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mardi 13 mars 2012
13:34
Le chef de l'autorité océanique de la Chine a annoncé que la perspective pour l'environnement maritin du pays "n'est pas très optimiste", appelant à redoubler d'efforts pour créer une culture de la protection des océans.
Les tâches principales pour ce faire comprennent la modernisation des industries traditionnelles, l'évaluation de la capacité de charge de l'environnement marin, le contrôle de la quantité totale de polluants et l'amélioration du système de surveillance, a précisé Liu Cigui, directeur de l'Administration d'Etat océanique (AEO) de Chine.
Selon lui, certains progrès ont été faits en matière de conservation de l'énergie, de réduction des émissions et de contrôle de la pollution. Malgré tout, les perspectives de l'environnement marin ne sont pas très bonnes, car celui-ci est encore confronté à de grands défis.
En raison de l'expansion économique rapide et du développement des ressources maritimes, les industries à forte main-d'oeuvre ainsi que les industries à forte consommation d'énergie et de ressources continuent à polluer les eaux territoriales du pays, a-t-il indiqué.
Le développement de l'industrie chimique lourde, en particulier les exploitations côtières et offshores de pétrole et de gaz, posent un danger grandissant pour l'environnement marin avec l'augmentation des risques de fuites de pétrole et de produits chimiques qui les accompagnent.
Dans le même temps, l'appauvrissement en oxygène de l'eau est un autre défi pour l'environnement maritin, a déclaré Chen, ajoutant qu'une surface de prolifération d'algues d'un total de 14 000 km2 avait été recensée entre 2005 et 2010.
La protection et le contrôle de l'environnement, ainsi que la restauration écologique de la mer de Bohai, qui a subi une grave pollution causée par une fuite du pétrole, seront le thème central du travail de l'AEO cette année et celles à venir, a ajouté le directeur Liu.
Source AFP
Pollution mer par tar_mok
Les tâches principales pour ce faire comprennent la modernisation des industries traditionnelles, l'évaluation de la capacité de charge de l'environnement marin, le contrôle de la quantité totale de polluants et l'amélioration du système de surveillance, a précisé Liu Cigui, directeur de l'Administration d'Etat océanique (AEO) de Chine.
Selon lui, certains progrès ont été faits en matière de conservation de l'énergie, de réduction des émissions et de contrôle de la pollution. Malgré tout, les perspectives de l'environnement marin ne sont pas très bonnes, car celui-ci est encore confronté à de grands défis.
En raison de l'expansion économique rapide et du développement des ressources maritimes, les industries à forte main-d'oeuvre ainsi que les industries à forte consommation d'énergie et de ressources continuent à polluer les eaux territoriales du pays, a-t-il indiqué.
Le développement de l'industrie chimique lourde, en particulier les exploitations côtières et offshores de pétrole et de gaz, posent un danger grandissant pour l'environnement marin avec l'augmentation des risques de fuites de pétrole et de produits chimiques qui les accompagnent.
Dans le même temps, l'appauvrissement en oxygène de l'eau est un autre défi pour l'environnement maritin, a déclaré Chen, ajoutant qu'une surface de prolifération d'algues d'un total de 14 000 km2 avait été recensée entre 2005 et 2010.
La protection et le contrôle de l'environnement, ainsi que la restauration écologique de la mer de Bohai, qui a subi une grave pollution causée par une fuite du pétrole, seront le thème central du travail de l'AEO cette année et celles à venir, a ajouté le directeur Liu.
Source AFP
Pollution mer par tar_mok
13:27
L’Agence japonaise des pêches a annoncé le retour des baleiniers vers l’archipel.
Selon elle, moins d’un tiers de l’objectif annuel de prises a été atteint. Les navires ont péché 266 petits rorquals et 1 rorqual commun alors que le quota est à environ 900.
Le Japon dénonce un « sabotage » par les militants anti-chasse, rapporte BBC News.
"La capture a été plus faible que prévue en raison de facteurs dont les conditions météorologiques et les actes de sabotage par des militants » déclare un fonctionnaire de l'agence des pêches cité par l’AFP.
Malgré l’interdiction depuis 25 ans, le Japon continue de pêché environ 1 000 baleines par an dans le cadre d’une recherche scientifique que les militants comme Sea Shepherd dénoncent comme une couverture pour une chasse commerciale.
Chaque année, l’organisation militante suit la flotte japonaise à travers l’océan Antarctique, pour perturber leurs activités. "Je pense que ça a été une campagne très réussie. Je l'avais prédit qu'ils ne prendraient pas plus de 30% et ils ont obtenu 26%, nous avions donc raison sur ce point. » à déclaré Paul Watson, président de Sea Shepherd.
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Selon elle, moins d’un tiers de l’objectif annuel de prises a été atteint. Les navires ont péché 266 petits rorquals et 1 rorqual commun alors que le quota est à environ 900.
Le Japon dénonce un « sabotage » par les militants anti-chasse, rapporte BBC News.
"La capture a été plus faible que prévue en raison de facteurs dont les conditions météorologiques et les actes de sabotage par des militants » déclare un fonctionnaire de l'agence des pêches cité par l’AFP.
Malgré l’interdiction depuis 25 ans, le Japon continue de pêché environ 1 000 baleines par an dans le cadre d’une recherche scientifique que les militants comme Sea Shepherd dénoncent comme une couverture pour une chasse commerciale.
Chaque année, l’organisation militante suit la flotte japonaise à travers l’océan Antarctique, pour perturber leurs activités. "Je pense que ça a été une campagne très réussie. Je l'avais prédit qu'ils ne prendraient pas plus de 30% et ils ont obtenu 26%, nous avions donc raison sur ce point. » à déclaré Paul Watson, président de Sea Shepherd.
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13:23
Les catastrophes liées à des événements climatiques ont déplacé plus de 42 millions de personnes en Asie-Pacifique ces deux dernières années, a indiqué la Banque asiatique de développement (BAD) dans un rapport publié mardi.
L'Asie-Pacifique est la zone la plus sujette aux catastrophes naturelles, que ce soit en terme de nombre absolu de catastrophes ou de populations touchées, selon le document.
Environ 31,8 millions de personnes dans la région ont été déplacées par des typhons, sécheresses et autres événements météorologiques extrêmes en 2010, une année particulièrement dure, marquée notamment par des inondations massives qui ont forcé 10 millions de Pakistanais à fuir.
Quelque 10,7 millions d'autres ont subi le même sort en 2011, a ajouté la Banque, mettant en garde contre une multiplication de ces catastrophes avec le changement climatique.
Selon la BAD, la région compte six des dix pays du monde les plus vulnérables au changement climatique, avec le Bangladesh et l'Inde aux deux premières places, sur une liste qui compte aussi le Népal, les Philippines, l'Afghanistan et la Birmanie.
Les gouvernements ne devraient pas attendre pour agir. En prenant des mesures maintenant, ils peuvent réduire la vulnérabilité, renforcer la résistance, et utiliser les migrations comme un outil d'adaptation plutôt que de les laisser devenir un acte de désespoir, a déclaré le vice-président de la BAD Bindu Lohani dans un communiqué.
Selon la Banque, la région Asie-Pacifique aura besoin de 40 milliards de dollars (environ 30 milliards d'euros) par an dans les 40 prochaines années pour s'adapter au changement climatique.
Source ©AFP / 13 mars 2012
L'Asie-Pacifique est la zone la plus sujette aux catastrophes naturelles, que ce soit en terme de nombre absolu de catastrophes ou de populations touchées, selon le document.
Environ 31,8 millions de personnes dans la région ont été déplacées par des typhons, sécheresses et autres événements météorologiques extrêmes en 2010, une année particulièrement dure, marquée notamment par des inondations massives qui ont forcé 10 millions de Pakistanais à fuir.
Quelque 10,7 millions d'autres ont subi le même sort en 2011, a ajouté la Banque, mettant en garde contre une multiplication de ces catastrophes avec le changement climatique.
Selon la BAD, la région compte six des dix pays du monde les plus vulnérables au changement climatique, avec le Bangladesh et l'Inde aux deux premières places, sur une liste qui compte aussi le Népal, les Philippines, l'Afghanistan et la Birmanie.
Les gouvernements ne devraient pas attendre pour agir. En prenant des mesures maintenant, ils peuvent réduire la vulnérabilité, renforcer la résistance, et utiliser les migrations comme un outil d'adaptation plutôt que de les laisser devenir un acte de désespoir, a déclaré le vice-président de la BAD Bindu Lohani dans un communiqué.
Selon la Banque, la région Asie-Pacifique aura besoin de 40 milliards de dollars (environ 30 milliards d'euros) par an dans les 40 prochaines années pour s'adapter au changement climatique.
Source ©AFP / 13 mars 2012
13:04
Le président de l'État des iles Kirabiti en Océanie cherche une terre d'accueil pour ses habitants, menacés par la montée des eaux.
Les 33 atolls des Kiribati sont en perdition. La faute à la montée des eaux qui menace les quelque 110 000 habitants qui vivent sur des terres ne dépassant l'océan que de quelques mètres tout au plus.
"Îles paradisiaques cherchent territoire à acheter, cause relogement urgent."
Telle est l'annonce un peu curieuse que pourraient diffuser les trois archipels des Kiribati. Cet État insulaire d'Océanie, situé sur l'équateur, est au carrefour de la Polynésie et de la Micronésie. Une place de choix entre Hawaï, les Samoa et la Polynésie française.
