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mardi 18 novembre 2014
La Commission internationale pour la conservation des thonidés (CICTA) était réunie depuis le 10 novembre en session annuelle, afin notamment de fixer le quota de prise du thon rouge, dont le stock se reconstitue selon les dernières études scientifiques.

Les pays pêcheurs de thon rouge en Méditerranée et Atlantique Est ont pris lundi, pour la première fois depuis l'imposition en 2007 de strictes mesures de contrôle des prises, la décision de relever significativement le quota de pêche de ce poisson, suscitant l'inquiétude des défenseurs de l'environnement.

Réunis à Gênes(Italie), les membres de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (Cicta) ont adopté la proposition de l'Union européenne de relever de 20% par an pendant trois ans le quota de prises du thon rouge, dont le stock se reconstitue.

Fixée à 13 500 tonnes pour 2014, l'autorisation passera à 16 142 T en 2015 et 19 296 T en 2016. Le quota pour 2017, établi pour l'instant à 23 155 tonnes, sera réexaminé sur la base d'une réévaluation du stock prévue pour 2016. Le texte adopté souligne la volonté dans l'immédiat de maintenir un quota «en deçà du niveau des estimations les plus prudentes».

Pour les 49 membres de l'instance (UE + 48 pays, dont Japon, États-Unis), pris entre enjeux économiques et préservation de la ressource, la pression était forte depuis que son comité scientifique avait annoncé la reconstitution spectaculaire du plus gros stock de thon rouge au monde, formé de poissons évoluant entre la Méditerranée et l'Atlantique Est.

Selon cette étude, le stock de reproducteurs était estimé à 585 000 tonnes en 2013 (150 000 T en 2008). Les scientifiques, ne pouvant cependant préciser si ce stock est reconstitué ou en passe de l'être, ont juste souligné qu'une hausse «progressive et modérée» du quota ne devrait pas remettre en cause le programme de reconstitution prévu sur 15 ans.

«C'est dur pour le WWF de considérer 20% d'augmentation annuelle sur les trois années à venir comme une approche 'modérée'. Nous sommes préoccupés à l'idée que les immenses efforts de conservation de ces dernières années puissent disparaître rapidement», a réagi 

Sergi Tudela, du WWF. Selon lui, «la réunion a été compliquée. Le cas du thon rouge confirme qu'il est parfois plus difficile de gérer un succès qu'une crise».

«Une hausse de plus de 70% (sur trois ans) n'est ni modérée, ni progressive», souligne l'ONG Pew Environment, regrettant le «pari» fait par la Cicta.

Discussions serrées

L'ONG Oceana, qui privilégiait également une approche plus prudente, relève que les nouveaux quotas «restent dans les limites scientifiques», mais dénonce «fermement l'incapacité de la Cicta à gérer le reste des espèces».

Aucune proposition n'a été formulée en faveur d'une régulation de la pêche à l'espadon dont la situation «ne va pas dans le bon sens», selon les scientifiques.

Pour la 6e année, la Cicta a également rejeté une demande de contrôle accru pour protéger les requins de la pêche visant leurs seuls ailerons. Une décision bloquée par une minorité de pays, emmenée par la Chine et le Japon, souligne Oceana.

«Tout le monde repart un peu mécontent», car «chacun a fait des sacrifices», a expliqué le représentant de la délégation japonaise, Shingo Ota, à l'AFP, relevant que Tokyo aurait souhaité un quota accru de 33% dès la première année.

Le gouvernement français a salué «une hausse progressive» et les pêcheurs ont «pris note même s'ils auraient souhaité une hausse plus prononcée» dès 2015.

Les discussions ont été serrées concernant la répartition du quota (59,2% pour l'UE, suivie du Maroc, Japon, Tunisie, Libye), certains pays méditerranéens réclamant une révision.

La Libye pourra rattraper une part de la pêche non réalisée en 2011, année de guerre, soit 50 T sur trois ans. «Ce n'est pas assez, mais au moins nous voulions cette reconnaissance», a dit son délégué, Arebi Omar Khattali.

L'Algérie, dont le quota avait été réduit en 2010, aura droit à des prises supplémentaires, mais elle est loin de récupérer ses 5% d'avant. «Nous aurions aimé que ce soit l'occasion de solder ce problème, mais c'est un pas non négligeable», a concédé le délégué Kamel Neghli, regrettant le manque de transparence de la répartition.

La Cicta a aussi augmenté, à 2000 T annuelles, le quota de pêche au thon rouge dans l'Atlantique Ouest, très limité (1750 T en 2014) après une chute des stocks.

