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mercredi 30 novembre 2011
La période 1997-2011 concentre les treize années les plus chaudes

Les treize années les plus chaudes qu'a connues la planète depuis 1850 sont toutes concentrées sur les quinze dernières années, depuis 1997, a indiqué mardi l'Organisation météorologique mondiale (OMM) en marge des négociations climatiques sur le changement climatique.

La température moyenne de la dernière décennie (2002-2011), "supérieure de 0,46 °C à la moyenne à long terme", est la plus élevée jamais constatée, à égalité avec la décennie 2001-2010, a indiqué l'agence de l'ONU spécialisée sur les données météo, dans un document présenté à Durban.

Après une année 2010 record, l'année 2011 est à ce stade la "dixième plus chaude à l'échelle du globe" depuis le début des relevés en 1850, mais surtout la plus chaude en relation avec un épisode "La Niña", un phénomène cyclique qui s'accompagne de températures généralement plus fraîches, a-t-elle précisé. Autre indice du réchauffement en cours : la banquise arctique a connu sa deuxième plus faible étendue et son plus faible volume jamais observé.

"Notre science est fiable et démontre sans ambiguïté que le climat mondial se réchauffe et que ce réchauffement est dû aux activités humaines", a souligné dans un communiqué le secrétaire général de l'OMM, Michel Jarraud. L'OMM a présenté simultanément une version provisoire de sa déclaration annuelle, attendue pour début 2012, à la fois à Genève, où elle est établie, et à Durban, où se tient depuis lundi la conférence annuelle de l'ONU sur le changement climatique en présence de quelque 190 pays.

Sur la période janvier-octobre 2011, le thermomètre de la planète affiche une "anomalie positive estimée à 0,41 °C par rapport à la moyenne annuelle de 14 °C pour la période 1961-1990", a indiqué l'OMM.

Source Le Monde


L' Agence régionale de santé a demandé l'interdiction de la consommation du poisson sur plusieurs cours d'eau du département. En cause, la pollution aux PCB, mais aussi aux métaux lourds, mercure, cadmium ou arsenic. Les arrêtés préfectoraux sont en cours de publication.

La dernière session du Coders, conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires, a entériné une conclusion que beaucoup redoutaient, en l'occurrence un arrêté préfectoral interdisant la consommation, la vente et le transport des poissons pêchés dans un certain nombre de plans d'eau du département.

Cet arrêté préfectoral, en cours de publication, fait suite au rapport de l'Agence régionale de santé, qui a livré des résultats d'analyses plutôt inquiétants.

« Il est donc proposé d'interdire pour l'instant, précise le rapport de l'Agence régionale de santé, la consommation du poisson pêché, sans distinction d'espèce ou de taille, sur les canaux de la Robine et du Tauran du fait de la contamination marquée au cadmium, et dans la retenue de l'Estrade (la Ganguise), du fait de la contamination au mercure.[…] Concernant le bassin Adour-Garonne, il a été décidé d'interdire la consommation du poisson pêché sur l'Hers. »

Et les mauvaises nouvelles pourraient ne pas s'arrêter là. En effet, l'ARS rajoute :

« Les résultats des pêches réalisées en 2011 dans le fleuve Aude (NDLR : les analyses sont toujours en cours) permettront éventuellement de compléter ces mesures dans ce cours d'eau si une contamination marquée des poissons était mise en évidence. »

Une décision qui ne fait pas, l'on s'en doute, le bonheur des pêcheurs, qui voient leur zone de loisir se restreindre et des doutes planer sur des secteurs en cours d'analyse comme l'Aude à Pomas, où une pollution au mercure est suspectée. Paul Paraire, le président de la Fédération départementale de pêche, voit arriver cet arrêté préfectoral avec une certaine amertume:

« On ne peut pas aller à l'encontre d'un arrêté préfectoral, mais Montesquieu disait qu'il ne faut par interdire ce que l'on ne peut pas empêcher. Les pêcheurs pourront toujours continuer à pratiquer dans ces zones-là, mais il leur faudra relâcher le poisson. Il faut maintenant s'interroger sur les causes de ces pollutions et agir pour les résoudre ».

Pour la Fédération naturaliste Aude Claire, Bruno Le Roux ne dit pas autre chose: « Les résultats connus sont inquiétants, mais les résultats à venir pourraient l'être plus encore. Il faut identifier très précisément les pollueurs et leur faire payer la remise en état du milieu naturel ».

Sources connues... ou inconnues

Si certaines sources de pollution sont connues, l'ARS pointe par exemple les rejets de l'ancienne société Micron Couleur dans le canal de la Robine (cadmium, zinc cuivre), ou l'activité minière de Salsigne sur l'Orbiel (arsenic); d'autres, c'est plus inquiétant, ne sont pas identifiées.

En ce qui concerne la Ganguise, on pense qu'il peut s'agir d'une conséquence du relèvement du niveau du barrage (?), mais les traces de mercure relevées dans l'Aude à partir de Pomas sont plus mystérieuses. À moins qu'elles ne révèlent un effet retard de l'activité industrielle de Quillan ou Limoux, plus en amont, auquel cas un secteur plus grand encore serait touché.


