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samedi 7 mai 2011
Le procureur de la République du tribunal de Brest a fixé à 500.000 euros le montant de la caution que devra verser l'armateur d'un chimiquier suspecté de pollution volontaire, a-t-on appris samedi auprès du parquet de Brest.

Le Kaltene, un chimiquier battant pavillon des îles Marshall, avait été dérouté sur Brest vendredi soir après qu'un avion des Douanes eut repéré une nappe d'hydrocarbure de 4 km de long sur 100 m de large dans son sillage.

Le navire, d'une longueur de 182 m, avait quitté Donges (Loire-Atlantique) sans cargaison et se dirigeait vers Milford Haven (Angleterre).

Le Kaltene se trouvait à 140 km à l'ouest du rail d'Ouessant au moment du constat de la pollution par l'avion Polmar de la Douane de Nantes.

Comme l'exige la procédure, le procureur avait ordonné le déroutement du navire sur Brest au regard des preuves photographiques.

Après enquête, le chimiquier, au mouillage dans la rade de Brest, pourra repartir si l'armateur ou le commandant versent la caution de 500.000 euros.

Une date d'audience sera fixée par le parquet en début de semaine prochaine.

En novembre 2010, dernier déroutement en date, c'est l'armateur d'un vraquier chinois qui avait dû verser une caution de 500.000 euros après le constat d'une pollution longue de 7 km.

De nouveaux textes législatifs entrés en vigueur en 2008 ont relevé le montant maximum des amendes de 1 à 15 millions d'euros.

Toutefois, statuant en janvier dernier dans le dossier d'un cargo lituanien, la cour d'appel de Rennes avait prononcé l'extinction des poursuites en France car le commandant avait été jugé dans les délais en Lituanie en vertu de la convention de Montego Bay.

En Lituanie, l'armateur avait écopé d'une amende de 30.000 euros, alors qu'en première instance le tribunal de Brest avait condamné le capitaine et l'armateur à une amende de 700.OOO euros, sanction annulée par la cour d'appel.

Source: © AFP
La raison de l'échouage de 16 baleines pilotes dans la la baie de Floride dite "Florida Keys"* jeudi dernier reste encore entièrement à élucider.

En 2003 déjà, 25 globicéphales noirs s'étaient échoués sur les cote de la "Florida Keys", nous rappelle Anne Biddle, directeur de l'Institut des mammifères marins.

"Ils ont tendance a resté en banc, et se collent les uns aux autres quand l'un d'entre eux est malade"

"Aujourd'hui, ces baleines se sont retrouvées en eaux peu profondes, et les vétérinaires de l'institut essayent actuellement d'évaluer si c'est la totalité ou seulement l'un d'entre eux qui est malade, et surtout ce qui les a poussé à venir s'échouer ici."

Les globicéphales noirs vivent et chassent en groupes les seiches et les calmars.Ces bancs de 15 à 50 individus peuvent être croisés à proximité des cotes. Le reste de son menu est composé de poissons comme la morue ou le maquereau. Un mâle qui peut peser jusqu’à 4 tonnes a besoin de 50 kg de nourriture par jour. Les adultes mesurent de 5 à 6,5 mètres pour un poids qui varie de 1 800 kg pour les femelles à 3 800 kg pour les mâles.

Il existe de nombreuses causes possibles; maladies, parasites, bruits forts, toxines ou simple confusion, qui peuvent expliquer l'échouage en masse de ces baleines explique Chris Parsons, professeur à la George Mason University et expert en échouage de cétacé dans le monde entier.

Ces dernières années, les ondes bruyantes causés par les sonars de la marine d'exploration pétrolière et de gaz, mais aussi les tremblements de terre ont retenu notre attention comme une cause possible des échouages de baleines. Les globicéphales noirs, comme les autres baleines à dents, ont leur propre système de sonar, comme les chauves-souris, qu'ils utilisent pour cartographier et se déplacer dans leur environnement. Un simple bruit fort peut désorienter une baleine. Si il est trop fort, le bruit peut même causer des blessures interne à la baleine.

Mais d'autre hypothèses sont possibles:

Les toxines produites par les algues au cours des marées rouges, suffisent parfois à les désorienter.

Les parasites ou les maladies, y compris la méningite, peuvent causer un trouble sur une ou deux baleines, et aura une influence sur le reste du banc en son entier qui les protégera en les accompagnant.

Dans cet échouage, trois baleines sont déjà mortes, et les sauveteurs ont bouclé un périmètre de sécurité avec des filets, pour pouvoir effectuer des examens de sang et des évaluations.