Pour le thon tropical enfin, le plus consommé au monde, elle a décidé de créer un groupe de travail sur les «dispositifs de concentration de poissons». Ce qui satisfait à moitié les pêcheurs français, qui auraient voulu, en attendant, un gel du nombre de DCP, une technique piégeant les poissons sans distinction de taille ni d'espèce, très utilisée notamment par les Espagnols.

Source © AFP



Le Japon a promis mardi de réduire des deux tiers ses objectifs de prises de baleines dans l'Antarctique, dans le but de convaincre la communauté internationale de l'autoriser à y reprendre la chasse aux cétacés à des fins scientifiques. 

Les Japonais envisagent de reprendre la prospection dans l'océan Antarctique l'année prochaine, en dépit d'une interdiction prononcée par la plus haute instance juridique des Nations unies.

Les Nippons avaient été contraints de renoncer à la prochaine saison 2014-2015 de prises de baleines dans cette zone, après un arrêt de la Cour internationale de justice (CIJ) qui, saisie par l'Australie, a jugé que le Japon détournait à des fins commerciales une activité présentée comme étant destinée à la recherche animale. Toutefois, comme le redoutaient les organisations écologistes, Tokyo espère contourner cette décision en donnant à la mission controversée une tournure plus scientifique afin de recommencer en 2015-2016. 

Dans le nouveau plan présenté à la Commission baleinière internationale (CBI) et à son comité scientifique, le Japon a fixé un nouvel objectif annuel de 333 petits rorquals, contre environ 900 dans le cadre du précédent programme condamné, a précisé le gouvernement dans un communiqué. 

Ce niveau de capture est présenté comme "nécessaire" pour obtenir des informations sur l'âge de la population baleinière, données dont le Japon dit avoir besoin afin de définir le plafond de capture sans nuire à l'espèce et pour en préserver la durabilité. 

Tokyo a également limité la période de recherche à 12 années à partir de l'exercice 2015, en réponse aux critiques de la Cour sur la durée indéterminée de son précédent programme. 

"Nous allons expliquer le nouveau plan de façon précise afin d'obtenir l'assentiment des autres pays", a déclaré aux journalistes le ministre de l'Agriculture, des Forêts et de la Pêche, Koya Nishikawa.


Source © Belga
Elle grossit presque à vue d’œil et fume encore par intermittence. Après un an d’existence, l’île japonaise de Nishinoshima n’a pas encore fini sa crise d’adolescence et est toujours en pleine croissance, selon le quotidien Yomiuri Shimbun, qui estime que sa surface a été multipliée par huit depuis l’éruption volcanique qui lui a donné naissance en novembre 2013.

Pour faire cette évaluation, le journal a envoyé un avion, avec à son bord un géologue vulcanologue, survoler la zone des îles Ogasawara, à environ un millier de kilomètres de Tokyo. Selon cet expert, Nobuo Geshi, l’éruption n’a pas faibli en l’espace d’une année, et aucun signe ne semble annoncer sa fin. «La lave coule principalement en direction du nord de l’île et se déverse dans les eaux peu profondes», ajoute-t-il.

Les rochers se sont accumulés dans la partie centrale de Nishinoshima, formant une colline ressemblant à un bol renversé qui mesure aujourd’hui 100 mètres de hauteur, pour 400 à 500 mètres de diamètre. Les Tokyoïtes ont quand même encore quelques années devant eux avant que Nishinoshima ne menace de frapper à leur porte.

Source © 20 Minutes




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photo:
Alors que les intempéries n'en finissent plus d'arroser la région ajaccienne, une impressionnante trombe marine a été observée ce lundi dans le golfe d'Ajaccio aux alentours de 13h40.

Désormais bien connu, le phénomène de trombe marine, qui est bien souvent confondu avec une tornade, n'est pas aussi violent. C'est une colonne d'air et d'eau en rotation engendrée, en raison d’une forte dépression, par l’aspiration d’air d’un cumulo-nimbus.

Cet effet tourbillonnaire de courte durée peut se produire en pleine mer comme sur terre et n’est pas sans danger pour les personnes qui se trouveraient alors dans cette zone.

On doit ces clichés à nos internautes!

Source © corse matin

Après Lyonnaise des eaux, c'est au tour de l'entreprise Veolia Eau d'être condamnée pour coupure illégale par le Tribunal d'instance de Bourges, mercredi 12 novembre.

Le distributeur avait interrompu l'approvisionnement en eau le 23 juillet au 7 octobre 2014 à une famille du Cher.

Le Tribunal a interdit à Veolia de procéder à de nouvelles coupures de ce branchement d'eau durant deux ans, sous peine de devoir payer 100 euros par jour de violation de cette interdiction. L'entreprise devra également verser 6.620 euros de dommages-intérêts à la famille et 2.000 euros pour les frais engagés (au titre de l'article 700 du code de procédure civiles).