Mais les 33 atolls de cet éden, anciennement connus comme "îles Gilbert", sont en perdition. La faute à la montée des eaux, qui menace bel et bien les quelque 110 000 habitants qui vivent sur des terres dont les plus hautes ne dépassent que de quelques mètres le niveau de l'océan.
Le président des Kiribati, Anote Tong, a reconnu qu'il était en pourparlers avec le gouvernement des Fidji pour acheter 2 000 hectares de terres sur Vanua Levu, la deuxième plus grande île des Fidji. "Le changement climatique est un combat quotidien pour les Kiribati", a avoué le chef de cet État dans une interview rapportée par la BBC. Et de reconnaître que son pays serait in fine perdant dans cette bataille contre les éléments.
Urgence
Reloger la totalité de la population aux Fidji, situées à plus de 2 000 kilomètres de là, risque d'être un chantier titanesque si l'affaire venait à être conclue. Et les fonctionnaires kiribatiens d'espérer que nombreux seront ceux qui seront autorisés à s'installer dans d'autres pays de la vaste "région", et pourquoi pas jusqu'en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Une idée sans doute plus réaliste que le précédent projet du président, qui avait envisagé l'ubuesque construction d'îles artificielles semblables à des plates-formes pétrolières pour reloger sa population.
Si l'État déménageait effectivement, il serait le premier à migrer dans son ensemble à cause du réchauffement climatique. Un événement qu'Anote Tong ne prend pas à la légère, envisageant déjà la bonne intégration de ses concitoyens : "Les Kiribatiens auront besoin d'emplois, ce ne seront pas des réfugiés, mais des immigrants qui ont des compétences à offrir, un peuple qui aura une place dans la communauté, qui ne seront pas des citoyens de seconde classe", insiste le président dans le Telegraph. Selon Alumita Durulato, maître de conférences en relations internationales, les Kiribatiens se préparent déjà à ce bouleversement : "Les jeunes ont été bien préparés. Ils ont été éduqués pour être en mesure de survivre dans les terres où ils voudront aller. Ils devront laisser derrière eux leur culture, leur mode de vie et leur style de vie, qui sont un peu différents des nôtres dans les Fidji."
Les préparatifs sont déjà bien avancés, car l'urgence est là. Trente-deux îlots des Kiribati ont d'ores et déjà disparu sous les flots. Et les vagues chatouillent déjà les maisons des dernières terres qui surnagent encore.
Source : le Point
Pour trouver les îles Kiribati, c’est facile vous prenez l’équateur et la ligne de changement de date. Ce qui devrait faire latitude : 0 et longitude 180 (+ ou -) est ou ouest comme vous voulez. Vous y êtes. C’est proche de Nauru (900km), des îles Marshall (1400km) ou de Tuvalu (2000km qui faisait parti des Kiribati). Au-delà il y a les îles Salomon puis la Nouvelle Guinée et l’Australie... plus loin à l’ouest ; Hawaï très très loin au nord -est.
C’est un des plus petits pays du monde avec une surface maritime gigantesque. Sa ZEE, Zone Economique Exclusive, est la 12ième du monde, bien avant la Chine. La raison en est que Kiribati est composée de 33 îles — dont 21 sont inhabitées — regroupées autour de trois archipels principaux et d'une île isolée (Banaba): à l'ouest, les îles Gilbert (au nombre de 16), au centre, les îles Phoenix (au nombre de 8) et, à l'est, les 11 îles de la Ligne. Ces trois groupes d'archipels sont séparés par des distances considérables — plus de 480 km du nord au sud et plus de 3220 km d'est en ouest
La très grande majorité des habitants (98 %) parlent le kiribati (ou gilbertin), une langue micronésienne de la famille austronésienne du groupe malayo-polynésien oriental. Les Kiribati sont un pays d'une grande homogénéité linguistique malgré les distances gigantesques. Il y avait plus de distance linguistique d’une vallée à l’autre de la Savoie au XIXième siècle. L’anglais y est une langue étrangère même si le bilinguisme est officiel et que l’anglais prévaut en théorie dans l’administration. Le mot Kiribati est la prononciation de Gilberts en kiribati. La langue s'écrit avec 13 lettres : A, B, E, I, K, M, N, NG, O, R, T, U, W économique !
La dénomination de Gilbertin pour la langue et les habitants vient de Johann Adam von Krusenstern, un personnage passionnant qui avait une grande admiration pour Thomas Gilbert, un capitaine de la Navy. Il nomma aussi les îles Marshal d’après un autre explorateur. Bel exemple d’ego mis de côté.
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Les 33 atolls des Kiribati sont en perdition. La faute à la montée des eaux qui menace les quelque 110 000 habitants qui vivent sur des terres ne dépassant l'océan que de quelques mètres tout au plus.
"Îles paradisiaques cherchent territoire à acheter, cause relogement urgent."
Telle est l'annonce un peu curieuse que pourraient diffuser les trois archipels des Kiribati. Cet État insulaire d'Océanie, situé sur l'équateur, est au carrefour de la Polynésie et de la Micronésie. Une place de choix entre Hawaï, les Samoa et la Polynésie française.
Mais les 33 atolls de cet éden, anciennement connus comme "îles Gilbert", sont en perdition. La faute à la montée des eaux, qui menace bel et bien les quelque 110 000 habitants qui vivent sur des terres dont les plus hautes ne dépassent que de quelques mètres le niveau de l'océan.
Le président des Kiribati, Anote Tong, a reconnu qu'il était en pourparlers avec le gouvernement des Fidji pour acheter 2 000 hectares de terres sur Vanua Levu, la deuxième plus grande île des Fidji. "Le changement climatique est un combat quotidien pour les Kiribati", a avoué le chef de cet État dans une interview rapportée par la BBC. Et de reconnaître que son pays serait in fine perdant dans cette bataille contre les éléments.
Urgence
Reloger la totalité de la population aux Fidji, situées à plus de 2 000 kilomètres de là, risque d'être un chantier titanesque si l'affaire venait à être conclue. Et les fonctionnaires kiribatiens d'espérer que nombreux seront ceux qui seront autorisés à s'installer dans d'autres pays de la vaste "région", et pourquoi pas jusqu'en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Une idée sans doute plus réaliste que le précédent projet du président, qui avait envisagé l'ubuesque construction d'îles artificielles semblables à des plates-formes pétrolières pour reloger sa population.
Si l'État déménageait effectivement, il serait le premier à migrer dans son ensemble à cause du réchauffement climatique. Un événement qu'Anote Tong ne prend pas à la légère, envisageant déjà la bonne intégration de ses concitoyens : "Les Kiribatiens auront besoin d'emplois, ce ne seront pas des réfugiés, mais des immigrants qui ont des compétences à offrir, un peuple qui aura une place dans la communauté, qui ne seront pas des citoyens de seconde classe", insiste le président dans le Telegraph. Selon Alumita Durulato, maître de conférences en relations internationales, les Kiribatiens se préparent déjà à ce bouleversement : "Les jeunes ont été bien préparés. Ils ont été éduqués pour être en mesure de survivre dans les terres où ils voudront aller. Ils devront laisser derrière eux leur culture, leur mode de vie et leur style de vie, qui sont un peu différents des nôtres dans les Fidji."
Les préparatifs sont déjà bien avancés, car l'urgence est là. Trente-deux îlots des Kiribati ont d'ores et déjà disparu sous les flots. Et les vagues chatouillent déjà les maisons des dernières terres qui surnagent encore.
Source : le Point
Pour trouver les îles Kiribati, c’est facile vous prenez l’équateur et la ligne de changement de date. Ce qui devrait faire latitude : 0 et longitude 180 (+ ou -) est ou ouest comme vous voulez. Vous y êtes. C’est proche de Nauru (900km), des îles Marshall (1400km) ou de Tuvalu (2000km qui faisait parti des Kiribati). Au-delà il y a les îles Salomon puis la Nouvelle Guinée et l’Australie... plus loin à l’ouest ; Hawaï très très loin au nord -est.
C’est un des plus petits pays du monde avec une surface maritime gigantesque. Sa ZEE, Zone Economique Exclusive, est la 12ième du monde, bien avant la Chine. La raison en est que Kiribati est composée de 33 îles — dont 21 sont inhabitées — regroupées autour de trois archipels principaux et d'une île isolée (Banaba): à l'ouest, les îles Gilbert (au nombre de 16), au centre, les îles Phoenix (au nombre de 8) et, à l'est, les 11 îles de la Ligne. Ces trois groupes d'archipels sont séparés par des distances considérables — plus de 480 km du nord au sud et plus de 3220 km d'est en ouest
La très grande majorité des habitants (98 %) parlent le kiribati (ou gilbertin), une langue micronésienne de la famille austronésienne du groupe malayo-polynésien oriental. Les Kiribati sont un pays d'une grande homogénéité linguistique malgré les distances gigantesques. Il y avait plus de distance linguistique d’une vallée à l’autre de la Savoie au XIXième siècle. L’anglais y est une langue étrangère même si le bilinguisme est officiel et que l’anglais prévaut en théorie dans l’administration. Le mot Kiribati est la prononciation de Gilberts en kiribati. La langue s'écrit avec 13 lettres : A, B, E, I, K, M, N, NG, O, R, T, U, W économique !