Source: la dépêche

L'île de Malte a essuyé de fortes pluies et des averses localisées de grêle. Le nord de l'île a été le plus affecté.

Le secteur de la ville de Marsalforn a été le plus touché, notamment par les inondations. Les services de secours indiquent avoir mené une trentaine d'intervention dans toute l'île. Plusieurs personnes cernées par les eaux ont dû être secouru par barque.

Des inondations d'habitations ont également été rapportées dans les villes de Burmarrad, Birkirkara et de Qormi.



Source : Euronews


Alerte autour du volcan Tungurahua* en Equateur


Un regain d'activité du volcan Tungurahua, dans le centre de l'Equateur, marqué notamment par l'émission de nuages de cendre atteignant presque les 10.000 mètres, a amené les autorités à relever le niveau d'alerte, a annoncé mardi la Direction de gestion des risques.

Le niveau a été relevé à la catégorie orange, précédent l'alerte rouge (maximum), ce qui a entraîné des évacuations partielles de quelques localités situées à proximité. Dans la soirée de mardi, l'Institut de géophysique a en outre rapporté des émissions constantes de "matière incandescente".

"Le processus éruptif entraîne une émission constante de cendres qui atteint 4 km de hauteur à partir du sommet du volcan", culminant à 5.029 mètres, à quelque 135 km au sud de Quito, a aussi indiqué l'Institut de géophysique dans son dernier rapport.

Selon l'institut des "coulées pyroclastiques", mélanges de gaz, de cendres et pierres à 800 degrés montant jusqu'à 2.000 mètres d'altitude et susceptibles de retomber en avalanche sous forme de coulées dévastatrices à grande vitesse, ont également été observées.

Le Tungurahua ("gorge de feu") est en éruption depuis 1999 mais il a depuis eu des "pics d'activité". En 2006, six personnes avaient été tuées, dans le cadre d'un de ces regains d'activité.

Source @ belga

Le Tungurahua*(wikipedia): (probablement issu du quechua tunguru, « gorge », et rahua, « brûler ») est un stratovolcan équatorien en activité situé à cheval sur les provinces de Chimborazo et Tungurahua, en Équateur. En éruption depuis le 5 octobre 1999, son activité éruptive a repris le 28 mai 2010 et connaît à partir du 26 avril 2011 une nouvelle phase explosive.
Le Tungurahua (5 023 m) est situé dans la chaîne centrale (cordillère Royale) des Andes en Équateur, 140 km au sud de la capitale Quito. Parmi les autres montagnes aux alentours figurent le Chimborazo (6 267 m) et l'Altar (5 319 m). Il s'élève au-dessus de la ville thermale de Baños (1 800 m), 7 km au nord ; les autres villes les plus proches sont Ambato (30 km au nord-ouest) et Riobamba (30 km au sud-ouest). Le Tungurahua fait partie du parc national de Sangay.

Avec ses 5 023 m, le Tungurahua dépasse l'altitude des neiges éternelles (4 900 m à cette latitude). Son sommet est donc recouvert de neige ; il possédait un petit glacier qui a beaucoup souffert de l'augmentation de l'activité volcanique depuis 1999.



mardi 29 novembre 2011
Pollution aux pesticides: un agriculteur porte plainte

Un agriculteur de Châlus, dans la Haute-Vienne, en cours de conversion bio, a déposé plainte contre X pour une pollution aux pesticides sur sa parcelle. Raymond Gibeau a vu son processus de conversion bio suspendu par l'organisme de contrôle «Ecocert», un insecticide, le lambdacyhalothrine, ayant été retrouvé sur l'un de ses terrains destiné au maraîchage.

Ce produit très toxique avait été épandu par un hélicoptère au mois d'août sur une châtaigneraie appartenant à un de ses voisins. Quelques jours plus tard, l'enquêteur «Ecocert» est revenu pour un contrôle inopiné. «J'ai profité de sa venue pour lui expliquer que je m'inquiétais du manège que j'avais vu, il m'a proposé de revenir la semaine suivante tester ma terre», a expliqué Raymond Gibeau. Lors de la deuxième visite de l'enquêteur, l'hélicoptère était également de retour pour procéder à un nouvel épandage.

Les résultats des tests sont sans appel: son terrain porte des traces de lambdacyhalothrine, «un produit extrêmement toxique pour les poissons et les abeilles mais aussi irritant pour les voies respiratoires, la peau et les yeux», explique l'agriculteur. Ces analyses ont aussitôt entraîné la suspension de son label «Ecocert», conduisant Raymond Gibeau à déposer une plainte contre X auprès du procureur de la République de Limoges et à se constituer partie civile en vue d'un procès qui devra déterminer les responsabilités et évaluer la nature du préjudice subi par l'agriculteur bio.