L'association France Libertés qui les soutenait recevra quant à elle 1.000 euros de dommages-intérêts et 2.000 pour les frais engagés.

Source © Dorothée Laperche /Actu-Environnement
lundi 17 novembre 2014
La Grande-Bretagne a signalé dimanche 16 novembre 2014 de nouveaux cas de grippe aviaire dans une ferme d'élevage de canards au nord du pays, mais a déclaré que le risque pour la santé publique était "très faible".

Il ne s'agit pas de la souche H5N1"Une zone de restriction a été mise en place autour de la ferme et l'abattage a commencé", a déclaré une porte-parole du ministère de l'Environnement, de l'alimentation et des affaires rurales.

"Nous avons confirmé un cas de grippe aviaire dans une ferme d'élevage de canards dans le Yorkshire", a déclaré cette porte-parole, précisant que "le risque pour la santé publique est très faible et (qu') il n'y a pas de risque pour la chaîne alimentaire".

H5N1. Le cas de grippe aviaire détecté dans une ferme d'élevage de canards dans le nord de l'Angleterre n'est pas issu de la souche mortelle, H5N1.  "Nous savons que le virus est issu d'une souche H5 mais pas N1 , il est hautement pathogène", ont déclaré les autorités britanniques. "Sur la base de ce que nous savons de la souche à ce jour, cette souche ne présente pas une menace pour la santé publique", ont-elle néanmoins précisé.

H et N : le nom de code des grippes. Derrière ces lettres se cachent deux noms barbares : hémagglutinine et neuraminidase. Il s’agit de deux protéines présentes à la surface du virus. L’hémagglutinine intervient dans l’infection et permet au virus de pénétrer dans la cellule. La neuraminidase, elle, participe à la dissémination des particules virales qui se sont multipliées dans la cellule en leur permettant de se détacher de celle-ci. Il existe 16 formes d’hémagglutinine (H1 à H16) et 9 formes de neuraminidase (N1 à N9) pour les virus dits de type A auxquels appartiennent H7N9, H5N1 ou H1N1.

Plusieurs souches du virus détectées en Europe

La souche H5N1 de la grippe aviaire a fait plus de 400 morts, surtout en Asie du sud-est, depuis son apparition en 2003. 

Une nouvelle souche, H7N9, a tué plus de 170 personnes depuis son apparition en 2013.

En septembre 2014, l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a mis en garde contre la nouvelle forme A (H5N6), particulièrement pathogène. Début novembre, une souche supplémentaire de la grippe aviaire, baptisée H5N8, a été signalée dans un élevage de dindes du nord de l'Allemagne, pour la première fois en Europe.

H5N8. Dimanche 16 novembre 2014, les Pays-Bas ont décrété une interdiction temporaire du transport de volailles après que cette souche H5N8 ait été détectée dans un élevage du centre du pays.

Cette forme "hautement pathogène" de la grippe aviaire est très dangereuse pour les animaux et "la contamination peut se faire depuis un animal vers les humains", a rappelé le ministère néerlandais des Affaires économiques.

La grippe aviaire est mortelle pour les poulets et constitue un danger pour la santé de l'homme, qui peut tomber malade en manipulant des volailles infectées.


Source © Science et avenir



Pour satisfaire notre appétit insatiable de ressources, la pêche, l'exploitation du bois, les activités minières et l'agriculture, entre autres, menacent la survie du thon rouge du Pacifique, du fugu chinois, de l'anguille d'Amérique et du cobra chinois tandis que déjà, la destruction de l'habitat a causé l'extinction d'un mollusque malaisien et du plus grand perce-oreille connu au monde et menace la survie de beaucoup d'autres espèces 

- selon la Liste rouge de l'UICN des espèces menacéesTM qui vient d'être mise à jour et qui a été présentée aujourd'hui au Congrès mondial sur les parcs de l'UICN, à Sydney, en Australie.

La Liste rouge de l'UICN, qui célèbre cette année son 50e anniversaire, comprend maintenant 76 199 espèces évaluées, dont 22 413 sont menacées d'extinction. Comme près de la moitié des nouvelles espèces évaluées se trouvent dans des aires protégées, l'UICN appelle à une meilleure gestion de ces sites pour empêcher tout nouveau déclin de la biodiversité.

