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mardi 7 janvier 2014
La bataille sur l'étiquetage des OGM bat son plein aux États-Unis où des projets de loi se multiplient, mais se heurtent à l'opposition des multinationales agrochimiques et agroalimentaires, même si certaines comme General Mills commencent à prendre de timides mesures.
Dans le monde, il est obligatoire dans une soixantaine de pays d'afficher la présence d'organismes génétiquement modifiés (OGM) dans les aliments.
Aux États-Unis, où la quasi-totalité du coton, soja, colza, maïs et betterave cultivés sont des OGM, 26 États ont proposé l'an dernier des lois pour les signaler aux consommateurs.
Les États du Maine et du Connecticut ont déjà adopté des textes, pas encore mis en oeuvre.
En 2005, l'Alaska avait déjà adopté une loi sur l'étiquetage du saumon OGM, dont la consommation humaine est à l'étude par les autorités sanitaires fédérales.
Certains textes ont été rejetés, notamment dans l'État de Washington, où un projet de loi n'a été battu qu'à 2% des voix près, d'autres sont mort-nés, ou végètent dans des commissions parlementaires.
Mais les partisans de l'affichage ne s'avouent pas vaincus. «Nous attendons notamment un vote favorable ce mois-ci dans le Vermont», indique Colin O'Neil, du Center for Food Safety (CFS), une association de lutte contre les OGM.
Au niveau fédéral, deux sénateurs travaillent sur un texte et sont encore en train de rassembler des soutiens, poursuit M. O'Neil.
Il s'attend à ce que «d'autres États proposent des lois cette année», notamment l'Oregon et le Colorado.
Le signalement des ingrédients transgéniques «est une question qui a explosé au niveau des États» dans les toutes dernières années grâce «à la pression des consommateurs», affirme-t-il.
Un récent sondage du New York Times a ainsi évalué que 93% des Américains étaient favorables à l'étiquetage des OGM.
Pour M. O'Neil, «le tournant est venu avec le vote en Californie», où un projet de loi a été rejeté de peu en 2012.
Les grandes multinationales d'agrochimie comme DuPont, Monsanto, Syngenta, BASF, et d'agroalimentaire comme Coca-Cola, Kraft, Pepsi, ont dépensé environ 46 millions de dollars conjointement en spots publicitaires et autres pour convaincre les Californiens de rejeter le texte, contre 9 millions pour les «anti-OGM».
«Cela a lancé un signal énorme aux consommateurs, qui n'avaient pas idée que des entreprises puissent dépenser autant pour les garder dans le flou», juge Colin O'Neil.
Interrogé par l'AFP, un porte-parole de l'Association des fabricants d'agroalimentaires (GMA), qui représente les grands groupes d'agrochimie ou d'agroalimentaire, répond que «les règles d'étiquetage et de sécurité alimentaires ne doivent pas être déterminées par des campagnes politiques ou à travers un patchwork de lois» locales, mais «par une solution fédérale».
La GMA affirme aussi que les OGM sont «sûrs» et fait valoir que l'étiquetage serait coûteux pour les petits agriculteurs comme pour les organismes de vérification.
Se passer d'OGM, quasi impossible?
Chez les géants agroalimentaires, de timides changements s'amorcent toutefois. General Mills a annoncé jeudi qu'il allait commencer à fabriquer certaines versions de ses très populaires céréales pour petit déjeuner Cheerios sans OGM.
«Nous pensons que les consommateurs y sont prêts (...). Mais il ne s'agit pas de questions de sécurité» alimentaire, a assuré le groupe dans un communiqué.
Général Mills, qui possède notamment les glaces Häagen-Dazs ou les produits laitiers Yoplait, affirme cependant que «pour d'autres céréales, l'utilisation généralisée d'OGM (aux États-Unis) dans les cultures telles que le maïs, le soja ou le sucre de betterave rendrait le passage à des ingrédients sans OGM difficile pour ne pas dire impossible».
Quelques rares autres entreprises ont déjà pris des mesures. La chaîne de supermarchés Traders' Joe dit ne commercialise que des produits sans OGM, sa concurrente Whole Food, qui vend déjà beaucoup de produits organiques, a prévu d'étiqueter les OGM, mais seulement à horizon 2018.
La chaîne «fast-food» de cuisine mexicaine Chipotle a, elle, commencé à afficher sur son site ses plats qui contiennent des aliments transgéniques, récoltant les louanges d'associations de consommateurs et de groupes anti-OGM.
Source: © AFP
Dans le monde, il est obligatoire dans une soixantaine de pays d'afficher la présence d'organismes génétiquement modifiés (OGM) dans les aliments.
Aux États-Unis, où la quasi-totalité du coton, soja, colza, maïs et betterave cultivés sont des OGM, 26 États ont proposé l'an dernier des lois pour les signaler aux consommateurs.
Les États du Maine et du Connecticut ont déjà adopté des textes, pas encore mis en oeuvre.
En 2005, l'Alaska avait déjà adopté une loi sur l'étiquetage du saumon OGM, dont la consommation humaine est à l'étude par les autorités sanitaires fédérales.
Certains textes ont été rejetés, notamment dans l'État de Washington, où un projet de loi n'a été battu qu'à 2% des voix près, d'autres sont mort-nés, ou végètent dans des commissions parlementaires.
Mais les partisans de l'affichage ne s'avouent pas vaincus. «Nous attendons notamment un vote favorable ce mois-ci dans le Vermont», indique Colin O'Neil, du Center for Food Safety (CFS), une association de lutte contre les OGM.
Au niveau fédéral, deux sénateurs travaillent sur un texte et sont encore en train de rassembler des soutiens, poursuit M. O'Neil.
Il s'attend à ce que «d'autres États proposent des lois cette année», notamment l'Oregon et le Colorado.
Le signalement des ingrédients transgéniques «est une question qui a explosé au niveau des États» dans les toutes dernières années grâce «à la pression des consommateurs», affirme-t-il.
Un récent sondage du New York Times a ainsi évalué que 93% des Américains étaient favorables à l'étiquetage des OGM.
Pour M. O'Neil, «le tournant est venu avec le vote en Californie», où un projet de loi a été rejeté de peu en 2012.
Les grandes multinationales d'agrochimie comme DuPont, Monsanto, Syngenta, BASF, et d'agroalimentaire comme Coca-Cola, Kraft, Pepsi, ont dépensé environ 46 millions de dollars conjointement en spots publicitaires et autres pour convaincre les Californiens de rejeter le texte, contre 9 millions pour les «anti-OGM».
«Cela a lancé un signal énorme aux consommateurs, qui n'avaient pas idée que des entreprises puissent dépenser autant pour les garder dans le flou», juge Colin O'Neil.
Interrogé par l'AFP, un porte-parole de l'Association des fabricants d'agroalimentaires (GMA), qui représente les grands groupes d'agrochimie ou d'agroalimentaire, répond que «les règles d'étiquetage et de sécurité alimentaires ne doivent pas être déterminées par des campagnes politiques ou à travers un patchwork de lois» locales, mais «par une solution fédérale».
La GMA affirme aussi que les OGM sont «sûrs» et fait valoir que l'étiquetage serait coûteux pour les petits agriculteurs comme pour les organismes de vérification.
Se passer d'OGM, quasi impossible?
Chez les géants agroalimentaires, de timides changements s'amorcent toutefois. General Mills a annoncé jeudi qu'il allait commencer à fabriquer certaines versions de ses très populaires céréales pour petit déjeuner Cheerios sans OGM.
«Nous pensons que les consommateurs y sont prêts (...). Mais il ne s'agit pas de questions de sécurité» alimentaire, a assuré le groupe dans un communiqué.
Général Mills, qui possède notamment les glaces Häagen-Dazs ou les produits laitiers Yoplait, affirme cependant que «pour d'autres céréales, l'utilisation généralisée d'OGM (aux États-Unis) dans les cultures telles que le maïs, le soja ou le sucre de betterave rendrait le passage à des ingrédients sans OGM difficile pour ne pas dire impossible».
