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lundi 20 janvier 2014
Au fin fond des campagnes françaises, des éleveurs s’emploient à sauver des races en voie de disparition: poules, vaches ou cochons que l’agriculture intensive avait abandonnés. Et c’est ainsi que des boeufs de race millénaire réapparaissent dans les prés du Sud-Ouest.

Sur les coteaux de Beaumarchès (Gers), quatre grands boeufs blancs se partagent une immense prairie vallonnée. Épaules puissantes, robe nacrée, ils sont issus d’une race rustique « très ancienne, arrivée avec les invasions Wisigoths, 400 ans après Jésus-Christ », raconte leur éleveur, Christophe Masson, citant les « très sérieux travaux de recherches » menés par des étudiants de l’École normale supérieure (ENS).

Depuis un siècle, ces bovins de race mirandaise se sont considérablement raréfiés dans le paysage du Gers.

« Dans les années 1900, il y en avait 180.000 dans le département. Il n’en reste que 350. Certains éleveurs n’en ont plus que deux ou trois à l’étable: on les appelle les collectionneurs », explique Christophe Masson.

Avec sa femme Stéphanie et un jeune associé, l’agriculteur de 42 ans gère à Beaumarchés « la Ferme des quatre grâces » dont le nom résume l’ambition: remettre à l’honneur les races oubliées de la « poule gasconne », de « l »oie de Toulouse », du « porc noir de Bigorre » et du « boeuf nacré de Gascogne ».

Robustes, adaptés aux coteaux gersois, ses boeufs passent toute l’année dehors, eux qui se plaisent à la température idéale de trois degrés. Et, comme naguère, ils ne sont engraissés qu’à l’herbe et « finis » à la légumineuse fourragère – trèfle, luzerne ou lotier. « On fait redécouvrir aux paysans eux-mêmes que le bovin est un herbivore », dit sans malice M. Masson, qui refuse farines et ensilage de maïs.

Arpentant leurs près vallonnés, Stéphanie et Christophe Masson font volontiers « l’éloge de la lenteur ». Leurs « boeufs nacrés » mettront plus de quatre années à atteindre leur taille adulte et ne seront « sacrifiés » qu’à cinq.

« Cette lenteur, c’est une difficulté pour se lancer », admet M. Masson. L’autre difficulté de l’aventure reste la production limitée: les six éleveurs de « boeuf nacré » installés à ce jour dans le département ne livrent, pour l’instant, qu’une vingtaine de carcasses par an. Une partie s’en va chez des restaurateurs et des particuliers du Gers, l’autre part à Paris, à la boucherie « Terroirs d’avenir » rue du Nil.

Dans le centre-ville d’Auch, le chef du restaurant Le Bartok, Julien Guichard, parle d’ »une viande rare dans tous les sens du termes », lui qui ne cuisine le « boeuf nacré » qu’en fonction des arrivages.

« Les bêtes s’imprègnent de la pairie en toutes saisons. Quand vous mangez leur viande, vous avez l’impression de brouter le pré! », assure ce cuisinier de 33 ans.

Dans tout le pays, seize races de bovins d’origine française sont ainsi « en conservation », pour ne pas risquer de disparaître.

Dès les années 1950, l’agriculture de plus en plus intensive avait commencé à sélectionner les races aux plus forts rendements, en écartant les animaux à croissance lente, même les mieux adaptés au territoire, rappelle François-Xavier Laborde, animateur du Conservatoire du patrimoine biologique régional de Midi-Pyrénées, à Toulouse.

Actif depuis 20 ans, le Conservatoire a pour credo d’ »assurer la conservation par la production » dans les fermes. Sinon, « quand il n’y a que des collectionneurs de poules, il suffit d’un renard et c’est fini », résume M. Laborde.

La région subventionne une douzaine de projets. Et la filière du « porc noir de Bigorre » est l’une des plus belles réussites: « il ne restait au tout début (du projet) qu’un seul mâle et quelques femelles de cette race du porc gascon mais elle est désormais sauvée avec 1.300 femelles reproductrices ».

Pour les bovins de race mirandaise, 2014 s’annonce bien: « on va installer deux nouveaux agriculteurs qui ne feront que de l’engraissement de boeuf nacré dans le Gers », annonce M. Masson.

Le 19 janvier, les éleveurs ont prévu de monter à Paris, pour griller des plats de cote dans la rue et expliquer leur démarche. Ils raconteront volontiers la vie de boeufs heureux, toujours dehors, à manger de l’herbe.