Source AFP

Au Pérou on peint les sommets en blanc pour faire revenir l'eau

Au Pérou, la sécheresse et la fonte des glaciers menacent l'avenir des cheptels et des populations locales. Pour limiter les dégâts, des bergers ont eu l’idée étonnante de repeindre certains sommets montagneux en blanc, histoire de faire refroidir la température et de faire revenir la glace, l'eau et par conséquent la végétation dans la région

Au sommet des Andes péruviennes, un berger observe les montagnes qui l’entourent et constate qu’elles ont bien changé depuis quelques années à cause du réchauffement climatique. "Quand j'étais petit, les sommets des montagnes étaient blancs de neige et de glace, mais désormais ils sont noirs", explique Salomon Parco. Dans ces contrées, la végétation est en voie de disparition, et si elles veulent survivre, les populations locales sont forcées de quitter les lieux.

Qui n’essaye rien n’a rien

Mais avant que ces régions ne soient définitivement abandonnées, un homme a décidé de tenter le tout pour le tout. Eduardo Gold, le fondateur de l'association "Glaciers du Pérou" a constaté que depuis la fonte des glaces, les montagnes noires absorbent davantage la chaleur. Pour inverser la tendance, il a proposé de peindre les sommets en blanc. "C’est une phase d'expérimentation", explique-t-il. "Ca peut fonctionner un peu, beaucoup ou pas du tout, mais au moins on aura essayé quelque chose".

Ca marche !

Les premiers résultats sont étonnants. A certains endroits, la température a baissé de plus de douze degrés Celsius et la glace est parfois même réapparue entre les roches. "Nous n'avions presque plus d'eau ici, mais depuis que nous avons blanchi les montagnes, elle revient, parfois même en quantité", témoigne notre berger.

Un espoir qui coute cher

L'espoir renait dans la région mais jusqu’à présent, seuls 15 mille mètres carrés ont été recouverts de cette mixture d'eau, de sable et de chaux, soit la taille de trois terrains de football. Or l'objectif d'Eduardo Gold est de recouvrir l'équivalent de 500.000 terrains de football. Ce gigantesque blanchiment couterait plus d'un milliard et demi de dollars. L'objectif semble utopique mais pour les quelques bergers péruviens, c'est probablement le seul moyen de voir l'avenir un peu moins sombre.

Source: RTBF

...En juin 2010...les peintres étaient à l'ouvrage...

Alors que le sommet de Durban bat son plein...

Des inondations ont fait 6 victimes dans la région de Durban en Afrique du Sud. Les fortes pluies à caractère orageux ont durée plusieurs heures et ont affecté plusieurs secteurs du Kwazulu-Natal. Les secteurs de Claremont, Isipingo, Umlazi, Pietermaritzburg, Durban, Newlands et de Chesterville ont été les plus affectés.

Une centaine d'habitations ont été inondées dans la localité de Isipingo. Des dizaines d'autres l'ont été à Durban, Umhlanga et Newlands.

Source : AP

Le Parlement a adopté, lundi 28 novembre, une proposition de loi UMP sur "les certificats d'obtention végétale". Il devrait simplifier l'utilisation de semences de variétés protégées. Une simplification contestée par certains syndicats professionnels, qui estiment qu'elle "bafoue" des pratiques agricoles ancestrales.

Le texte du sénateur UMP Christian Demuynck a été adopté par le Sénat en première lecture le 8 juillet et transpose une convention internationale pour la protection des obtentions végétales de 1991. Voté dans les mêmes termes par l'Assemblée, lundi soir, le texte est donc adopté par le Parlement définitivement.

Il conforte les spécificités du "certificat d'obtention végétale", un droit de propriété intellectuelle original créé par la France pour les semences afin d'éviter le recours aux brevets mis en place notamment aux Etats-Unis pour le vivant. Le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, a défendu devant les députés le certificat d'obtention végétal, sinon "le modèle du brevet prendra le pas, c'est-à-dire la captation de toutes les nouvelles variétés performantes".

"SITUATION DE NON-DROIT"

Le texte est contesté par des syndicats agricoles et collectifs car les agriculteurs devront désormais payer une indemnité, sous conditions, lorsqu'ils réutilisent leurs semences d'une année sur l'autre. Plusieurs dizaines de personnes, dont des militants de la Coordination rurale, se sont rassemblées devant l'Assemblée lundi pour protester.

Selon M. Le Maire, la pratique des semences de ferme "doit être autorisée, mais elle ne peut pas être libre de droit comme elle l'est aujourd'hui". Il a évoqué actuellement une "situation de non-droit" et "une incertitude juridique". L'idée est aussi de "poursuivre le financement des efforts de recherche" et "de continuer d'améliorer les ressources génétiques", expliquent les défenseurs du texte.