« À chaque mise à jour de la Liste rouge de l'UICN, force est de constater que notre planète continue de perdre la diversité incroyable de la vie qu'elle porte, essentiellement à cause de nos actions destructrices pour satisfaire notre appétit insatiable pour les ressources » déclare Julia Marton-Lefèvre, Directrice générale de l'UICN. « Mais nous avons des preuves scientifiques attestant que les aires protégées peuvent jouer un rôle vital dans le renversement de cette tendance. Les experts affirment que les espèces protégées mal représentées dans les aires protégées déclinent deux fois plus vite que celles qui y sont bien représentées. Nous avons le devoir d'augmenter le nombre d'aires protégées et de veiller à leur gestion efficace pour qu'elles puissent aider à sauver la biodiversité de notre planète. »

Dans la nouvelle Liste, le thon rouge du Pacifique (Thunnus orientalis) est passé de la catégorie Préoccupation mineure à Vulnérable, ce qui signifie qu'il est désormais menacé d'extinction. L'espèce fait l'objet d'une pêche intensive pour le marché des sushis et des sashimis, surtout en Asie. La plupart des poissons capturés sont des juvéniles qui n'ont pas encore eu le temps de se reproduire et l'on estime que la population a subit un déclin de 19 à 33% depuis 22 ans.

Les aires marines protégées n'assurent pas une protection suffisante à l'espèce. Les experts de l'UICN estiment que des aires marines protégées dans les 200 milles à partir du littoral et intégrant les zones de reproduction pourraient contribuer à la conservation de l'espèce.

« La valeur marchande du thon rouge du Pacifique ne cesse d'augmenter » déclare Bruce Collette, Président du Groupe de spécialistes des thonidés et istiophoridés de la Commission de la sauvegarde des espèces de l'UICN. « Tant que les pêcheries n'appliqueront pas les mesures de conservation et de gestion élaborées pour l'océan 

Pacifique occidental et central, notamment la réduction des captures de juvéniles, nous ne pourrons nous attendre à ce que l'état de ce poisson s'améliore à court terme. »

Le fugu (Takifugu chinensis), un poisson-globe chinois, a fait son entrée sur la Liste rouge de l'UICN, dans la catégorie En danger critique. On estime que sa population mondiale a diminué de 99,99% depuis 40 ans en raison de la surexploitation. 

Mets populaire au Japon, il fait partie des quatre principales espèces de fugu consommées en sashimis. Le fugu est un des poissons les plus toxiques du monde et doit être préparé de façon experte avant d'être consommé. Le fugu chinois est présent dans plusieurs aires marines protégées le long du littoral de la Chine. Des mesures de conservation, telles que la création d'aires marines protégées soumises à une fermeture annuelle de la pêche au chalut, ont été mises en oeuvre. Toutefois, selon les experts de l'UICN, le prélèvement doit être contrôlé de toute urgence pour empêcher l'extinction de l'espèce.

L'anguille d'Amérique (Anguilla rostrata), inscrite dans la catégorie En danger, est menacée par les obstacles à sa migration ; le changement climatique ; des parasites ; la pollution ; la perte de l'habitat et le prélèvement à des fins commerciales. Compte tenu du déclin de l'anguille du Japon (Anguilla japonica), également inscrite dans la catégorie En danger, les élevages industriels intensifs d'anguilles, en Asie de l'Est, tentent de reconstituer les stocks d'ensemencement avec d'autres espèces, telles que l'anguille d'Amérique. En conséquence, les rapports sur le braconnage de l'anguille d'Amérique aux États Unis se sont multipliés. Toutes ces menaces se conjuguent pour exercer des pressions sur l'espèce mais des mesures de conservation dynamiques pourraient améliorer son état.

Le cobra chinois (Naja atra) vient d'être évalué et placé dans la catégorie Vulnérable. 

Sa population a décliné de 30 à 50% depuis 20 ans. On trouve le cobra chinois dans le sud-est de la Chine, à Taiwan, dans le nord du Viet Nam et en RDP lao, et il figure parmi les principales espèces animales exportées de Chine continentale vers Hong Kong pour le marché alimentaire. 

Le cobra chinois est présent dans des aires protégées telles que la Réserve naturelle d'Ailaoshan, la Réserve naturelle de Daweishan (Yunnan) et le Parc national Kenting (Taiwan). Bien que le commerce international de l'espèce soit réglementé, il est urgent de renforcer les initiatives nationales de conservation pour garantir sa survie.

« Le marché alimentaire en pleine expansion exerce des pressions non durables sur cette espèce, parmi d'autres » déclare Jane Smart, Directrice du Groupe mondial pour la biodiversité de l'UICN. « Il faut, sans délai, imposer des limites strictes sur le prélèvement et prendre les mesures appropriées pour protéger les habitats. »

La mise à jour de la Liste rouge met également en vedette plusieurs espèces touchées par la destruction de leur habitat, notamment les 66 espèces de caméléons menacées, bien que certaines soient présentes dans des aires protégées. Le caméléon Kinyongia matschiei, endémique des monts Usambara orientaux de Tanzanie, est classé dans la catégorie En danger. Comme beaucoup d'autres caméléons, cette espèce utilise la couleur pour communiquer. Il s'obscurcit également lorsqu'il est stressé et enroule sa queue autour des branches pour se sécuriser. Présent dans la Réserve naturelle Amani, une aire protégée, ce reptile est menacé par le déboisement pour l'agriculture, la production de charbon de bois et l'exploitation de bois d'oeuvre.

