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vendredi 19 août 2011
Hier c'est deux brises glaces, armés de 2 sous marins autonomes qui peuvent naviguer sous la calotte glaciaire, et plus de 100 géologues et géographes du Canada et des états unis à leurs bords, qui sont partis à la conquête de nouveaux territoires.

C'est vers les dernières régions géologiques encore inexplorées de l’arctique que se dirige cette étrange armada.

En effet c'est peut être la dernière chance pour le Canada de recueillir les preuves que le pays a besoin pour revendiquer la dorsale de Lomonosov, une chaine massive de montagne sous marine du grand nord et les ressources naturelles potentielles que son sous sol détient, comme appartenant à son territoire.

Le Canada est confronté à l'échéance de 2013 pour revendiquer ce territoire maritime avec la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (UNCLOS), qui a donné dix ans aux pays limitrophes de l'arctique pour réclamer leurs droits territoriaux. Cette convention qui a été ratifiée en 2003, et que les USA n'ont pas signé, régit le processus du partage des territoires marins de l’arctique pour de futures exploitations pétrolières.

La dorsale Lomonosov : Russe, Danoise ou Canadienne ?

La chaîne de montagnes sous-marines Lomonosov est particulièrement visée par ces spéculations.

Déjà en juillet 2007, une expédition russe est allée y déposer, à l’aide de mini-sous-marins, le drapeau russe afin de revendiquer ce territoire, arguant qu’il s’agit de la continuité du continent eurasiatique.

Quelques semaines plus tard, une expédition danoise partait cartographier ce même lieu pour le revendiquer à son tour. Pour sa part, le Canada affirme lui aussi que la dorsale Lomonosov est rattachée à son territoire.

Qui finira par gagner cette course ?

Le but de cette expédition nord-américaine est bien de gagner des points, et donc d'enquêter et de cartographier le plus précisément possible la dorsale Lomonosov. Elle semble à première vue plus ou moins liée à la Sibérie et/ou à l'Amérique du Nord , mais finalement sépare les deux continents depuis plus de 55 millions d'années. Avec le réchauffement climatique la région perd lentement sa calotte glaciaire et s'ouvre de plus en plus sur la mer ainsi qu'à l'exploration et l'exploitation future du pétrole que son sous sol détient.

"C'est loin d'être une tâche facile", témoigne Jacob Verhoef, directeur de l'équipe d'enquête et directeur de l'étude géologique des Ressources naturelles du Canada, "c'est vraiment une question à un million de dollars".

Et le Canada a déjà dépensé 109 millions de dollars sur ce projet jusqu'à présent.

En attendant, la Russie effectue des missions de cartographie similaires et il est prévu qu'elle soumette sa demande à l'UNCLOS cette année. Le Danemark envisage d'apporter des preuves en 2014, et les États-Unis, qui n'ont pas ratifié la convention, affiche l'espoir d'être eux aussi dans les enjeux.

Néanmoins, le projet de cartographie du Canada est lancé depuis déjà 10 ans, et le groupe d'étude de Jacob Verhoef a régulièrement publié de nombreux articles sur les caractéristiques géologiques des fonds marins de l'Arctique.

Mais la dernière pièce de ce puzzle reste encore indéfinie.

En effet un prolongement de plus 2000 km de la dorsale de Lomonosov appelé la Dorsale Alpha qui s'étend au nord de la côte du Yukon, est restée encore pratiquement inexplorée avant cette croisière de 6 semaines qui vient d'être lancée.

Les équipages à bords des deux brises glaces, qui comprennent notamment des équipes américaines de la NOAA, de la United States Geological Survey (USGS), et de l'Université du New Hampshire, feront la collecte de données sismiques de cette région en faisant rebondir des ondes radars sonores sur le plancher océanique pour en déterminer la composition des sédiments, ainsi que la réalisation d'une analyse multispectrale qui va leur donner une idée de la forme des crêtes de cette chaine montagneuse.

Les brise-glaces américain Healy et le canadien Louis St-Laurent vont collaborer dans cette expédition de la dernière chance.

Les dernières estimations satellitaires de l'agence américaine de l'USGS de 2008, indiquent une quantité estimée d'environ 90 milliards de barils de pétrole dans l'arctique, ça ne reste que des hypothèses, mais a de quoi alimenter de nombreux appétits . En fait le canada espère aussi par cette expédition mieux apprécier les valeurs réelles du gâteau.