La dénomination de Gilbertin pour la langue et les habitants vient de Johann Adam von Krusenstern, un personnage passionnant qui avait une grande admiration pour Thomas Gilbert, un capitaine de la Navy. Il nomma aussi les îles Marshal d’après un autre explorateur. Bel exemple d’ego mis de côté.
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jeudi 8 mars 2012
16:16
La soupe aux ailerons de requin est un mets extrêmement convoité par les populations aisées de l' Asie.
Mais derrière ce breuvage se cache un véritable scandale; une pratique de pêche bien souvent illicite qui décime des bancs entiers de requins dans toutes les mers du globe, et dont la cruauté n'a pas d'égale: En effet ces ailerons de requins sont arrachés aux animaux vivants qui sont rejetés à l'eau où ils agonisent lentement après amputations de leurs nageoires.
Cette vidéo postée sur Viméo il y a quelques jours, nous ouvre de nouveau les yeux sur les pratiques scandaleuses de cette industrie douteuse qui sévit jusqu'au cœur même des rues de la ville de Hong Kong.
En plein quartier de Sheung Wan, des milliers d'ailerons sont ainsi déposés chaque matin à même les trottoirs qui servent pour l'occasion de séchoirs et de quais de tri transitoires. On y voit des hommes et des femmes remplir des paniers en toute hâte pour une probable et rapide redistribution. Ils se refusent à tous commentaires lorsque le journaliste les questionne sur cette activité bien lucrative.
Avec l'augmentation des fortunes en Asie, cette activité ne cesse de croitre. En effet la croyance populaire prête à la soupe aux ailerons de requin des propriétés médicinales, elle est généralement servit lors de célébrations rituelles.
Ces ailerons peuvent rapporter jusqu'à 600 $ la livre, un bol de soupe peut même se vendre jusqu'à 100 $.
Cette activité est à l'origine de la mort de près de 100 millions de requins chaque année.
Cette pêche a lieu dans toutes les mers du monde, mais en particulier dans les eaux territoriales des pays pauvres qui n'ont aucun moyen de surveiller et poursuivre les pêcheurs de requins.
Néanmoins de nombreux pays ont pris des dispositions pour tenter de contrer cette pratique incroyable. Ainsi les États-Unis, le Canada, le Brésil, la Namibie, l'Afrique du Sud et l'Union européenne ont interdit la pêche aux ailerons de requin. A Hawaï la vente de soupe aux ailerons de requin est strictement interdite.
Source dailymail.co.uk trad.N/A
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..Et pour rappel...
Mais derrière ce breuvage se cache un véritable scandale; une pratique de pêche bien souvent illicite qui décime des bancs entiers de requins dans toutes les mers du globe, et dont la cruauté n'a pas d'égale: En effet ces ailerons de requins sont arrachés aux animaux vivants qui sont rejetés à l'eau où ils agonisent lentement après amputations de leurs nageoires.
Cette vidéo postée sur Viméo il y a quelques jours, nous ouvre de nouveau les yeux sur les pratiques scandaleuses de cette industrie douteuse qui sévit jusqu'au cœur même des rues de la ville de Hong Kong.
En plein quartier de Sheung Wan, des milliers d'ailerons sont ainsi déposés chaque matin à même les trottoirs qui servent pour l'occasion de séchoirs et de quais de tri transitoires. On y voit des hommes et des femmes remplir des paniers en toute hâte pour une probable et rapide redistribution. Ils se refusent à tous commentaires lorsque le journaliste les questionne sur cette activité bien lucrative.
Avec l'augmentation des fortunes en Asie, cette activité ne cesse de croitre. En effet la croyance populaire prête à la soupe aux ailerons de requin des propriétés médicinales, elle est généralement servit lors de célébrations rituelles.
Ces ailerons peuvent rapporter jusqu'à 600 $ la livre, un bol de soupe peut même se vendre jusqu'à 100 $.
Cette activité est à l'origine de la mort de près de 100 millions de requins chaque année.
Cette pêche a lieu dans toutes les mers du monde, mais en particulier dans les eaux territoriales des pays pauvres qui n'ont aucun moyen de surveiller et poursuivre les pêcheurs de requins.
Néanmoins de nombreux pays ont pris des dispositions pour tenter de contrer cette pratique incroyable. Ainsi les États-Unis, le Canada, le Brésil, la Namibie, l'Afrique du Sud et l'Union européenne ont interdit la pêche aux ailerons de requin. A Hawaï la vente de soupe aux ailerons de requin est strictement interdite.
Source dailymail.co.uk trad.N/A
HK Street Sharks from Gary Stokes on Vimeo.
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..Et pour rappel...
11:13
La montée en puissance du gaz de schiste menace très sérieusement le climat. C'est une étude publiée le 21 février dans Journal of Geophysical Research et présentée par la revue Nature qui l'affirme.
Le coup est dur pour GDF-Suez et les autres trusts gaziers qui proclament : le gaz serait une énergie "propre". Du moins, plus propre que le charbon, avec lequel il est en concurrence frontale pour un usage massif, la génération d'électricité.
Massif puisque 40% de l'électricité mondiale vient du charbon, et 20% du gaz. Cette caractéristique serait liée à une moindre émission de gaz carbonique, gaz à effet de serre, lors de la combustion dans les centrales, pour une même quantité d'électricité produite.
Certes, rétorque, désormais cette étude réalisée par une équipe de 27 géoscientifiques dirigée par Gabrielle Pétron (Université de Boulder, NOAA), mais vous avez oublié l'émission de méthane provoquée par l'exploitation des gisements de gaz de schiste. Le méthane est un très puissant gaz à effet de serre. Calculé sur vingt ans, son pouvoir réchauffant vaut 62 fois celui du CO2 à nombre égal de molécules, et 20 fois sur cent ans (car il reste moins longtemps dans l'atmosphère).
Les fuites de méthane inéluctables en raison des techniques utilisées pour l'extraire ont longtemps été mystérieuses. Les géologues savaient que se produisent de fortes émissions lors du creusement des puits et de la fracturation des roches par injection sous forte pression d'eau, de sable et de produits chimiques. Durant près d'un mois, le méthane est ainsi rejetté à l'air. Mais qu'en était-il de l'exploitation normale, par la suite ?
La réponse vient des dispositifs de mesure en routine, fixe et mobile, des quantités de méthane dans l'air au-dessus d'un vaste champ de puits de gaz, près de Denver dans le Colorado, où les techniques de fracturation des roches ont été utilisées à large échelle, même s'il ne s'agissait pas nécessairement de gaz en formation géologique schisteuse, mais d'un grès peu perméable, en anglais "tight sand". Après une longue étude et analyse, elle publie ses résultats. Les conditions de l'observation font certes la place à des incertitudes importantes. Mais sa conclusion principale est que les estimations antérieures des émissions, faites par les industriels, sont très «sous-estimées» par rapport à la réalité mesurée sur le terrain. Le graphique ci-dessous compare les estimations des industriels (en vert) et les mesures de la tour fixe et du laboratoire mobile des scientifiques, (bleu et rouge). Il faudrait doubler l'estimation initiale des industriels, voire pire.
Il faut noter que cette mesure est une surprise et un résultat non recherché par les scientifiques. Au départ, la motivation de ces études était de mesurer les pollutions néfastes pour la santé des habitants des villes proches et non de mesurer l'effet de serre de l'exploitation des gisements de gaz de schiste. Au point que les premières mesures de méthane à 300 mètres d'altitude, par la tour fixe , en 2007, avaient été attribué à un transport par les vents. D'où la décision de les compléter par des mesures près du sol avec un laboratoire mobile.
Les observations conduites sur le champ gazier du Colorado ne sont pas nécessairement transposables à tous les champs actuels et futur. Les taux de fuites vont en effet dépendre de la nature du sous-sol et des conditions d'exploitation. Il faut donc désormais réaliser des études similaires dans d'autres régions pour balayer les différents cas de figure. Mais il n'y a aucune raison de penser que le champ gazier étudié par l'équipe de Gabrielle Pétron est particulièrement émissif.
L'expansion à très grande échelle de l'exploitation des gaz de schiste, le nouvel eldorado des gaziers baptisé aussi "nouvel âge d'or" par l'Agence internationale de l'énergie, se traduirait donc par de fortes émissions de méthane en exploitation - environ 4% du gaz extrait - au point que son bilan climatique total incluant les fuites dans les systèmes de transport pourrait être aussi mauvais que celui du charbon. Aux Etats-Unis, le gaz de schiste représente déjà près de cent milliards de m3 sur 600 milliards de m3 de gaz extraits.
L'analyse de la revue Nature est ici.
source © Libération
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Le coup est dur pour GDF-Suez et les autres trusts gaziers qui proclament : le gaz serait une énergie "propre". Du moins, plus propre que le charbon, avec lequel il est en concurrence frontale pour un usage massif, la génération d'électricité.
Massif puisque 40% de l'électricité mondiale vient du charbon, et 20% du gaz. Cette caractéristique serait liée à une moindre émission de gaz carbonique, gaz à effet de serre, lors de la combustion dans les centrales, pour une même quantité d'électricité produite.
Certes, rétorque, désormais cette étude réalisée par une équipe de 27 géoscientifiques dirigée par Gabrielle Pétron (Université de Boulder, NOAA), mais vous avez oublié l'émission de méthane provoquée par l'exploitation des gisements de gaz de schiste. Le méthane est un très puissant gaz à effet de serre. Calculé sur vingt ans, son pouvoir réchauffant vaut 62 fois celui du CO2 à nombre égal de molécules, et 20 fois sur cent ans (car il reste moins longtemps dans l'atmosphère).