Quelques rares autres entreprises ont déjà pris des mesures. La chaîne de supermarchés Traders' Joe dit ne commercialise que des produits sans OGM, sa concurrente Whole Food, qui vend déjà beaucoup de produits organiques, a prévu d'étiqueter les OGM, mais seulement à horizon 2018.
La chaîne «fast-food» de cuisine mexicaine Chipotle a, elle, commencé à afficher sur son site ses plats qui contiennent des aliments transgéniques, récoltant les louanges d'associations de consommateurs et de groupes anti-OGM.
Source: © AFP
lundi 6 janvier 2014
Une marrée noire ravage la côte sud-ouest de Trinité-et-Tabago
Un total de 11 fuites ont été découverts depuis le 17 Décembre, dans le golfe de Paria à Trinité-et-Tabago, la marée noire a atteind la cote prés du village de La Brea et la mangrove de Aripero sensible à l'environnement , une aire de repos pour les ibis rouges , situés entre Taïti et La Brea .
Les opérations de nettoyage pourront prendre jusqu'à trois mois affirme Brian Gove, un expert américain de la société Oil Spill Response Ltd. Ce week end il a visité avec le ministre de l'énergie Kevin Ramnarine les opérations de nettoyage de la Pointe- Saube à La Brea , où les principaux efforts de nettoyage ont été concentré.
La semaine dernière, la sociéte Petrotrin estimait que les opérations de nettoyage prendraient moins d'une semaine mais hier Gove a révisé le calendrier . Il a confirmé qu'il faudrait au moins deux semaines pour le nettoyage de l'huile lourde et plus de trois mois pour les nettoyages plus légers . Le ministre Ramnarine , s'adressant aux journalistes après la visite , était en parfait accord avec le délai annoncé par Gove . Il a déclaré que les routes d'accès limitaient les acces aux plages touchées .
La marée noire a commencé à se répandre sur les mangroves d'Oropouche.
La compagnie pétrolière publique Petrotrin affirme avoir déjà recueilli plus de 1 500 barils sur la côte de La Brea depuis le mois dernier , rapporte The Guardian Trinité-et- Tobago .
Le president de Petrotrin,Lindsay Gillette a également confirmé que 11 déversements ont contribué à la marée noire, mais a déclaré qu'il avait des « preuves solides» de sabotage ayant causé au moins une partie des fuites.
© Nature Alerte
Un total de 11 fuites ont été découverts depuis le 17 Décembre, dans le golfe de Paria à Trinité-et-Tabago, la marée noire a atteind la cote prés du village de La Brea et la mangrove de Aripero sensible à l'environnement , une aire de repos pour les ibis rouges , situés entre Taïti et La Brea .
Les opérations de nettoyage pourront prendre jusqu'à trois mois affirme Brian Gove, un expert américain de la société Oil Spill Response Ltd. Ce week end il a visité avec le ministre de l'énergie Kevin Ramnarine les opérations de nettoyage de la Pointe- Saube à La Brea , où les principaux efforts de nettoyage ont été concentré.
La semaine dernière, la sociéte Petrotrin estimait que les opérations de nettoyage prendraient moins d'une semaine mais hier Gove a révisé le calendrier . Il a confirmé qu'il faudrait au moins deux semaines pour le nettoyage de l'huile lourde et plus de trois mois pour les nettoyages plus légers . Le ministre Ramnarine , s'adressant aux journalistes après la visite , était en parfait accord avec le délai annoncé par Gove . Il a déclaré que les routes d'accès limitaient les acces aux plages touchées .
La marée noire a commencé à se répandre sur les mangroves d'Oropouche.
La compagnie pétrolière publique Petrotrin affirme avoir déjà recueilli plus de 1 500 barils sur la côte de La Brea depuis le mois dernier , rapporte The Guardian Trinité-et- Tobago .
Le president de Petrotrin,Lindsay Gillette a également confirmé que 11 déversements ont contribué à la marée noire, mais a déclaré qu'il avait des « preuves solides» de sabotage ayant causé au moins une partie des fuites.
© Nature Alerte
Un énorme gouffre s'est ouvert dans le Derbyshire. Le trou, de 49 m de diamètre, est apparu dans le village de Foolow. Le Spéléologue Mark Noble a découvert cette mystérieuse doline d'effondrement lors d'une promenade le jour de Noël mais il semble que la terre de surface ait commencé à s'engouffrer la veille.
De part son merveilleux métier de spéléologue il confirme qu'il a exploré les grottes de Foolow dans le passé et que d'énormes cavités souterraines ont été abandonnées dans la régions après la fermeture d'une ancienne mine de plomb.
«C'est un trou assez large et qui continue de s'agrandir. il a déjà augmenté d'environ 10% depuis son ouverture hier. Il est néanmoins intéressant de noté qu'il y a déjà deux autres dolines d'effondrement similaires dans la région à environ un 800 métres de celui-ci et qui se sont ouvert dans les années 1970, ce phénomène ( Ajout NA : ...qu'on voit apparaître un peu partout dans le monde tous les jours... ) n'est pas nouveau.
© Nature Alerte/ BBC
...Je ne suis pas expert spéléologue promeneur mais voici ci dessous la carte des puits d'exploitation du gaz de schiste prévu dans la région...
...Mais qui donc a besoin d'autant d'eau?...HUUUmmm allez ca s'arrose...et attention on roule à 50 et pas à 60...z'avez compris....et si un gouffre apparaît sur votre chemin...con tourner !...
...alors tournons sur le periph à 70 ...et pas plus...d'accord?...
...Et sinon quand la conscience s'effondre, est ce qu'elle disparaît?...bonne question ...non?....
...Temps prévu pour demain dans la région...???...con-sulter la carte du ciel ci dessous dés demain matin...c'est une bonne initiative non?....
De part son merveilleux métier de spéléologue il confirme qu'il a exploré les grottes de Foolow dans le passé et que d'énormes cavités souterraines ont été abandonnées dans la régions après la fermeture d'une ancienne mine de plomb.
«C'est un trou assez large et qui continue de s'agrandir. il a déjà augmenté d'environ 10% depuis son ouverture hier. Il est néanmoins intéressant de noté qu'il y a déjà deux autres dolines d'effondrement similaires dans la région à environ un 800 métres de celui-ci et qui se sont ouvert dans les années 1970, ce phénomène ( Ajout NA : ...qu'on voit apparaître un peu partout dans le monde tous les jours... ) n'est pas nouveau.
© Nature Alerte/ BBC
...Je ne suis pas expert spéléologue promeneur mais voici ci dessous la carte des puits d'exploitation du gaz de schiste prévu dans la région...
...Mais qui donc a besoin d'autant d'eau?...HUUUmmm allez ca s'arrose...et attention on roule à 50 et pas à 60...z'avez compris....et si un gouffre apparaît sur votre chemin...con tourner !...
...alors tournons sur le periph à 70 ...et pas plus...d'accord?...
...Et sinon quand la conscience s'effondre, est ce qu'elle disparaît?...bonne question ...non?....
...Temps prévu pour demain dans la région...???...con-sulter la carte du ciel ci dessous dés demain matin...c'est une bonne initiative non?....
...ciel fréquent dans le Derbyshire...
La Grande-Bretagne est frappée actuellement par les pluies et les tempêtes les plus fortes depuis les deux dernières décennies.
« La tempête qui touche le Royaume-Uni au cours de la deuxième semaine est la plus forte depuis 1991. La situation météo actuelle, lorsque les pluies, les ouragans et les inondations se succèdent presque tous les jours, n'est pas typique pour la période hivernale », a déclaré le service météorologique privé le plus grand en Europe, MeteoGroup.
Deux personnes sont devenues victimes de mauvais temps dans les premiers jours de la nouvelle année, une autre est portée disparue.
...et donc...
La Grande-Bretagne est frappée actuellement par les pluies et les tempêtes les plus fortes depuis les deux dernières décennies.
« La tempête qui touche le Royaume-Uni au cours de la deuxième semaine est la plus forte depuis 1991. La situation météo actuelle, lorsque les pluies, les ouragans et les inondations se succèdent presque tous les jours, n'est pas typique pour la période hivernale », a déclaré le service météorologique privé le plus grand en Europe, MeteoGroup.