Source: Sott.net

Les Keys* (de l'espagnol cayo, « caye ») sont un archipel situé à l'extrémité sud des États-Unis sur le détroit de Floride qui sépare l'océan Atlantique du Golfe du Mexique. Il forme la baie de Floride et s'étend du sud-est de la péninsule de Floride, près de Miami, prend une direction sud puis s'oriente vers l'ouest à Key West ; il se termine sur l'île inhabitée de Dry Tortugas. Key West se trouve à 145 km seulement de Cuba. Les Keys se composent d'un millier d'îles et d'îlots. Exception faite des îles sablonneuses située à l'extrémité nord de l'archipel, les Keys constituent les derniers vestiges de vastes récifs qui commencèrent à se former ici, il y a de 10 à 15 millions d'années, alors qu'une mer peu profonde submergeait la région.




Hier, le volcan Tungurahua, déjà en activité depuis plusieurs semaines, a augmenté son activité éruptive, crachant des cendres à plus de dix kilomètres de hauteur dans l'atmosphère.

De fortes explosions ont fait trembler sols et fenêtres dans la proximité du volcan.

Pendant cette éruption le volcan a éjecté des blocs de pierre de plusieurs tonnes à plus de 2 kilomètres de hauteur, causant d’impressionnants impacts au sol de plus de 10 mètres de diamètre lors de leurs chutes, et forçant les résidents à fuir la région.

Les écoles ont été fermées pour la troisième journée consécutive. La retombée des cendres sur une dizaine de villes alentours, a ravager les récoltes et contraint les autorités à organiser une distribution alimentaire pour la population.


En effet,les prévisions effectuées pour les prochaines semaines en Louisiane annoncent d'ores et déjà une aggravation conséquente des inondations à venir.

Avec cette décision, l'agence fédérale de gestion des urgences (Federal Emergency Management Agency), anticipe ainsi la mise à disposition de moyens supplémentaires des aides nécessaires à fournir à la Louisiane pour affronter la crise à venir.

Le président Barack Obama, a assigné la FEMA pour coordonner les secours et fournir l'assistance appropriée aux sinistrés.

De grandes menaces d'inondations dévastatrices sont annoncées sur les villes de Avoyelles, Ascension, Assomption, Catahoula, Concordia, Carroll, Iberia, Iberville, LaSalle, Madison, Pointe-Coupée, l'est et l'ouest de Baton Rouge, Saint-Charles, Saint-James, Saint John, St. Landry, Saint-Martin, Saint-Mary, Tensas, Terrebonne, et l'ouest de Feliciana.

Gerald M. Stolar a été désigné comme l'agent fédéral de coordination dans les zones touchées.


vendredi 6 mai 2011
Le prince Charles a demandé lors d'une conférence sur l'avenir de l'alimentation que les groupes alimentaires se penchent sur d'autres façons de nourrir la planète...

Le prince Charles d'Angleterre a appelé mercredi à Washington, lors d'une conférence sur l'avenir de l'alimentation, à adopter des méthodes de cultures durables qui n'épuisent pas les sols et la nature.

«Il arrive que nous poussions la nature si loin qu'elle a du mal à supporter ce qu'on lui demande de faire», a déclaré l'héritier du trône d'Angleterre, fervent défenseur de l'environnement, lors d'une conférence sur l'alimentation à l'université Georgetown. «Les sols sont épuisés, la demande en eau s'accroît de façon vorace et tout le système est à la merci des prix du pétrole de plus en plus volatils», a ajouté le prince Charles lors de cette visite de deux jours aux Etats-Unis.

Les groupes agro-alimentaires doivent, de façon urgente, «adopter une approche plus durable de l'agriculture (...) capable de nourrir une planète dont la population va rapidement approcher neuf milliards d'individus», a encore dit le prince Charles, qui a suscité l'ovation des quelque 700 membres de l'auditoire.

Participaient aussi à la conférence le fils d'un paysan du Mexique qui se bat pour les droits des fermiers, un joueur de basketball devenu agriculteur bio et un pédiatre qui milite pour une bonne hygiène alimentaire dans les milieux défavorisés.

«On ne peut plus faire les choses comme avant», a ajouté le prince Charles, invitant l'industrie agro-alimentaire à «prendre des mesures courageuses» pour développer «des formes durables de production de la nourriture».

«Je ne veux pas que mes petits-enfants me demandent plus tard pourquoi nous n'avons rien fait lorsque nous savions que cela n'allait pas», a conclu le prince Charles, qui, au cours de ce voyage entamé quelques jours après le mariage de son fils William avec Kate Middleton, a visité une ferme urbaine, ainsi que la Cour suprême et rencontré des anciens combattants de l'Irak et de l'Afghanistan.


Source: © 2011 AFP

Un discours qui a été très applaudi par l'auditoire de plus de 700 personnes

...Et j'applaudis avec eux...Chapeau bas...

USA, Mississippi

Images aériennes impressionnantes des inondations en cours le long du Mississippi



Au canada

L'armée se déploie pour venir en aide aux sinistrés de la région de Saint-Jean-sur-Richelieu et de la Montérégie

Plus de 200 bovins (buffles et vaches) sont morts ces derniers jours dans les régions de Char Bestin, Majher Char, Char Mandol, et Char Rustam au Bangladesh. Plus de 500 autres sont infectés.