Les fuites de méthane inéluctables en raison des techniques utilisées pour l'extraire ont longtemps été mystérieuses. Les géologues savaient que se produisent de fortes émissions lors du creusement des puits et de la fracturation des roches par injection sous forte pression d'eau, de sable et de produits chimiques. Durant près d'un mois, le méthane est ainsi rejetté à l'air. Mais qu'en était-il de l'exploitation normale, par la suite ?
La réponse vient des dispositifs de mesure en routine, fixe et mobile, des quantités de méthane dans l'air au-dessus d'un vaste champ de puits de gaz, près de Denver dans le Colorado, où les techniques de fracturation des roches ont été utilisées à large échelle, même s'il ne s'agissait pas nécessairement de gaz en formation géologique schisteuse, mais d'un grès peu perméable, en anglais "tight sand". Après une longue étude et analyse, elle publie ses résultats. Les conditions de l'observation font certes la place à des incertitudes importantes. Mais sa conclusion principale est que les estimations antérieures des émissions, faites par les industriels, sont très «sous-estimées» par rapport à la réalité mesurée sur le terrain. Le graphique ci-dessous compare les estimations des industriels (en vert) et les mesures de la tour fixe et du laboratoire mobile des scientifiques, (bleu et rouge). Il faudrait doubler l'estimation initiale des industriels, voire pire.
Il faut noter que cette mesure est une surprise et un résultat non recherché par les scientifiques. Au départ, la motivation de ces études était de mesurer les pollutions néfastes pour la santé des habitants des villes proches et non de mesurer l'effet de serre de l'exploitation des gisements de gaz de schiste. Au point que les premières mesures de méthane à 300 mètres d'altitude, par la tour fixe , en 2007, avaient été attribué à un transport par les vents. D'où la décision de les compléter par des mesures près du sol avec un laboratoire mobile.
Les observations conduites sur le champ gazier du Colorado ne sont pas nécessairement transposables à tous les champs actuels et futur. Les taux de fuites vont en effet dépendre de la nature du sous-sol et des conditions d'exploitation. Il faut donc désormais réaliser des études similaires dans d'autres régions pour balayer les différents cas de figure. Mais il n'y a aucune raison de penser que le champ gazier étudié par l'équipe de Gabrielle Pétron est particulièrement émissif.
L'expansion à très grande échelle de l'exploitation des gaz de schiste, le nouvel eldorado des gaziers baptisé aussi "nouvel âge d'or" par l'Agence internationale de l'énergie, se traduirait donc par de fortes émissions de méthane en exploitation - environ 4% du gaz extrait - au point que son bilan climatique total incluant les fuites dans les systèmes de transport pourrait être aussi mauvais que celui du charbon. Aux Etats-Unis, le gaz de schiste représente déjà près de cent milliards de m3 sur 600 milliards de m3 de gaz extraits.
L'analyse de la revue Nature est ici.
source © Libération
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10:53
Au Mexique : 50% des coraux sont morts, sacrifiés au tourisme.
Un rapport validé par le WWF indique que la moitié des mangroves et des coraux de la Riviera Maya ont disparu au cours des 30 dernières années. Ces refuges de biodiversité constituaient la seule barrière protégeant le littoral contre les cyclones et les ouragans.
Présentée le mois dernier à l’occasion de la Journée mondiale des zones humides, une étude scientifique approuvée par le Centre national de droit environnemental (Cemda) et le Fonds mondial pour l’environnement (WWF) tire la sonnette d’alarme. La zone de Cancún, célèbre pour ses somptueuses plages de sable blanc et ses temples mayas, a perdu 50% des mangroves bordant ses côtes, et vu mourir près de la moitié de ses récifs coralliens depuis 1976.
Il s’agit d’un grave problème au niveau mondial. Non seulement le récif produit de l’oxygène, mais c’est également une zone vitale pour des milliers d’animaux marins, pour les palétuviers et pour les algues. Il offre une dynamique essentielle au transport de larves, de plantes, de nutriments et de matière organique. Le récif protège aussi les villes côtières et le littoral contre les vagues, les tempêtes et l’érosion.
L’étude se base sur des observations du récif méso-américain et des mangroves menées entre 1976 et 2011 dans la zone de Tulum et de Solidaridad.
Véritables forêts sous-marines, les récifs coralliens absorbent une part importante du dioxyde de carbone libéré dans l’atmosphère. Le rapport s’inquiète du blanchissement accéléré du corail dans le golfe du Mexique et dans les Caraïbes. Il évoque une perte massive due au changement d’affectation des sols, aux ouragans et à la pollution de l’eau.
Pour les auteurs du rapport, les mangroves et le corail ont été “sacrifiés sur l’autel du tourisme”, malgré leur rôle essentiel pour la régulation du climat et la préservation de la biodiversité.
Ces phénomènes vont de pair: la destruction de la mangrove élimine le filtre naturel protégeant la mer des effluents pollués, tandis que la mort du corail perturbe la chaîne alimentaire de milliers de créatures marines et empêche la production de sable pour les plages.
Source milenio.com
En Australie
La Grande barrière de corail menacée par le charbon australien
Une fois de plus, croissance économique et protection de l'environnement s'affrontent.
Dernier exemple en date : la Grande barrière de corail, le plus grand ensemble corallien de la planète, qui abrite une exceptionnelle biodiversité, s'avère menacée par la flambée de l'activité minière - essentiellement de charbon - et de l'exploration de gaz en Australie, selon l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco).
"La Grande barrière de corail se trouve actuellement à un carrefour et les décisions qui seront prises au cours des deux ou trois prochaines années pourraient être cruciales pour la conservation à long terme du récif", s'inquiète, cité par le Guardian, l'organisme onusien, dont une délégation d'experts est arrivée sur la côte est de l'Australie, mercredi 7 mars, pour une mission de dix jours de contrôle des ports.
Tout est parti d'un léger incident diplomatique : l'an dernier, Canberra autorisait l'installation d'une vaste usine de gaz liquéfié naturel sur l'île de Curtis, au large de Gladstone (Queensland), tout au sud de la Grande barrière, sans en référer à l'Unesco. Et à Gladstone même, l'extension du port est en cours, des travaux qui feront du terminal charbonnier l'un des plus importants du pays. Or, les Nations unies, qui ont pour vocation de protéger ce récif inscrit au Patrimoine mondial de l'humanité depuis 1981, doivent approuver les grandes décisions industrielles pouvant l'affecter.
L'Unesco, de même que les associations écologistes, voit ainsi d'un mauvais œil ces deux chantiers. Pour construire les installations, les entreprises devront en effet draguer le fond de l'océan, provoquant d'importantes quantités de déblais déposés au fond de la réserve et polluant l'eau.
Mais ce qui inquiète le plus l'ONU, c'est la multiplication des projets industriels dans le Queensland, Etat qui produit 55 % du charbon utilisé par l'industrie de l'acier dans le monde et le long duquel s'étendent les 2 600 kilomètres de Barrière de corail. Deux autres grands ports charbonniers sont à l'examen, à Hay Point et surtout à Abbott Point, qui deviendrait le plus grand terminal au monde.
Au rythme actuel de croissance et d'expansion portuaires, 10 000 navires chargés de charbon ou de gaz pourraient traverser chaque année la Grande barrière de corail, soit un par heure, selon Greenpeace, bien plus que les 1 722 bateaux entrés dans la zone du Patrimoine mondial en 2011. La capacité d'exportation du charbon du Queensland passerait ainsi de 257 millions de tonnes aujourd'hui à 944 tonnes en 2020, précise l'ONG.
Le risque, c'est bien sûr l'échouage de ces bateaux qui vont devoir naviguer entre les récifs et le déversement de substances toxiques ou de pétrole, comme ce fut le cas pour un navire chinois en avril 2010, au large de l'île Great Keppel.
Certaines espèces en danger, comme des tortues et dauphins, seraient par ailleurs menacées par l'industrialisation de masse de la côte.
Source : © Le Monde
Un rapport validé par le WWF indique que la moitié des mangroves et des coraux de la Riviera Maya ont disparu au cours des 30 dernières années. Ces refuges de biodiversité constituaient la seule barrière protégeant le littoral contre les cyclones et les ouragans.
Présentée le mois dernier à l’occasion de la Journée mondiale des zones humides, une étude scientifique approuvée par le Centre national de droit environnemental (Cemda) et le Fonds mondial pour l’environnement (WWF) tire la sonnette d’alarme. La zone de Cancún, célèbre pour ses somptueuses plages de sable blanc et ses temples mayas, a perdu 50% des mangroves bordant ses côtes, et vu mourir près de la moitié de ses récifs coralliens depuis 1976.
Il s’agit d’un grave problème au niveau mondial. Non seulement le récif produit de l’oxygène, mais c’est également une zone vitale pour des milliers d’animaux marins, pour les palétuviers et pour les algues. Il offre une dynamique essentielle au transport de larves, de plantes, de nutriments et de matière organique. Le récif protège aussi les villes côtières et le littoral contre les vagues, les tempêtes et l’érosion.
L’étude se base sur des observations du récif méso-américain et des mangroves menées entre 1976 et 2011 dans la zone de Tulum et de Solidaridad.