"MENACE CONTRE LES DROITS FONDAMENTAUX DES AGRICULTEURS"

Le député Jean-Pierre Brard (apparenté PCF) a attaqué le ministre bille en tête : "Vous, c'est pas la sélection naturelle, c'est la sélection boursière !", l'accusant de faire la part belle aux grands semenciers et d'opérer "un passage en force". Anny Poursinoff (Europe Ecologie-Les Verts) a taxé le texte de "menace contre les droits fondamentaux des agriculteurs". Pascal Brindeau (Nouveau Centre) a reconnu que "des questions subsistent".

Germinal Peiro (PS) a parlé de "dîme" et exhorté en vain le ministre à modifier le point sur les semences de ferme. "Vous êtes en train de livrer l'agriculture aux rois de la semence", a-t-il lancé en expliquant que les socialistes votaient contre. 200 000 agriculteurs utilisent leurs semences, a affirmé de son côté Frédérique Massat (PS). Le collectif Semons la biodiversité estime que ce texte "bafoue un droit ancestral des paysans". "Cette proposition de loi digne de l'Ancien Régime a fait lever un vent de fronde dans les territoires ruraux. Et il risque fort d'emporter lors des législatives de 2012 bon nombre de députés qui la voteraient", poursuit ce collectif. La Confédération paysanne juge que "le droit des paysans de ressemer et d'échanger leurs semences est le fondement de l'agriculture et de la biodiversité, il ne peut pas être remis en cause au profit d'intérêts privés".



La semence dans tous ses états par etre-au-monde


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...Ça suffit...Nous on va semer...


Alors je vous propose de vous joindre au mouvement citoyens, « Tous candidats en 2012 », allez sur leur site, faite s'y votre affiche de candidature et rejoignez les gens sains d'esprit....ET FAITE PASSER...ET FAITE PASSER...ET FAITE PASSER...

L’objectif de la campagne est de se compter.

Combien sommes-nous à vouloir que le monde change ? Combien sommes-nous aujourd’hui à agir pour transformer la société ?

Déclarons-nous tous candidats en 2012 !



Le 20 octobre, Colibris a lancé une vaste campagne citoyenne en parallèle des élections présidentielles : « Tous candidats en 2012 ».

Nous savons qu’une élection ne suffira pas pour que la société change. C’est un vaste mouvement populaire dont nous avons besoin, capable d’agir localement et de peser en France, en Europe sur les grandes tendances économiques et politiques.

En 2012, nous vous proposons d’être ce mouvement ! Montrons combien nous sommes à vouloir une société véritablement écologique et humaine. Mettons en lumière toutes les initiatives qui existent déjà et sont autant de briques du monde de demain. 
Alimentation, énergie, habitat et urbanisme, économie, éducation... chaque jour, par chacun de nos actes, nous participons à transformer le monde.

La campagne « Tous candidats » permettra à chacun, de se déclarer candidat à l’action et de commencer à poser, à petite et à grande échelle, les fondements d’une société nouvelle.

C'est ici: www.touscandidats2012.fr

Campagne "Tous Candidats" from Mouvement Colibris on Vimeo.



Le changement climatique devient une question de sécurité mondiale

Le changement climatique risque d'être aussi une menace pour la sécurité dans le monde: l'idée développée jusqu'ici par les seuls écologistes et quelques universitaires, commence à inquiéter de plus en plus d'hommes politiques et de responsables de la Défense.

Les sécheresses et inondations avec leur lot de récoltes détruites et élévations du niveau de la mer entraînant famines, épidémies et destruction de logements, risquent, à leur tour, d'attiser les tensions et provoquer des manifestations de violence, selon les experts.

Le conflit du Darfour au Soudan, causé par une sécheresse exceptionnelle qui a contraint les populations d'éleveurs à fuir vers d'autres terres, en est l'illustration.

Non seulement le changement climatique exacerbe les menaces pour la paix et la sécurité internationale, mais il est lui-même une menace pour la paix et la sécurité internationale, a souligné en juillet dernier le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, lors d'un débat du Conseil de Sécurité.

Le Pentagone, dans son rapport quadriennal de Défense 2010, a indiqué que le changement climatique pourrait avoir des impacts géopolitiques importants dans le monde, et contribuer ainsi à la pauvreté, la dégradation de l'environnement et l'affaiblissement des gouvernement déjà fragilisés.

Alors que le changement climatique ne déclenche pas directement de conflits, il pourrait agir comme un accélérateur d'instabilité et de conflits, selon ce rapport.

Déplacements massifs de population

L'amiral Neil Morisetti, chargé des questions liées au climat et la sécurité énergétique au ministre britannique de la Défense, s'est interrogé récemment, lors d'une conférence à Londres, sur les raisons et conditions de migration des populations ayant perdu leurs terres pour des raisons de changement climatique.

Si elles décident de migrer, est-ce fait de façon planifiée, coordonnée, bien gérée dans un autre pays ou dans des zones entre pays' Ou bien ces déplacements massifs de populations sont-ils la cause de tensions ?

Si ces populations ont perdu leurs moyens d'assurer leur existence suite à une montée des eaux, à des canicules ou à la perte de leurs récoltes, vont-elles retrouver des moyens légaux de vivre ? Ou sont-elles susceptibles d'être recrutées dans des cercles criminels, voire de finir terroriste payé cinq dollars par jour et muni d'un fusil Ak-47?