Deux personnes sont devenues victimes de mauvais temps dans les premiers jours de la nouvelle année, une autre est portée disparue.
...et donc...
De grandes marées, de fortes pluies et des vents violents ont provoqué vendredi des inondations dans le sud-ouest de l'Angleterre, le Pays de Galles et l'Ecosse, et les autorités ont appelé le public à ne pas s'approcher des côtes, rapporte l'AFP.
Alors que d'énormes vagues s'abattaient sur les côtes du pays, l'Agence de l'Environnement a averti que les promenades le long du littoral pouvaient être « extrêmement dangereuses ».
Près de Plymouth, dans le Devon (sud-ouest de l'Angleterre), des recherches étaient en cours pour tenter de retrouver un jeune homme de 18 ans porté disparu après avoir quitté jeudi son domicile pour prendre des photos des intempéries.
A Burry Port, dans le sud du Pays de Galles, la police a ordonné à des dizaines de curieux venus regarder la mer déchaînée de s'éloigner du littoral. La ville côtière a été fouettée vendredi matin par d'immenses vagues et des vents de plus de 112 km/h.
Des alertes aux inondations sévères ont été décrétées pour les comtés du Gloucestershire et du Dorset (sud-ouest), ainsi que pour le pays de Galles, où des habitants ont été priés d'évacuer leurs maisons par précaution.
En Irlande du Nord, des zones côtières ont été inondées tandis que Belfast a été relativement épargnée.
Les conditions météorologiques ont conduit le gouvernement à réunir vendredi son comité Cobra destiné à gérer les situations d'urgence. Le Royaume-Uni est le théâtre de fortes pluies et de vents violents depuis deux semaines.
Des inondations touchent aussi la Bretagne dans le nord-ouest de la France, où plusieurs départements sont confrontés à des crues significatives.
Au Canada, les chutes de neige et la tempête hivernale ont notamment entraîné des coupures de courant massives à Terre-Neuve.
Les Etats-Unis se prépare à affronter un froid polaire, avec des températures ressenties pouvant descendre jusqu’à – 50°C, un record en deux décennies, après avoir été frappés par une tempête de neige qui a fait au moins 16 morts.
Les autorités ont appelé les Américains à rester chez eux et à faire des provisions face à cette vague de froid qui s’est abattue depuis le début de l’année sur le nord-est des Etats-Unis et du Canada.
« Les habitants de Chicago ont du coeur, mais quand les températures descendent aussi bas que ce qui est prévu, il vaut mieux prévoir les choses en avance », souligne un porte-parole des services locaux des affaires sociales et familiales, cité dans le Chicago Tribune. Ces derniers ont appelé tous ceux qui le pouvaient à rester à l’abri dans un endroit chaud au cours des prochains jours.
La ville pourrait battre lundi son record de température la plus basse enregistrée en journée — soit -24°C, un niveau atteint le 18 janvier 1994 et le 24 décembre 1983, rappelle The Weather Channel.
Dans le Minnesota (nord), le gouverneur Mark Dayton a d’ores et déjà annoncé que les écoles publiques seraient fermées lundi: « J’ai pris cette décision pour protéger tous nos enfants des températures dangereusement froides qui sont prévues pour lundi. J’exhorte tous les habitants du Minnesota (…) à faire preuve de la plus grande prudence face à ces conditions météorologiques extrêmes », explique-t-il dans un communiqué.
« L’exposition à des températures extrêmement froides peut être cause d’hypothermie ou de gelure », une lésion qui peut entraîner la nécrose des tissus de la peau, rappellent les services du gouverneur. « La peau peut geler en cinq minutes à peine avec des températures ressenties de -45°C », rappellent les services météo de Minneapolis et Saint Paul, les « Twin Cities » du Minnesota.
Source :© lalibre.be
Les Etats-Unis se prépare à affronter un froid polaire, avec des températures ressenties pouvant descendre jusqu’à – 50°C, un record en deux décennies, après avoir été frappés par une tempête de neige qui a fait au moins 16 morts.
Les autorités ont appelé les Américains à rester chez eux et à faire des provisions face à cette vague de froid qui s’est abattue depuis le début de l’année sur le nord-est des Etats-Unis et du Canada.
« Les habitants de Chicago ont du coeur, mais quand les températures descendent aussi bas que ce qui est prévu, il vaut mieux prévoir les choses en avance », souligne un porte-parole des services locaux des affaires sociales et familiales, cité dans le Chicago Tribune. Ces derniers ont appelé tous ceux qui le pouvaient à rester à l’abri dans un endroit chaud au cours des prochains jours.
La ville pourrait battre lundi son record de température la plus basse enregistrée en journée — soit -24°C, un niveau atteint le 18 janvier 1994 et le 24 décembre 1983, rappelle The Weather Channel.
Dans le Minnesota (nord), le gouverneur Mark Dayton a d’ores et déjà annoncé que les écoles publiques seraient fermées lundi: « J’ai pris cette décision pour protéger tous nos enfants des températures dangereusement froides qui sont prévues pour lundi. J’exhorte tous les habitants du Minnesota (…) à faire preuve de la plus grande prudence face à ces conditions météorologiques extrêmes », explique-t-il dans un communiqué.
« L’exposition à des températures extrêmement froides peut être cause d’hypothermie ou de gelure », une lésion qui peut entraîner la nécrose des tissus de la peau, rappellent les services du gouverneur. « La peau peut geler en cinq minutes à peine avec des températures ressenties de -45°C », rappellent les services météo de Minneapolis et Saint Paul, les « Twin Cities » du Minnesota.
Source :© lalibre.be
Le Canada est plongé dans une vague de froid intense depuis quelques semaines.Avec l'arrivée d'une masse d'air arctique depuis lundi dernier, les températures ont effectué un plongeon spectaculaire : ainsi, Jeudi à 6H heure locale, les températures atteignaient :
*-42°C à La Tuque (Nord-Québec)
*-41°C à Val d'Or (Nord-Québec), il s'agit d'un record.
*-37°C à Saguenay (Sud-Québec)
*-33,9°C à Québec (Sud-Québec)
*-27°C à Montréal (Sud-Québec)
*-27°C à Ottawa (Ontario)
A noter que le record de froid absolu au Canada est de -62,8°C à Snag (Yukon), mesuré le 3 février 1947.
Records de froid battus
À Témiscaming, l'ancien record du plus bas minimum datait de 1922 avec -30,6°C désormais, le -34,2 de 2014 sera le nouveau record. Toujours au Québec, Val-d'Or a enregistré une température record de -41,6 degrés contre -41 degrés en 1980. À Montréal, ce jeudi, le mercure n'a pas été en mesure de s'élever plus haut que -24,2 degrés, ce qui constitue également un record du maximum le plus froid. La température précédente la plus froide étais de -17,8 degrés en 1968.
Un début d'hiver très rigoureux et neigeux
Depuis le 10 décembre dernier, aucun dégel ne s'est produit sur Montreal. Les températures se situent 2°C en-dessous des normales. La neige est également au rendez-vous et présente en abondance avec près d'1 mètre de neige cumulé depuis début décembre, soit un cumul de 5 cm au-dessus des moyennes pour cette période. Il faut dire que trois tempêtes de neige ou blizzards on sévi sur le Québec depuis.
*-42°C à La Tuque (Nord-Québec)
*-41°C à Val d'Or (Nord-Québec), il s'agit d'un record.
*-37°C à Saguenay (Sud-Québec)
*-33,9°C à Québec (Sud-Québec)
*-27°C à Montréal (Sud-Québec)
*-27°C à Ottawa (Ontario)
A noter que le record de froid absolu au Canada est de -62,8°C à Snag (Yukon), mesuré le 3 février 1947.
Records de froid battus
À Témiscaming, l'ancien record du plus bas minimum datait de 1922 avec -30,6°C désormais, le -34,2 de 2014 sera le nouveau record. Toujours au Québec, Val-d'Or a enregistré une température record de -41,6 degrés contre -41 degrés en 1980. À Montréal, ce jeudi, le mercure n'a pas été en mesure de s'élever plus haut que -24,2 degrés, ce qui constitue également un record du maximum le plus froid. La température précédente la plus froide étais de -17,8 degrés en 1968.