© AFP

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jeudi 16 janvier 2014
Le Parlement européen s'est prononcée jeudi pour le rejet de la demande d'autorisation de culture du maïs OGM TC1507 soumise aux Etats membres. La résolution réclamant le rejet de cette demande a été approuvée par 385 voix contre 201 et 35 abstentions.

"Nous appelons les représentants des gouvernements de l'UE à tenir compte de ce vote des eurodéputés (...) pour rejeter cette autorisation et préserver les territoires européens de la culture de ce maïs OGM", a déclaré l'eurodéputé vert français José Bové. 

La Commission européenne "doit cesser de tenter par tous les moyens d'imposer des choix qui semblent dictés par d'autres intérêts que ceux des consommateurs européens", a renchéri l'eurodéputée verte française Sandrine Belier. "Il serait scandaleux que la Commission européenne se cache derrière l'absence de majorité qualifiée au Conseil (des ministres de l'UE) et passe outre l'avis du Parlement européen pour autoriser la mise en culture de ce maïs. Les européens n'ont pas besoin de ce maïs transgénique et n'en veulent pas", a pour sa part affirmé l'eurodéputée centriste française Corinne Lepage. 

La Commission européenne a soumis début novembre une demande d'autorisation de culture pour ce maïs OGM conçu par le groupe américain Pioneer afin de forcer les Etats à prendre position, au risque de raviver leurs divisions sur cet épineux dossier. L'exécutif bruxellois soutient avoir été contraint d'agir par la Cour de Justice de l'UE (CJUE) après avoir été condamné le 26 septembre à reprendre la procédure pour le TC1507, lancée en 2001 et bloquée depuis 2009

"La Commission est tenue d'agir et elle doit se conformer aux arrêts de la Cour", avait expliqué le commissaire à la Santé, Tonio Borg. L'argument est contesté. "La Cour a imposé à la Commission d'agir, elle ne lui a pas imposé de recommander l'autorisation", a souligné un négociateur européen. La proposition a déjà été soumise au vote des représentants des Etats en 2009. Six seulement avaient voté pour (Royaume-Uni, Espagne, Finlande, Suède, Roumanie et Estonie), douze contre, dont la France, et neuf, dont l'Allemagne, s'étaient abstenus. 

"Faute de majorité qualifiée pour ou contre, la demande d'autorisation de culture sera considérée comme approuvée", a averti M. Borg. Les Etats doivent se prononcer avant le 12 février 2014 pour respecter les délais impartis par le jugement de la CJUE. Leurs représentants à Bruxelles se réunissent vendredi pour tenter d'arrêter une position et décider comment statuer. 

Quatre OGM ont obtenu une autorisation de culture dans l'UE, mais un seul est encore cultivé dans quelques Etats de l'UE: le maïs MON810 du groupe américain Monsanto, qui a demandé le renouvellement de cette autorisation. Les trois autres, deux maïs (BT176 et T25) et la pomme de terre Amflora, ont été abandonnés.

Source © AFP

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Plus de neuf cents écoliers dans une ville du centre du Japon sont tombés malades, apparemment victimes d'un empoisonnement alimentaire, ont annoncé jeudi les autorités.

Les élèves atteints de vomissements et de diarrhées étaient jeudi soir (heure locale) au nombre de 905 dans 14 écoles primaires à Hamamatsu, une ville de bord de mer à quelque 200 km au sud-est de Tokyo, a annoncé la direction locale des écoles. Environ 40 enseignants et employés ont également manifesté des signes d'empoisonnement alimentaire.

"Chez la plupart, les symptômes sont apparus la nuit dernière. Ils avaient pris leur déjeuner à l'école, mais tout lien de cause à effet reste encore à démontrer", a déclaré à l'AFP Seiko Terada, directeur local de la santé et des cantines.

Les écoles touchées ont été fermées, et ne rouvriront pas avant samedi au plus tôt. 

Cette affaire survient à la suite de l'intoxication de 1.400 personnes à travers le Japon par des produits surgelés qui auraient été mélangés avec des pesticides.

Source © Belga


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Une perturbation très active va toucher le Sud-Est de la France. Elle sera accompagnée de fortes précipitations se développeront en région PACA jusqu'au lendemain.  

Accompagnées parfois d'orages, notamment sur le littoral, elles affecteront principalement le département des Alpes-Maritimes. La neige tombera abondamment au dessus de 1300m. Sur le littoral, les vents seront forts.