Une équipe de chercheurs internationaux, dans un article publié dans le mensuel américain Science en octobre, a souligné que la migration liée au changement climatique était déjà en cours dans le delta du Mékong au Vietnam, le long du fleuve Limpopo au Mozambique, en Mongolie intérieure en Chine, le long de la côte de l'Alaska et dans les îles Carteret en Papouasie-Nouvelle Guinée.

Ces chercheurs ont lancé un appel à adapter la législation nationale et internationale pour assurer une migration équitable et dans les meilleures conditions pour les populations concernées.

Les menaces pour la sécurité viendront également de plus en plus de la santé --en particulier de l'expansion des moustiques et des maladies liées à l'eau insalubre-- et du risque amplifié de famine et pauvreté du fait de la hausse des prix des produits alimentaires.

En février dernier, la Banque mondiale estimait que 44 millions de personnes dans les pays en développement avaient sombré dans l'extrême pauvreté à cause de la flambée des prix de l'alimentation.


(©AFP / 29 novembre 2011 07h54)


...Oui mais Voila...

A Durban...

Si le Brésil souhaite que les pays riches renouvellent le protocole de Kyoto, qui les oblige à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, lors de la conférence de l'ONU sur le climat, qui a débuté lundi à Durban, en Afrique du sud.

...Le Japon, la Russie et le Canada ont fait savoir qu'ils ne voulaient pas de ce nouvel engagement en soulignant qu'il ne s'applique ni aux États-Unis ni à la Chine, les deux plus grands émetteurs de CO2 de la planète (plus de 40% à eux deux).

Le secrétaire général adjoint des Nations unies à la communication et à l'information, Kiyo Akasaka, s'est déclaré quant à lui «pessimiste» sur Durban, lundi à Rio.

«Les États-Unis sont hors protocole et le Canada ne respectera pas ses objectifs. Comment (ces pays) peuvent-ils être d'accord sur l'essence du protocole de Kyoto à Durban?» a déploré M. Akasaka lors du lancement d'une campagne pour mobiliser la société civile dans la perspective de la conférence de l'ONU sur le développement durable Rio+20, en juin 2012 à Rio.

«Je peux être très pessimiste sur Durban mais la société civile, les médias qui devraient faire pression ne le font pas. Je ne vois aucune pression du peule, des entreprises, des milieux académiques», a déploré Kiyo Akasaka.

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...Bon ben voilà ...Nature Alerte essaye depuis bien longtemps de transmettre cette menace, mais comment convaincre...alors nous continuons.... en tout cas si vous voulez agir et mettre la pression sur le sommet de Durban c'est maintenant, alors faite passer...et vite...car ça devient vraiment urgent qu'ils nous entendent prendre position pour un monde moins gourmand...sinon ça risque fort de tourner vinaigre...sauf que ce coup ci, le monde risque fort de pas s'en remettre...Il faut de toute urgence tenter d' arrêter ce délire...
Selon l’Organisation mondiale de la santé, la pollution atmosphérique serait responsable de 5 % des décès annuels dans le monde, soit environ trois millions de personnes.

Le coût de la pollution atmosphérique est estimé à plus de 100 milliards par an en Europe.Le montant des dommages causés sur l’environnement et la santé par cette pollution se situerait entre 200 et 300 euros par citoyen européen, selon l’Agence européenne pour l’Environnement.

À faible dose, le monoxyde de carbone (CO) diminue la capacité d’oxygénation du cerveau, du cœur et des muscles. À forte dose, c’est un toxique cardio-respiratoire souvent mortel. D’autres gaz, parmi les principaux polluants, comme le dioxyde d’azote (NO 2) et l’ozone (O 3) sont irritants et peuvent pénétrer profondément dans les poumons, provoquant des toux, des essoufflements et augmentant les crises chez les asthmatiques.

Leurs effets à long terme sont pour le moment mal connus mais ils semblent moins graves que ceux des particules dont de plus en plus d’études montrent la dangerosité. Plus elles sont petites, plus ces particules dites « fines » pénètrent profondément dans les alvéoles pulmonaires. Lors d’une pollution ponctuelle, elles ont les mêmes effets que les gaz irritants sur les personnes fragiles. À long terme, elles augmentaient les risques de bronchites chroniques, d’accident cardio-vasculaires et de cancer du poumon.

Selon une étude américaine, elles augmenteraient aussi le risque de diabète à l’âge adulte et des chercheurs canadiens s’interrogent sur un lien entre particules et cancer du sein.

De plus, les particules fonctionnent comme une bande adhésive sur laquelle viennent se coller des hydrocarbures, des métaux lourds et toute autre substance cancérigène provenant des sources d’émissions de ces particules comme le benzène présent dans les carburants. À elles seules, les particules représentent la moitié des décès anticipés dus à la pollution de l’air soit 380 000 morts et dix mois d’espérance de vie en moins en Europe.