Véritables forêts sous-marines, les récifs coralliens absorbent une part importante du dioxyde de carbone libéré dans l’atmosphère. Le rapport s’inquiète du blanchissement accéléré du corail dans le golfe du Mexique et dans les Caraïbes. Il évoque une perte massive due au changement d’affectation des sols, aux ouragans et à la pollution de l’eau.
Pour les auteurs du rapport, les mangroves et le corail ont été “sacrifiés sur l’autel du tourisme”, malgré leur rôle essentiel pour la régulation du climat et la préservation de la biodiversité.
Ces phénomènes vont de pair: la destruction de la mangrove élimine le filtre naturel protégeant la mer des effluents pollués, tandis que la mort du corail perturbe la chaîne alimentaire de milliers de créatures marines et empêche la production de sable pour les plages.
Source milenio.com
En Australie
La Grande barrière de corail menacée par le charbon australien
Une fois de plus, croissance économique et protection de l'environnement s'affrontent.
Dernier exemple en date : la Grande barrière de corail, le plus grand ensemble corallien de la planète, qui abrite une exceptionnelle biodiversité, s'avère menacée par la flambée de l'activité minière - essentiellement de charbon - et de l'exploration de gaz en Australie, selon l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco).
"La Grande barrière de corail se trouve actuellement à un carrefour et les décisions qui seront prises au cours des deux ou trois prochaines années pourraient être cruciales pour la conservation à long terme du récif", s'inquiète, cité par le Guardian, l'organisme onusien, dont une délégation d'experts est arrivée sur la côte est de l'Australie, mercredi 7 mars, pour une mission de dix jours de contrôle des ports.
Tout est parti d'un léger incident diplomatique : l'an dernier, Canberra autorisait l'installation d'une vaste usine de gaz liquéfié naturel sur l'île de Curtis, au large de Gladstone (Queensland), tout au sud de la Grande barrière, sans en référer à l'Unesco. Et à Gladstone même, l'extension du port est en cours, des travaux qui feront du terminal charbonnier l'un des plus importants du pays. Or, les Nations unies, qui ont pour vocation de protéger ce récif inscrit au Patrimoine mondial de l'humanité depuis 1981, doivent approuver les grandes décisions industrielles pouvant l'affecter.
L'Unesco, de même que les associations écologistes, voit ainsi d'un mauvais œil ces deux chantiers. Pour construire les installations, les entreprises devront en effet draguer le fond de l'océan, provoquant d'importantes quantités de déblais déposés au fond de la réserve et polluant l'eau.
Mais ce qui inquiète le plus l'ONU, c'est la multiplication des projets industriels dans le Queensland, Etat qui produit 55 % du charbon utilisé par l'industrie de l'acier dans le monde et le long duquel s'étendent les 2 600 kilomètres de Barrière de corail. Deux autres grands ports charbonniers sont à l'examen, à Hay Point et surtout à Abbott Point, qui deviendrait le plus grand terminal au monde.
Au rythme actuel de croissance et d'expansion portuaires, 10 000 navires chargés de charbon ou de gaz pourraient traverser chaque année la Grande barrière de corail, soit un par heure, selon Greenpeace, bien plus que les 1 722 bateaux entrés dans la zone du Patrimoine mondial en 2011. La capacité d'exportation du charbon du Queensland passerait ainsi de 257 millions de tonnes aujourd'hui à 944 tonnes en 2020, précise l'ONG.
Le risque, c'est bien sûr l'échouage de ces bateaux qui vont devoir naviguer entre les récifs et le déversement de substances toxiques ou de pétrole, comme ce fut le cas pour un navire chinois en avril 2010, au large de l'île Great Keppel.
Certaines espèces en danger, comme des tortues et dauphins, seraient par ailleurs menacées par l'industrialisation de masse de la côte.
Source : © Le Monde
mercredi 7 mars 2012
23:04
L’énorme tache solaire AR 1429 a fait des siennes cette nuit avec une explosion de très forte puissance atteignant le niveau X-5 (explication ici), observée et filmée par les satellites GOES et SDO.
Une tempête solaire devrait toucher la Terre entre le 8 et 9 mars.
Les effets pourraient être ressentis sur Terre tard en soirée, mercredi. Cette éruption serait la plus puissante des cinq dernières années et n'aurait pas fini de prendre de l'ampleur.
Cette zone éruptive dont la longueur est de quatre fois le diamètre de la Terre, abrite le dixième événement de ce genre depuis le début du regain d’activité solaire (dans un cycle qui porte le numéro 24 et dont l’amorce remonte à 2008).
L’éruption de cette nuit a été repérée à 0 h 28 TU (1 h 28 en France) par le satellite géostationnaire GOES. L’observatoire solaire SDO a pu filmer l’événement dans plusieurs longueurs d’onde. Ces énormes phénomènes d’origine magnétique se produisent, en période d’activité solaire, au niveau de la photosphère et produisent de volumineux jets de matière à de grandes distances.
Ils s’accompagnent aussi de puissantes émissions électromagnétiques dans différentes longueurs d’onde, le visible mais aussi les domaines radio et X. Ils peuvent être suivis d’éjections de matière coronale, ou CME.
C’est ce qu’a produit l’éruption de cette nuit. La Terre devrait recevoir un peu de cette manière éjectée entre le 8 et le 9 mars. Ce débarquement de particules électriquement chargées pourrait générer quelques désagréments dans les communications et, surtout, produire de très belles aurores polaires. Mercure et Vénus, plus proches du Soleil, devraient, elles, être davantage touchées que notre planète.
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...Belles aurores boréales à prévoir...
Une tempête solaire devrait toucher la Terre entre le 8 et 9 mars.
Les effets pourraient être ressentis sur Terre tard en soirée, mercredi. Cette éruption serait la plus puissante des cinq dernières années et n'aurait pas fini de prendre de l'ampleur.
Les scientifiques ont ajouté que des problèmes de communication et la radiation générée par la tempête forceront probablement les avions à éviter de survoler les pôles Nord et Sud.
Des aurores boréales plus colorées pourront enfin être visibles.
Apparue le 2 mars et surveillée de près, la tache solaire AR 1429 avait déjà été le siège d’une explosion très forte le 5 mars, atteignant le niveau X-1. Rappelons que les éruptions solaires sont classées en 5 niveaux (A, B, C, M et X), avec dix sous-niveaux de 1 à 10. (voir l'article explicatif ici)Cette zone éruptive dont la longueur est de quatre fois le diamètre de la Terre, abrite le dixième événement de ce genre depuis le début du regain d’activité solaire (dans un cycle qui porte le numéro 24 et dont l’amorce remonte à 2008).
L’éruption de cette nuit a été repérée à 0 h 28 TU (1 h 28 en France) par le satellite géostationnaire GOES. L’observatoire solaire SDO a pu filmer l’événement dans plusieurs longueurs d’onde. Ces énormes phénomènes d’origine magnétique se produisent, en période d’activité solaire, au niveau de la photosphère et produisent de volumineux jets de matière à de grandes distances.
Ils s’accompagnent aussi de puissantes émissions électromagnétiques dans différentes longueurs d’onde, le visible mais aussi les domaines radio et X. Ils peuvent être suivis d’éjections de matière coronale, ou CME.
C’est ce qu’a produit l’éruption de cette nuit. La Terre devrait recevoir un peu de cette manière éjectée entre le 8 et le 9 mars. Ce débarquement de particules électriquement chargées pourrait générer quelques désagréments dans les communications et, surtout, produire de très belles aurores polaires. Mercure et Vénus, plus proches du Soleil, devraient, elles, être davantage touchées que notre planète.
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...Belles aurores boréales à prévoir...
22:39
Le Conseil d'Etat a demandé mercredi au ministre de l'Agriculture un nouvel examen de la toxicité du Roundup Express, désherbant de la firme agrochimique américaine Monsanto pour le grand public, accédant ainsi à la requête de l'association Génération future.
Le Conseil d'Etat annule la décision de refus d'abrogation de l'autorisation du Roundup Express pour prise en compte insuffisante par le ministre d'une substance présente dans le produit et inscrite sur la liste communautaire des substances actives, précise le Conseil dans son communiqué.
Le ministre de l'Agriculture devra donc procéder à un réexamen de la demande d'abrogation du désherbant dans un délai de six mois.
A l'origine de la requête auprès du Conseil, Générations futures et Jacques Maret, agriculteur et partie prenante dans le dossier, évoquent de leurs côtés un événement considérable.
Cette décision concerne tous les consommateurs et leurs enfants. En effet, le Conseil d'Etat considère, comme nous, que sa toxicité n'a pas été correctement évaluée, ce qui est particulièrement regrettable pour un produit vendu au grand public et utilisé dans les jardins des familles, ont-ils ajouté dans un communiqué.
Dans son texte, le Conseil d'Etat rappelle qu'il appartient au ministre, lors d'une demande d'autorisation de mise sur le marché d'un produit phytopharmaceutique, de procéder à une évaluation complète des risques que ce produit peut présenter pour la santé humaine ou animale ou pour l'environnement.
Cette évaluation doit tenir compte des effets synergiques entre la substance active et les autres substances entrant dans la composition du produit.
Le Conseil d'Etat a en revanche rejeté les autres requêtes de Génération future portant sur les produits phytopharmaceutiques Roundup GT plus et Roundup Extra 360.
source ©AFP
Le Conseil d'Etat annule la décision de refus d'abrogation de l'autorisation du Roundup Express pour prise en compte insuffisante par le ministre d'une substance présente dans le produit et inscrite sur la liste communautaire des substances actives, précise le Conseil dans son communiqué.