Néanmoins la priorité de cette expédition n'est pas l'exploration pétrolière, mais la recherche de preuves que la dorsale Lomonosov est bien connectée au Canada rappelle Jacob Verhoef.
"Nous sommes totalement concentrés sur cet objectif et sur le respect des délais imposés par l'UNCLOS"

A la question des incidences environnementales possibles de ces futures exploitations de pétroles dans ces régions retirées et vierges de la planète, Mr Verhoef rétorque que c'est au-delà de la portée de sa mission d'étude. Le gouvernement Canadien, si il gagne cette partie du territoire arctique, mettra surement en œuvre une réglementation drastique en matière d'exploitation pétrolière dans cette région du monde.

«Personnellement, je pense que c'est un environnement que nous ne devons pas détruire. Nous devons le préserver autant que possible"

Pour Jacob Verhoef, les mystères géologiques de la région sont aussi importants que ses implications géopolitiques.

"Mais de toute façon cette expédition nous en dira beaucoup plus sur cette région du monde"




MARSEILLE - Une nappe d'1,5 km de long sur 1 km de large de styrène, un composé qui sert à la fabrication du polystyrène, a été repérée en mer vendredi à la mi-journée devant les côtes marseillaises, conduisant à la fermeture préventive de deux plages, ont indiqué les marins-pompiers.

Cette nappe dérive vers les plages, et par mesure de précaution, la plage de Bonneveine a été fermée, a précisé un porte-parole des marins-pompiers.

Selon la préfecture, qui précise que la plage de Borely a également été fermée, la recherche des origines de la pollution est en cours.

Le styrène est un produit qui, à forte concentration, peut être irritant pour la peau et les yeux. Ici, la concentration est très faible, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la préfecture.

Ce produit a été analysé par notre laboratoire et dans l'immédiat il ne semble pas qu'il puisse porter atteinte à l'individu, a confirmé le porte-parole des marins-pompiers.

Une intervention terrestre et maritime de la section dépollution du bataillon des marins-pompiers a mobilisé onze moyens nautiques et terrestres et une trentaine d'hommes.

Deux actions sont menées de front: une action terrestre de reconnaissance sur les plages pour identifier le produit et éventuellement le ramasser, et une action maritime de chalutage, dans laquelle deux embarcations avancent parallèlement, tractent un barrage et vont passer dans la nappe pour la récupérer.


Source ©AFP / 19 août 2011 16h43

...du styrène ? manqué plus que ça...

Une troisième et toujours impressionnante tempête de sable a frappé la ville de Phoenix en Arizona en moins de 2 mois

"Cette tempête nous a frappés en pleine heure de pointe", a déclaré Elias Johnson, porte-parole du shérif du comté de Pinal sur la chaîne Fox4. "Plusieurs poteaux électriques se sont abattus sur des voitures. La visibilité était proche de zéro."

Le trafic aérien a également été suspendu. Les routes, les maisons et les infrastructures publiques devront maintenant subir un important nettoyage. Le sable et la poussière se sont en effet infiltrés dans les moindres recoins.




Des algues ont provoqué une marée rouge d'environ 100 kilomètres carrés au large des côtes de la province du Guangdong (est), ont annoncé jeudi les autorités locales de l'environnement maritime.

La marée rouge a été localisée près de l'archipel de Wanshan au niveau de l'estuaire de la rivière des Perles qui se jette dans la mer de Chine méridionale, a indiqué dans un communiqué le Centre de surveillance de l'environnement maritime situé dans la ville de Zhuhai.

Le Centre a précisé que la marée rouge était apparue vendredi, teintant les eaux d'un brun rougeâtre et tuant des milliers de poissons.

Le Centre a annoncé qu'il était difficile de prévoir quand la marée rouge se dissipera.

La marée a été causée par le "cochlodinium geminatum", une espèce de phytoplancton multicellulaire qui s'accroche facilement aux branchies des poissons et les étouffent, selon le Centre.

La densité de ces organismes végétaux augmente avec l'augmentation de la température de l'eau et de la salinité, selon le Centre.

L'archipel de Wanshan couvre une superficie de 3 200 kilomètres carrés et est situé près de Hong Kong et de Macao.

Source: Xinhua

L'un des plus importants festivals de rock de Belgique a été endeuillé jeudi par un bref et violent orage qui a causé la mort d'au moins trois personnes et fait une quarantaine de blessés.

Des témoins, cités dans les médias belges, ont décrit "des scènes de fin du monde".