Et cette pollution d’hiver apprécie les anticyclones : dans l’agglomération lyonnaise on compte déjà 22 jours de pollution aux particules supplémentaires par rapport à l’an passé, en raison de la trop belle météo.

Source le Progrès




....Et voici un belle exemple vu de l'espace

Un nuage de pollution colossal au-dessus de l'Est de La pollution atmosphérique

Depuis octobre, un nuage brun poussiéreux visible depuis l'espace recouvre les mégapoles de Beijing et de Nanjing et une grande partie de l'Est de la Chine. En cause : une forte pollution atmosphérique liée aux industries et à la circulation automobile que les vents insuffisants ne peuvent dissiper.

Beijing (littéralement "capitale du Nord"), capitale de la Chine et Nanjing (littéralement "capitale du Sud") comptent respectivement 20 et 7 millions d'habitants. Leur développement rapide, leur industrialisation et la forte population émettent d'importants polluants atmosphériques. Résultat : une véritable chape de plomb recouvre régulièrement ses villes en situation anticylonique.

L'expansion de Beijing (appelée également Pékin) se poursuit à un rythme rapide et les voitures se sont rapidement démocratisées. En 1949, lorsque le régime communiste a été fondé, Pékin comptait seulement 2 300 voitures, le million a été atteint en 1997, puis le rythme s'est accéléré avec la croissance économique pour atteindre 4 millions en 2010 et près de 5 millions actuellement(1). Conséquence immédiate : les embouteillages sont devenus un véritable calvaire malgré les mesures de restriction d'usage de la voiture et le développement des transports collectifs.

Conséquences : un nuage brun colossal d'une superficie d'environ 285 000 km² (la moitié de la France), visible depuis l'espace, se forme chaque année à cette période sur la Chine orientale ! Ainsi, le satellite Terra de la NASA a pu observer et capturer des images de cette gigantesque pollution qui se dissipe très difficilement à cause du manque de vent.

Spectaculaire, mais dangereuse puisque cette brume est constituée de particules fines, des poussières de très petites tailles, qui peuvent pénétrer profondément dans les poumons, puis dans la circulation sanguine.

Résultat : le nombre d'affections respiratoires explose en Chine. Ainsi, selon Wu Dui, expert en chef du bureau de météorologie du Guangdong, cité par le Quotidien du Peuple en ligne, déclare que ce smog pourrait devenir le premier facteur du cancer du poumon, devant la cigarette !

Actuellement, les normes anti-pollution de la Chine sont plutôt laxistes, déclarait le vice-ministre de la protection de l'environnement chinois dans le Quotidien du Peuple. "La gestion du smog est un processus complexe et à long terme" ajoutait M.Wu : "les pays occidentaux ont eu besoin de 50 ans pour résoudre ce problème, mais si nous prenons des mesures efficaces, il faudra encore une vingtaine ou une trentaine d'années".

A ce titre, le gouvernement se donne pour objectif des diminuer la pollution due aux particules d'environ 10 pour cent pour 2015.




lundi 28 novembre 2011
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Les Nations Unies ont achevé la première évaluation globale de l'état des ressources de sols agricoles de la planète, Ce rapport montre qu'un quart de toutes les terres agricoles mondiales sont fortement dégradés et alertent les gouvernements réunis à Durban que la tendance doit être renversée rapidement afin que la population mondiale croissante puisse être nourrie.
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La Food and Agriculture Organisation des Nations unies estime que les agriculteurs devront produire 70% de nourriture en plus d'ici 2050 pour répondre aux besoins alimentaires alors que nous devrions avoisiner les 9 milliards d'habitants.

Cela équivaut à un milliard de tonnes de plus de blé, de riz et autres céréales et plus de 200 millions de tonnes de lait de vache et autres animaux.

Cela signifie que pour répondre aux besoins alimentaires de notre avenir, une importante intensification durable de la productivité agricole existante est nécessaire.

Oui mais voilà, selon la FAO l' état des sols agricoles exploités de la planète et les ressources en eau pour l'alimentation et l'agriculture sont déjà dangereusement dégradés. Les pratiques de productivité intensive jusqu'ici utilisées ont conduit à l’érosion des sols et au gaspillage important de l'eau disponible.

Ce n'est pas tout, le rapport constate aussi que le changement climatique global couplé à ces mauvaises pratiques agricoles ont gravement contribué à une diminution de la productivité des terres arables dans le monde.

Entre 1961 et 2009 les terres cultivées de la planète n'ont augmenté que de seulement 12% pendant que la productivité augmentait de 150% .

Le rapport s'attarde aussi, à montrer que ces taux de croissance ont été fortement ralenti, dans de nombreux domaines agricoles, depuis quelques années. La qualités des sols, et ce malgré l'apport d'engrais, ne suivent plus cette demande toujours plus croissante.

Aujourd'hui, 25% des terres arables de la planète sont maintenant classées «très dégradées», l'érosion des sols, la dégradation de l'eau et la perte de biodiversité y ont gradement contribué.