Le ministre de l'Agriculture devra donc procéder à un réexamen de la demande d'abrogation du désherbant dans un délai de six mois.
A l'origine de la requête auprès du Conseil, Générations futures et Jacques Maret, agriculteur et partie prenante dans le dossier, évoquent de leurs côtés un événement considérable.
Cette décision concerne tous les consommateurs et leurs enfants. En effet, le Conseil d'Etat considère, comme nous, que sa toxicité n'a pas été correctement évaluée, ce qui est particulièrement regrettable pour un produit vendu au grand public et utilisé dans les jardins des familles, ont-ils ajouté dans un communiqué.
Dans son texte, le Conseil d'Etat rappelle qu'il appartient au ministre, lors d'une demande d'autorisation de mise sur le marché d'un produit phytopharmaceutique, de procéder à une évaluation complète des risques que ce produit peut présenter pour la santé humaine ou animale ou pour l'environnement.
Cette évaluation doit tenir compte des effets synergiques entre la substance active et les autres substances entrant dans la composition du produit.
Le Conseil d'Etat a en revanche rejeté les autres requêtes de Génération future portant sur les produits phytopharmaceutiques Roundup GT plus et Roundup Extra 360.
source ©AFP
22:31
Le second réacteur de la centrale nucléaire de Fessenheim, dans le Haut-Rhin, a été remis en route et reconnecté au réseau électrique national mardi après-midi 6 mars, à l'issue de sa troisième visite décennale, a-t-on appris auprès de la direction de la centrale.
L'unite de production n° 2 de la centrale avait été mise à l'arrêt en avril 2011 pour y mener des contrôles et réaliser des travaux de maintenance. Cette opération technique, réalisée tous les dix ans, est appelée "visite décennale". La centrale de Fessenheim, mise en service en 1977, la plus ancienne du parc nucléaire français, compte deux réacteurs d'une capacité de 900 mégawatts chacun, tous deux raccordés au réseau électrique national.
Il faudra plusieurs jours au réacteur n°2 pour atteindre sa pleine puissance, des essais étant réalisés aux différents paliers progressivement franchis après la remise en route. L'ensemble des chantiers réalisés lors de la troisième visite décennale de l'unité de production n° 2 ont représenté un investissement de plus de 200 millions d'euros et permettent "un renforcement du niveau de sûreté des installations", a indiqué la direction de la centrale.
Des composants comme la cuve du réacteur et son enceinte de confinement ont été contrôlés. D'autres, comme les trois générateurs de vapeur, pesant plus de 300 tonnes chacun, ont été remplacés. Ce dernier chantier a nécessité plus de six mois de travaux et l'intervention de jusqu'à neuf cents techniciens et ingénieurs. A l'automne 2012, EDF doit remettre à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un rapport complet du réexamen de sûreté réalisé.
L'unite de production n° 2 de la centrale avait été mise à l'arrêt en avril 2011 pour y mener des contrôles et réaliser des travaux de maintenance. Cette opération technique, réalisée tous les dix ans, est appelée "visite décennale". La centrale de Fessenheim, mise en service en 1977, la plus ancienne du parc nucléaire français, compte deux réacteurs d'une capacité de 900 mégawatts chacun, tous deux raccordés au réseau électrique national.
Il faudra plusieurs jours au réacteur n°2 pour atteindre sa pleine puissance, des essais étant réalisés aux différents paliers progressivement franchis après la remise en route. L'ensemble des chantiers réalisés lors de la troisième visite décennale de l'unité de production n° 2 ont représenté un investissement de plus de 200 millions d'euros et permettent "un renforcement du niveau de sûreté des installations", a indiqué la direction de la centrale.
Des composants comme la cuve du réacteur et son enceinte de confinement ont été contrôlés. D'autres, comme les trois générateurs de vapeur, pesant plus de 300 tonnes chacun, ont été remplacés. Ce dernier chantier a nécessité plus de six mois de travaux et l'intervention de jusqu'à neuf cents techniciens et ingénieurs. A l'automne 2012, EDF doit remettre à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un rapport complet du réexamen de sûreté réalisé.
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22:24
Non, il n'a pas neigé sur le village australien de Wagga Wagga, en Nouvelle-Galles du Sud. Par contre, des millions d'araignées y ont tissé leurs toiles, donnant au paysage un air fantomatique.
Comment expliquer ce phénomène? Wagga Wagga vient d'être la proie d'inondations immenses. Face à la montée des eaux, les araignées ont été forcées de grimper sur les arbres et les buissons pour sauver leur vie. Elles ont alors construit leurs toiles, mais cette fois-ci dans des proportions immenses.
Avec pour résultat, ce panorama étonnant: des champs de toiles d'araignées à perte de vue. Des amas d'araignées dans le moindre recoin, des voiles blancs qui volent au vent dans les champs, aux abords des maisons.
Les résidents de Wagga Wagga, de retour auprès avoir été évacués pour échapper aux eaux en crue, n'en ont pas cru leurs yeux. Il faut dire que le spectacle est impressionnant!
Les araignées et leurs toiles ont véritablement envahi la ville et ses maisons. Autant dire que ceux et celles qui apprécient moins ces petites bêtes n'ont pas adoré cette arrivée en masse...
source reuters
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Comment expliquer ce phénomène? Wagga Wagga vient d'être la proie d'inondations immenses. Face à la montée des eaux, les araignées ont été forcées de grimper sur les arbres et les buissons pour sauver leur vie. Elles ont alors construit leurs toiles, mais cette fois-ci dans des proportions immenses.
Avec pour résultat, ce panorama étonnant: des champs de toiles d'araignées à perte de vue. Des amas d'araignées dans le moindre recoin, des voiles blancs qui volent au vent dans les champs, aux abords des maisons.
Les résidents de Wagga Wagga, de retour auprès avoir été évacués pour échapper aux eaux en crue, n'en ont pas cru leurs yeux. Il faut dire que le spectacle est impressionnant!
Les araignées et leurs toiles ont véritablement envahi la ville et ses maisons. Autant dire que ceux et celles qui apprécient moins ces petites bêtes n'ont pas adoré cette arrivée en masse...
source reuters
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mardi 6 mars 2012
12:37
Du 05 au07/03 : alerte aux inondations pour le Nord-Pas-De-Calais
De lundi à mardi, la perturbation pluvio-neigeuse restera positionnée sur le Nord-Pas de Calais amenant des pluies continues et modérées sur ce secteur.
Compte tenu des cumuls de pluies déjà observés et de la durée de l'épisode, les réactions hydrologiques déjà en cours devraient se poursuivre sur les bassins du département du Pas-de-Calais (62), pouvant engendrer des réactions moyennes à importantes.
Sur le département du Nord (59) concerné jusqu'à présent dans une moindre mesure par l'épisode pluvieux, les précipitations attendues pour les prochaines 24h pourraient entrainer des débordements localisés en début de soirée sur les bassins de l'Helpe Mineure et Majeure, la Solre et la Plaine de le Lys.
Sur le département du Pas-de-Calais, les cours d'eau de la Lys amont, la Hem et l'Aa ont atteints les niveaux de premiers débordements. Sur ces cours d'eau placés vigilance orange, les cumuls de pluies attendus encore pour les prochaines 24 h sont susceptibles d'entrainer une poursuite des réactions hydrologiques proches des seuils de débordements dommageables.
Sur le département du Nord, les cours d'eau de la plaine de la Lys, l'Helpe Mineure et Majeure et la Solre ont amorcé des réactions sans toutefois atteindre les niveaux de premiers débordements. Sur ces cours d'eau placés en vigilance jaune, les réactions amorcées sont susceptibles d'entrainer des débordements localisés en début de soirée.
Source : Météo France
Belgique
Hier les pluies ont provoqué des inondations en Flandre occidentale
Les fortes pluies - jusqu'à 60 mm en 24 heures - ont provoqué des inondations en Flandre occidentale. Plusieurs maisons se sont retrouvées sous l'eau tandis que d'autres ont pu être protégées grâce à des sacs de sable. En divers endroits, la vigilance restait de mise lundi soir, pouvait-on lire sur le site de prévisions des inondations de la Vlaamse Milieumaatschappij (VMM).
Dans le bassin de l'Yser, des maisons ont été inondées à Voormezele et Kortemark. La digue de protection de Kortemark a dû être renforcée par la protection civile. D'autres maisons étaient menacées d'inondation à Poperinge et Oudenburg.
Dans les polders autour de Bruges, plusieurs routes locales étaient recouvertes d'eau. A Zedelgem, la maison communale a été protégée par des sacs de sable. Dans le bassin de la Lys, on a notamment craint une inondation du centre de Roulers mais ce risque a entre-temps pu être écarté.
Source 7sur7.be
France: 22.000 foyers encore privés d'électricité dans le Nord
En France environ 22.000 foyers restaient privés d'électricité mardi dans le Nord, à la suite des chutes de neige de la veille, selon un point fait mardi matin tôt, a-t-on appris auprès d'une porte-parole d'EDF.
Au point de 7h00, 22.000 clients dont 14.000 au sud de Lille, suite à l'incident sur la ligne SNCF, et 8.000 sur Maubeuge et Avesnes (Nord) étaient encore privés de courant, selon une porte-parole d'EDF.
On prévoit un retour à la normale en fin de journée, avec une prochaine amélioration dès la fin de la matinée, a ajouté cette porte-parole.