Deux scènes se sont effondrées, dont l'une au moins sur des festivaliers, plusieurs installations métalliques placées à l'entrée ainsi que des écrans géants sont tombés, et plusieurs arbres ont été déracinés, sous la violence des pluies et du vent.

Un chapiteau, le "Château", où jouait le groupe Smith Westerns et sous lequel des festivaliers s'étaient abrités de la pluie, s'est effondré, a rapporté la RTBF.

Entre 60 et 65.000 personnes étaient présentes au festival au moment où les incidents se sont déroulés.

Selon un bilan provisoire, établi vers 23H30 (21H30 GMT), trois personnes ont été tuées et une quarantaine ont été blessées, dont plusieurs grièvement, à la suite des violentes intempéries qui ont frappé le festival de musique Pukkelpop, à Kiewit, près de Hasselt, dans le Limbourg (nord de la Belgique).

Le festival a été suspendu. Les spectacles de la soirée ont été annulés. Les organisateurs devaient décider vendredi si le programme du week-end pouvait être maintenu ou pas.

Source RTBF





A Bruxelles

La nuit a été mouvementée pour les pompiers de Bruxelles après le violent orage qui s'est abattu jeudi soir. Plusieurs milliers de personnes ont appelé, souvent pour des caves inondées. Le métro a même dû être interrompu entre la station Bockstael, à Laeken, et le terminus du Heysel. En cause: une inondation.




à Liège

Les violents orages qui se sont abattus jeudi soir ont principalement provoqué des dégâts dans l'ouest de la Province de Liège, notamment dans la commune de Lincent. Les dégâts sont très importants. Des torrents d'eau boueuse ont dévalé des champs pour s'engouffrer dans les rues de certains villages.


Dans le village de Pellaines par exemple, près de Hannut, la hauteur du torrent atteignait à certains endroits trente centimètres. Emile Lorent habite la rue principale du village. De mémoire de riverain, il n'a jamais vu ça: "Il y a eu la drache, puis à un moment, je suis venu vers la fenêtre, je n'ai jamais vu ça, c'est un torrent qui dévalait".


dans l'Est du Brabant wallon

Les pompiers de Jodoigne ont enregistré une centaine d'appels jeudi soir à la suite des orages qui se sont abattus sur l'Est du Brabant wallon. Les entités d'Orp-Jauche et de Hélécine ont été les plus touchées par les inondations.

D'importantes coulées de boue ont entravé bon nombre de voiries de la région de Jodoigne. Nettoyages de routes, vidanges de caves, inondations de maisons ont occupé les pompiers locaux durant toute la soirée de jeudi. Des interventions seront encore nécessaires durant plusieurs jours, estiment-ils.


Un fort séisme, de magnitude 6,8 sur l'échelle de Richter, a secoué l'île de Honshu, dans le nord-est du Japon vendredi à 14h36 heure locale, a annoncé l'agence météorologique japonaise (MTA).

L'alerte au tsunami lancée pour les préfectures de Miyagi et de Fukushima a déjà été levée.

Jusqu'à présent, aucune anomalie n'a été observée à la centrale n° 1 de Fukushima suite à ce tremblement de terre, selon l'opérateur du site, Tokyo Electric Power (Tepco).

Le séisme, dont l'épicentre a été localisé à 20 km sous la mer au large de la préfecture de Fukushima, a été fortement ressenti dans les préfectures de Fukushima et de Miyagi, provoquant la suspension des trains à grande vitesse Shinkansen et la fermeture des autoroutes dans la région.

Le nord-est du Japon a été la région la plus touchée par le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars, qui ont provoqué une crise nucléaire dans la préfecture de Fukushima.

Source: chine-informations.com

jeudi 18 août 2011
Les déboisements en Amazonie brésilienne ont augmenté de 15% lors des douze derniers mois, même s'ils ont chuté de moitié en juillet par rapport à juillet 2010, a indiqué mercredi l'Istitut brésilien de recherches spatiales (Inpe) sur la base de données satellitaires provisoires.

De juillet 2010 à juillet 2011, la forêt amazonienne a perdu 2.654 km2 de végétation dans les Etats du Mato Grosso (centre-ouest) et du Para (nord) notamment. Au cours des douze mois précédents, elle en avait perdu 2.295.

Pour le seul mois de juillet, 225 km2 de forêt amazonienne ont été dévastés mais cela représente la moitié seulement de la zone déboisée l'an dernier: 485 Km2.