Le papillon Ocybadistes knightorum a fait son entrée sur la Liste rouge dans la catégorie En danger. Uniquement présent dans la région côtière du nord de la Nouvelle-Galles du Sud en Australie, l'espèce est principalement menacée par des plantes adventices envahissantes introduites et le développement côtier qui détruit son habitat. Une part importante de cet habitat se trouve dans des aires protégées telles que le Parc national Bongil Bongil et le Parc national Gaagal Wonggan (South Beach), et la gestion efficace de ces régions pourrait être déterminante pour l'avenir de l'espèce. La menace que représentent les plantes adventices envahissantes est gérée dans certaines réserves où des parcelles clés ont bien répondu au désherbage, préfigurant une restauration réussie de l'habitat.

Deux espèces ont été déclarées Éteintes à cause de la destruction de leur habitat. Plectostoma sciaphilum, un escargot connu sur une seule colline calcaire de la péninsule Malaise, est maintenant Éteint, la colline ayant été entièrement détruite par l'exploitation d'une carrière de calcaire par une grande entreprise. L'avenir de plusieurs autres espèces de la région est incertain pour des raisons semblables. 

Certaines compagnies minières commencent à prendre les mesures nécessaires pour réduire leur impact, mais l'UICN exhorte à s'engager plus fermement pour éviter de nouvelles extinctions.

Le perce-oreille géant de Ste-Hélène (Labidura herculeana) - la plus grande espèce connue de perce oreilles au monde, pouvant mesurer jusqu'à 80 mm de long - est également éteint. 

Autrefois présent à Horse Point Plain, une aire protégée de l'île de Ste Hélène, la dernière observation confirmée d'un adulte vivant date de mai 1967. Depuis le début des années 1960, son habitat a été dégradé par l'élimination, pour la construction, de presque toutes les pierres de surface qui lui assuraient un abri. Les pressions accrues des prédateurs, souris, rats et invertébrés prédateurs envahissants, ont aussi contribué à l'extinction de ce perce oreille.

« Ces extinctions récentes auraient pu être évitées par une meilleure protection de l'habitat » déplore Simon Stuart, Président de la Commission de la sauvegarde des espèces de l'UICN.

 « La mise à jour d'aujourd'hui met également en vedette deux espèces d'amphibiens dont l'état s'est amélioré grâce à la bonne gestion de la Réserve Ranita Dorada où on les trouve, en Colombie. Nous devons nous montrer plus responsables de nos actes si nous voulons voir davantage de succès comme celui ci et avoir un effet positif sur la santé de notre planète.


Source © communique de l'uicn

Cette vidéo est un documentaire italien de Rosario Marciano sur les chemtrails et certaines expériences qui ont été réalisées pour les recueillir et analyser leur composition chimique, avec toutes leurs conséquences pour la santé et les buts de ces épandages soigneusement cachés au public.

Synopsis :

En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie, créateur du site www.tankerenemy.com, et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre.

L'association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur : "Chemtrails : la guerre secrète".

Nous remercions aussi chaleureusement tous ceux qui ont contribué à la traduction : 

Jacques, Dominique d'Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap.

Source : Ciel Voilé.



La foudre va s’abattre beaucoup plus souvent d’ici la fin du siècle lors d’orages plus fréquents dus au réchauffement climatique qui feront plus de victimes et occasionneront davantage de dégâts ou de feux de forêt.

Cette recherche publiée jeudi dans la revue américaine Science avance qu’il y aura environ 50% d’éclairs en plus aux Etats-Unis d’ici la fin du siècle.

« Avec le réchauffement, les orages deviennent plus explosifs », relève David Romps, professeur de sciences de la terre à l’Université Berkeley, en Californie, principal auteur de ces travaux.

« Ce phénomène s’explique par l’accroissement de la vapeur d’eau dans l’atmosphère qui alimente le mouvement des courants d’air chaud », explique-t-il. Or la montée de ces courants chauds vers les masses d’air froid chargé de particules de glace provoque plus de décharges électriques.

« Nous savons déjà que plus rapide est la remontée des masses d’air chaud dans la plus haute atmosphère, plus il y a d’éclairs. Et plus il y a de précipitations, plus il y a d’éclairs », a ajouté ce scientifique.