Un début d'hiver très rigoureux et neigeux
Depuis le 10 décembre dernier, aucun dégel ne s'est produit sur Montreal. Les températures se situent 2°C en-dessous des normales. La neige est également au rendez-vous et présente en abondance avec près d'1 mètre de neige cumulé depuis début décembre, soit un cumul de 5 cm au-dessus des moyennes pour cette période. Il faut dire que trois tempêtes de neige ou blizzards on sévi sur le Québec depuis.
Pendant qu'une vague de froid s'abat sur une partie du Canada, une vague de chaleur sévit sur l'Australie, où le mercure atteindra près de 50°C, un écart de température de près de 90°C avec les endroits les plus froids au pays.
Tout comme les Canadiens, les Australiens n'osent pas sortir de leur résidence, mais pour des raisons diamétralement opposées. Bien que les grands centres urbains soient relativement épargnés, la température atteint la quarantaine de degrés avancée dans le centre et le sud du pays.
La ville de Moomba, dans l'est du pays, enregistrera la température la plus chaude. Le mercure devrait y atteindre tout près de 50°C. La ville de Maree, dans le sud de l'Australie, et Birdsville, dans la province du Queensland, seront aux prises avec des températures de 49°C et 48°C.
L'Agence australienne de météorologie a émis des avertissements de risques élevés d'incendie pour l'État de New South Wales où très peu de précipitations sont prévues pour les prochains jours. Aucune interdiction d'allumer des feux n'a toutefois été émise.
La région de Sydney s'avère un peu plus fraîche avec un mercure qui devrait tout de même atteindre 33°C à 35°C. La ville de Melbourne est quant à elle épargnée par la vague de chaleur puisque le maximum prévu pour jeudi est de 23°C.
Les Australiens peuvent toutefois respirer un peu plus aisément puisque le mercure devrait tomber à 33°C au cours de la nuit prochaine. Les conditions climatiques devraient s'améliorer au cours des prochaines heures puisqu'on annonce un retour à des températures plus fraîches pour vendredi.
L'année 2014 s'amorce à l'image de 2013 qui s'est avérée être la plus chaude de l'histoire du pays.
Tout comme les Canadiens, les Australiens n'osent pas sortir de leur résidence, mais pour des raisons diamétralement opposées. Bien que les grands centres urbains soient relativement épargnés, la température atteint la quarantaine de degrés avancée dans le centre et le sud du pays.
La ville de Moomba, dans l'est du pays, enregistrera la température la plus chaude. Le mercure devrait y atteindre tout près de 50°C. La ville de Maree, dans le sud de l'Australie, et Birdsville, dans la province du Queensland, seront aux prises avec des températures de 49°C et 48°C.
L'Agence australienne de météorologie a émis des avertissements de risques élevés d'incendie pour l'État de New South Wales où très peu de précipitations sont prévues pour les prochains jours. Aucune interdiction d'allumer des feux n'a toutefois été émise.
La région de Sydney s'avère un peu plus fraîche avec un mercure qui devrait tout de même atteindre 33°C à 35°C. La ville de Melbourne est quant à elle épargnée par la vague de chaleur puisque le maximum prévu pour jeudi est de 23°C.
Les Australiens peuvent toutefois respirer un peu plus aisément puisque le mercure devrait tomber à 33°C au cours de la nuit prochaine. Les conditions climatiques devraient s'améliorer au cours des prochaines heures puisqu'on annonce un retour à des températures plus fraîches pour vendredi.
L'année 2014 s'amorce à l'image de 2013 qui s'est avérée être la plus chaude de l'histoire du pays.
Il a été acheté dimanche, lors de la première criée de l'année sur le marché aux poissons de Tsukiji, à Tokyo.
Un thon rouge de 230 kilos a été vendu dimanche à Tokyo 7,36 millions de yens (environ 51 000 euros), lors de la première criée de l'année sur le marché aux poissons de Tsukiji, le plus grand du monde. Ce prix est toutefois bien loin du record établi en 2013, souligne La Tribune, lorsqu'un spécimen de 222 kilos avait trouvé preneur pour 155,4 millions de yens (1,09 millions d'euros) !
Sur ce marché, c'est la première fois depuis cinq ans que l'enchère tombe sous les 10 millions de yens. Une baisse des prix principalement due à une offre plus importante de thons rouges pêchés au nord du Japon.
Source © Atlantico
...HIHIHI...HAHAHA....
Un thon rouge de 230 kilos a été vendu dimanche à Tokyo 7,36 millions de yens (environ 51 000 euros), lors de la première criée de l'année sur le marché aux poissons de Tsukiji, le plus grand du monde. Ce prix est toutefois bien loin du record établi en 2013, souligne La Tribune, lorsqu'un spécimen de 222 kilos avait trouvé preneur pour 155,4 millions de yens (1,09 millions d'euros) !
Sur ce marché, c'est la première fois depuis cinq ans que l'enchère tombe sous les 10 millions de yens. Une baisse des prix principalement due à une offre plus importante de thons rouges pêchés au nord du Japon.
Source © Atlantico
...HIHIHI...HAHAHA....
Quelque 150 vols ont été affectés par un épais brouillard enveloppant la capitale indienne depuis tard dimanche soir, a rapporté lundi un haut gradé de l'aviation.
"Au total, 150 vols domestiques et internationaux ont été affectés. Alors qu'une grande quantité de vols en direction de l'Aéroport international Indira Gandhi ont été déroutés vers d'autres villes, les autres ont été reportés, tandis que la visibilité sur la piste d'atterrissage était réduite à moins de 50 mètres en raison de l'épais brouillard", selon l'officiel.
Le brouillard s'est installé à l'aéroport dimanche vers 21h30 et est resté jusqu'à 03h30 ce matin, a-t-il ajouté. Entre-temps, environ 40 trains en direction de la capitale nationale ont pris du retard et 10 autres en direction d'autres régions du nord de l'Inde ont été reportés en raison du brouillard, a fait savoir un responsable de la société Indian Railways.
Le Service météorologique indien a prévu que le ciel se dégagerait plus tard dans la journée. Le brouillard est monnaie courante dans le nord de l'Inde en décembre et janvier, les mois hivernaux.
Source : © Chine information
"Au total, 150 vols domestiques et internationaux ont été affectés. Alors qu'une grande quantité de vols en direction de l'Aéroport international Indira Gandhi ont été déroutés vers d'autres villes, les autres ont été reportés, tandis que la visibilité sur la piste d'atterrissage était réduite à moins de 50 mètres en raison de l'épais brouillard", selon l'officiel.
Le brouillard s'est installé à l'aéroport dimanche vers 21h30 et est resté jusqu'à 03h30 ce matin, a-t-il ajouté. Entre-temps, environ 40 trains en direction de la capitale nationale ont pris du retard et 10 autres en direction d'autres régions du nord de l'Inde ont été reportés en raison du brouillard, a fait savoir un responsable de la société Indian Railways.
Le Service météorologique indien a prévu que le ciel se dégagerait plus tard dans la journée. Le brouillard est monnaie courante dans le nord de l'Inde en décembre et janvier, les mois hivernaux.
Source : © Chine information
Un groupe de 39 baleines a trouvé la mort sur une plage de Nouvelle-Zélande où elles se sont échouées volontairement, ont indiqué lundi des responsables de l'environnement.
Ces baleines, appelées aussi globicéphales, sont coutumières de ce genre d'échouage volontaire dont les scientifiques ne s'expliquent pas clairement les raisons. Elles avaient été repérées au moment de leur approche vers la plage de Golden Bay dans le sud du pays, mais les «rangers néo-zélandais n'ont pas été en mesure de les empêcher de s'échouer».
Douze de ces baleines sont mortes naturellement et les autres ont été abattues faute de pouvoir être remises à l'eau, selon le responsable des services de l'environnement de Golden Bay, John Mason.