Après un effort notoire du gouvernement dans la lutte contre la déforestation, celle-ci avait connu une hausse brutale en avril dernier: 477 km2 de forêts étaient partis en fumée, dont près de 406 km2 dans le seul Etat du Mato Grosso, terre d'élevage de bovins et grand producteur de soja.

Face à cette recrudescence, la ministre brésilienne de l'Environnement, Izabella Teixeira, avait annoncé la création d'un cabinet de crise contre la déforestation, et en mai les déboisements avaient reculé à 268 km2. Les chiffres de mercredi sont calculés à partir d'un système satellitaire (Deter) qui surveille en temps réel les zones de plus de 25 hectares, mais qui ne donne pas de résultat définitif.

Lors du sommet sur le climat de l'ONU, en 2009 à Copenhague, le Brésil s'était engagé à réduire la destruction de la forêt amazonienne de 80% d'ici à 2020.


Source ©AFP / 17 août 2011


Une pétition de l'Organisation Avaaz contre la déforestation de la foret Amazonienne est en ligne depuis 2 jours, elle cherche à atteindre les 1 500 000 signatures...moi je pense qu'on peut faire mieux...

"A l'attention de la Présidente Dilma Rousseff:

Nous vous appelons à prendre des mesures immédiates pour sauver les précieuses forêts du Brésil en opposant votre veto aux amendements au code forestier. Nous vous demandons également d'empêcher d’autres meurtres de militants écologistes et de travailleurs en durcissant les poursuites à l'encontre des exploitants forestiers illégaux et en renforçant la protection des personnes menacées d’agression ou de mort. Le monde a besoin du Brésil comme leader international sur l’environnement, une action forte de votre part aujourd'hui sauvegardera la planète pour les générations futures."


...si vous vous sentez concerné(e) ...signez...et faite passer...

C'est là : http://www.avaaz.org/fr/save_the_amazon_b/?fp

L'Autorité indienne de la biodiversité a annoncé, le 11 août, qu'elle allait engager des poursuites judiciaires à l'encontre du semencier américain Monsanto pour avoir mis au point une aubergine génétiquement modifiée à partir de variétés locales sans en avoir demandé l'autorisation.

C'est la première fois, en Inde, qu'une entreprise va être poursuivie pour acte de "biopiraterie", une infraction passible de trois années d'emprisonnement.

Monsanto, son partenaire indien Mahyco et plusieurs universités indiennes s'étaient associés en 2005 pour mener les recherches, avec l'appui de l'agence américaine de développement Usaid, favorable aux organismes génétiquement modifiés (OGM).

Une dizaine de variétés existant dans les régions du Karnataka et du Tamil Nadu, parmi les 2 500 que compte le pays, avaient été utilisées pour mettre au point cette première aubergine génétiquement modifiée, destinée à être commercialisée en Inde.

Or, contrairement à ce qu'exige la loi sur la biodiversité votée en 2002, aucune autorisation n'avait été demandée pour utiliser des variétés locales. Les agriculteurs auraient dû notamment être consultés afin de négocier une éventuelle participation aux bénéfices tirés de l'exploitation commerciale de l'aubergine.

"Monsanto était parfaitement au courant de la législation et l'a volontairement ignorée", estime Leo Saldanha, directeur de l'organisation de défense de l'environnement Environment Support Group, qui a saisi l'Autorité indienne de la biodiversité de ce cas de biopiraterie.

Contacté par Le Monde, Monsanto s'est refusé à tout commentaire. D'après l'hebdomadaire India Today, le semencier rejetterait toute responsabilité, tout en accusant ses partenaires indiens de ne pas avoir demandé les autorisations nécessaires. Mahyco, dont Monsanto est actionnaire à hauteur de 26 %, a indiqué qu'il s'était contenté de fournir le gène de transformation.

L'accusation de biopiraterie est un nouveau coup dur pour Monsanto, et risque de freiner le développement de ses activités en Inde.

Le moratoire décrété en février 2010, par le ministre indien de l'environnement, sur la commercialisation des aubergines génétiquement modifiées a été reconduit cette année. Et sa levée ne semble pas à l'ordre du jour. A l'époque, le Comité de consultation de génie génétique avait pourtant émis un avis favorable à la commercialisation de l'aubergine.

Les opposants aux OGM espèrent que Monsanto ne sera pas autorisé à mener des recherches sur les oignons génétiquement modifiés, comme l'entreprise en a fait la demande au mois de juin.

L'Inde, qui abrite 7,8 % des espèces animales et végétales de la planète sur seulement 2,5 % des terres émergées, est très exposée aux risques de biopiraterie.

