 2008 des compensations totales de moins de 800.000 bahts (environ 20.000 euros) aux victimes de cette pollution causée par une mine opérée par Lead Concentrate Ltd. avant sa fermeture en 1998.

Le chef du village, Yasae Nasuansuwan, a indiqué que ses 400 habitants avaient subi la pollution au plomb depuis 1975.

Six ou sept personnes sont mortes quand des niveaux élevés de plomb ont été trouvés dans le ruisseau, mais je ne sais pas si toutes sont mortes à cause du plomb parce que nous ne sommes pas allés voir de médecin, a-t-il indiqué à l'AFP après l'audience.


Nous avons des problèmes de santé comme des maux d'estomac, et beaucoup de femmes (...) ne peuvent plus utiliser l'eau du ruisseau pour leurs activités quotidiennes.

La cour a également ordonné au gouvernement de tester régulièrement les niveaux de contamination du ruisseau toujours pollué.



Source ©AFP
Le Parc amazonien de Guyane rappelle son opposition au projet REXMA, un projet soutenu par le Ministre du Redressement Productif A. Montebourg, qui vise à l'exploitation d'or alluvionnaire dans une aire de biodiversité rare, fragile et protégée.

Le Parc amazonien de Guyane a été créé le 27 février 2007. Avec un territoire de 3,4 millions d'hectares, il couvre 40% de la Guyane française et constitue la plus grande aire protégée d'Europe. Situé au sud-est du plateau des Guyanes et frontalier du Parque Nacional Montanhas do Tumucumaque au Brésil (3,9 millions d'hectares – Etat de l'Amapa), il contribue à former l'un des plus grands espaces protégés du monde.

Le Parc national est constitué d'une zone de coeur et d'une zone périphérique dite de libre adhésion. Cinq communes où résident près de 10 000 habitants composent le territoire du Parc amazonien de Guyane. Il s'agit de Camopi, Maripa-Soula, Papaïchton, Saül et Saint-Elie. Ce sont les lieux de vie des amérindiens Wayana, Wayãpi et Teko (ou Emérillons), des Aluku (noirs marrons du Maroni), des Créoles et de diverses minorités.

Aux paysages d'une grande originalité, s'ajoute une palette de milieux rares : inselbergs (imposants massifs rocheux) et monts forestiers dont les plus hauts dépassent 800 mètres d'altitude. Difficile d'accès, le Parc national abrite une des zones les plus riches de la planète en termes de biodiversité.
Le Parc national de Guyane est opposé au projet minier REXMA

Et pourtant, le Ministère du Redressement Productif a donné en fin d'année 2012 son accord à la société REXMA pour l'exploitation d'or alluvionnaire dans le secteur de la crique Limonade, sur la commune de Saül en Guyane française. Le permis d'exploitation (PEX) attribué jouxte, à environ 3 km, le village de Saül et s'étend sur 120 hectares, en zone de libre adhésion du Parc amazonien de Guyane. Il est également situé dans une zone n'ayant pas été identifiée pour l'exploitation minière par le Schéma Départemental d'Orientation Minière (SDOM) et le Schéma d'Aménagement Régional.

Comme plusieurs services de l'Etat (DIREN, DAF, ONF) et le Préfet de l'époque, le Parc national a déjà fait connaître officiellement son opposition à ce projet minier et ce à deux reprises. Le 11 juillet 2008, le Président du Conseil d'administration du Parc national a transmis au Préfet son avis d'opposition à une demande de permis (AEX) par la société REXMA, situé dans le même secteur de la commune de Saül. Pour le permis récemment accordé à cette même entreprise, le directeur de l'établissement public du Parc amazonien de Guyane a émis un avis défavorable dans un courrier adressé le 20 janvier 2009 au service instructeur, la DRIRE.