A partir de la mi-journée  les pluies commenceront à se renforcer. Cela s'observera dans un premier temps sur les Bouches du Rhône et le Var avant de se décaler vers les Alpes-Maritimes en cours d'après-midi. 

Ces pluies deviendront fortes en soirée dans les Alpes-Maritimes et les Alpes de Haute-Provence. Près du littoral, elles seront accompagnées de vents forts de sud puis d'est, avec des rafales entre 80 -90 km/h.

Ces fortes intensités de pluie persisteront une grande partie de la nuit sur le Var. Elles faibliront progressivement en début de matinée de vendredi avec l'éloignement de la perturbation. D'importantes chutes de neige sont attendues au-dessus de 1400 m.

Source Meteo hebdo

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"Il y a de moins en moins de visiteurs ici", constate jeudi avec amertume Xiao Yan, une Chinoise offrant ses services de guide touristique place Tiananmen, tandis que Pékin subit un nouveau pic redoutable de pollution atmosphérique.

"Il faut dire que sur internet on parle sans cesse de l'air irrespirable", poursuit-elle devant l'entrée de la Cité interdite, enveloppée dans un épais brouillard. La purée de pois polluante oblige des véhicules à rouler les phares allumés en plein jour sur l'avenue de la Paix éternelle, une artère qui coupe Pékin sur une trentaine de kilomètres. Le Mausolée où repose Mao, imposant cube de béton au centre de la place, semble perdu dans la brume. Et, au sud du quadrilatère, la massive porte Qianmen érigée au début du XVe siècle est carrément invisible. 

La densité de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), les plus nocives, a atteint dans la nuit à Pékin le seuil de 671 microgrammes par mètre cube, selon l'ambassade américaine. Ce niveau est 27 fois plus élevé que le plafond préconisé par l'Organisation mondiale de la santé pour une exposition de 24 heures. 

De telles situations sont désormais surnommées "airpocalypses" en Chine. Place Tiananmen, devant le célèbre portrait du Grand Timonier, les touristes enlèvent leur masque filtrant le temps d'une photo. Le sourire est de mise pour conjurer l'atmosphère crépusculaire. 

Une odeur de charbon brûlé 

"Je n'ai jamais connu un truc pareil", s'exclame Richard Deutsch, un Américain de 59 ans qui profite d'une pause dans son voyage d'affaires pour faire un saut à la Cité interdite. Il explique avoir senti l'odeur caractéristique du charbon brûlé en descendant plus tôt dans le hall de son hôtel, où un employé lui a remis un masque. En ce mois de janvier où il gèle à Pékin, les centrales thermiques tournent à plein régime à l'intérieur et à l'extérieur de la mégalopole. La Chine consomme la moitié du charbon dans le monde et en tire plus de 70% de son énergie. 

Cette semaine le quotidien China Daily a rapporté une chute de plus de 10% du nombre de touristes dans la capitale au cours des onze premiers mois de 2013. Une baisse s'expliquant notamment par la dégradation de l'air. En voyant le ciel plombé à leur réveil, des parents ont décidé de ne pas envoyer en classe leur enfant. Tous les établissements n'ont pas les moyens de l'Ecole internationale de Pékin, qui s'est dotée de deux dômes gonflables géants sous lesquels l'air est purifié. 

Un des principaux sujets de mécontentement 

"Je suis désolé pour tous ces gens. Car ils voient se réduire de plusieurs années leur espérance de vie", confie M. Deutsch. "Aux Etats-Unis la population n'accepterait jamais cela. Mais ici on dirait que cela passe", ajoute cet habitant du Vermont, "l'État des montagnes vertes" réputé pour sa faible urbanisation. La pollution atmosphérique est pourtant devenu l'un des principaux sujets de mécontentement des Chinois, lassés de suffoquer et d'assister à l'explosion des cancers du poumon dans les zones urbaines. 

Les médias officiels se gardent de leur côté d'émettre des mises en gardes trop alarmistes. Les autorités chargées de l'environnement ont cependant publié jeudi sur leur compte de microblogs des messages appelant à éviter autant que possible les activités en plein air, notamment pour les enfants, les personnes âgées et celles souffrant de problèmes cardio-pulmonaires. Rencontré place Tiananmen, Gerald Meissner est un professeur de violon allemand marié à une Chinoise. 