Le sujet y est particulièrement sensible depuis qu'en 1997, des paysans du nord du pays avaient violemment protesté contre le brevetage, par le semencier américain RiceTec, d'une variété de riz basmati appelée "kasmati".

Afin de disposer de tous les éléments nécessaires, le gouvernement a démarré un projet pharaonique de recensement du savoir-faire en matière de médecine traditionnelle : 200 000 traitements - y compris les postures de yoga - ont déjà été répertoriés. Des centaines de scientifiques épluchent les traités anciens de médecine ayurvédique pour y recenser les vertus déjà éprouvées de fruits ou de plantes médicinales.

Cette "bibliothèque numérique du savoir traditionnel", qui compte 30 millions de pages et a été traduite en cinq langues, a déjà permis d'annuler de nombreux brevets. Celui déposé par une université américaine sur le curcuma pour ses vertus dans la lutte contre le cancer a été annulé à la suite d'une plainte du gouvernement indien. Et la demande de brevet déposée en 2007 par le laboratoire pharmaceutique chinois Livzon, auprès de l'Union européenne, sur la menthe et l'Andrographis (échinacée d'Inde), utilisées notamment comme traitement contre la grippe aviaire, a été rejetée.

Mais aucune de ces organisations n'avait été poursuivie en justice. "Il aura fallu six ans à l'Autorité nationale de biodiversité pour engager les poursuites", regrette Leo Saldanha.

Après avoir enquêté sur une éventuelle infraction commise par Monsanto et ses partenaires, l'Environment Support Group avait donné l'alerte en février 2010. "Il faut que l'Autorité nationale accélère et multiplie les enquêtes pour lutter contre les cas de biopiraterie", insiste le directeur de l'organisation non gouvernementale.

Cette action en justice contre Monsanto constitue une victoire pour les opposants aux OGM. Seule la culture du coton génétiquement modifié est actuellement autorisée en Inde. Elle a propulsé le pays au rang de deuxième producteur mondial, devant les Etats-Unis. Mais ces nouvelles semences, coûteuses, sont accusées de ruiner les producteurs les plus fragiles.

L'aubergine, très présente dans l'alimentation quotidienne partout dans le pays, est aussi utilisée
comme offrande religieuse. Dans le temple d'Udupi, dans le sud de l'Inde, les fidèles du dieu Krishna s'étaient ainsi violemment opposés à la commercialisation de l'aubergine génétiquement modifiée. Ils craignaient de susciter la colère de leur divinité en lui offrant des légumes "impurs".


Source : © le Monde



Caméra cachée: Rocco l'aubergine par ginomcfly


En dix ans, le nombre de poissons du parc sous-marin de Cabo Pulmo, au Mexique, a augmenté de 460%. Le mérite en revient à la surveillance menée par les populations locales.

Le parc de Cabo Pulmo, niché près de la pointe sud de la péninsule de Baja au Mexique, est désormais considéré comme la réserve marine la plus “robuste” du monde selon une étude menée sur dix ans par les scientifiques de la Scripps Institution of Oceanography.

La zone était en déperdition, épuisée par des années de pêche intensive, quand les populations vivant autour ont décidé de créer cette réserve en 1995. “A l’époque nous avons décidé d’aller de l’avant parce que les gens étaient déterminés mais le site n’était pas en bonne santé environnementale” se rappelle Exequiel Ezcurra , Directeur de l’Institut de l'Université de Californie pour le Mexique et les États-Unis.

N’y subsistaient plus que des poissons de taille moyenne. Aujourd’hui “la zone est pleine de grands poissons-perroquets, de mérous, de vivaneaux, elle est aussi occupée par plusieurs espèces de requins. Une augmentation de la biomasse de 463 pour cent dans une réserve aussi importante que Cabo Pulmo (71 kilomètres carrés) représente des tonnes de poissons nouveaux chaque année. Aucune réserve marine dans le monde n’a montré une telle reprise du poisson” s’étonne Octavio Aburto-Oropeza, de la Scripps Institution.


Dans un article publié dans la revue Public Library of Science (PLoS), les chercheurs estiment que cette formidable renaissance doit beaucoup aux populations locales qui ont assuré la surveillance, l’entretien et le respect des règlements du parc.

