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jeudi 27 novembre 2014
Vers 18h30 ce mercredi 26 novembre une importante pollution a été détectée au centre ville de Mirecourt (Vosges). 4000 litres de fioul se sont répandus et menacent de polluer le Madon.

La pollution viendrait d'une fuite sur la cuve enterrée d'un particulier qui se faisait livrer en toute fin d'après midi. Une forte odeur s'est répandue aux alentours, et la couleur rouge caractéristique présente dans les évacuations d'eaux pluviales a tout de suite alerté les agents municipaux qui ont aussitôt appelé les pompiers.

D'après les secours 4000 litres se seraient répandus dans la nature et dans les conduites d'eaux pluviales.
"On avait surtout deux objectifs" explique le commandant Didier Miller responsable des secours : "protéger la station d'épuration et éviter une pollution sur le Madon ou pour les populations"

Les opérations de secours se sont concentrées sur le Cours Stanislas, près du Madon.

Les pompiers sont intervenus sur une cuve de récupération des eaux à proximité de la rivière. 300 litres de fioul ont pu être récupérés, avec l'aide d'une équipe de pompage spécialisée dans les hydrocarbures.

Le maire de Mirecourt, Yves Séjouné, s'est rendu sur place et a mobilisé les agents de la ville pour éviter que la pollution ne gagne la station d'épuration. Une surveillance est en cours. "C'est vrai qu'on était inquiets" a déclaré le premier magistrat : "avec tous les efforts qu'on fait pour améliorer la qualité de l'eau du Madon, cela aurait été une catastrophe".

En tout une vingtaine de pompiers est intervenue sur place. On ignore pour l'instant où sont passés les 3700 litres qui n'ont pu être récupérés.


Source © Lodoïs Gravel France 3 Lorraine
Dans une lettre ouverte adressée mardi à Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, l'Unaf (union nationale de l'apiculture française) « demande de toute urgence une reconnaissance officielle de l'Etat quant à la responsabilité des pesticides comme cause première de mortalité des ruchers des apiculteurs des Pyrénées-Orientales et de l'Ariège, constatées au cours de l'hiver 2014. »

Les experts du ministère de l'Agriculture ont présenté le 17 novembre aux apiculteurs sinistrés les résultats d'analyses de l'enquête officielle destinée à déterminer les causes de cette hécatombe.

« Les résultats annoncés corroborent bien ceux déjà obtenus par des experts mandatés par les apiculteurs. Ce n'est pas moins de 18 molécules pesticides différentes qui ont été identifiées parmi des prélèvements provenant de 52 apiculteurs  sur les 58 ayant déclaré des pertes de cheptel ! », annonce l'Unaf qui regrette toutefois que le « discours ne change pas et une fois encore c'est l'opportune thèse de la multifactorialité qui demeure ».

Pour le syndicat apicole, c'est « inacceptable ». « Si comme chacun le reconnaît, il existe plusieurs causes dans les surmortalités d'abeilles, concomitantes ou isolées, seul un élément supplémentaire peut déclencher une telle hécatombe aussi rapide et d'une telle ampleur dans des exploitations de plusieurs apiculteurs et sur un territoire bien déterminé... »

L'Unaf demande « une reconnaissance officielle de la responsabilité des pesticides »

Pour l'Unaf, « le facteur déclencheur réside bien dans l'emploi de certains pesticides à usage vétérinaire employés par les éleveurs. Evoquer la multifactorialité, c'est une fois encore ne pas vouloir affronter la réalité et ne pas vouloir œuvrer à la sauvegarde des abeilles... »

Le syndicat demande ainsi à Stéphane le Foll « une reconnaissance officielle de la responsabilité des pesticides comme cause première de ces mortalités, une aide exceptionnelle d'urgence pour venir en aide aux apiculteurs sinistrés, une transparence de l'Etat vis-à-vis des différentes méthodes et résultats d'analyses qu'il pourrait entreprendre dans ce dossier. L'Unaf souhaite aussi une « implication des acteurs locaux dans la future enquête épidémiologique avec la prise en compte réelle des enjeux de terrain. »

« Au cours de l'hiver 2013/2014, de nombreux apiculteurs pyrénéens et ariégeois ont subi de très lourdes pertes sur leurs ruchers avec des mortalités massives de 80 à 100 % sur plus de 5 000 ruches et des affaiblissements importants de leurs ruchers en zone de montagne » rappelle l'Unaf.

Source © La France Agricole

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L’Ours polaire, espèce menacée. L’affirmation semble une évidence. Le réchauffement climatique provoque la fonte des glaces, qui prive l’espèce d’une bonne partie de son habitat. 