Cette maladie appelée localement "tarka" (vous me direz ils ont de l'humour voir
ici ) semble se répandre extrêmement rapidement dans les troupeaux. Chaque jour la maladie se propage dans de nouvelles régions.

Les symptômes sont foudroyants, d'abord la vache ou le buffle, ne peut plus se tenir sur ses pattes, puis la fièvre gagne et tue la bête en quelques heures.


Le vétérinaire du ministère de l'agriculture et de l’élevage,Dr Humayun Kabir, a confirmé l’épidémie, et demande à chaque éleveur de lui rapporter les bêtes malades dans sa clinique à Galachipa upazila.


Mais les éleveurs sont bien incapables de pouvoir financer cette demande et le vétérinaire Humayun Kabir ne semble pas vouloir se déplacer dans les région atteintes.
Il explique qu'il doit d'abord en recevoir l'ordre de ses supérieurs hiérarchiques.

La polémique gagne entre les autorités et les éleveurs qui sont de plus en plus démunis devant les réactions incompréhensibles des autorités.

Source: The Daily Sun

...la mystérieuse maladie de tarka...Mouaih...voir ici....

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La DNR (Department of Natural Resources) a ouvert une enquête pour tenter d'élucider pourquoi des milliers de poissons sont morts dans le "Lake Dubay" et le ""Stevens Point Flowage" dans le Wisconsin ses deux dernières semaines.

Pour Tom Meronek, biologiste du DNR, c'est probablement un virus qui s'attaquent notamment aux Mariganes noires* (ou crapet calicot) de 3 Ans. Cette classe d'age intrique plus particulièrement le biologiste.

Les effets du virus sur le poisson sont visibles à l'oeil nu: les cadavres des crapet observés présentaient tous les symptômes suivants; leur yeux étaient éclatés et leur nageoires couvertes de champignons noires

Des échantillons de poisson ont été envoyés dans les laboratoires de la DNR, et des études sont en cours.

La plus grosse hécatombe s'est produite le 25 Avril dernier

Source: wsaw.com

jeudi 5 mai 2011

Un séisme de magnitude 5,8 s'est produit aujourd'hui au Mexique, a rapporté l'Institut de géophysique américain (USGS), et la secousse a été ressentie à Mexico où les immeubles ont tremblé, selon une journaliste de l'AFP sur place.

La secousse s'est produite dans l'Etat de Guerrero, dans le sud du pays, à 8h24 (15h24 à Paris), selon l'USGS. Elle s'est produite à une profondeur de 10 km, à 23 km de la ville d'Ometepec. Une journaliste de l'AFP a indiqué que des immeubles avait tremblé à Mexico, capitale du pays située à quelque 295 km de l'épicentre du séisme. Dans l'immédiat, aucun dégât n'avait été signalé.

Afin de mesurer la puissance d'un séisme, l'USGS utilise la "magnitude de moment" (mw). Sur cette échelle, un tremblement de terre atteignant une magnitude d'au moins 6 est considéré comme fort.

Source: AFP via le Figaro
Un homme de Phoenix en Arizona a été hospitalisé après avoir été piqué par un essaim d'au moins 100 000 abeilles tueuses*.

L'essaim a attaqué cet homme sans-abri, au croisement de la 32e rue et l'avenue Glenrosa. Il a été piqué plusieurs milliers de fois.

les pompiers ont du s'asperger de mousse pour le secourir, les abeilles continuaient leur agression pendant le sauvetage.

"il devait y en avoir au moins cent mille, ça faisait comme un gros nuage noir» témoigne le pompier de Phoenix, Scott Walker

la victime était en été de choc et a été transporté de toute urgence à l'hôpital. Sa vie n'est plus en danger .

C'est la 18 éme attaque d'abeilles recensée à Phoenix cette année, et nous sommes bien en avance sur les chiffres de l'année dernière, où 30 attaques se sont produites sur la région pour la totalité de 2010.

Source : my fox phoenix


Abeilles Tueuses*: Afin d'augmenter la productivité de ses abeilles, le Brésil importa en 1956, de Namibie (ou de Tanzanie), des reines de la sous-espèce africaine Apis mellifera scutellata. Le croisement de ces reines avec l'abeille européenne utilisée jusque là au Brésil (Apis mellifera ligustica et Apis mellifera iberiensis), donna naissance à une lignée hybride, l'abeille tueuse, également appelée abeille africanisée. Ces abeilles tueuses se répandirent dans la nature par mégarde.
Ces abeilles métisses sont plus agressives que les abeilles des races dont elles sont issues.
Leur venin est identique à celui des autres abeilles mais leur agressivité entraîne un grand nombre de piqûres (de 200 à 1000 piqûres simultanées, avec parfois l'attaque de tout l'essaim).
Ces abeilles tueuses peuvent poursuivre une victime sur près d'un kilomètre alors que les autres variétés ne le font habituellement que sur une cinquantaine de mètres.