Pour leur première visite ensemble à Pékin, le couple confie ne pas avoir emmené leur enfant. "L'air est trop mauvais pour les bébés, même pour une courte durée", dit-il. "J'espère que le gouvernement va fermer les usines les plus polluantes", glisse son épouse Ma Di. Les autorités chinoises font régulièrement des promesses dans ce sens, mais continuent à s'équiper en sources d'énergie principalement polluantes. Selon Greenpeace, 570 centrales à charbon sont actuellement programmées ou en construction en Chine.

Source © AFP

La France n'a toujours pas correctement transposé dans sa législation la loi européenne sur les nitrates et s'expose ainsi à de lourdes sanctions financières, a estimé jeudi 16 janvier l'avocate générale de la Cour de justice de l'Union européenne, Juliane Kokott. 

« Cette directive [loi européenne] est très importante pour la qualité de l'eau dans l'Union européenne », a souligné Mme Kokott dans ses conclusions.

Or, a-t-elle déploré, malgré la mise en place de plusieurs plans d'actions, le nombre de communes françaises polluées ou sous la menace d'une pollution aux nitrates continue de progresser. 

Près de 19 000 communes sont considérées comme des zones vulnérables aux nitrates. La Commission européenne a engagé des poursuites contre la France en 2012 pour non-conformité à la directive de 1991 sur les nitrates, qui est contestée par plusieurs syndicats d'agriculteurs dont la FNSEA.

PARIS FAIT LA SOURDE OREILLE

Les nitrates, a rappelé Mme Kokott, peuvent polluer les eaux lorsqu'ils ne sont pas absorbés par les plantes. Ils se dissolvent dans l'eau et peuvent ainsi atteindre par infiltration les eaux souterraines. Dans les eaux de surface, les nitrates agissent comme un fertilisant et favorisent par conséquent la croissance de certaines algues, lesquelles peuvent affecter la qualité et la biodiversité des eaux. De surcroît, certaines espèces d'algues, qui dégagent des substances toxiques, peuvent proliférer.

A plusieurs reprises la Commission européenne a demandé à la France de garantir « la mise en œuvre correcte et complète » de toutes les exigences de la directive dans les zones vulnérables polluées par les nitrates ou susceptibles de l'être.

Mais la France fait la sourde oreille, a relevé Mme Kokott dans ses conclusions, qui considère que Paris n'a pas correctement transposé la directive. Elle a donc proposé de « condamner la République française aux dépens ». La Cour de justice de l'UE doit trancher dans les mois à venir. La France risque une amende de plusieurs dizaines de millions d'euros.

Source: © Le Monde
Les milieux humides continuent de disparaître au Québec, et le ministère de l'Environnement ne parvient pas à freiner leur destruction, selon une étude réalisée à la demande du ministre Yves-François Blanchet.

Même dans le secteur le plus surveillé, soit l'immobilier, 99% des autorisations accordées par le ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP) ont abouti à une destruction sans aucune compensation.

On est loin d'un éventuel objectif de «zéro perte nette», parfois cité par les ministres de l'Environnement, notamment Thomas Mulcair il y a bientôt 10 ans.

«Les pratiques de compensation actuelles sont nettement insuffisantes pour atteindre un objectif d'aucune perte nette», conclut l'étude, remise au printemps dernier au ministre Blanchet.

Foresterie et agriculture

Dans d'autres secteurs, comme la foresterie et l'agriculture, le MDDEFP n'applique même pas ses propres lois, note-t-on. Et ce sont les principales causes de pertes de milieux humides dans la province.

Selon l'analyse des photos aériennes réalisée aux fins de l'étude, on conclut que l'agriculture a causé 44% de la destruction de milieux humides entre 1990 et 2011. La foresterie est responsable de 26% des pertes.

Et même si ces deux secteurs économiques sont soumis à des règles plus souples que la construction immobilière, ils auraient dû quand même passer par le processus d'autorisation du MDDEFP, explique la biologiste Stéphanie Pellerin, de l'Institut de recherche en biologie végétale, coauteure de l'étude.

«Les gens ne sont pas de mauvaise foi, mais ils ont des fausses impressions», dit-elle.

La bonne nouvelle, note-t-elle, c'est qu'en foresterie du moins, les pertes sont réversibles: on peut par exemple reboucher les canaux de drainage qui ont été faits pour faciliter les travaux de coupe.

Compensations

Ce n'est pas le cas des milieux humides, qui disparaissent sous les nouveaux lotissements, parcs industriels ou autres projets qui, eux, passent entre les mains des fonctionnaires du MDDEFP. Il est donc d'autant plus important, dans ce secteur, d'obtenir des compensations, sous la forme de la restauration ou de la création d'un milieu humide ailleurs sur le territoire. D'ailleurs, officiellement, c'est l'un des trois piliers de la politique québécoise de protection des milieux humides, qui se résume à trois mots: éviter, minimiser et compenser.