Aujourd'hui encore, le Parc amazonien de Guyane constate que cette décision :
 

  • Ne respecte pas la volonté de la population et des élus locaux, puisque le Conseil municipal de Saül avait délibéré le 29 janvier 2008 pour interdire toute exploitation minière dans un rayon de 10 km autour du bourg. Cette position a encore été réaffirmée dernièrement, notamment dans le cadre de l'élaboration de la carte communale, de plusieurs communications récentes du maire de la commune au sujet de ce permis minier, et avec la pétition lancée à l'initiative d'une très large majorité d'habitants de la commune.
  • Va à l'encontre de la politique de développement durable engagée depuis plusieurs années par la commune et ses partenaires. Celle-ci s'accompagne d'importants investissements publics déjà consentis ou programmés. La décision ministérielle risque notamment de nuire à la pérennité de la filière touristique sur la commune qui s'appuie sur la qualité reconnue et recherchée de l'environnement naturel qui enserre le village.
  • Confisque à la population une zone de subsistance utilisée pour la chasse et la pêche ; la crique Limonade constituant l'unique cours d'eau accessible et proche du village qui présente un réel intérêt en terme de ressource pour la pêche des habitants.
  • Sera à l'origine de la destruction inévitable de milieux naturels et aquatiques jusqu'alors préservés. Les connaissances scientifiques sur le secteur ont mis en évidence la présence de nombreuses espèces de vertébrés protégés par arrêté ministériel, ainsi que la présence d'espèces patrimoniales rares à l'échelle de la région.
  • Fait encourir le risque de pollutions (matière en suspension, remobilisation du mercure présent dans les sols) en zone coeur de parc ; le permis minier se situant dans un bassin versant juste en amont pourrait impacter plus de 6 km de linéaire de cours d'eau.
  • S'oppose d'ores et déjà à une des grandes priorités du SDAGE de Guyane, et de fait, aux principes à respecter qui s'imposent par la Directive cadre européenne sur l'eau (DCE) pour atteindre ce résultat. Ceux-ci reposent d'une part, sur le fait de ne pas dégrader l'état existant des cours d'eau identifiés en très bon état écologique, et d'autre part, de garantir la continuité hydrologique.
  • S'opposerait ainsi en cas d'impacts aux articles 1 et 3 de la loi de 2006 relative aux Parcs nationaux et à l'article L. 331-1 du Code de l'environnement qui prévoient la solidarité écologique entre les zones de coeur et de libre adhésion.
En raison de l'antériorité de la demande de l'exploitant, ce permis a pu être octroyé pour 5 ans en zone interdite du SDOM. Ce dernier étant depuis entré en vigueur, le titre minier ne pourra pas être renouvelé en tout état de cause. Le Parc amazonien de Guyane s'interroge donc sur la cohérence de cette décision qui va faire émerger une activité temporaire et néanmoins durablement dégradante pour l'environnement proche de Saül. Ceci, au détriment d'une politique véritable de développement durable, souhaitée par la majorité des habitants concernés, basée sur l'éco-­tourisme et la valorisation de patrimoines naturels et culturels guyanais.

Au vu de tous ces éléments, le Parc amazonien de Guyane réaffirme son opposition à ce projet. Cette position fait écho aux légitimes revendications de la commune et de la majorité de ses habitants pour maîtriser l'aménagement de leur territoire et leur propre développement.

"Situé au centre de la Guyane, au beau milieu d'une forêt luxuriante, le petit bourg de Saül est l'endroit idéal pour ceux qui souhaitent prendre un peu de repos et profiter de la quiétude des lieux. Notre commune est un endroit paisible, un petit coin de paradis sur terre, et de nos jours, cela n'a pas de prix !" Hermann Charlotte, Maire de Saül et Président du Parc amazonien de Guyane.
Notes
 

Le Parc amazonien de Guyane a pour mission de préserver le patrimoine naturel, de valoriser les cultures locales et d'accompagner les communautés d'habitants dans la définition d'un projet de territoire et de développement durable et ce, dans le respect de leurs modes de vie et de l'environnement.

Auteur
Parc amazonien de Guyane


Très prisé par les Japonais, le thon rouge pourrait disparaître à cause de la surpêche...

Alors que son cousin méditerranéen semble se requinquer, le thon rouge du Pacifique inquiète les scientifiques. Selon une évaluation des populations de thon rouge du Pacifique nord, réalisée par le Comité scientifique international sur le thon (ISC), 96% de ces poissons auraient disparu durant les dernières décennies à cause de la pêche intensive. Tout aussi inquiétant, les experts estiment que 90% des poissons capturés sont des juvéniles qui n’ont pas encore eu le temps de se reproduire.
Le prix des sushis pourrait s’envoler


Le succès du thon rouge au Japon pourrait ainsi lui coûter très cher. Les Japonais consomment trois quarts des prises mondiales et les prix de ce poisson peuvent atteindre des sommets: le 5 janvier, un thon de 222 kilos a été acheté 1,38 million d’euros par un restaurateur japonais. Et avec la raréfaction de l’espèce, le prix des sushis pourrait bien s’envoler. Face à ces perspectives financières alléchantes, les pêcheurs n’hésitent pas à employer des techniques industrielles pour rapporter le plus possible de poisson.