Des incendies ont été signalés ces derniers jours en Ecosse, en Angleterre et en Irlande du Nord où des centaines d’hectares de landes ont été la proie des flammes.

Des centaines de pompiers luttaient mercredi au Royaume-Uni contre des feux de forêts ou de landes provoqués par la sécheresse exceptionnelle du mois d’avril et attisés par le vent, une situation peu commune dans un pays plutôt réputé pour son climat humide.



Les pompiers ont même été appelés sur le domaine royal de Balmoral (Ecosse), où de la lande et des ajoncs ont brûlé.

Les chaînes de télévision diffusaient mercredi des images inhabituelles dans ce pays montrant de vastes zones envahies par la fumée et des pompiers tentant de circonscrire les sinistres.

Le mois d’avril 2011 a battu des records de chaleur, avec des températures souvent supérieures de trois à cinq degrés aux normales saisonnières.

Après un mois de mars déjà sec, 21% seulement des précipitations attendues à cette époque sont tombées le mois dernier en Angleterre et au Pays de Galles, qui n’avaient pas connu d’avril aussi chaud depuis 350 ans.

Les services météo n’attendent pas de chutes de pluie dignes de ce nom avant jeudi et même ce week-end dans le centre et l’est de l’Angleterre.

Quelque 150 pompiers ont été envoyés mardi dans le comté de Berkshire (sud) pour éteindre plusieurs foyers, tandis que d’autres brigades luttaient contre des feux de tourbe dans le Lancashire (nord-ouest) .

Dans les Highlands (Ecosse), des feux de forêts se sont déclarés pendant le week-end et continuaient à faire rage mercredi.

En Irlande du Nord, des centaines d’hectares ont été détruits et les flammes ont menacé des habitations et des troupeaux dans les comtés de Down, Armagh et de Tyrone. La police a ouvert une enquête, des témoins ayant mentionné la présence d’un homme muni d’un bidon d’essence à proximité d’un des foyers et de deux jeunes en train d’allumer des incendies.

Malgré la sécheresse, l’agence britannique chargée de la gestion de l’eau a jugé qu’il n’était pas nécessaire d’imposer des restrictions aux consommateurs, le niveau de la nappe phréatique et des réservoirs était suffisamment élevé.

Source: AFP

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Important feu de forêt au sud de l’Angleterre par Zoomin_Wallonie


En Angleterre

Les printemps anglais sont en train de perdre leurs chants annonceurs, celui des coucous, des rossignols et des tourterelles

Les scientifiques ont du mal à expliquer la baisse catastrophique du nombre de ces oiseaux. Ils disparaissent par milliers.

"L'appel printanier du coucou pourrait être réduit au silence dans un proche avenir, il existe désormais un risque réel que les oiseaux migrateurs en provenance d’Afrique ne viennent plus nicher dans nos contrés" explique le Dr Danaé Sheehan

le nombre d'oiseaux migrateurs en provenance d'Afrique ont considérablement diminué au Royaume-Uni depuis 1995. Le chiffre des pertes pour les tourterelles est estimé à 71%; 53% pour rossignols, et 44% pour les coucous.

"C'est une baisse très importante et très inquiétante" a t-elle ajouté.

"Mais le véritable problème, c'est qu'il y a tellement de causes possibles de ces pertes, qu'il nous est difficile de démêler les facteurs impliqués dans ces déclins, et de préparer des plans sauvegardes pour améliorer cette situation.


La RSPB et des groupes tels que le British Trust for Ornithology ont lancé une série de projets au Royaume-Uni et en Afrique. Il s'agit notamment d'enquêter sur les migrations de ces oiseaux en Grande-Bretagne et en Afrique, afin de déterminer les facteurs perturbants qui réduisent leur colonies.

Ces travaux comprendront un inventaire des coucous, des rossignols et des tourterelles des bois mais aussi des pouillots siffleurs, des fauvettes des jardins, des tariers des prés, et des gobe-mouches; leurs effectifs ont chuté toutes espèce confondues de 30% depuis 1995.


Cependant, ce travail sera trés difficile à accomplir, en raison notamment de la complexité de la migration des oiseaux entre l'Afrique et la Grande-Bretagne.

les résidences d'hiver sont très différentes entre les espèces. Certains oiseaux, comme le rossignol, le coucou passent l'hiver dans les régions humides de l'Ouest - entre le Nigeria et le Ghana, tandis que d'autres, comme la tourterelle des bois et la bergeronnette printanière, passent l'hiver dans les zones arides du Sahel.