Mais les données compilées par les chercheurs montrent à quel point ces piliers sont faibles.

Au total, entre le 30 novembre 2006 et le 31 mars 2010, le MDDEFP a autorisé la destruction de 2855 hectares de milieux humides.

Mais il n'a obtenu que 15 hectares de compensation sous forme de milieux humides artificiels ou restaurés.

En ce qui concerne les deux autres objectifs, les données recueillies par le Ministère sont insuffisantes pour conclure à leur efficacité.

On revient donc à l'importance de la conservation.

Dans la région des basses terres du Saint-Laurent, on estime que de 40 à 80% des milieux humides ont disparu depuis le début de la colonisation européenne.

Mais seulement une faible proportion des milieux restants (12%) sont actuellement protégés.

Selon Mme Pellerin, un «régime idéal» de protection devrait permettre de «bien faire le suivi des pertes», tenir compte des «perturbations majeures» qui ne font pas l'objet d'une autorisation et prévoir des «contraintes plus importantes pour les contrevenants».

Des lacunes dans l'application, soutient le ministre Blanchet

«Il est très clair que la performance de la réglementation actuelle est inadéquate, a affirmé le ministre Yves-François Blanchet, dans une réponse écrite aux questions de La Presse. On peut en effet observer un recul tant en termes de superficie que de qualité au détriment des zones humides et inondables. 

Le gouvernement prépare donc une intervention législative devant être déposée à l'Assemblée nationale au cours de 2014. Le rôle important joué par la foresterie, l'agriculture et l'urbanisation dans le recul des milieux humides est un des principaux constats de l'étude. Il y a manifestement des lacunes dans l'application.»Le ministre veut aussi proposer «une démarche d'éducation et d'évaluation des ressources humaines et des expertises nécessaires aux différents niveaux d'intervention».

En chiffres


  • 1% Pourcentage de milieux humides restaurés ou compensés en regard des 2855 ha dont la destruction a été autorisée par Québec entre le 30 novembre 2006 et le 31 mars 2010.


  • 19% Pourcentage de milieux humides détruits dans la vallée du Saint-Laurent entre 1990 et 2011, soit 567 km2 (ou 56 700 hectares).


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L'Agence japonaise de la pêche vient d'annoncer le 10 Janvier dernier qu'elle avait capturé une dorade noire contaminée par 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif, un niveaux 124 fois supérieure à la norme de sécurité . 

Des histoires comme celle ci sont fréquentes et confirment que les radiations de Fukushima ne diminuent pas mais continuent de s'accumuler dans l'océan Pacifique prés de la centrale endommagée.

Les Cinq préfectures qui capturent environ 40.000 tonnes de poissons chaque année semblent être directement affecté par l'accident de Fukushima , prendre des mesures de rayonnement après des captures de pêches est devenu une véritable routine dans les pêcheries japonaises. 

Les poissons capturés dans les eaux autour de Fukushima sont toujours dangereusement contaminés par des niveaux élevés de radiation , et la majorité des captures sont détruites plutôt que de se retrouver dans  les étals ou les restaurants.

Dans une interview , l'économiste Hirokai Kurosaki a confirmé a l'agence Russe RT que «La plupart des poissons pêchés dans un rayon de 30 kilomètres de la centrale de fukushima est jeté à la poubelle parce qu'ils sont contaminés. Il affirme que l'opérateur TEPCO payent le silence des pêcheurs locaux en les rémunérant gracement.

La crainte de contamination des fruits de mer japonais se propagent à d'autres pays. En Corée du Sud par exemple, les importations des huit préfectures environnantes de Fukushima ont été totalement interdites . Le marché aux poissons de Noryangjin à Séoul , a dû mettre en place des bannières publicitaires implorant les clients capricieux que les poissons et les crustacés vendus ici etaient totalement sains et sans rsique pour la santé . Malgré ces promesses , les ventes s'affaissent . Même les ventes de poissons sud-coréens sont en baisse.

© Nature Alerte

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Les agents de la faune de l'État du Nevada sont incapable d'expliquer la mort de 100.000 poissons dans un port de plaisance d'un lac artificiel prospère du nord du Nevada créé il y a près de 15 ans .