Une surveillance qui s’avère rentable puisque de nouvelles activités liées à cette embellie apparaissent. L’écotourisme se développe avec notamment des plongées près des récifs coralliens, qui abritent maintenant homards, poulpes, raies ainsi que pleins de poissons de petite taille. En surface, les bateaux sont peu nombreux contrairement aux kayaks loués par les visiteurs.

"Peu de décideurs sont conscients que la taille des poissons et leur abondance peuvent augmenter à l'intérieur des réserves marines à des niveaux extraordinaires en seulement une décennie, une fois la protection établie. Ils ont encore moins nombreux à savoir que ces augmentations se traduisent souvent par des avantages économiques pour les communautés côtières", souligne Aburto-Oropeza. Un exemple comme celui-la devrait assurément les interpeller.

Source:
© Joël Ignasse Sciences et Avenir.fr

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Cabo Pulmo Marine Reserve from Gulf Program on Vimeo.



mardi 16 août 2011
Préserver la biodiversité des mammifères : une urgence, selon des biologistes


PARIS - Il est urgent de mettre en place une stratégie pour préserver la diversité des espèces de mammifères sur Terre, dont un quart risque de disparaître, mettent en garde mardi des biologistes.

Si la défense du tigre, de l'ours polaire ou du panda géant suscite l'adhésion de millions de personnes, les perspectives sont plus sombres pour des espèces moins visibles, pourchassées par des braconniers ou risquant de perdre leur habitat naturel, relèvent-ils.

Il faut d'urgence une stratégie globale pour les mammifères, préviennent-ils dans une revue publiée par la Royal Society, l'académie des sciences britannique.

Un quart des 5.339 espèces de mammifères recensées vivant actuellement à l'état sauvage sont menacées d'extinction, selon leurs estimations publiées dans la revue Philosophical Transactions.

Jusqu'à maintenant, il n'y a pas encore de stratégie complète, largement acceptée, de conservation à l'échelle mondiale pour faire face au déclin des mammifères, regrettent Carlo Rondinini et Luigi Boitani (Université Sapienza de Rome) et Ana Rodrigues (Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive, Montpellier, France).

Comment quantifier la perte de biodiversité? Comment s'assurer qu'une espèce a réellement disparu'

En septembre dernier, des scientifiques australiens ont fait état de la redécouverte de 67 espèces de mammifères sur les 187 portées disparues depuis des décennies voire plusieurs siècles, rappellent les chercheurs d'où leur souci d'un meilleur recensement.

Dans l'un des articles publiés mardi, ils présentent la plus vaste étude, effectuée de 2008 à 2010, grâce à 420 caméras installées dans des sites protégés de sept pays (Brésil, Costa-Rica, Indonésie, Laos, Surinam, Tanzanie, Ouganda) qui ont permis de prendre 52.000 clichés.

De la petite souris à l'éléphant d'Afrique, les animaux étaient photographiés automatiquement lors de leur passage devant l'une des caméras, selon l'équipe de l'Organisation américaine pour la Conservation internationale.

Nous en retirons deux découvertes clés, résume Jorge Ahumada de l'ONG de surveillance de l'écologie tropicale Team (Tropical Ecology Assessment and Monitoring Network).

Plus la forêt est grande, plus le nombre, la diversité des espèces, de leur taille et de leur type d'alimentation sont élevés, dit-il.

Par ailleurs, certains mammifères semblent plus vulnérables que d'autres à la perte de leur habitat. Les mammifères consommant des insectes - comme les fourmiliers, tatous et certains primates - sont les premiers à disparaître, alors que d'autres groupes, comme les herbivores, semblent être moins sensibles, résume M. Ahumada.


Source ©AFP / 16 août 2011


Espèces d'espèces - extrait 2 - VF from Denis van Waerebeke on Vimeo.



Le ministère de l'Ecologie et du Développement durable vient de publier les dernières statistiques de la teneur en nitrates dans les cours d'eau français. C'est toujours le quart nord-ouest de la France qui est le plus touché...

Les cours d'eau bretons font partie de ceux où l'on retrouve le plus fort taux de nitrates

Les teneurs en nitrates «semblent globalement assez stables ces dernières années.» Le Commissariat général au développement durable vient de publier les dernières statistiques concernant le taux de nitrates dans les cours d’eau français. Les nitrates constituent «un des paramètres physico-chimiques permettant de qualifier l’état des eaux, rappelle le Commissariat général. En cas de présence excessive dans l’eau, ces nutriments peuvent être à l’origine, avec d’autres facteurs, de déséquilibre des milieux, avec par exemple des phénomènes d’eutrophisation.» Au-delà d’un seuil de 50 mg/l, l’eau est réglementairement impropre à la fabrication d’eau potable.