PAS DE LIENS DE PARENTÉ
En mars dernier, une étude dirigée par le biologiste français Marc Orémus de l'université d'Auckland en Nouvelle-Zélande, publiée dans la revue Journal of Heredity, avait conclu que la parenté entre baleines était hors de cause dans ces échouages de masse.
Les scientifiques ont recensé l'ADN de 490 baleines-pilotes lors de douze épisodes d'échouage en Australie et en Nouvelle-Zélande. Ils attestent que la plupart des baleines échouées ensemble n'ont souvent aucun lien de parenté et que les baleineaux en particulier se trouvent très loin de leurs mères.
Scott Baker, de l'université américaine de l'Oregon, souligne qu'une autre hypothèse est envisagée. « Il pourrait s'agir de forces sociales à l'œuvre, mais elles ne reposeraient pas sur le lien de parenté comme nous le pensions jusqu'ici. Ce pourrait être une forme de concurrence entre différents groupes », avance-t-il. Les chercheurs évoquent des rivalités liées à la recherche de proies, à la reproduction et même des confrontations directes entre groupes.
DES CAUSES POTENTIELLEMENT LIÉES À L'ACTIVITÉ HUMAINE
Reste surtout, en l'état actuel des connaissances, l'explication environnementale : désorientation due aux pollutions sonores, réchauffement de l'eau, montée des océans, etc. En 2008 par exemple, l'échouage d'une centaine de dauphins d'Electre près de Madagascar a été expliqué par l'utilisation d'un sonar de cartographie à haute fréquence par la compagnie pétrolière ExxonMobil – qui avait rejeté ces conclusions d'un rapport d'experts. Ces sonars produisent des sons puissants qui auraient désorienté les cétacés.
En novembre, ce sont huit cétacés d'une espèce très rare, des baleines à bec de Longman, qui s'étaient échoués sur une plage de Nouvelle-Calédonie. Quatre sont décédés. Dotée d'un rostre long et fin, cette baleine, d'assez grande taille, vit habituellement au large dans des eaux de plus de 1 000 mètres de profondeur dans l'océan Indo-Pacifique, et n'avaient jamais été vues sur l'île.
Des habitants de la région se sont aussitôt interrogés sur un lien avec la rupture, survenue quelques jours auparavant, d'une canalisation d'évacuation vers la mer des déchets de la gigantesque usine chimique de traitement de nickel de Vale, située à proximité du lieu d'échouage.
Source © Le Monde
Ces baleines, appelées aussi globicéphales, sont coutumières de ce genre d'échouage volontaire dont les scientifiques ne s'expliquent pas clairement les raisons. Elles avaient été repérées au moment de leur approche vers la plage de Golden Bay dans le sud du pays, mais les «rangers néo-zélandais n'ont pas été en mesure de les empêcher de s'échouer».
Douze de ces baleines sont mortes naturellement et les autres ont été abattues faute de pouvoir être remises à l'eau, selon le responsable des services de l'environnement de Golden Bay, John Mason.
PAS DE LIENS DE PARENTÉ
En mars dernier, une étude dirigée par le biologiste français Marc Orémus de l'université d'Auckland en Nouvelle-Zélande, publiée dans la revue Journal of Heredity, avait conclu que la parenté entre baleines était hors de cause dans ces échouages de masse.
Les scientifiques ont recensé l'ADN de 490 baleines-pilotes lors de douze épisodes d'échouage en Australie et en Nouvelle-Zélande. Ils attestent que la plupart des baleines échouées ensemble n'ont souvent aucun lien de parenté et que les baleineaux en particulier se trouvent très loin de leurs mères.
Scott Baker, de l'université américaine de l'Oregon, souligne qu'une autre hypothèse est envisagée. « Il pourrait s'agir de forces sociales à l'œuvre, mais elles ne reposeraient pas sur le lien de parenté comme nous le pensions jusqu'ici. Ce pourrait être une forme de concurrence entre différents groupes », avance-t-il. Les chercheurs évoquent des rivalités liées à la recherche de proies, à la reproduction et même des confrontations directes entre groupes.
DES CAUSES POTENTIELLEMENT LIÉES À L'ACTIVITÉ HUMAINE
Reste surtout, en l'état actuel des connaissances, l'explication environnementale : désorientation due aux pollutions sonores, réchauffement de l'eau, montée des océans, etc. En 2008 par exemple, l'échouage d'une centaine de dauphins d'Electre près de Madagascar a été expliqué par l'utilisation d'un sonar de cartographie à haute fréquence par la compagnie pétrolière ExxonMobil – qui avait rejeté ces conclusions d'un rapport d'experts. Ces sonars produisent des sons puissants qui auraient désorienté les cétacés.
En novembre, ce sont huit cétacés d'une espèce très rare, des baleines à bec de Longman, qui s'étaient échoués sur une plage de Nouvelle-Calédonie. Quatre sont décédés. Dotée d'un rostre long et fin, cette baleine, d'assez grande taille, vit habituellement au large dans des eaux de plus de 1 000 mètres de profondeur dans l'océan Indo-Pacifique, et n'avaient jamais été vues sur l'île.
Des habitants de la région se sont aussitôt interrogés sur un lien avec la rupture, survenue quelques jours auparavant, d'une canalisation d'évacuation vers la mer des déchets de la gigantesque usine chimique de traitement de nickel de Vale, située à proximité du lieu d'échouage.
Source © Le Monde
Un nouveau cyclone pluvieux est venu à l'Apennin, un avis de tempête a été déclaré dimanche dans plusieurs régions italiennes, y compris dans la région métropolitaine de la Lazio.
La région de Ligurie a subi l’impact de l’élément. Dans la région de Gênes, plusieurs dizaines de familles ont dû quitter leurs maisons à cause des inondations.
Après les orages violents, quelque routes périphérique de Rome ont été inondées. Il y a des rapports sur des arbres tombés et des tunnels inondés. En Toscane et Lombardie, un avertissement du danger de glissements de terrain a été lancé.
La mer n'est pas calme. Le trafic maritime avec les îles de Capri et d’Ischia est perturbé dans la baie de Naples.
La région de Ligurie a subi l’impact de l’élément. Dans la région de Gênes, plusieurs dizaines de familles ont dû quitter leurs maisons à cause des inondations.
Après les orages violents, quelque routes périphérique de Rome ont été inondées. Il y a des rapports sur des arbres tombés et des tunnels inondés. En Toscane et Lombardie, un avertissement du danger de glissements de terrain a été lancé.
La mer n'est pas calme. Le trafic maritime avec les îles de Capri et d’Ischia est perturbé dans la baie de Naples.
Une éclosion du virus de l'influenza H1N1 a fait six morts en Alberta et en Ontario au cours des dernières semaines.
Jeudi, de longues files d'attente ont été constatées à un centre de vaccination qui était ouvert à Calgary.
Cinq personnes sont décédées en Alberta, dont deux à Edmonton et deux autres à Calgary, ont confirmé les autorités de la santé publique. La grippe y a fait 965 malades déclarés, parmi lesquels 270 ont dû être hospitalisés.
À Toronto, un malade a succombé au virus H1N1, aussi appelé « grippe porcine ». Deux autres personnes infectées par le virus pourraient également en être mortes mais ces cas font toujours l'objet d'une enquête.
Les autorités sanitaires de la métropole ontarienne ont signalé un pourcentage de cas déclarés de H1N1 plus élevé cette année. Ainsi, 36 % des 210 cas déclarés d'influenza étaient, en fait, des cas de grippe porcine. L'an dernier, on ne comptait que 3,0 % de cas de cette grippe à la même période.
La porte-parole du Bureau de santé publique de Toronto, Kris Scheuer, a indiqué qu'il était difficile de prédire quel type de grippe ferait le plus de ravage cette année. Elle a toutefois noté que l'an dernier, le nombre de cas d'influenza enregistrés pendant la saison grippale avait doublé.
Et alors que les Albertains se précipitent vers les centres de vaccination dans plusieurs localités de la province, les autorités sanitaires de Toronto invitent les résidants de leur région à en faire de même. Le vaccin dispensé cette année contient une souche pour protéger les patients contre le virus H1N1.