Environ 100.000 truites , basses et silures ont été retrouvé morts depuis le début du mois dans la Marina Sparks à l'est de Reno , apparemment celà provient d' une baisse inexpliquée et spectaculaire des niveaux d'oxygène dissous.

Le porte-parole du ministère de la faune, Chris Healy a déclaré mercredi que l'importante vague de froid pourrait avoir causé la déxogination des eaux du lac, mais les scientifiques restent dubitatifs et ne comprennent pas ce qui a déclenché cette mortalité massive .

Ils confirment que le faible niveau d'oxygène a causé la mort d'environ 3000 poissons dans un coin du lac à la mi- Décembre, mais ils affirement aussi que cet événement était trés localisé et avait un impact limité .

Depuis lors , aucun poisson vivant n'a été repéré dans le lac de 77 hectares . De nombreux poissons morts ont été extraits des rives du lac et un grand nombre ont coulé au fond .

" Nous ne savons pas si les petits poissons ont survécu , mais à toutes fins utiles , la pêche est désormais interdite "

les scientifiques estiment que le problème semble beaucoup plus grave que prévu ce et qu'une enquête est en cours. 

Actuellement sur 11 points d'échantillonnage différents, les scientifiques ont constaté que les niveaux d'oxygène dissous restent trop faibles pour soutenir la vie d'un poisson . Les lectures des sonars embarqués ont révélé aucun poisson dans les profondeurs du lac .

Cela ne fait plus de doute c'est bien plus de 100 000 poissons qui sont mort dans cette hécatombe, on estimait le nombre de poisson du lac à environ un million.

© Nature Alerte

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Faune et flore sont contraintes de s’adapter au changement climatique. Actuellement, on observe une migration de certaines espèces vers les plus hautes latitudes, et d’après une nouvelle étude, en montagne, des communautés grimpent en altitude. Plus mystérieux, il y aurait certaines espèces qui auraient au contraire tendance à se diriger vers de plus basses altitudes.

Certains vont disparaître, d’autres s’adapteront tandis que d’autres prospéreront. Le changement climatique modifie peu à peu l’écologie de tant d’habitats que faune et flore ont déjà amorcé une migration vers des milieux plus appropriés. Le phytoplancton s'exile vers les pôles et les poissons se déplacent à la vitesse climatique, qui dépend des changements locaux de température et de salinité. En montagne aussi, les animaux et les plantes se déplacent. Dans un article paru dans la revue Plos One, une équipe de l’université de Bâle montre que certaines espèces se trouvent aujourd’hui à plus haute altitude qu’il y a 20 ans.

De nombreuses études mettent en évidence la migration des animaux et des plantes en réponse au changement climatique. Les homards auraient tendance à s’exiler plus en profondeur. En Europe, certaines espèces d’oiseaux et de papillons ont respectivement migré de 37 et 114 km vers le nord. Dans les massifs montagneux, la réponse de la faune et la flore est un peu différente. Si toutes fuient la hausse de température, dans les Alpes, seulement certaines grimpent en altitude.

L’équipe de l’université de Bâle a collecté des données entre 2003 et 2010, sur 214 sites des Alpes suisses, où l’altitude varie de 500 à 3.000 m. Leur analyse montre qu’à 500 m d’altitude, les plantes ont en moyenne bougé de 8 m, les papillons de 38 m et les oiseaux de 42 m. « Une moyenne de huit mètres de dénivelé en huit ans, pour toutes les espèces de plantes, est assez impressionnant car ces communautés végétales sont peu mobiles », commente Valentin Amrhein, l’un des auteurs de l’étude.

La limite des arbres caractérise souvent un changement de milieu, où les conditions ne sont pas adéquates au développement des arbres.

Au dessus de la limite d’arbres, les papillons deviennent frileux

Cette étude montre que les effets biologiques du changement climatique sont déjà enclenchés, et le rythme d’adaptation de la faune et la flore – en Suisse du moins — est rapide. Toutefois, la migration des espèces est loin d’être homogène et garde quelques mystères. En effet, l’équipe de Bâle rapporte qu’au dessus de la limite des arbres, aucune espèce de plante ou de papillon ne migre. Cette ligne définit la zone à partir de laquelle les conditions climatiques ne permettent plus aux arbres de se développer. Papillons et plantes vivant au-delà de cette limite auraient même tendance à migrer à de plus basses altitudes.