La plus grande fréquence des coups de foudre blessera ou tuera un plus grand nombre de personnes, sachant qu’actuellement environ un millier de personnes en sont victimes chaque année aux Etats-Unis.

Un autre impact important de ce phénomène sera l’accroissement du nombre d’incendies de forêt puisque la moitié, et le plus souvent les plus difficiles à contenir, sont déclenchés par la foudre.

Avec cette recherche, ces scientifiques ont pu déterminer que le niveau des précipitations et la vitesse de remontée des masses d’air chaud dans l’atmosphère étaient des bons indicateurs pour prédire la fréquence de la foudre.

Ainsi, près de 77% des coups de foudre peuvent être prédits à partir de ces deux paramètres.

« Nous avons été surpris par le taux élevé de prédiction de la foudre » permis par ces deux paramètres, a ainsi noté David Romps.

Après avoir analysé onze modèles climatiques différents, ces chercheurs ont déterminé que pour chaque augmentation d’un degré de température, la fréquence des coups de foudre frappant la Terre augmentait de 12%.

Comme les scientifiques s’accordent à penser que les températures augmenteront sans doute de 4°C d’ici la fin du XXIe siècle si les émissions de gaz à effet de serre se poursuivent au rythme actuel, il y aura donc près de 50% d’éclairs supplémentaires qui frapperont la Terre.

La plus grande fréquence de la foudre va aussi probablement générer de plus importantes quantités d’oxyde nitreux dans l’atmosphère, qui est un puissant gaz a effet de serre et joue un rôle clé dans la chimie atmosphérique, relèvent aussi les auteurs.

Toutefois, ceux-ci reconnaissent ne pas comprendre totalement la raison pour laquelle l’énergie électrique dans l’atmosphère augmente avec le réchauffement climatique. Les chercheurs pensent que cela s’explique par les propriétés physiques de l’eau.

L’air chaud contient plus de vapeur d’eau que l’air froid. En outre, la quantité de vapeur d’eau que l’air peut contenir accroît exponentiellement avec la température.

Puisque la vapeur d’eau est le carburant des orages, le taux des éclairs dépend très probablement de la température, selon eux. Ces scientifiques prévoient d’effectuer d’autres recherches pour étudier la distribution et l’augmentation de la foudre sur l’ensemble des Etats-Unis.

Source © AFP

La Conférence mondiale sur l’éducation au développement durable (ESD) s’est terminée aujourd’hui [le 12 nov 2014] à Aichi-Nagoya (Japon) sur une déclaration appelant à une action urgente visant à généraliser l’ESD et à l’inclure dans l’agenda du développement post 2015. 

La Déclaration d’Aichi-Nagoya appelle toutes les nations à mettre en œuvre le Programme d’action global de l’ESD (GAP) afin de faire progresser les objectifs de l’ESD.

« Nous pouvons partager ces initiatives qui ont réussi un peu partout dans le monde afin d’aider les représentants des gouvernements et les principales parties prenantes à formuler de nouveaux buts et objectifs. Nous avons esquissé cette démarche dans la feuille de route pour l’ESD qui va mettre en pratique le Programme d’action global » a déclaré Qian Tang, Sous-Directeur général de l’UNESCO pour l’éducation.

Plus de 1 000 participants se sont réunis pour cette conférence de trois jours placée sous le thème Apprendre aujourd’hui pour un avenir viable. Parmi eux se trouvaient 76 représentants ministériels des Etats membres de l’UNESCO, d’organisations non gouvernementales, d’universités, du secteur privé et d’agences des Nations Unies, ainsi que des spécialistes et des jeunes de 150 pays.

« Je souhaite exprimer ma profonde gratitude au Gouvernement du Japon qui a accueilli cette conférence mondiale de l’UNESCO », a ajouté Qian Tang.

Le GAP constitue le prolongement de la Décennie des Nations Unies pour l’éducation au service du développement durable qui prend fin cette année. Il va générer et élargir des actions ESD dans chacun des cinq secteurs prioritaires : renforcement des politiques ; approches institutionnelles globales ; éducateurs ; jeunes et communautés locales. 

L’UNESCO a demandé à toutes les parties prenantes d’apporter leurs propres contributions en vue de lancer le GAP. Des parties prenantes issues de 80 pays ont répondu avec 363 engagements.

La Déclaration d’Aichi-Nagoya a été adoptée à l’unanimité lors de la séance de clôture. 

Elle repose sur les réalisations de la Décennie, sur les débats de la Conférence et des rencontres des parties prenantes organisées la semaine dernière à Okayama. La Déclaration demande aussi que les résultats de la Conférence soient pris en compte lors du Forum mondial sur l’Education qui se tiendra en 2015 à Incheon (République de Corée).