Le ministère albertain de la Santé avait annoncé l'ouverture de nombreux centres de vaccination à travers la province. De longues files d'attente étaient d'ailleurs signalées jeudi à un centre de vaccination ouvert à Calgary.
Si le vaccin contre l'influenza est déjà offert dans la plupart des pharmacies et des cabinets de médecins, les enfants de moins de neuf ans ne peuvent être vaccinés en pharmacie. Les plus vulnérables à ce type de virus sont d'ailleurs les enfants de moins de cinq ans, selon une récente étude de chercheurs du Centre de contrôle des maladies de la Colombie-Britannique.
Un haut fonctionnaire de la santé publique de l'Alberta, le docteur Gerry Predy, a expliqué que la plupart des cas de grippe s'étaient manifestés au cours des trois dernières semaines, ce qui n'est pas étonnant puisque la saison des Fêtes est propice à la transmission des virus.
Il a ajouté que les autorités seraient particulièrement attentives lors de la prochaine rentrée scolaire.
Environ 41% des Canadiens disent avoir reçu le vaccin contre la grippe l'an dernier, conclut un sondage de la firme Harris-Décima mené pour La Presse Canadienne. Cette année, 44 % disent l'avoir déjà reçu, tandis que 33 % affirment avoir l'intention de se faire vacciner.
Source: © Jeff McIntosh, La Presse Canadienne
...Pub...ben vi ...va ...c'est sain...
Jeudi, de longues files d'attente ont été constatées à un centre de vaccination qui était ouvert à Calgary.
Cinq personnes sont décédées en Alberta, dont deux à Edmonton et deux autres à Calgary, ont confirmé les autorités de la santé publique. La grippe y a fait 965 malades déclarés, parmi lesquels 270 ont dû être hospitalisés.
À Toronto, un malade a succombé au virus H1N1, aussi appelé « grippe porcine ». Deux autres personnes infectées par le virus pourraient également en être mortes mais ces cas font toujours l'objet d'une enquête.
Les autorités sanitaires de la métropole ontarienne ont signalé un pourcentage de cas déclarés de H1N1 plus élevé cette année. Ainsi, 36 % des 210 cas déclarés d'influenza étaient, en fait, des cas de grippe porcine. L'an dernier, on ne comptait que 3,0 % de cas de cette grippe à la même période.
La porte-parole du Bureau de santé publique de Toronto, Kris Scheuer, a indiqué qu'il était difficile de prédire quel type de grippe ferait le plus de ravage cette année. Elle a toutefois noté que l'an dernier, le nombre de cas d'influenza enregistrés pendant la saison grippale avait doublé.
Et alors que les Albertains se précipitent vers les centres de vaccination dans plusieurs localités de la province, les autorités sanitaires de Toronto invitent les résidants de leur région à en faire de même. Le vaccin dispensé cette année contient une souche pour protéger les patients contre le virus H1N1.
Le ministère albertain de la Santé avait annoncé l'ouverture de nombreux centres de vaccination à travers la province. De longues files d'attente étaient d'ailleurs signalées jeudi à un centre de vaccination ouvert à Calgary.
Si le vaccin contre l'influenza est déjà offert dans la plupart des pharmacies et des cabinets de médecins, les enfants de moins de neuf ans ne peuvent être vaccinés en pharmacie. Les plus vulnérables à ce type de virus sont d'ailleurs les enfants de moins de cinq ans, selon une récente étude de chercheurs du Centre de contrôle des maladies de la Colombie-Britannique.
Un haut fonctionnaire de la santé publique de l'Alberta, le docteur Gerry Predy, a expliqué que la plupart des cas de grippe s'étaient manifestés au cours des trois dernières semaines, ce qui n'est pas étonnant puisque la saison des Fêtes est propice à la transmission des virus.
Il a ajouté que les autorités seraient particulièrement attentives lors de la prochaine rentrée scolaire.
Environ 41% des Canadiens disent avoir reçu le vaccin contre la grippe l'an dernier, conclut un sondage de la firme Harris-Décima mené pour La Presse Canadienne. Cette année, 44 % disent l'avoir déjà reçu, tandis que 33 % affirment avoir l'intention de se faire vacciner.
Source: © Jeff McIntosh, La Presse Canadienne
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Une fois de plus, il a plus ce week-end, et une fois de plus, l’eau n’a pas eu le temps de se retirer que les ruisseaux, rivières et fleuves bretons sont à nouveau en crue. Toutefois la situation tend un peu à s’améliorer par rapport au début de la semaine dernière puisque les coefficients de marée tendent à diminuer et que la Vilaine amont et ses affluents sont enfin revenus à des niveaux à peu près normaux, comme la Loire en amont d’Ancenis d’ailleurs.
Toutefois la Bretagne n’est pas sortie de l’auberge. Aujourd’hui, il va en effet continuer de pleuvoir, beaucoup, surtout sur le Morbihan, l’Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique qui recevront chacun près de 10 mm de pluie, le Finistère et les Côtes d’Armor connaissant une relative accalmie en ce début de semaine. Le cumul des pluies devrait voir les niveaux remonter dès cette nuit, puis tout au long de la journée. La décrue pourrait s’amorcer dès mardi dans le Finistère, dès mercredi dans le reste de la Bretagne sauf sur le tronçon aval de la Vilaine, de Beslé à la mer, où il faudra attendre un jour de plus. Le retour du beau temps attendu de mardi jusqu’à la fin de la semaine pourrait permettre aux eaux de s’évacuer pour de bon.
Morlaix, Quimperlé et Quimper en première ligne
Sont actuellement en vigilance orange la rivière de Morlaix, la Laïta, le Blavet, la Vilaine de Rennes jusqu’à la mer (aval et médiane) et la Meu. L’Aulne, l’Odet et la Seiche sont en vigilance jaune. Morlaix devrait logiquement être à nouveau inondé lundi 6 janvier vers 10h, mais plus faiblement que les deux dernières fois, les débordements seraient contenus à la place des Otages. Du fait de coefficients de marée qui restent important (94), la Laïta pourrait à nouveau sortir de son lit à Quimperlé et l’Odet déborder à Quimper.
Situation tendue sur la Vilaine, moins en Loire
Dans le bassin versant de la Vilaine, l’Oust remonte à nouveau et devrait atteindre sa côte maximale dans l’après-midi du 6 janvier et dans la nuit de lundi à mardi au confluent à Redon ; la Vilaine médiane atteindra son maximum dans la journée. Il y a moins d’eau qui y arrive, notamment parce qu’au-delà de Rennes, la Vilaine est revenue à des hauteurs plus raisonnables et que ses affluents l’Ille, la Valière et le Semnon, situé pour sa part sur la Vilaine entre Rennes et Redon (médiane), ont largement amorcé leur décrue. La situation est plus tendue en revanche pour la Vilaine de Redon à la mer (aval) vers laquelle convergent l’Oust déjà très gonflé, mais aussi la Chère, le Don et l’Isac (canal de Nantes à Brest) dont les bassins versants en Loire-Atlantique sont saturés.
Dans le bassin versant de la Loire, bien que l’Erdre et la Sèvre Nantaise soient aussi en crue, les hausses de niveaux devraient rester dans les normales saisonnières. Toutefois, au moment des ondes de marée, notamment lundi et mardi matin (coefficients de marée 94 puis 88), les surcotes devraient être encore significatives en Basse-Loire, où d’ores et déjà des kilomètres carrés de marais sont inondés, comme tous les hivers. De la même façon que les 1600 hectares du château d’eau naturel que constitue la zone humide de Notre-Dame des Landes entre les bassins versants de la Vilaine et du canal, menacée par un projet d’aéroport, ces marais évitent à de nombreuses localités du département d’être inondées des semaines entières tous les hivers.
Source © Breizh-info.com
La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud Belkacem, a annoncé vendredi que l'état de catastrophe naturelle serait «établi» après les inondations en Bretagne «dès que les conditions seront réunies»...
Les assureurs prennent les devants. Les personnes sinistrées après les inondations en Bretagne peuvent déclarer «tout de suite» leur sinistre.