"Ces deux régions sont grandement touchées par l'extension de la population humaine, qui peut avoir des effets sur certaines espèces d'oiseaux,» dit Sheehan.

Néanmoins, les scientifiques soupçonnent aussi de nombreuses autres causes possibles et en particulier la difficulté pour ces oiseaux de se nourrir quand ils viennent se reproduire en Grande-Bretagne.

Par exemple, les coucous mangent de grands papillons et il est aujourd'hui reconnu que la présence de ces insectes a nettement baissé au Royaume-Uni.

D'autre part, le Dr Sheehan souligne, que les changements climatiques qui ont profondément bouleversé les saisons des cultures en Grande Bretagne et en Europe en général, semble perturber profondément la reproduction et les habitudes de ces oiseaux pour nourrir leur petits. La perte des garrigues sablonneuses où se reproduisaient les tourterelles et les rossignols sont aussi montré du doigt. Mais aussi la chasse qui en tue des milliers chaque année. Bref une multitude de raisons sont à clarifier.

"Beaucoup d'anglais vont entendre leurs coucous en ce début de printemps ce week-end. Mais il n'est pas garanti qu'ils seront en mesure de les entendre encore d'ici 10 ans."

Source: le Guardian
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En France

Le mois d'avril marque traditionnellement le retour des hirondelles sur notre territoire. Revenus de leur périlleuse migration en Afrique, où les zones désertiques se multiplient, ces oiseaux réapparaissent près de nos maisons, de moins en moins nombreux. La LPO (Ligue de protection des oiseaux) tire la sonnette d'alarme...

Les hirondelles comptent parmi les animaux qui se sont le mieux adaptés à la proximité avec l’homme. La France accueille cinq espèces: l’hirondelle rustique (à la gorge rouge), celle de fenêtre (noire et blanche), celle de rivage, au pelage brun, l’hirondelle des rochers et la rousseline.

D’années en années, ces mangeuses d’insectes qui annoncent le printemps sont moins présentes en Europe, mais aussi sur notre territoire: depuis 1989, le nombre d’hirondelles rustiques a baissé de 12% et celui des hirondelles de fenêtre de 41%. Seules les hirondelles de rivage ont vu leur population augmenter de 28% depuis 2001. Les causes du déclin? L’utilisation de pesticides ou de débrousailleuses dans les jardins et les cultures, ainsi que la trop grande propreté des fermes qui amenuisent les réserves en insectes, base de leur alimentation. Avec l’apparition de nouveaux bâtiments, peu favorables à leur installation, leur reproduction est également devenue plus difficile.

Que peut-on faire? Ne pas utiliser abusivement de pesticides et surtout ne pas détruire les sites de nidifications essentiellement d’avril à septembre, par exemple près des fenêtres de maisons ou sous les ponts. «Détruire un nid d’hirondelle, une espèce protégée par l’article L 411-11 du code de l’environnement, peut d’ailleurs vous coûter jusqu’à un an d’emprisonnement et 15 000€ d’amende!», rappelle Frédéric Malher du Centre Ornithologique Ile-de-France.

Pour protéger les hirondelles, la LPO met en place des nichoirs artificiels dans les gares. «La Ligue s’investit aussi pour que des périodes de protection des nids soient instaurées, explique Gunter de Smet de la LPO. Cela peut empêcher, par exemple, le démarrage de travaux de construction ou de rénovation». Enfin elle cherche à rendre les colonies d’hirondelles de rivage pérennes en consolidant les abris construits, sans empêcher la terre de se renouveler et d’éliminer ainsi les parasites présents.

D’autres dangers guettent les hirondelles dans le monde, essentiellement en Afrique, lors de leur migration, où la déforestation s’accélère. Il faut enfin rappeler que 35% des hirondelles rustiques sont tuées par la chasse chaque année et que près de 100 000 hirondelles meurent tous les ans pour la consommation, essentiellement en Afrique.

Source: 20 minutes.fr

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Au Canada

Des dizaines d'espèces d'oiseaux en déclin

Au moment où l'effervescence printanière gagne une multitude d'oiseaux qui se préparent à nicher, des scientifiques s'interrogent sur l'avenir de plusieurs espèces.

Les résultats préliminaires obtenus dans le cadre de l'Atlas des oiseaux nicheurs du Québec, dont le but est de déterminer la distribution des oiseaux qui se reproduisent ici, indiquent que la population de dizaines d'espèces indigènes a connu une baisse considérable au cours des dernières années. Par contre, d'autres, beaucoup moins nombreuses toutefois, sont en pleine expansion.

La situation de plusieurs hirondelles (rustiques, des rivages, noires et à front blanc), de l'engoulevent bois-pourri, de l'engoulevent d'Amérique, un oiseau autrefois abondant dans le ciel de Montréal, et surtout du martinet ramoneur dont les effectifs ont considérablement baissé au cours des récentes décennies, inquiète les biologistes. Même l'universel moineau domestique est en déclin.