À ce jour, on ne sait expliquer pourquoi en altitude papillons et végétaux tendent à vivre à de plus basses altitudes. « Il est possible que l'utilisation des sols des les habitats à proximité de la limite d’arbres l’emporte sur les effets du réchauffement climatique. De nombreux alpages ont par exemple été abandonnés au cours de ces dernières années, explique Tobias Roth, impliqué dans l’étude. Il est également possible que les plantes alpines sont mieux protégés contre l'évolution des conditions climatiques, en raison de la surface très variée des paysages alpins. » D’après les auteurs, une chose est certaine, on ne peut expliquer cette différence de comportement à des différences d’accroissement de la température en fonction de l’altitude.

Source © Delphine Bossy, Futura-Sciences

Huit baleines-pilotes échouées sur une plage isolée de Nouvelle-Zélande vont être euthanasiées, ont indiqué jeudi les autorités, après plusieurs vaines tentatives de les repousser vers le large.

Elles font partie d'un troupeau de 65 baleines-pilotes, appelées aussi globicéphales en raison de leur front très bombé, aperçu mardi près de Farewell Spit, tout au nord de l'île du Sud. Treize d'entre elles s'étaient échouées et cinq sont mortes la première nuit. 

Les autorités chargées de la faune ont tenté de les repousser vers le large à plusieurs reprises, mais elles se sont à chaque fois échouées à nouveau sur la plage. "Nous avons fait tout ce que nous pouvions pour aider ces baleines mais on ne sait plus quoi faire. Les euthanasier de la manière la plus douce possible va les délivrer de leurs souffrances", a déclaré John Mason, responsable du département protection de la nature pour cette région. 

"C'est très difficile à accepter mais les baleines semblent être en état de stress et elles souffrent beaucoup de leur séjour de plusieurs heures sur une plage, à plusieurs reprises, ces deux derniers jours", a-t-il ajouté. 

Farewell Spit, une bande de sable à quelque 150 km de la station touristique de Nelson, a été à plusieurs reprises le théâtre d'échouage de baleines-pilotes, un comportement que les scientifiques peinent à expliquer. Début janvier, 39 d'entre elles étaient mortes après s'être échouées dans cette zone.





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En Indonésie, l’activité du volcan Sinabung s’est encore intensifiée après avoir repris en septembre : des coulées de lave et des nuages de cendre ont été expulsés sur une large zone. A présent, ce sont plus de 26.000 habitants qui ont dû quitter leur domicile par mesure de sécurité.

Le volcan situé dans le nord-ouest de l‘île de Sumatra a craché des roches incandescentes et des cendres jusqu‘à une hauteur de cinq mètres générant des nuages chauds d’un rayon de 4,5 km.

En raison de ces éruptions régulières ces derniers mois, de nombreux résidents évacués  présentent des affections particulières, d’après un responsable du gouvernement local. “Certains sont malades, ils toussent la plupart du temps et ils ont aussi besoin d‘être approvisionnés en eau potable,” a indiqué Robert Peranginangin, un porte-parole du district de Karo.

Pendant ce temps le Kawah Ijen situé dans l'est de l'île de Java crache des laves bleues la nuit, mais elle est rouge pendant la journée. C'est le souffre à l'intérieur du volcan qui fait changer sa couleur. 



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"Treize personnes ont été tuées, deux sont portées disparues et 40.000 personnes ont dû être évacuées", a indiqué à l'AFP le porte-parole national de l'Agence des catastrophes, Sutopo Purwo. 

Parmi les treize morts, cinq sont dues à d'importantes inondations à Manado, capitale de la province de Sulawesi-Nord, dans le nord des Célèbes, tandis que le reste des décès a été provoqué par des éboulements de terrain dans la région, a indiqué à l'AFP le responsable local de l'agence des catastrophes, Noldy Liow. 

Le bilan pourrait s'alourdir, a-t-il averti, disant s'attendre à de "nouvelles fortes pluies dans les deux à trois jours". 

La ville de Manado a été la plus touchée. Elle a été traversée par des torrents d'eau après la crue de plusieurs rivières et fleuves dans la région. 

Des maisons ont été emportées, ainsi que des véhicules, tandis que de nombreux habitants en étaient réduits à utiliser des canots pneumatiques pour trouver refuge dans des édifices publiques ou des églises, nombreuses dans cette région chrétienne. 

L'Indonésie, un immense archipel à cheval sur l'équateur, est régulièrement frappée par des inondations et glissements de terrain, dont les conséquences sont aggravées par la déforestation, en particulier lors de la saison des pluies qui s'étend approximativement de décembre à avril. 