«On peut déclarer tout de suite son sinistre à son assureur", a fait savoir le directeur de la fédération française des sociétés d'assurance (FFSA), Stéphane Penet, sur i-Télé, l'état de catastrophe naturelle étant, dans le cas présent, «une formalité administrative».
«Les assureurs n'attendent pas une déclaration de catastrophe naturelle pour instruire les dossiers de sinistres parce qu'ils savent très bien que des villes comme Morlaix ou Quimperlé vont être déclarées en état de catastrophe naturelle», a-t-il ajouté. La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud Belkacem, a annoncé vendredi que l'état de catastrophe naturelle serait «établi» après les inondations en Bretagne «dès que les conditions seront réunies».
Assurance: «Etat de catastrophe naturelle», mode d'emploi
Tous les contrats d'assurances «prévoient une indemnisation»
Selon Stéphane Penet, tous les contrats d'assurances «prévoient une indemnisation en cas d'un dommage causé par un péril naturel» mais la garantie joue uniquement si «la commune où se trouve le bien endommagé est déclarée en état de catastrophe naturelle». En termes de réparation, «la loi dit que deux mois après la déclaration de catastrophe naturelle, l'assureur doit au moins donner une provision à la victime et l'indemniser dans les trois mois», a détaillé Stéphane Penet. Pour des petits sinistres, comme des nettoyages de cave, «cela peut aller beaucoup plus vite» et «prendre une, deux, trois semaines».
Toutefois la Bretagne n’est pas sortie de l’auberge. Aujourd’hui, il va en effet continuer de pleuvoir, beaucoup, surtout sur le Morbihan, l’Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique qui recevront chacun près de 10 mm de pluie, le Finistère et les Côtes d’Armor connaissant une relative accalmie en ce début de semaine. Le cumul des pluies devrait voir les niveaux remonter dès cette nuit, puis tout au long de la journée. La décrue pourrait s’amorcer dès mardi dans le Finistère, dès mercredi dans le reste de la Bretagne sauf sur le tronçon aval de la Vilaine, de Beslé à la mer, où il faudra attendre un jour de plus. Le retour du beau temps attendu de mardi jusqu’à la fin de la semaine pourrait permettre aux eaux de s’évacuer pour de bon.
Morlaix, Quimperlé et Quimper en première ligne
Sont actuellement en vigilance orange la rivière de Morlaix, la Laïta, le Blavet, la Vilaine de Rennes jusqu’à la mer (aval et médiane) et la Meu. L’Aulne, l’Odet et la Seiche sont en vigilance jaune. Morlaix devrait logiquement être à nouveau inondé lundi 6 janvier vers 10h, mais plus faiblement que les deux dernières fois, les débordements seraient contenus à la place des Otages. Du fait de coefficients de marée qui restent important (94), la Laïta pourrait à nouveau sortir de son lit à Quimperlé et l’Odet déborder à Quimper.
Situation tendue sur la Vilaine, moins en Loire
Dans le bassin versant de la Vilaine, l’Oust remonte à nouveau et devrait atteindre sa côte maximale dans l’après-midi du 6 janvier et dans la nuit de lundi à mardi au confluent à Redon ; la Vilaine médiane atteindra son maximum dans la journée. Il y a moins d’eau qui y arrive, notamment parce qu’au-delà de Rennes, la Vilaine est revenue à des hauteurs plus raisonnables et que ses affluents l’Ille, la Valière et le Semnon, situé pour sa part sur la Vilaine entre Rennes et Redon (médiane), ont largement amorcé leur décrue. La situation est plus tendue en revanche pour la Vilaine de Redon à la mer (aval) vers laquelle convergent l’Oust déjà très gonflé, mais aussi la Chère, le Don et l’Isac (canal de Nantes à Brest) dont les bassins versants en Loire-Atlantique sont saturés.
Dans le bassin versant de la Loire, bien que l’Erdre et la Sèvre Nantaise soient aussi en crue, les hausses de niveaux devraient rester dans les normales saisonnières. Toutefois, au moment des ondes de marée, notamment lundi et mardi matin (coefficients de marée 94 puis 88), les surcotes devraient être encore significatives en Basse-Loire, où d’ores et déjà des kilomètres carrés de marais sont inondés, comme tous les hivers. De la même façon que les 1600 hectares du château d’eau naturel que constitue la zone humide de Notre-Dame des Landes entre les bassins versants de la Vilaine et du canal, menacée par un projet d’aéroport, ces marais évitent à de nombreuses localités du département d’être inondées des semaines entières tous les hivers.
Source © Breizh-info.com
La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud Belkacem, a annoncé vendredi que l'état de catastrophe naturelle serait «établi» après les inondations en Bretagne «dès que les conditions seront réunies»...
Les assureurs prennent les devants. Les personnes sinistrées après les inondations en Bretagne peuvent déclarer «tout de suite» leur sinistre.
«On peut déclarer tout de suite son sinistre à son assureur", a fait savoir le directeur de la fédération française des sociétés d'assurance (FFSA), Stéphane Penet, sur i-Télé, l'état de catastrophe naturelle étant, dans le cas présent, «une formalité administrative».
«Les assureurs n'attendent pas une déclaration de catastrophe naturelle pour instruire les dossiers de sinistres parce qu'ils savent très bien que des villes comme Morlaix ou Quimperlé vont être déclarées en état de catastrophe naturelle», a-t-il ajouté. La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud Belkacem, a annoncé vendredi que l'état de catastrophe naturelle serait «établi» après les inondations en Bretagne «dès que les conditions seront réunies».
Assurance: «Etat de catastrophe naturelle», mode d'emploi
Tous les contrats d'assurances «prévoient une indemnisation»
Selon Stéphane Penet, tous les contrats d'assurances «prévoient une indemnisation en cas d'un dommage causé par un péril naturel» mais la garantie joue uniquement si «la commune où se trouve le bien endommagé est déclarée en état de catastrophe naturelle». En termes de réparation, «la loi dit que deux mois après la déclaration de catastrophe naturelle, l'assureur doit au moins donner une provision à la victime et l'indemniser dans les trois mois», a détaillé Stéphane Penet. Pour des petits sinistres, comme des nettoyages de cave, «cela peut aller beaucoup plus vite» et «prendre une, deux, trois semaines».
Après huit nouvelles annulations de vols dimanche matin à l'aéroport de Nice, la situation est revenue à la normale. Les fortes précipitations ont par ailleurs provoqué des éboulements et des effondrements sur le réseau de routes secondaires dans l'arrière-pays.
Le trafic de l'aéroport de Nice était revenu à la normale dimanche matin, grâce à des conditions météorologiques plus favorables, tandis que des éboulements perturbaient la circulation dans l'arrière-pays. "La situation est désormais très bonne avec une météo qui s'est largement calmée", a indiqué à l'AFP le directeur de permanence de l'aéroport Marc Terraillon. Huit vols ont été annulés dimanche matin, car les avions n'avaient pas pu rejoindre l'aéroport la veille, mais "pas un de plus que ceux qui étaient prévus", a-t-il souligné.
Les vols à l'arrivée et au départ de l'aéroport de Nice-Côte d'Azur ont été fortement perturbés samedi après-midi et soir en raison d'un manque de visibilité dû à des nuages au niveau de la mer. Ces nuages étaient accompagnés de fortes pluies. Au total, 48 vols ont été annulés depuis samedi et 10 déroutés vers d'autres aéroports, a précisé M. Terraillon. Tout les passagers bloqués à l'aéroport - environ 600 - "ont pu dormir à l'hôtel" et les passagers qui devaient s'envoler samedi soir pourront prendre un vol dimanche, a-t-il indiqué.
Les fortes précipitations ont par ailleurs provoqué des éboulements et des effondrements sur le réseau de routes secondaires dans l'arrière-pays. Samedi dans la matinée un éboulement de 30 m3 s'est produit sur une route menant à la commune de montagne de Saint-Sauveur-sur-Tinée (Alpes-Maritimes). La route, qui conduit notamment aux stations de ski Isola 2000 et Auron, est ouverte en demi-chaussée durant la journée, mais sera fermée pour la nuit à partir de 17h30-18h. Plusieurs autres éboulements ou effondrements ont touché l'arrière-pays grassois (Alpes-Maritimes) mais aussi le Var, entraînant des mesures de circulations alternées et des fermetures de routes du réseau secondaire.