La Conférence sur l’ESD a été co-organisée par l’UNESCO et le Gouvernement du Japon. Le représentant du pays hôte, le ministre d’Etat japonais de l’Education, de la Culture, du Sport, de la Science et de la Technologie, Hideki Niwa,  a déclaré « L’ESD ne s’arrête pas avec la dernière année de la Décennie pour l’éducation au service du développement durable. Au contraire, engageons-nous encore davantage en faveur de l’ESD en tirant profit des expériences déjà menées à ce jour ».

Source : Communiqué de presse UNESCO du 12/11/14

Le collectif d'élus opposés au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes a annoncé avoir déposé huit recours en justice afin d'obliger l'Etat et les collectivités à réclamer le remboursement d'aides versées à Vinci, concessionnaire du futur aéroport.

«Près de 38 millions d'euros ont été versés de mai 2011 à novembre 2013, avant que la Commission européenne ne dise que ces aides sont compatibles avec le marché», avance Françoise Verchère, conseillère générale et présidente du collectif des élus doutant de la pertinence de l'aéroport (CéDpa).

Ces nouveaux recours ont été déposés «le 22 octobre dernier». Ils visent l'Etat, le syndicat mixte aéroportuaire, et six collectivités (les régions Pays de la Loire et Bretagne, le département de Loire-Atlantique, Nantes Métropole, les communautés d'agglomération de Saint-Nazaire et de La Baule). Trois juridictions, les tribunaux administratifs de Paris, Rennes et Nantes, ont été saisies, a précisé l'avocat du collectif, Me Thomas Dubreuil.

Bruxelles avait donné son feu vert le 20 novembre 2013 à la subvention de 150 millions d'euros octroyée par l'Etat français pour financer une partie des travaux de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, dont l'inauguration était initialement prévue en 2017

Source © AFP

Des milliers de tonnes de terre contaminée provenant de chantiers de construction de Montréal s’accumuleraient en bordure de la rivière Châteauguay, à Sainte-Martine, au nez et à la barbe du ministère de l’Environnement.

«C’est une catastrophe. On ne peut pas laisser faire ça», gronde Marie Klaudia Dubé, la présidente de l’association Les amis et riverains de la rivière Châteauguay. Elle s’inquiète de l’impact de cette terre sur la santé et l’écosystème.

D’après des documents obtenus par le Journal, la terre provient de divers sites de construction de Montréal, notamment d’un chantier de la rue Crescent au centre-ville, et de celui du futur Hôpital des Shriners, au coin du boulevard Décarie et de la rue Saint-Jacques, où s’érige le nouveau CUSM.

L’analyse du terrain excavé sur la rue Crescent révèle une contamination aux hydrocarbures et aux métaux lourds.

«Très peu de sol» respecte le critère A qui lui permettrait d’être déposé sur un terrain résidentiel, indique l’inspectrice du ministère de l’Environnement, Lucie Veilleux, dans un rapport qu’a obtenu Le Journal.

Selon Anne-Marie Saint-Cerny de la Société pour vaincre la pollution (SVP), les inquiétudes de Mme Dubé sont donc tout à fait justifiées. «Ce serait miraculeux que cette terre soit saine, elle vient d’une zone toxique», souligne-t-elle.

C’est pourtant bien sur un terrain résidentiel de Sainte-Martine, dans un décor champêtre, au bord de la rivière Châteauguay, que cette terre a été déposée. Depuis, plus rien n’y pousse.

Tout a commencé il y a deux ans quand un résident du Chemin de la Haute-Rivière a décidé de remblayer son terrain pour en éliminer la pente. Quelques mois plus tôt, un entrepreneur en pick-up boueux était venu frapper aux portes du quartier, se souvient un voisin.

«Il proposait de nous donner 5$ par camion de terre qu’il livrerait et qu’il viendrait compacter chez nous», raconte-t-il sous couvert de l’anonymat.

Plus d’un millier de camions de terres ont ainsi été livrés, sans aucune autorisation de la Ville de Sainte-Martine, et cela en zone inondable.


«Des journées entières d’aller-retour de camions. 50 camions en ligne, des fois», relate l’inspecteur municipal de Sainte-Martine, Christian Leduc.

Au printemps dernier, la rivière est montée formant un véritable lac au pied du monticule, sur les terres des voisins. Elle pourrait alors avoir drainé des matières toxiques, une fois retournée dans son lit.

«Il faut faire quelque chose. C’est inacceptable, plaide Mme Dubé. La rivière n’appartient pas à un individu. C’est un bien collectif.»