Plusieurs espèces qui fréquentaient jadis les terres abandonnées de nos banlieues sont aussi en chute libre parce que ces espaces vitaux diminuent comme peau de chagrin. C'est le cas du goglu des prés, de la maubèche des champs ou encore de la sturnelle des prés, des oiseaux qu'il était assez facile d'observer autour de Montréal il y a une vingtaine d'années à peine. D'autres comme le tyran tritri, la bécasse d'Amérique, la perdrix grise, le pluvier kildir ou encore le vacher à tête brune, oiseau parasite qui fait pourtant élever ses petits par les autres, voient aussi leurs populations décroître.

Des 443 espèces déjà signalées au Québec, seulement 278 vivent sur place ou viennent y élever leurs petits. Certains experts estiment que la diminution pourrait toucher près de la moitié d'entre elles.

Responsable de la coordination de l'Atlas pour Environnement Canada, le biologiste Michel Robert précise cependant qu'il faudra attendre que la compilation des données soit terminée, à la fin de 2014, pour avoir un portrait précis de l'évolution de nos oiseaux. Mais déjà, si l'on compare les résultats obtenus l'an dernier avec ceux du premier Atlas publié en 1995, il est évident que la situation de nombreuses espèces est précaire.

Plusieurs facteurs sont en cause. «Les oiseaux qui se nourrissent exclusivement d'insectes, particulièrement ceux qui les capturent en vol, comme les engoulevents, les hirondelles ou les martinets déclinent, indique le scientifique. La situation n'est pas particulière au Québec et pourrait être attribuable à la baisse considérable d'insectes, un problème probablement lié à l'agriculture intensive sur tout le continent. Dans certains cas comme chez l'hirondelle rustique, c'est la rareté des lieux de nidification qui pose problème. Le réchauffement climatique et les pratiques agricoles (les bêtes élevées en enclos, l'élimination des zones tampons, le fauchage très hâtif, etc.) sont également en cause.»

Par ailleurs, de nombreuses espèces migratrices sont malmenées dans les lieux d'hivernage, en Amérique centrale et en Amérique du Sud, en raison de la destruction des habitats et de l'utilisation massive des pesticides qui empoisonnent la chaîne alimentaire. Par exemple, la sarcelle à ailes bleues, un canard qui voit souvent son nid détruit par les coupes hâtives du fourrage au Québec, est abondamment chassée sur les sites d'hivernage.

DES PERDANTS

Le moineau domestique

Introduit d'Europe par des lâchers aux États-Unis dans les années 1850 et même à Québec en 1868, le moineau domestique s'est merveilleusement adapté à son nouveau milieu. Au point qu'à peine 20 ans plus tard, le 20 juillet 1889, La Presse titrait en une: Mort aux moineaux. La disparition du cheval de nos rues et plus récemment, la modification de l'architecture urbaine, l'élevage en enclos et la concurrence livrée par un nouvel arrivant, le roselin familier, ont tous contribué au déclin du moineau qui s'est accentué depuis deux ou trois décennies

L'hirondelle rustique

L'hirondelle rustique, notre hirondelle des granges, doit composer avec une baisse considérable des lieux de nidification, les bâtiments de ferme étant moins nombreux et plus modernes. La chute des populations d'insectes volants aurait aussi contribué à la dimunition de la population. Le gigantesque ouragan Wilma, à l'automne 2005, en pleine période migratoire, serait également responsable d'une hécatombe dans la population. Cette espèce migre jusqu'en Argentine.

Le martinet ramoneur

Étonnante évolution que celle du martinet ramoneur, oiseau de petite taille, encore présent dans le ciel montréalais, toujours en vol ou presque, souvent confondu avec l'hirondelle. La colonisation ayant décimé les arbres où il nichait, l'espèce s'est installée dans les cheminées qui cessaient de fumer durant la saison de reproduction. Quelques siècles plus tard, les cheminées disparaissaient en quelques décennies ou étaient grillagées en raison de la réglementation. À cela s'ajoute la rareté des insectes volants. Résultat: un déclin d'effectifs de plus de 90% au cours des récentes décennies. Aujourd'hui, la population totale ne dépasse guère les 4000 individus. L'oiseau hiverne en Amérique du Sud (Chili, Pérou, Équateur, Brésil).

DES GAGNANTS

L'urubu à tête rouge

Souvent appelé à tort vautour à tête rouge, l'urubu est un nouveau venu au Québec. Même si on l'imagine beaucoup plus dans les étendues désertiques du Sud que dans la forêt boréale. La première mention de nidification, dans l'Outaouais, date de 1986. Ce charognard au charme particulier est maintenant en pleine expansion et on le trouve aussi bien au Témiscamingue qu'en Abitibi ou sur la Côte-Nord. De nombreux individus sont signalés chaque année dans la région métropolitaine, même en plein coeur de Montréal. Le réchauffement climatique, la grande population de chevreuils et la circulation automobile, qui lui procure des milliers de carcasses, seraient en cause.