Le trafic de l'aéroport de Nice était revenu à la normale dimanche matin, grâce à des conditions météorologiques plus favorables, tandis que des éboulements perturbaient la circulation dans l'arrière-pays. "La situation est désormais très bonne avec une météo qui s'est largement calmée", a indiqué à l'AFP le directeur de permanence de l'aéroport Marc Terraillon. Huit vols ont été annulés dimanche matin, car les avions n'avaient pas pu rejoindre l'aéroport la veille, mais "pas un de plus que ceux qui étaient prévus", a-t-il souligné.
Les vols à l'arrivée et au départ de l'aéroport de Nice-Côte d'Azur ont été fortement perturbés samedi après-midi et soir en raison d'un manque de visibilité dû à des nuages au niveau de la mer. Ces nuages étaient accompagnés de fortes pluies. Au total, 48 vols ont été annulés depuis samedi et 10 déroutés vers d'autres aéroports, a précisé M. Terraillon. Tout les passagers bloqués à l'aéroport - environ 600 - "ont pu dormir à l'hôtel" et les passagers qui devaient s'envoler samedi soir pourront prendre un vol dimanche, a-t-il indiqué.
Les fortes précipitations ont par ailleurs provoqué des éboulements et des effondrements sur le réseau de routes secondaires dans l'arrière-pays. Samedi dans la matinée un éboulement de 30 m3 s'est produit sur une route menant à la commune de montagne de Saint-Sauveur-sur-Tinée (Alpes-Maritimes). La route, qui conduit notamment aux stations de ski Isola 2000 et Auron, est ouverte en demi-chaussée durant la journée, mais sera fermée pour la nuit à partir de 17h30-18h. Plusieurs autres éboulements ou effondrements ont touché l'arrière-pays grassois (Alpes-Maritimes) mais aussi le Var, entraînant des mesures de circulations alternées et des fermetures de routes du réseau secondaire.
Le passage du cyclone Bejisa a causé de nombreux dégâts à La Réunion
Arrivé le matin pour constater les dégâts causés par le passage du cyclone Bejisa, le ministre des outre-mer, Victorin Lurel, a déclaré samedi 4 janvier à La Réunion que les conditions étaient « manifestement » remplies pour la déclaration de l'état de catastrophe naturelle, après le passage du cyclone sur l'île.
« On fera aussi bien que pour la Bretagne. Il y aura une égalité de traitement », a promis le ministre arrivé le matin même à Saint-Denis, appelant les mairies des communes touchées à « faire diligence » pour transmettre leurs demandes à la préfecture.
Le passage du cyclone à Saint-Gilles (La Réunion)
Dressant un bilan provisoire du cyclone, le préfet de l'île, Jean-Luc Marx, a indiqué qu'une personne âgée avait été retrouvée morte à l'extérieur de son domicile durant la nuit, sur la commune de Saint-Leu, sur la côte ouest. La personne décédée est une octogénaire qui vivait seule et qui a glissé et fait une chute dans son jardin après être sortie de son domicile, pendant l'alerte rouge. Elle a été victime d'un traumatisme crânien qui lui a été fatal, selon les premières constatations.
Le bilan humain du cyclone s'élevait donc vendredi matin à "une personne décédée, 2 blessés graves et 14 blessés légers", selon le préfet. Ce dernier n'a pas confirmé, pas plus que la mairie, l'information de médias concernant une deuxième mort qui serait survenue sur les hauteurs de Saint-Leu.
Le préfet a par ailleurs demandé aux Réunionnais de ne circuler qu'en "cas d'impérieuse nécessité", précisant que la vitesse des véhicules serait limitée à 50 km/h, en raison de la "liste impressionnante" des routes coupées ou encombrées de troncs d'arbre déracinés et de débris.
Des renforts d'une centaine de militaires des formations de la Sécurité civile (Formisc), sont mis à la disposition du préfet de la Réunion par le ministre de l'Intérieur
Arrivé le matin pour constater les dégâts causés par le passage du cyclone Bejisa, le ministre des outre-mer, Victorin Lurel, a déclaré samedi 4 janvier à La Réunion que les conditions étaient « manifestement » remplies pour la déclaration de l'état de catastrophe naturelle, après le passage du cyclone sur l'île.
« On fera aussi bien que pour la Bretagne. Il y aura une égalité de traitement », a promis le ministre arrivé le matin même à Saint-Denis, appelant les mairies des communes touchées à « faire diligence » pour transmettre leurs demandes à la préfecture.
Le passage du cyclone à Saint-Gilles (La Réunion)
Dressant un bilan provisoire du cyclone, le préfet de l'île, Jean-Luc Marx, a indiqué qu'une personne âgée avait été retrouvée morte à l'extérieur de son domicile durant la nuit, sur la commune de Saint-Leu, sur la côte ouest. La personne décédée est une octogénaire qui vivait seule et qui a glissé et fait une chute dans son jardin après être sortie de son domicile, pendant l'alerte rouge. Elle a été victime d'un traumatisme crânien qui lui a été fatal, selon les premières constatations.
Le bilan humain du cyclone s'élevait donc vendredi matin à "une personne décédée, 2 blessés graves et 14 blessés légers", selon le préfet. Ce dernier n'a pas confirmé, pas plus que la mairie, l'information de médias concernant une deuxième mort qui serait survenue sur les hauteurs de Saint-Leu.
Le préfet a par ailleurs demandé aux Réunionnais de ne circuler qu'en "cas d'impérieuse nécessité", précisant que la vitesse des véhicules serait limitée à 50 km/h, en raison de la "liste impressionnante" des routes coupées ou encombrées de troncs d'arbre déracinés et de débris.
Des renforts d'une centaine de militaires des formations de la Sécurité civile (Formisc), sont mis à la disposition du préfet de la Réunion par le ministre de l'Intérieur
Environ 18'000 personnes ont dû quitter leurs foyers en Indonésie occidentale après de fortes crues de deux rivières qui ont inondé des milliers de maisons, a déclaré un responsable lundi.
Plus de 4500 maisons et 500 magasins de la ville côtière de Tebing Tinggi, sur l'île de Sumatra, ont été inondés depuis samedi, où les rivières Padang et Bahilang ont débordé après plusieurs jours de pluies torrentielles, selon le porte-parole de l'Agence nationale de gestion des catastrophes, Sutopo Purwo Nugroho.
«La niveau d'eau à l'intérieur des habitations a atteint un mètre», a déclaré le responsable, ajoutant que l'eau devrait encore monter. Quelques 17'648 personnes ont trouvé refuge dans des tentes fournies par le gouvernement ou chez des voisins, a-t-il dit, soulignant qu'il n'y avait pas de victimes.
L'Indonésie est frappée chaque année par des inondations meurtrières au cours de la saison des pluies, qui dure environ six mois. Les écologistes accusent l'exploitation forestière et l'absence de reboisement des terres déforestées d'aggraver les inondations dans ce quatrième pays le plus peuplé du monde.
Source: afp/Newsnet
Plus de 4500 maisons et 500 magasins de la ville côtière de Tebing Tinggi, sur l'île de Sumatra, ont été inondés depuis samedi, où les rivières Padang et Bahilang ont débordé après plusieurs jours de pluies torrentielles, selon le porte-parole de l'Agence nationale de gestion des catastrophes, Sutopo Purwo Nugroho.
«La niveau d'eau à l'intérieur des habitations a atteint un mètre», a déclaré le responsable, ajoutant que l'eau devrait encore monter. Quelques 17'648 personnes ont trouvé refuge dans des tentes fournies par le gouvernement ou chez des voisins, a-t-il dit, soulignant qu'il n'y avait pas de victimes.
L'Indonésie est frappée chaque année par des inondations meurtrières au cours de la saison des pluies, qui dure environ six mois. Les écologistes accusent l'exploitation forestière et l'absence de reboisement des terres déforestées d'aggraver les inondations dans ce quatrième pays le plus peuplé du monde.
Source: afp/Newsnet
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