Treize des 1.628 stations de suivi présentent des concentrations moyennes supérieures à ce taux de 50 mg/l. Elles sont situées en Bretagne, Poitou-Charentes, dans le Centre et en Normandie. «Les concentrations de nitrates dans les eaux de surface sont plus élevées dans un grand quart nord-ouest de la France, indique le rapport, c’est-à-dire dans les régions où l’agriculture occupe une grande partie des sols et où elle est plus intensive.» Les nitrates dans l’eau sont issus majoritairement d’effluents d’élevage et d’apports excessifs d’engrais azotés aux cultures. Les rejets d’eaux usées urbaines et industrielles, après épuration, sont également impliqués dans la pollution par les nitrates.

«Depuis une dizaine d’années, on observe une dégradation dans les bassins où les teneurs étaient les plus faibles. Au contraire, la situation tend à s’améliorer là où les concentrations étaient parmi les plus élevées, où l’utilisation d’intrants azotés a diminué.» Ainsi, en Bretagne, quelque un milliard d’euros d’aides publiques a été versé en quinze ans pour la réduction du taux de nitrate.

Malgré une stabilisation générale, le rapport s’inquiète néanmoins de la situation dans les bassins de la Seine et de la Somme, qui «font exception: les teneurs, déjà élevées, continuent d’augmenter.»
Lien
Source 20minutes.fr



Mac Gyhad LES NITRATES BOURRES D'ENERGIE par MacGyhad

...Cuillère en bois et casserole ...bonne idée...?...

...TOUS ENSEMBLE, TOUS ENSEMBLE, OUHINNN, OUHINNNN,......TOUS ENSEMBLE, TOUS ENSEMBLE, OUHINNN, OUHINNNN,...
Environ 600 Indiens amazoniens de Bolivie ont entamé lundi une grande Marche sur La Paz pour protester contre un projet de route traversant un parc naturel, signe, selon eux, d'un double discours du gouvernement d'Evo Morales sur l'environnement et les droits des indigènes.

Nous sommes plus de 600 à débuter cette marche, qui compte aussi des femmes, des enfants, des anciens. C'est une marche pour défendre nos droits, a déclaré à l'AFP à Trinidad (centre) Ernesto Sanchez, dirigeant indien de la province de Beni. Ils comptent rallier La Paz, à 600 km, en 40 jours.

Des communautés, autour de la Confédération des indigènes de l'Orient bolivien (Cidob), sont dressées depuis quelques semaines contre un projet de route Nord-Sud entre Villa Tunari et San Ignacio de Moxos, axe de désenclavement entre la Bolivie andine et la Bolivie amazonienne, et vers le Brésil voisin.

La route de 306 km, dont le chantier a débuté en juin, doit traverser une zone écologique sensible, le Parc national et territoire indigène Isiboro Secure (Tipnis) où vivent plus de 50.000 Indiens.

Le gouvernement Morales, socialiste au discours pro-indigènes, affirme que la construction de la route est incontournable, mais a appelé au dialogue sur les modalités ou l'impact sur l'environnement et les communautés.

La grogne indienne dans le Beni s'ajoute à d'autres foyers de mécontentement social contre M. Morales, au pouvoir depuis 2006.

La grande cité-dortoir d'El Alto, jouxtant La Paz et comprenant l'aéroport international, a lancé lundi une grève générale, à l'appel d'associations de voisinage, pour réclamer un budget accru pour son développement urbain.

La ville de Potosi (sud), observait pour sa part une grève générale de 24 heures, pour rappeler au pouvoir ses promesses d'investissements locaux, négociés après une grève en 2010, qui avait isolé la ville du reste du pays trois semaines.

Evo Morales a accusé lundi ces mouvements sociaux d'avoir des mobiles purement politiques. Quand il n'y a pas de dialogue, c'est qu'il y a intention politique, a-t-il déclaré à Cochabamba (centre).


Source ©AFP / 15 août 2011



Une vague de froid exceptionnelle, la pire en cinquante ans, a apporté la neige sur l'île nord de Nouvelle-Zélande, entraînant la fermeture de routes, des coupures d'électricité et la paralysie de zones entières du territoire. "Les gens doivent se préparer au pire, et se préparer à ne pas pouvoir quitter leur maison et à se retrouver sans électricité et autre équipement dans le pire des cas", a déclaré Rian Van Schalkwyk, responsable de la défense civile de Wellington.