Le dindon sauvage

Jadis présent dans le sud du Québec au XVIIIe siècle pour ensuite disparaître en raison de la chasse intensive, comme ce fut le cas aussi dans une bonne partie des États-Unis, le dindon sauvage fait un retour remarquable sur le territoire québécois ces dernières années, notamment en Estrie et en Montérégie. Ces oiseaux proviennent à l'origine des États américains limitrophes où le dindon a été réintroduit. Le réchauffement climatique a favorisé le dindon mais certaines populations ailleurs au Québec, comme dans l'Outaouais, doivent leur existence aux lâchers réalisés par la Fédération des chasseurs et pêcheurs du Québec.

Le cardinal rouge

Le cardinal rouge, une espèce familière particulièrement prisée des amateurs d'oiseaux en raison de son vif coloris, est en nette progression vers l'est, notamment dans la région de Québec où il était absent il y a 20 ans. Cette expansion territoriale aurait aussi été favorisée par les hivers plus doux de même que par la présence de mangeoires installées par les amateurs pour observer et nourrir les oiseaux durant la saison froide.

Source: Cyberpresse.ca

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...et moi de me dire...Nuages et moissons...Nuages et moissons...faut il encore les prier ...de lever les yeux....
mercredi 4 mai 2011
Le 4 mai 2011, les députés ont adopté en première lecture, par 236 voix contre 222, une proposition de loi du Nouveau Centre interdisant l'utilisation de produits chimiques suspectés d'être des perturbateurs endocriniens : les phtalates*, les parabènes **et les alkylphénols***. Ce vote s'est fait à la surprise générale contre l'avis du gouvernement et de l'UMP et a été accueilli par des applaudissements dans l'hémicycle.

La proposition de loi avait été auparavant rejetée, le 5 avril dernier, par la commission des affaires sociales, et le ministre de la santé Xavier Bertrand avait proposé d'attendre le résultat d'expertises avant toute interdiction (Cf. Synthèse de presse du 18/04/11).

Les phtalates, utilisés pour assouplir le plastique se retrouvent dans de nombreux produits. "On les retrouve partout : dans les eaux de surface, les sols, les sédiments, les poussières, la pluie, mais aussi dans l'air des habitations", précise Marc Chevreuil, de l'École pratique des hautes études. Des études scientifiques ont montré que les phtalates avaient "des effets délétères sur la mise en place du potentiel reproducteur masculin dans l'espèce humaine". Les parabènes, utilisés comme conservateurs dans des cosmétiques, des médicaments et certains aliments, sont également suspectés d'être néfastes à la fertilité masculine et de provoquer des cancers du sein.

Maintenue en l'état, la proposition de loi pourrait avoir des répercussions économiques importantes. "Il faudrait donc l'affiner afin de retenir non des familles de substances mais seulement les composés les plus dangereux", expliquait Yvan Lachaud, rapporteur du texte, lors de son examen par la commission des affaires sociales.

Le Réseau environnement santé a salué le vote de l'Assemblée. "C'est une excellente décision, qui montre que les députés ont pris conscience de l'importance de ces questions et ont su résister au lobby chimique", indique André Cicolella, chercheur en santé environnementale.

Le texte doit désormais être examiné par le Sénat, sauf si le gouvernement choisit de ne pas l'inscrire. "Mais il ne peut ignorer un vote de la représentation nationale" a déclaré François Sauvadet, député du Nouveau Centre.

Source: genethique.org

...Et la réponse ne se fait pas attendre

La colère des industriels

Dans un communiqué cosigné par PlasticsEurope (producteurs européens de matières plastiques), la Fédération de la Plasturgie et Elipso (fabricants d'emballages plastiques et souples, les industriels du plastique jugent la proposition adoptée "injustifiée scientifiquement, inapplicable en pratique et inappropriée juridiquement". Ils demandent alors l'abandon du texte, "interprétation abusive du principe de précaution".



Les phtalates* sont utilisés depuis 50 ans et ils sont produits, de nos jours, à raison de 3 millions de tonnes par an. Ils sont présents dans de nombreux produits de consommation. Ce sont des plastifiants utilisés couramment dans les matières plastiques et d’autres matériaux. En règle générale, les plastifiants les rendent souples, flexibles, ils améliorent la tenue aux chocs et au froid, l'allongement à la rupture et facilitent la mise en œuvre (par exemple en abaissant la température de transformation).

Les cosmétiques sont le deuxième domaine d'application des phtalates où ils sont notamment incorporés comme agents fixateurs afin d’augmenter le pouvoir de pénétration d’un produit sur la peau ou d’empêcher le vernis de craquer.