«Cette évaluation montre à quel point la situation est grave pour ce poisson qui est en haut de la chaîne alimentaire, s’alarme l’ONG Pew Environment. Il est exploité à tous les stades de sa vie et il est pêché même dans les lieux où ils se reproduit.» Déjà pénalisé par rapport aux autres espèces à cause de sa maturation lente qui ne lui permet de se reproduire qu’à partir de quatre à huit ans, le thon rouge du Pacifique ne semble pas assez bien protégé par les lois internationales qui encadrent la pêche. «Nous demandons aux pays dont sont issus les principales flottes de pêche, Japon, Mexique, Corée du Sud et Etats-Unis, à prendre immédiatement des mesures de conservation du thon rouge», déclare Pew Environment.
 

© Audrey Chauvet

C’est un "cri d’alarme" que lance le sénateur Roland Courteau pour la survie de la Méditerranée. Sur les voyous des mers, sur les espèces menacées, sur les micro-fragments de plastique, il a dressé un état des lieux et formulé dix propositions qu’il déclinera le 20 février prochain, lors d’une audition publique à l’Assemblée nationale.

La Méditerranée, c’est un bassin grand comme cinq fois la France, mais qui représente à peine 1 % de la surface des océans. Une mer sans marée dont l’eau met plus d’un siècle pour se renouveler mais qui voit passer 30 % du trafic maritime mondial ! Une mer fragile, dont la faune et la flore sont en danger.

Aujourd’hui, la Méditerranée est malade

"Si on ne réagit pas très vite, dans vingt ans elle sera mourante" affirme le sénateur qui appelle de ses vœux "des engagements concrets de tous les États riverains", notamment dans le cadre de la lutte contre les "navires voyous qui dégazent près de 200 000 tonnes d’hydrocarbures dans la Méditerranée chaque année".
Le constat "est alarmant, mais il n’y a pas d’exagération", insiste Roland Courteau qui se base pour l’établir sur le très complet rapport parlementaire qui synthétise le travail de l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques.

Un groupe composé de 18 sénateurs et 18 députés qui a enquêté en France et dans tous les pays riverains et auditionné plus de 200 scientifiques. Le diagnostic est formel, "les pollutions sont nombreuses et menacent la survie écologique de la Méditerranée".


Maudits sacs plastiques

Parmi les chevaux de bataille enfourchés par le sénateur audois, la lutte contre les micro-fragments, issus de la dégradation des sachets plastiques. "Ces sacs ne disparaissent pas. Ils se fragmentent et produisent des débris si petits que les espèces vivantes les confondent avec des phytoplanctons, les absorbent et en meurent."

Dans les pays du nord, des efforts considérables ont été réalisés, notamment pour l’épuration. Mais des produits désormais interdits sont encore présents dans les sédiments et sont régulièrement drainés vers les fleuves, puis vers la mer.

"Dans le Rhône, à Arles, on a mesuré qu’il passe environ 3 000 tonnes de métaux lourds chaque année", précise le sénateur. Au débouché des grands fleuves, "on constate déjà des effets de la pollution sur la reproduction de certaines espèces". Le Rhône, mais bien d’autres, tels le Pô (en Italie) ou l’Èbre (en Catalogne) sont concernés.


Au sud, la situation est encore plus complexe


"C’est plus compliqué car il y a peu de règles pour la construction, l’assainissement. Il y a un début de prise de conscience, mais je ne sais pas où en sont les choses depuis les printemps arabes. En Tunisie par exemple, qui était une référence en matière de protection", souligne Roland Courteau.



Source @ Midi Libre
La délimitation des zones polluées ou sous la menace d'une pollution aux nitrates a été révisée dans les six bassins fluviaux de l'Hexagone, suite aux poursuites engagées en février 2012 contre la France par Bruxelles, a indiqué mercredi le ministère de l'Ecologie.

Six arrêtés préfectoraux ont été signés en fin d'année, remettant à jour la liste des communes classées comme zones vulnérables, c'est-à-dire dont les eaux sont polluées par des nitrates d'origine agricole ou sous la menace d'une telle pollution.

Sont concernés les bassins Adour-Garonne, Seine-Normandie, Loire-Bretagne, Artois-Picardie, Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée-Corse.