Auckland, la plus grosse ville de Nouvelle-Zélande, a connu ses pires chutes de neige depuis les années 70, a indiqué Philip Duncan, du service de météorologie WeatherWatch. L'île du sud, qui est elle habituée aux chutes de neige lors de l'hiver austral, a connu un blizzard très violent. Les aéroports étaient fermés lundi matin à Christchurch, Dunedin et Queenstown. Les écoles sont restées portes closes dans le bas de l'île du sud.

Cette vague de froid ne devrait s'atténuer que jeudi dans la journée, ont prévenu les services météo.

Source: © le figaro




La fuite provoquée par la rupture d’un oléoduc du pétrolier Shell sous sa plateforme Gannet Alpha, Jeudi dernier à 180 kilomètres de l’Ecosse n’est toujours pas circonscrite. Depuis mercredi, plus de 200 tonnes de pétrole brut se sont déjà écoulées aux abords de la plateforme pétrolière. Cet incident constitue la plus grave marée noire en mer du Nord depuis 11 ans.La survie de nombreux oiseaux et de poissons est maintenant menacée.

En mer du nord la vétusté de nombreuses installations, le manque d'entretien, la violation des réglementations en vigueur, avaient déjà été pointé du doigt par "Health and Safety Executive (HSE), le régulateur britannique de la sécurité il y a quelques mois.

De son côté, l'organisation Greenpeace a déjà dénoncé un manque inquiétant de transparence de la part de Shell, en lui reprochant notamment d'avoir mis deux jours à faire état de cette fuite de pétrole au public.

Aucune information, ni aucune image du traitement de cette pollution qui se répand actuellement dans la mer du nord ne nous parviennent. La société Shell utilise t-elle des produits dissipant ou des barrages flottants? A t-elle la flotte et le matériel nécessaire à affronter une telle situation d'urgence?

Bref l'opacité sur cette affaire devient réellement inquiétante. La technique du grand silence et de la censure lors d'accidents pétroliers semblent être devenus courants, et indéniablement souligne l’indifférence affichée des grandes sociétés pétrolières a informer leurs actionnaires et leurs clients finales lors de crises majeures, mais surtout révèle leur capacité à croire que la planète leur appartient.

Elle révèle aussi l’inquiétante surdité des gouvernements a imposé des règles de transparences strictes en matière d'exploitation de matières premières sur leurs territoires par des compagnies privées.

Bref, il serait grand temps à l’échelle internationale, et pour le bien de tous, compagnies privées comprises, de mesurer l'impact de leurs activités sur les écosystèmes, et d'investir massivement à la sécurité de leurs installations, mais aussi à travailler à la mise en œuvre d'une politique commune de gestion durable de notre planète.

Mais il est aussi grand temps pour les citoyens et clients de demander à leurs gouvernements respectifs de mettre en œuvre urgemment un tribunal international de l'environnement devant la multiplicité des crises écologiques que nous subissons et qui sont de plus en plus impunies.

Cette catastrophe de trop devrait en être le déclencheur.

Alors remuons nos faces...faite passer...Appelons les citoyens, les élus, les magistrats et les avocats responsables à agir de toute urgence...

dimanche 14 août 2011

Plusieurs agences sanitaires et environnementales de la Louisiane et du Mississippi mènent actuellement un enquête afin de déterminer l'origine d'une pollution qui a touché la "Pearl river" sur la commune de Richardson dans l'état de Washington aux USA. Elle a causé une hécatombe massive de poissons (plusieurs milliers) et de tortues sur plus de 80 km.

Selon les premiers rapports de l’enquête une fuite au niveau d'un pipeline immergé qui approvisionne l'usine à papier de "Temple Inland " semble en être la cause. Le produit en fuite reste encore inconnue. La nappe de pollution s'est répandue sur plus de 80 km le long de la rivière en y semant la mort de toute la faune aquatique. Les enquêteurs n'ont pas encore déterminé l'origine du produit en fuite, mais on constaté un fuite importante d'un produit noir et vaporeux au niveau du moulin.

De nombreux riverains ont témoigné avoir décelé une nappe noire sur la rivière dés jeudi matin et ils affirment que la situation s'est rapidement dégradée. La couleur de la rivière s'est rapidement assombrie, et une étrange mousse flottait parfois à sa surface. Un pécheur affirme avoir ramassé plus de 100 kg de poissons morts dans ses filets en moins d'une journée.


Source: Wwl.com/trad NA
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