Près de 140.000 foyers ont été privés d'électricité lundi en fin d'après-midi dans le Nord et le Pas-de-Calais, après d'importantes chutes de neige et de pluie mêlées qui avaient touché la région dans la matinée.
Le trafic TGV a également été totalement interrompu depuis lundi 16h00 jusqu'à mardi matin au départ ou à destination de Lille, en raison d'une rupture de caténaire, provoquée par la chute d'une ligne à haute tension au niveau de Seclin (Nord), qui avait privé 20.000 foyers d'électricité dans ce secteur.
Quelque 500 agents d'ERDF et de RTE, qui gère le réseau français de lignes électriques à haute tension, étaient mobilisés mardi matin pour rétablir le courant chez les derniers foyers touchés, ont indiqué les deux filiales d'EDF dans un communiqué conjoint.
En attendant, 70 groupes électrogènes ont été acheminés dans la nuit et devaient être mis en place dans la journée pour rétablir au plus vite l'énergie, selon ce communiqué.
EDF
Source ©AFP
De lundi à mardi, la perturbation pluvio-neigeuse restera positionnée sur le Nord-Pas de Calais amenant des pluies continues et modérées sur ce secteur.
Compte tenu des cumuls de pluies déjà observés et de la durée de l'épisode, les réactions hydrologiques déjà en cours devraient se poursuivre sur les bassins du département du Pas-de-Calais (62), pouvant engendrer des réactions moyennes à importantes.
Sur le département du Nord (59) concerné jusqu'à présent dans une moindre mesure par l'épisode pluvieux, les précipitations attendues pour les prochaines 24h pourraient entrainer des débordements localisés en début de soirée sur les bassins de l'Helpe Mineure et Majeure, la Solre et la Plaine de le Lys.
Sur le département du Pas-de-Calais, les cours d'eau de la Lys amont, la Hem et l'Aa ont atteints les niveaux de premiers débordements. Sur ces cours d'eau placés vigilance orange, les cumuls de pluies attendus encore pour les prochaines 24 h sont susceptibles d'entrainer une poursuite des réactions hydrologiques proches des seuils de débordements dommageables.
Sur le département du Nord, les cours d'eau de la plaine de la Lys, l'Helpe Mineure et Majeure et la Solre ont amorcé des réactions sans toutefois atteindre les niveaux de premiers débordements. Sur ces cours d'eau placés en vigilance jaune, les réactions amorcées sont susceptibles d'entrainer des débordements localisés en début de soirée.
Source : Météo France
Belgique
Hier les pluies ont provoqué des inondations en Flandre occidentale
Les fortes pluies - jusqu'à 60 mm en 24 heures - ont provoqué des inondations en Flandre occidentale. Plusieurs maisons se sont retrouvées sous l'eau tandis que d'autres ont pu être protégées grâce à des sacs de sable. En divers endroits, la vigilance restait de mise lundi soir, pouvait-on lire sur le site de prévisions des inondations de la Vlaamse Milieumaatschappij (VMM).
Dans le bassin de l'Yser, des maisons ont été inondées à Voormezele et Kortemark. La digue de protection de Kortemark a dû être renforcée par la protection civile. D'autres maisons étaient menacées d'inondation à Poperinge et Oudenburg.
Dans les polders autour de Bruges, plusieurs routes locales étaient recouvertes d'eau. A Zedelgem, la maison communale a été protégée par des sacs de sable. Dans le bassin de la Lys, on a notamment craint une inondation du centre de Roulers mais ce risque a entre-temps pu être écarté.
Source 7sur7.be
France: 22.000 foyers encore privés d'électricité dans le Nord
En France environ 22.000 foyers restaient privés d'électricité mardi dans le Nord, à la suite des chutes de neige de la veille, selon un point fait mardi matin tôt, a-t-on appris auprès d'une porte-parole d'EDF.
Au point de 7h00, 22.000 clients dont 14.000 au sud de Lille, suite à l'incident sur la ligne SNCF, et 8.000 sur Maubeuge et Avesnes (Nord) étaient encore privés de courant, selon une porte-parole d'EDF.
On prévoit un retour à la normale en fin de journée, avec une prochaine amélioration dès la fin de la matinée, a ajouté cette porte-parole.
Près de 140.000 foyers ont été privés d'électricité lundi en fin d'après-midi dans le Nord et le Pas-de-Calais, après d'importantes chutes de neige et de pluie mêlées qui avaient touché la région dans la matinée.
Le trafic TGV a également été totalement interrompu depuis lundi 16h00 jusqu'à mardi matin au départ ou à destination de Lille, en raison d'une rupture de caténaire, provoquée par la chute d'une ligne à haute tension au niveau de Seclin (Nord), qui avait privé 20.000 foyers d'électricité dans ce secteur.
Quelque 500 agents d'ERDF et de RTE, qui gère le réseau français de lignes électriques à haute tension, étaient mobilisés mardi matin pour rétablir le courant chez les derniers foyers touchés, ont indiqué les deux filiales d'EDF dans un communiqué conjoint.
En attendant, 70 groupes électrogènes ont été acheminés dans la nuit et devaient être mis en place dans la journée pour rétablir au plus vite l'énergie, selon ce communiqué.
EDF
Source ©AFP
lundi 5 mars 2012
15:09
Un tanker transportant quelque 2.000 tonnes de carburant a coulé lundi au large de la banlieue industrielle d'Elefsina, près d'Athènes, et l'un de ses membres d'équipage, le capitaine, est décédé, a-t-on appris auprès du ministère de la Marine.
Le navire, qui transportait onze membres d'équipage grecs, a sombré aux alentours de 08H30 GMT pour une raison qui reste indéterminée, a expliqué cette source à l'AFP.
Ses cuves contenaient 1.800 tonnes de mazout et environ 250 tonnes de gasoil sans qu'il soit encore possible de dire si le naufrage risquait d'entraîner une pollution maritime dans cette zone située à une trentaine de kilomètres d'Athènes où se concentrent de nombreuses industries et raffineries.
Les autorités affirme qu'aucun de pollution n'a pour l'instant été détecté.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le navire, appartenant à la société Viamare, a sombré après avoir heurté une vieille épave immergée.
Dix marins ont pu être secourus sains et saufs mais le corps d'un homme de 48 ans, "le capitaine" a été retrouvé par des sauveteurs plongeurs, coincé dans l'épave, il a perdu la vie.
Le navire, qui transportait onze membres d'équipage grecs, a sombré aux alentours de 08H30 GMT pour une raison qui reste indéterminée, a expliqué cette source à l'AFP.
Ses cuves contenaient 1.800 tonnes de mazout et environ 250 tonnes de gasoil sans qu'il soit encore possible de dire si le naufrage risquait d'entraîner une pollution maritime dans cette zone située à une trentaine de kilomètres d'Athènes où se concentrent de nombreuses industries et raffineries.
Les autorités affirme qu'aucun de pollution n'a pour l'instant été détecté.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le navire, appartenant à la société Viamare, a sombré après avoir heurté une vieille épave immergée.
Dix marins ont pu être secourus sains et saufs mais le corps d'un homme de 48 ans, "le capitaine" a été retrouvé par des sauveteurs plongeurs, coincé dans l'épave, il a perdu la vie.
15:06
L’Australie est de nouveau victime de fortes pluies avec des inondations sur une partie de l’Etat du Victoria et sur près des trois quarts de la Nouvelle-Galles du Sud.
Sydney menacé d'inondation
Des milliers d’habitants de l’état de Nouvelles-Galles du Sud en Australie ont été forcés d’évacuer la zone alors que la région connait ses pires inondations depuis des décennies.
Ces inondations se sont rapprochées de la plus grande ville du pays - Sydney.
L'eau dans le réservoir de Warragamba à proximité de la ville a atteint un niveau critique, ce qui a provoqué l'ouverture automatique des barrages et des écluses, faisant déborder les fleuves de Nepean et Hawkesbury, qui relient le réservoir à l'océan Pacifique.
Déjà 75% du territoire de l'état de la Nouvelle-Galles du Sud, où se trouve Sydney se trouve sous les eaux. 5000 personnes ont été obligées de quitter leur domicile à cause des inondations. Actuellement, les autorités organisent l'évacuation des milliers de personnes résidant dans la banlieue nord-ouest de la métropole. Selon les prévisions des météorologiques, au cours des prochains jours, le niveau des inondations causées par des pluies torrentielles, pourrait battre le record établi il y a plus de 120 ans.
Australie : pires inondations depuis des décennies par Zoomin_Wallonie
Sydney menacé d'inondation
Des milliers d’habitants de l’état de Nouvelles-Galles du Sud en Australie ont été forcés d’évacuer la zone alors que la région connait ses pires inondations depuis des décennies.
Ces inondations se sont rapprochées de la plus grande ville du pays - Sydney.
L'eau dans le réservoir de Warragamba à proximité de la ville a atteint un niveau critique, ce qui a provoqué l'ouverture automatique des barrages et des écluses, faisant déborder les fleuves de Nepean et Hawkesbury, qui relient le réservoir à l'océan Pacifique.
Déjà 75% du territoire de l'état de la Nouvelle-Galles du Sud, où se trouve Sydney se trouve sous les eaux. 5000 personnes ont été obligées de quitter leur domicile à cause des inondations. Actuellement, les autorités organisent l'évacuation des milliers de personnes résidant dans la banlieue nord-ouest de la métropole. Selon les prévisions des météorologiques, au cours des prochains jours, le niveau des inondations causées par des pluies torrentielles, pourrait battre le record établi il y a plus de 120 ans.