Désormais 18.860 communes sont classées zones vulnérables
, soit 860 de plus qu'en 2012, a précisé le ministère, ajoutant que 440 communes avaient été déclassées et 1.300 intégrées au nouveau périmètre.

Ces zones vulnérables sont soumises à une réglementation spécifique, visant essentiellement les pratiques agricoles (période d'épandage, stockage des effluents, etc.) à l'origine de la pollution de cours d'eaux et de nappes phréatiques.


Avec ce nouveau classement, ainsi qu'un programme d'actions qui devrait être renforcé en 2013, la France espère éviter des sanctions de la part de la Cour de justice européenne.

L'objectif est d'éviter des sanctions financières lourdes, a indiqué le ministère de l'Ecologie.

La Commission européenne a poursuivi en février 2012 la France devant la Cour de justice de l'UE pour n'avoir pas pris les mesures efficaces contre la pollution des eaux par les nitrates.


Depuis 1991, une législation européenne impose aux Etats membres de surveiller leurs eaux et de définir les eaux atteintes, ou susceptibles de l'être, par la pollution par les nitrates à partir d'engrais agricoles mais, selon la Commission, la France ne s'y conforme toujours pas.

Le contentieux communautaire nous impose de renforcer les plans d'actions, ce qui sera fait courant 2013, a-t-on précisé au ministère.

La FNSEA avait lancé en novembre une pétition pour demander un moratoire sur la directive européenne nitrates, redoutant des conséquences économiques pour le secteur de l'élevage.


Source ©AFP


La tempête qui s'est abattue sur le Liban, la Jordanie, la Turquie, Israël et les territoires palestiniens a fait au moins 17 morts. Les services météorologiques du Liban et d'Israël parlent de la tempête la plus forte de ces 20 dernières années, communiquent les médias occidentaux.

Au Liban les crues provoquées par des pluies torrentielles ont emporté les tentes de quelque 400 réfugiés syriens.  A la ville de Hadera, au nord de Tel Aviv, l'inondation a privé d'électricité quelque 2 500 foyers.

Des chutes de neige ont eu lieu dans certaines régions de la Syrie. La température y est de -6° C. La couche de neige a atteint un mètre de hauteur dans les régions rurales aux environs de Damas. En Turquie des centaines de vols ont été annulés à cause de l'intempérie.

 Jérusalem se réveille sous la neige


Jérusalem s'est réveillée sous une épaisse couche de neige. Une grande partie de la circulation dans toute la ville était paralysée et les écoles sont restées fermées. En Cisjordanie, quatre Palestiniens sont morts depuis mardi en raison d'intempéries exceptionnelles.

La municipalité israélienne a appelé les habitants de Ville Sainte à éviter de prendre leur voiture en raison des risques de dérapage et de se retrouver bloqués dans les rues. La route qui relie Jérusalem à Tel Aviv a été coupée à l'entrée de la ville.

D'autres routes en Israël, notamment dans le nord étaient elles aussi fermées à la circulation. Selon les services météorologiques, la neige devait continuer à tomber jusqu'à jeudi après-midi.
20'000 maisons privées d'électricité


Par précaution, les écoles devaient rester fermées non seulement à Jérusalem, mais aussi dans les localités situées dans la périphérie de la ville, ainsi que dans des colonies israéliennes de Cisjordanie, en Galilée dans le nord d'Israël et sur le plateau du Golan annexé.


Au total 20'000 maisons étaient privées d'électricité, notamment dans quelques quartiers de Jérusalem et de Tel Aviv.
Selon la compagnie d'électricité, "il ne s'agit que d'incidents ponctuels et 99% des foyers sont normalement approvisionnés en électricité".

Dans l'ensemble d'Israël, la "tempête de la décennie" comme l'ont surnommée les médias, a provoqué de sérieux dégâts économiques. Les restaurants, les centres commerciaux ont subi une forte chute de leur activité, les consommateurs préférant rester chez eux plutôt que d'affronter le mauvais temps.
Glissement de terrain et inondations


En Cisjordanie, des intempéries exceptionnelles, accompagnées de très forte pluie, de grêle, de neige et de vents violents ont provoqué depuis mardi soir la mort de quatre Palestiniens, dont trois femmes. Dans la bande de Gaza, 25 maisons inondées à Rafah (sud) ont été évacuées mercredi par bateau, selon la protection civile.