Un parabène** est un composant dont les propriétés antibactérienne et antifongique font qu'il est généralement utilisé comme conservateur dans les cosmétiques, les médicaments et les aliments.Du fait de leur activité effective antibactérienne et antimycosique, ils sont utilisés comme conservateurs dans des aliments, des boissons, des cosmétiques et des produits pharmaceutiques2. On les retrouve dans plus de 80 % des produits d'hygiène et de toilette dont des shampooings, des crèmes hydratantes, mousses à raser, gels nettoyant


Les alkylphénols*** à longue chaîne sont utilisés massivement comme précurseurs de détergents, comme additifs de carburant et lubrifiants, comme polymères, et comme composants des résines phénoliques. Ce sont également des briques de base pour produire des parfums, élastomères thermoplastiques, antioxydants, matériaux retardateur de flamme..
Avec leur utilisation pour produire des résines alkylphénoliques, les alkylphénols se trouvent aussi dans les pneus, adhésifs, revêtements, papier carbone et caoutchoucs haute performance. Ils sont utilisés dans l'industrie depuis les quarante dernières années au moins.



...ainsi en vient on à être surpris...

...les esprits changent?... une nouvelle force est en marche?...un souffle d'espoir?...

...Messieurs et mesdames les députés à 236 voix... ...Chapeau bas...

A Berlin un nombre croissant de sangliers ont pris la sale habitude de pénétrer dans la ville à la recherche de nourriture. Ils sont souvent surpris en pleine rue et en harde fouillant dans les poubelles où ils commettent de gros dégâts. Depuis quelques années déjà, ils sont devenus pour la ville une véritable nuisance et pour lutter contre cette invasion, la mairie a du employé un chasseur qui tente de les repousser. Des barrières ont été dressés autour des résidences les plus touchés pour tenter de les contenir hors des parcs, des jardins et des cimetières. Néanmoins certains Berlinois appréciaient leurs visites et les nourrissaient abondamment, ils leurs sera maintenant interdit de continuer sous peine d'amende .

Source : BBC

Canada, Montérégie :Inondations, La montée des eaux de la rivière Richelieu continue

Les fortes pluies attendues dans les prochaines heures font craindre le pire en Montérégie aux riverains de la rivière Richelieu et du lac Champlain, déjà touchés par une crue des eaux qui touche plus de 2100 résidences.

Les nouvelles pluies pourraient entraîner des niveaux d’eau records en raison des précipitations à venir, qu’Environnement Canada estime à de 40 à 60 millimètres d’ici la fin de journée de mercredi.

« On estime que cela va entraîner une hausse du niveau de la rivière Richelieu de 40 à 45 centimètres d’ici jeudi », affirme Éric Doneys, porte-parole pour la Sécurité civile.

« Selon nos modèles de prévision, le niveau de la rivière ne devrait pas vraiment s’abaisser avant lundi prochain », ajoute-t-il.

Ainsi, des dizaines d’autres résidences risquent l’inondation. On compte pour l’heure environ 400 évacués, mais la situation pourrait s’aggraver.

« Plusieurs résidants ne veulent pas quitter leur demeure par crainte de dégât d’eau, de vol ou pour ne pas abandonner leurs animaux », indique M. Doneys, qui précise que la Sûreté du Québec patrouille la région en bateau, en voiture et en hélicoptère pour y assurer la sécurité.


La montée des eaux de la rivière Richelieu est telle que les autorités de Saint-Jean-sur-Richelieu ont décidé mardi matin d’ouvrir deux centres d’accueil pour les sinistrés. Le pont Gouin demeure fermé à la circulation sur ordre du ministère des Transports parce que le niveau d’eau s’approche dangereusement du tablier du pont.

Les villes de Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix, Saint-Blaise, Henryville et Venise-en-Québec ont quant à elles ouverts des centres d’hébergement pour que les sinistrés privés d’eau et d’électricité puissent y dormir.

État d’urgence

Quelque 2100 résidences sont touchées par les inondations à Venise-en-Québec, à Noyan, à Saint-Jean-sur-Richelieu, à Henryville, à Sainte-Anne-de-Sabrevoie, à Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix et Saint-Blaise-sur-Richelieu.

Ces quatre dernières municipalités ont d’ailleurs établi un état d’urgence local. Si les évacuations se font présentement de façon volontaire, elles pourraient devenir obligatoires si la situation dégénère davantage.

Notons qu’Environnement Canada a émis mardi matin un avertissement de pluie abondante pouvant atteindre jusqu’à 60 millimètres d’eau dans les 24 heures suivantes pour la région de la Montérégie, mais aussi pour celles de l’Estrie, de Montréal, de Laval et de Lanaudière principalement.

La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu tiendra une séance d’information mardi soir, au Théâtre des Deux-Rives, à l’intention des propriétaires de résidence principale touchés par la crue des eaux.


Source: ruefrontenac.com

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