Pour le reste, 8 % sont classé modérément dégradé, 36% sont jugés stable ou légèrement dégradées tandis que seulement 10 % sont classée comme «améliorées».

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L'entreprise la juge non conforme à la loi...

Total va déposer un recours contre l'Etat pour l'abrogation de son permis d'exploration de gaz de schiste dans le sud de la France, qu'il juge non conforme à la loi, a annoncé samedi son PDG Christophe de Margerie.

«Nous allons faire un recours contre l'abrogation de notre permis Montélimar», a déclaré le patron du géant pétrolier et gazier français lors d'un forum organisé par le journal Libération à Lyon.

«Nous avons respecté la loi et nous ne comprenons pas que la loi soit invoquée pour abroger notre permis», a dit M. de Margerie lors d'un échange avec l'écologiste José Bové, chef de file des anti-gaz de schiste en France.

La forme du recours sera annoncée ultérieurement, la date-butoir étant le 12 décembre, a-t-on appris par ailleurs auprès de Total.

Le groupe a la possibilité de faire soit un recours de contentieux en justice, soit un recours administratif adressé aux ministères de l'Ecologie et de l'Energie qui ont abrogé son permis.

Le permis accordé à Montélimar couvrait une zone de 4.327 km2

Le gouvernement avait annoncé le 3 octobre l'abrogation des trois permis d'exploration d'hydrocarbures visant exclusivement selon eux le gaz de schiste, à la suite de la nouvelle loi adoptée en juillet interdisant en France la technique controversée de la fracturation hydraulique, accusée de polluer les sous-sols.

Total avait fait part de sa «surprise», le groupe s'étant explicitement engagé à ne pas utiliser la fracturation hydraulique dans son dossier remis au gouvernement, contrairement à l'autre entreprise sanctionnée, l'américain Schuepbach.

La ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet avait dit à l'AFP à l'époque qu'elle avait «fait valoir l'argument que ce rapport n'était pas crédible». Dans une lettre notifiant Total de sa décision, dont l'AFP a eu copie, la Direction de l'Energie du ministère estime que le géant pétrolier français n'a pas «suffisamment explicité» les techniques de substitution auxquelles il comptait avoir recours.

Le permis accordé à Total, dit «de Montélimar», couvrait une vaste zone de 4.327 km2 du nord de Montélimar jusqu'à Montpellier, sur plusieurs départements dont l'Ardèche, la Drôme et le Gard, centres de la contestation contre le gaz de schiste en France.

Source: AFP

Paris (awp/afp) - Le Conseil d'Etat a annulé lundi la suspension de culture du maïs OGM de Monsanto prise par le gouvernement français en février 2008, l'obligeant à se positionner de nouveau sur ce sujet passionnel à quelques mois de l'élection présidentielle.

"Tirant les conséquences de l'arrêt de la Cour de justice européenne (en septembre), le Conseil d'État relève que le ministre de l'Agriculture n'a pu justifier de sa compétence pour prendre les arrêtés faute d'avoir apporté la preuve de l'existence d'un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l'environnement", a indiqué le Conseil.

Dès la prise de position de la Cour de justice européenne, qui avait demandé début septembre à la France de revoir sa copie estimant que sa décision ne reposait pas sur une base juridique acceptable, le gouvernement avait indiqué qu'il prendrait "une nouvelle clause de sauvegarde" si la suspension actuelle était annulée.

Le ministère de l'Ecologie avait alors souligné que l'objectif restait "d'éviter la mise en culture d'un OGM qui n'a pas été évalué suivant les nouvelles exigences demandées au niveau européen ou pour lequel des incertitudes quant à ses impacts potentiels sur l'environnement persistent".

Lundi en fin de journée, ni le ministère de l'Agriculture ni celui de l’Écologie, sollicités par l'AFP, n'avaient pas encore réagi à la décision du Conseil d'Etat.

"Si le gouvernement ne fait pas le nécessaire, en mettant en place une nouvelle interdiction, on risque de voir réapparaître les OGM dans nos champs dès le printemps", a prévenu Sylvain Tardy, directeur des campagnes de Greenpeace France.

"Est-ce quelque chose que Nicolas Sarkozy, très probable candidat à la présidentielle, est prêt à assumer, alors que les Français restent très majoritairement opposés à la présence d'OGM dans nos champs et dans nos assiettes ?", s'est-il interrogé.

"Il ne se passe pas une semaine depuis 2008 sans qu'une nouvelle information ne vienne étayer le dossier à charge contre la variété de maïs de Monsanto 810", a de son côté réagi l'eurodéputé EELV José Bové.

L'eurodéputé, président de la commission Agriculture du Parlement européen, a rappelé que le MON 810 produit la toxine Bt pour éliminer les insectes. Selon lui, des chercheurs canadiens ont retrouvé des traces de Bt dans le sang et le cordon ombilical de femmes enceintes.