Le riverain qui a accueilli la terre n’a reçu aucune amende de la part du Ministère ou de la Ville. Il n’a pas répondu aux nombreux appels du Journal.

Incapable de faire cesser le ballet des camions sur son territoire, la municipalité de Sainte-Martine a contacté le ministère de l’Environnement pour qu’il procède à des analyses des sols.

«On voulait avoir l’heure juste sur la qualité de ces terres-là», indique l’inspecteur municipal, Christian Leduc.

Pendant qu’il faisait appel à la police pour gérer le trafic incessant de camions de terre, l’inspectrice Lucie Veilleux du Ministère s’est présentée au printemps pour inspecter le terrain.

«Comme inspecteur de village, je n’ai pas beaucoup de ressources, mais avec elle je ne me suis pas senti bien appuyé. Elle se cachait derrière moi comme un fantôme», dit M. Leduc.

Bien qu’elle indique dans son rapport que «les sols provenant de Montréal sont souvent très contaminés», l’inspectrice Veilleux ne fait analyser que deux échantillons ponctuels pris près de la résidence et non pas dans la pente du terrain, au coeur du remblai. Elle en conclut que le sol est propre.

L’inspectrice n’est plus à l’emploi du Ministère et sa supérieure n’était pas disponible pour répondre au Journal.

Mais sa collègue, Danielle Poulin, admet que l’échantillonnage limité qui a été fait ne permet pas d’avoir le cœur net.

Près de la rive«Il faudrait caractériser le remblai avec beaucoup plus d’échantillons et éventuellement enlever les sols contaminés, voire même inscrire la propriété au registre des sites contaminés», estime le toxicologue Daniel Green, de la Société pour vaincre la pollution.

Selon lui, il faudrait échantillonner au plus près de la rive, car «c’est là qu’il y a un risque environnemental».

La rivière Châteauguay est en effet reconnue pour ses débordements. Déjà très polluée, elle pourrait alors absorber de nouveaux polluants, qu’elle charrierait jusqu’au Lac-St-Louis.

Source © Le Journal de Montréal






Un puissant séisme de magnitude 6,7 a secoué lundi la côte est de la Nouvelle-Zélande, mais les sismologues ont exclu toute menace de tsunami.

La secousse, qui s'est produite à 10h33 (22h33 GMT dimanche), a été localisée en mer à près de 200 km de la ville de Gisborne, située sur l'île du Nord, et à une profondeur de 35 km, a précisé l'Institut américain de géophysique (USGS). L'organisation de la défense civile néo-zélandaise a déclaré qu'il était "peu probable qu'il (le séisme, ndlr) ait causé un tsunami qui menacera la Nouvelle-Zélande. 

GeoNet, le service de surveillance sismique néozélandais, a classé la secousse comme "grave" et a déclaré qu'elle a été ressentie à travers la partie basse de l'île du Nord et dans le haut de l'île du Sud, les deux principales îles de la Nouvelle-Zélande. Le séisme était cependant trop loin de la côte et trop profond pour causer des dégâts à terre, a déclaré un porte-parole du service. 

La Nouvelle-Zélande est située sur la "Ceinture de feu" du Pacifique où les plaques continentales entrent fréquemment en collision provoquant une importante activité sismique. Le pays subit environ 20.000 secousses par an, dont une moyenne de 2,5 séismes d'une magnitude d'au moins 6.

Source Belga
Samedi, un tremblement de terre de magnitude 7,3 a secoué les îles Moluques dans l’est de l’archipel indonésien.

L’alerte de Tsunami a toutefois été annulée par l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA). Un peu plus tôt, l’institut géologique américain (USGS) et le 

Centre d’alerte aux raz-de-marée du Pacifique avaient annoncé un risque de tsunamis dangereux dans un rayon de 300 km autour de l‘épicentre.

Source © 2014 euronews
Trois mineurs sont morts à la suite d'une secousse tellurique dans une mine à Karvina, dans le nord-est de la République tchèque, ont annoncé vendredi les responsables de cette mine privée.

"La secousse s'est produite vers 10H45 GMT (11H45 HB) à environ 900 mètres sous terre", a déclaré le porte-parole de la compagnie minière OKD. "Douze employés au total ont été blessés, trois ont été déclarés morts, les autres sont soignés, leurs blessures sont légères", a-t-il précisé, ajoutant que le séisme a été ressenti dans plusieurs villes de la région. 

La compagnie minière OKD fait partie du groupe New World Resources company, dont le siège est à Londres, et qui est coté à la Bourse de Londres, ainsi qu'à celles de Prague et Varsovie. La ville de Karvina, située à 300 km à l'est de Prague, est la principale ville minière en République tchèque avec quatre mines en fonction.

Source: Belga

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