Australie : pires inondations depuis des décennies par Zoomin_Wallonie
14:51
Des pluies trop rares, peu de neige, des cultures qui pointent à peine ou sèchent sur pied, des incendies de forêt précoces: les clignotants sont au rouge en Espagne où agriculteurs et éleveurs s'inquiètent au sortir de cet hiver, le plus sec depuis 70 ans.
"Décembre, janvier et février ont été les plus secs depuis les années 40", explique Angel Rivera, porte-parole de l'Agence météorologique nationale.
Du jamais vu ou presque, souligne-t-il en rappelant "que le précédent hiver le plus sec avait été celui de 1980-81, où il avait plu 30 litres de plus par mètre carré que cette année".
L'effet le plus spectaculaire de cette sécheresse, ce sont sans doute ces incendies de forêt qui en plein mois de février ont surpris la Galice, une région rurale et boisée du nord-ouest de l'Espagne, et détruit plus de 400 hectares alors que la saison à risques débute habituellement en juin.
Déjà, les gardes forestiers ont commencé à installer des dispositifs pare-feu, en avance de plusieurs mois.
Autour du réservoir de Portodemouros, près du village de Brocos à 60 kilomètres de Saint-Jacques de Compostelle, la terre craquelée et le niveau de l'eau en baisse laissaient présager aussi une sécheresse exceptionnelle.
"Nous avons besoin d'eau, pas seulement à cause des incendies mais aussi pour les pâturages. Nous verrons bien si la météo nous aide un peu", remarque la ministre régionale de l'Environnement de Galice, Rosa Quintana.
A travers toute l'Espagne, agriculteurs et éleveurs s'alarment.
Déjà les météorologues situent la pluviosité au quart de la normale. Ces trois derniers mois, "les précipitations atteignent en moyenne 50 litres par mètre carré alors qu'elles devraient être de l'ordre de 200 litres", ajoute Angel Rivera.
"Les plus affectées sont les cultures sèches. Dans une grande partie du sud de l'Andalousie, et aussi de l'Aragon, dans le nord, nous pouvons déjà parler de surfaces perdues, pour lesquelles il n'y a pas d'espoir, qu'il pleuve ou non", explique Gregorio Juarez, de l'Association des jeunes agriculteurs.
Les plantes qui souffrent le plus, dit-il, sont "les herbacées, les légumineux et les céréales", mais d'autres comme la vigne, les oliviers et les amandiers pourraient aussi être touchées.
Les faibles pluies des derniers mois "n'ont pas imprégné le sol et d'ici à un mois ce manque d'humidité va ralentir la croissance de ces plantes, puis la maturation des fruits", souligne Alejandro Garcia, responsable de la production agraire à la Coordination des agriculteurs et éleveurs (COAG).
En Andalousie, "la campagne de la région de Grenade pourrait perdre 35% de sa production d'huile et la moitié des herbacées sont considérées comme perdues", prévoit Gregorio Juarez.
Alejandro Garcia s'alarme lui de la maigreur des pâturages qui va obliger à nourrir les bêtes avec du fourrage et du grain, d'où une augmentation des coûts.
Dans des régions comme "la Galice, les Asturies ou la Castille et Leon", dans le nord, peu préparées au manque d'eau, "les éleveurs voient actuellement leurs coûts de production augmenter d'au moins 20%", avertit l'Union des petits agriculteurs et éleveurs.
"Nous assistons à une sécheresse très dure. Les réserves en eau ne sont pas encore à des niveaux préoccupants, mais nous commençons à voir de nombreux incendies de forêts", a souligné mardi le ministre de l'Agriculture, Miguel Arias Canete.
Les agriculteurs, comme Alejandro Garcia, espèrent "que s'il pleut d'ici une ou deux semaines, la situation s'améliorera".
De fait, les services météorologiques prévoient de la pluie "entre dimanche et mercredi". Mais, prévient Angel Rivera, "il semble que l'anticyclone va ensuite se reconstituer", et le temps sec s'installer à nouveau.
Source © 2012 AFP
Au Portugal
Alors que le Portugal a connu son mois de février le plus sec en quatre-vingt ans, les agriculteurs prient pour qu’un miracle ait lieu pour les soulager de la sécheresse qui ravage leurs pâtures et provoque de feux de forêt, exacerbant la crise économique que connaît actuellement le pays.
Pourtant, les météorologues annoncent que la sécheresse pourrait persister jusqu’à la fin du mois de mars au minimum, ce qui aggraverait une sécheresse déjà considérée comme aigüe et extrême dans tout le pays.
En dehors de l’impact qu’aura eu la sécheresse sur le commerce et le PIB, la situation est susceptible de limiter encore davantage les ressources financières alors que le Portugal réduit ses dépenses pour atteindre les objectifs fixés par l’Union Européenne et le Fonds Monétaire International pour racheter sa dette.
"Décembre, janvier et février ont été les plus secs depuis les années 40", explique Angel Rivera, porte-parole de l'Agence météorologique nationale.
Du jamais vu ou presque, souligne-t-il en rappelant "que le précédent hiver le plus sec avait été celui de 1980-81, où il avait plu 30 litres de plus par mètre carré que cette année".
L'effet le plus spectaculaire de cette sécheresse, ce sont sans doute ces incendies de forêt qui en plein mois de février ont surpris la Galice, une région rurale et boisée du nord-ouest de l'Espagne, et détruit plus de 400 hectares alors que la saison à risques débute habituellement en juin.
Déjà, les gardes forestiers ont commencé à installer des dispositifs pare-feu, en avance de plusieurs mois.
Autour du réservoir de Portodemouros, près du village de Brocos à 60 kilomètres de Saint-Jacques de Compostelle, la terre craquelée et le niveau de l'eau en baisse laissaient présager aussi une sécheresse exceptionnelle.
"Nous avons besoin d'eau, pas seulement à cause des incendies mais aussi pour les pâturages. Nous verrons bien si la météo nous aide un peu", remarque la ministre régionale de l'Environnement de Galice, Rosa Quintana.
A travers toute l'Espagne, agriculteurs et éleveurs s'alarment.
Déjà les météorologues situent la pluviosité au quart de la normale. Ces trois derniers mois, "les précipitations atteignent en moyenne 50 litres par mètre carré alors qu'elles devraient être de l'ordre de 200 litres", ajoute Angel Rivera.
"Les plus affectées sont les cultures sèches. Dans une grande partie du sud de l'Andalousie, et aussi de l'Aragon, dans le nord, nous pouvons déjà parler de surfaces perdues, pour lesquelles il n'y a pas d'espoir, qu'il pleuve ou non", explique Gregorio Juarez, de l'Association des jeunes agriculteurs.
Les plantes qui souffrent le plus, dit-il, sont "les herbacées, les légumineux et les céréales", mais d'autres comme la vigne, les oliviers et les amandiers pourraient aussi être touchées.
Les faibles pluies des derniers mois "n'ont pas imprégné le sol et d'ici à un mois ce manque d'humidité va ralentir la croissance de ces plantes, puis la maturation des fruits", souligne Alejandro Garcia, responsable de la production agraire à la Coordination des agriculteurs et éleveurs (COAG).
En Andalousie, "la campagne de la région de Grenade pourrait perdre 35% de sa production d'huile et la moitié des herbacées sont considérées comme perdues", prévoit Gregorio Juarez.
Alejandro Garcia s'alarme lui de la maigreur des pâturages qui va obliger à nourrir les bêtes avec du fourrage et du grain, d'où une augmentation des coûts.
Dans des régions comme "la Galice, les Asturies ou la Castille et Leon", dans le nord, peu préparées au manque d'eau, "les éleveurs voient actuellement leurs coûts de production augmenter d'au moins 20%", avertit l'Union des petits agriculteurs et éleveurs.
"Nous assistons à une sécheresse très dure. Les réserves en eau ne sont pas encore à des niveaux préoccupants, mais nous commençons à voir de nombreux incendies de forêts", a souligné mardi le ministre de l'Agriculture, Miguel Arias Canete.
Les agriculteurs, comme Alejandro Garcia, espèrent "que s'il pleut d'ici une ou deux semaines, la situation s'améliorera".
De fait, les services météorologiques prévoient de la pluie "entre dimanche et mercredi". Mais, prévient Angel Rivera, "il semble que l'anticyclone va ensuite se reconstituer", et le temps sec s'installer à nouveau.
Source © 2012 AFP
Au Portugal
Alors que le Portugal a connu son mois de février le plus sec en quatre-vingt ans, les agriculteurs prient pour qu’un miracle ait lieu pour les soulager de la sécheresse qui ravage leurs pâtures et provoque de feux de forêt, exacerbant la crise économique que connaît actuellement le pays.
Pourtant, les météorologues annoncent que la sécheresse pourrait persister jusqu’à la fin du mois de mars au minimum, ce qui aggraverait une sécheresse déjà considérée comme aigüe et extrême dans tout le pays.
En dehors de l’impact qu’aura eu la sécheresse sur le commerce et le PIB, la situation est susceptible de limiter encore davantage les ressources financières alors que le Portugal réduit ses dépenses pour atteindre les objectifs fixés par l’Union Européenne et le Fonds Monétaire International pour racheter sa dette.
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