"Et la Cour européenne de justice a interdit récemment la commercialisation du miel contaminé par le pollen de ce maïs transgénique", ajouté l'eurodéputé proposant son aide à la ministre de l'Ecologie pour la rédaction d'une nouvelle "clause de sauvegarde solide et conforme au droit européen".

Pour l'élu d'EELV Noël Mamère, "il faut que le gouvernement tienne ses engagements, sinon on trouvera beaucoup d'OGM dans nos champs et donc beaucoup de faucheurs volontaires!"

"Le Conseil d'Etat n'interdit pas d'interdire, il dit simplement qu'il faut le faire selon une procédure différente, avec une question mieux posée et une décision au final qui soit mieux motivée", a expliqué à l'AFP l'avocat spécialiste des questions environnementales Arnaud Gossement.

Les semenciers ont, de leur côté, accueilli la décision du Conseil d'Etat "positivement".

Pour Initiatives Biotechnologies Végétales (IBV), un regroupement de professionnels qui promeut la culture du maïs OGM, "le gouvernement doit désormais prendre ses responsabilités et garantir aux agriculteurs de manière concrète la liberté de cultiver des OGM en France".


Source AWP / 28.11.2011



jeudi 24 novembre 2011
Neuf mois ont passé depuis les inondations et les cyclones qui ont ravagé le Queensland. La population reprend son souffle, mais pas les tortues. Sur le littoral, on récupère un nombre alarmant de cadavres et l’avenir de l’espèce inquiète.

Les maisons sont reconstruites ou en réparation, les esprits sont apaisés, la vie semble suivre son cours au mieux dans les zones du Queensland touchées par les inondations fin 2010. Mais deux fois plus de tortues et de dugongs (aussi appelés “vaches marines”) viennent mourir sur le littoral depuis la catastrophe naturelle.

Les inondations n’ont pas emporté que maisons et voitures sur leur passage, elles ont aussi ravagé les herbiers marins dont se nourrissent à presque 100% ces deux créatures marines, sur pratiquement la totalité de la côte du Queensland. Les sédiments accumulés par les flots se sont déposés sur les herbiers et en ont empêché la survie et la repousse.

A l’autopsie, on peut voir que les tortues n’ont pu se nourrir que de palétuviers et d’algues, auxquels elles ne sont pas habituées. Un choix cruel : mourir de faim ou d’une nutrition non adaptée?

Recensement et prévention

Affaiblis par la faim, les animaux sont plus facilement pris dans les filets de pêche et se cognent contre les bateaux. Au lieu de s’éloigner une fois le danger repéré, les animaux épuisés meurent en masse : au moins 1000 cadavres de tortues et 170 de dugongs sont déjà comptabilisés. En analysant les précédentes inondations, il semble que les dugongs réussissent relativement bien à repeupler leurs troupeaux, mais les tortues, elles, sont peut-être plus en danger.

Des équipes vétérinaires parcourent le littoral pour repérer les tortues menacées et les emmener en centre de soin. Quatre d’entre elles vont être remises en liberté cette semaine, un petit chiffre par rapport à l’hécatombe mais une énorme victoire pour l’équipe de soigneurs ! Toutes seront étiquetées pour faciliter le suivi une fois remises à l’eau.

Malgré ces victoires, l’inquiétude demeure : si les récents bouleversements climatiques se répètent, on peut craindre davantage d’inondations et donc la disparition de plus grandes surfaces d’herbiers marins. Pas grand chose à faire à part continuer à mener bataille pour l’action contre le réchauffement climatique, et savourer chaque petit triomphe lorsqu’un de ces animaux est sauvé.

Source : abc.net.au

Une lumière mystérieuse a éclairé le ciel au dessus de la ville de Bridgwater dans le New Jersey hier au petit matin.

Les autorités ont signalé au habitants de la région qu'il n'y avait pas de quoi s'alarmer, mais restent toujours incapables d'en définir la provenance.

L'explosion de certain transformateurs, causée par de fortes pluies, ne suffit pas à expliquer ce phénomène étrange, et personne ne semble avoir trouver la source de cette lumière mystérieusement apparue.

De nombreuse vidéos ont été envoyé sur Youtube par des vidéastes amateurs de la région, tous un peu sidérés par ce spectacle incroyable. Ils témoignent avoir vu une grande lueur aux couleurs changeantes et palpitantes qui ressemblait de loin à des aurores boréales. Tous témoignent que la source semblait venir du nord du canton.

"le ciel était éclairé comme en plein jour" a déclaré Joseph Wing 87 ans qui vit sur la route de Piemeont depuis plus de 40 ans. "Je n'ai jamais vu une chose pareil."

Aucune déflagration ne s'est fait entendre, avant ou pendant les décharges lumineuses, puis tout c'est éteint vers minuit et demi, le phénomène a été suivit par de très nombreuse pannes d'électricité dans toute la région.
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...aarp la là, quoi en dire, rien, voilà ...ça c'est fait...ben... c'est vrai quoi!...



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