Source © AFP


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Les températures dépassent les 40 degrés depuis plusieurs jours dans l'Etat d'Australie méridionale. Les autorités sanitaires de cet Etat ont dénombré 129 personnes traitées en hôpital ces trois derniers jours pour cause d'épuisement dû à la chaleur ou de déshydratation grave. 

Dans l'Etat voisin de Victoria, les autorités ont mis en place l'interdiction de faire du feu. 

A Melbourne, capitale de l'Etat, des joueurs de l'Open d'Australie, ont vomi, l'un d'eux s'est évanoui, un ramasseur de balles a fait un malaise, en raison de la chaleur intense. Les organisateurs ont suspendu jeudi les matches prévus sur les courts extérieurs, jusqu'à 17H00 locale (06H00 GMT). 

Toujours à Melbourne, le jardinier d'une école, âgé de 76 ans, est mort mercredi après s'être évanoui, terrassé par la chaleur. 

Les services de santé de cet Etat ont rapporté 109 cas de personnes traitées en hôpital à cause de la chaleur.


La foudre a provoqué plus de 300 incendies de brousse entre mardi et mercredi dans les provinces du sud-est de l’Australie, en proie à la canicule, ont annoncé les secours. Une vingtaine de foyers continuaient de brûler mercredi.

Des feux de brousse font rage dans les deux Etats, dont 800 en Australie méridionale et on prévoit "un schéma d'aggravation des incendies pour les 48 prochaines heures", selon les services d'incendie de l'Etat. 

Pour John Nairn, chef de la météo en Australie méridionale, la capitale de l'Etat, Adelaide, pourrait battre son précédent record de chaleur, qui était de 46,1 degrés Celsius en janvier 1939. 

Dans l'Etat de Victoria, un millier d'incendies ont été répertoriés ces dernières 24 heures. De violentes raffales de vent sont prévues pour vendredi, accroissant le risque d'incendies échappant à tout contrôle. "C'est le scénario du pire mais c'est une réalité", a déclaré Craig Lapsley, responsable des services d'incendies. 

Source: © AFP

Rejoignant la position de la Commission européenne, les eurodéputés ont rejeté mercredi 15 janvier l'étiquetage du pollen OGM (génétiquement modifié) dans le miel. Selon le texte adopté par le Parlement européen, le pollen est un « constituant naturel » du miel et non un « ingrédient ». 

En vertu de cette distinction sémantique, les apiculteurs n'auront à étiqueter leur miel comme « avec OGM » que si des traces d'OGM supérieures à 0,9 % de la masse totale y sont décelées. Dans le premier cas, le calcul du seuil d'étiquetage obligatoire se fait en effet sur le seul pollen, dans l'autre sur la totalité du produit et n'a aucune chance de dépasser les 0,9 %, donc de nécessiter un étiquetage. 

La définition du pollen comme « ingrédient » avait été retenue en 2011 par la Cour de justice européenne, sa décision se voit donc renversée par le vote des eurodéputés. 

Le vote du Parlement en plénière, réclamé notamment par la droite libérale, contredit également celui de sa commission environnement, qui avait soutenu cet automne l'option d'une traçabilité maximale. En revanche, il satisfait les producteurs d'Amérique latine qui avaient écrit aux eurodéputés lundi pour les mettre en garde contre une mesure menaçant selon eux l'approvisionnement en miel de l'UE. 

Les Européens importent 40 % de leur consommation de miel, dont la moitié d'Amérique latine, où prospèrent les cultures OGM, Mexique et Argentine en tête. Le groupe européen des Verts a déploré un arbitrage qui « protège les OGM » aux dépens des apiculteurs et des consommateurs. 

Imposer une traçabilité maximale « irréaliste » aurait créé un « dommage collatéral » aux apiculteurs, a au contraire argumenté pendant le débat la rapporteure conservatrice britannique Julie Girling. « C'est mère-nature qui dit que le pollen est un constituant du miel », a pour sa part avancé le commissaire européen à la santé, Tonio Borg, appelant les eurodéputés à ne pas faire de ce dossier « une question pour ou contre les OGM ». « La Commission ne doit pas sous estimer le problème des OGM, les producteurs d'Amérique latine, du Canada ou de Chine doivent être contraints à un étiquetage des OGM », a rétorqué le socialiste hongrois Csaba Sandor Tabajdi. 

Le dossier doit être désormais soumis aux gouvernements avec qui le Parlement entamera des discussions pour un arbitrage final. Mme Girling s'est prévalue du soutien de la plupart des 28 à l'option retenue par le Parlement.

Source © Le Monde

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