Source © ats


mercredi 9 janvier 2013

Rien qu'en octobre 2012, sur un seul tronçon de 10 kms d'une plage du lac Michigan près de la ville de Gulliver, ont a retrouvé morts 865 oiseaux d'eau en seulement 2 semaines. 

Parmi ces oiseaux il y avait 302 plongeons huards, 157 grèbes cornus, 142 canards à longue queue, 103 Macreuses brunes, 101 grèbes à cou rouge et un petit nombre de goélands à bec cerclé, de cormorans à aigrettes, de goélands argentés. Toutes ces espèces sont principalement piscivores, c'est à dire mangeurs de poisson. Les chiffres sont redoutables, cela fait une moyenne de 121 oiseaux morts par miles (1 km 1/2)

Des chiffres similaires ont été trouvés plus à l'ouest, sur les plages de la ville de Manistique, ainsi que le long de la côte de la péninsule de Basse au nord ouest et sur celles de "Sleeping Bear Dunes National Lakeshore."

A Sleeping Bear Dunes, 1444 oiseaux morts ou malades de 18 espèces différentes ont été retrouvé morts sur les plages entre le 21 Juin 2012 et le 20 novembre 2012. Parmi ces oiseaux, 580 étaient des plongeons huards, 422 ont été trouvé mort dans le seul mois d' Octobre, Un record des taux de mortalité jamais enregistrés au Lakeshore depuis que des registres relèvent ces hécatombes qui ont débuté en 2007. Seuls 30 huards morts ont été enregistrés en 2011, 180  ente 2007 et 2011.

L'évolution catastrophique et fulgurante de l'écologie du bassin des Grands Lacs, principalement causé par l'invasion d’espèces envahissantes et non-indigènes, ont provoqué des dégâts irreversibles parmi les oiseaux aquatiques du Michigan, et surout pour les plongeons huards communs de la région. La plupart des études sur ces hecatombes relevent qu'une grande partie des plongeons huars retrouvés sur les plages du lac venait d'entrer dans leur première année, début de la maturité.


La raison de ces mortalités massives, qui ont commencé en 2006, n'est pas entièrement comprise. Mais on soupçonne qu'il est entraîné par un changement radical dans la chaîne alimentaire liant les plongeons huards aux espèces envahissantes, et en particulier, à la moule quagga, la moule zébrée et le gobie à taches noires.

C'est en 1988 que les scientifiques ont constaté les premières invasions des moules zébrées dans le lac Sainte-Claire. depuis la situation ne fait qu' empirer. leurs proliférations ont appauvris l'oxygénation des lacs, facilitant ainsi l'invasion d'algues dans les fonds vaseux et entrainant  la multiplication des gobies qui s'en régalent en produisant des toxines dangereuses tel que le botulisme.


Finalement les gobies chassés par les plongeons huards et tous les autres oiseaux aquatiques piscivores, infectent a leur tour les oiseaux qui meurent de botulisme. La toxine affecte leurs systèmes nerveux, les laissant vite incapables de voler.


© Nature Alerte



Boire ou ne pas boire? Telle est la question que doivent se poser les habitants de Pékin, selon Feihong Zhao, expert en qualité des eaux.

Sa réponse: Non. Feihong Zhao recommande à tous ceux qui peuvent se le permettre de consommer l'eau en bouteille, affirmant qu'elle est une alternative plus sûre.

«Je n'ai pas bu l'eau du robinet depuis 20 ans", a déclaré Zhao, chercheur dans le domaine de l'eau potable via l'Association pour la santé de Pékin. «L'eau de la capitale est devenue plus polluée ces dernières années."


Pourtant, le Groupe de travail sur la qualité des eaux de Pékin, qui est responsable de l'approvisionnement en eau, assure aux résidents que l'eau du robinet est sûre et conforme à la norme nationale sur la qualité de l'eau.

"En plus des usines de traitement, nous avons un système de suivi en ligne pour la surveillance de la qualité en temps réel," a déclaré lundi Liang Li, porte-parole du groupe. Elle ajoute qu'à partir du 15 janvier la capitale diffusera des renseignements sur la qualité de l'eau potable au public en ligne tous les trois mois, y compris les niveaux de concentration de nitrate, le degré de dureté et de la turbidité.

Zhao ne nie pas que la qualité est conforme à la norme nationale. Cependant, ce qui l'inquiète c'est un changement significatif de la qualité de l'eau.

 

Source China.org 

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