Dans la revue PLoS One du 27 octobre, une équipe de l’université de l’Alberta va nettement plus loin. Dates et chiffres à l’appui, elle annonce que, si rien n’est fait d’ici la fin du siècle, l’animal culte pourrait franchir un « point de non-retour » qui conduira à son extinction.

Du poisson au caribou, du morse au narval, rien de ce qui vit sur la glace ou dans l’eau n’est à l’abri de l’instinct prédateur du colosse à fourrure blanche. Mais son énergie, l’ours la tire d’une source essentielle, presque unique : le phoque. Et plus particulièrement de la graisse du mammifère marin, beaucoup plus riche en calories que la viande. « Sans elle, il lui est impossible de vivre dans les conditions extrêmes du grand nord », explique le biologiste Stephen Hamilton, premier signataire de l’étude.

Entre les deux espèces, le petit jeu est bien rodé. Pour éviter l’ours, le phoque plonge sous la banquise. Pour attraper le phoque, l’ours attend que celui-ci remonte à la surface respirer dans les trous formés dans la glace. Que ces derniers s’élargissent et le phoque triomphe. « Il n’est pas idiot : il va là où l’ours ne peut pas l’attraper », sourit le Pr Andrew Derocher, cosignataire de l’étude et spécialiste mondial de l’animal.

Or c’est bien de cela qu’il s’agit : de la proportion et de l’épaisseur de la glace de mer. Les chercheurs se sont penchés sur l’archipel arctique canadien. Un territoire rassemblant un quart des quelque 25 000 individus estimés dans le monde, jusqu’ici considérés comme le plus à l’abri du réchauffement. Cette immense « réserve », ils l’ont scindée en sept zones, elles-mêmes découpées en « pixels ». Puis ils ont fait tourner les modèles climatiques.

Chaque fois, ils ont choisi des hypothèses « conservatrices ». Ainsi, ils ont supposé que, d’ici à 2100, le réchauffement pourrait atteindre 3,5 °C au pôle, loin des prévisions les plus pessimistes. Puis ils ont simulé l’évolution, mois par mois, de trois paramètres : la « concentration en glace de mer », autrement dit la proportion de surface gelée ; l’épaisseur de la couche de glace et celle de la couche de neige.

Du premier paramètre, on l’a compris, dépend la capacité de l’ours à chasser. Le deuxième lui offre sa stabilité en période de gel ou de débacle. Quant au troisième, il apparaît aussi essentiel, car c’est dans les paquets de neige que les phoques annelés – les préférés des ours, avec leurs cousins « barbus » – creusent leurs abris.

Or, d’ici à 2100, tous les voyants seront au rouge. Alors qu’aujourd’hui aucune partie de l’archipel ne connaît de période sans glace, celles-ci dureront plus de cinq mois dans quatre des sept secteurs -deux à quatre mois dans les trois autres. Même effondrement pour l’épaisseur de la glace (divisée par deux à cinq, suivant les secteurs) et celle de la couche de neige (divisée par deux à trois, en moyenne).

Ces conditions pourraient conduire à « affamer » 20 % des mâles, indique l’étude. Mais les femelles et les petits souffriront plus encore. En effet, après l’accouplement, au printemps, les femelles s’installent sur la terre ferme, jusqu’à la naissance de leur portée, au printemps suivant. Pendant toute cette période, elles ne s’alimentent pas. Que la débacle survienne trop tôt et elles renonceront à s’accoupler, faute de réserves énergétiques suffisantes. Que le regel intervienne trop tard et elles ne pourront ni chasser, ni se nourrir, ni alimenter les oursons.

Disparaître ou s’adapter ? En réalité, il n’y a pas d’alternative, soulignent les chercheurs. « Une espèce n’est pas comme un individu, insiste Stephen Hamilton. Il lui faut le temps nécessaire à la transmission de nouveaux traits génétiques. Là, le changement qui s’annonce est beaucoup trop brutal. » Le sud de la Suède est là pour le rappeler : lors du dernier âge glaciaire, des ours polaires y vivaient encore sur les bords de la Baltique. Avec le réchauffement, cette population a dû mettre cap au nord.

Source © Le Monde
2014 est en passe de décrocher le record de l’année la plus chaude depuis 1880. 

Selon l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA), la température du globe est depuis le début de l’année au-dessus de la moyenne de celle du XXe siècle. Et les glaciers norvégiens le confirment, 33 sur 38 ont montré un fort rétrécissement. Celui de Grafjell a opéré un retrait de 120 mètres depuis l’an 2000.

“Le rétrécissement auquel nous assistons depuis 10 ans est dramatique quand on imagine la chose sur une perspective encore plus longue”, explique Jostein Bakke, Professeur à l’Université de Bergen.

Depuis l’an 2000, les années dites normales ou fraîches sont beaucoup moins fréquentes que les périodes chaudes. La vague de froid qui frappe le nord-est des Etats-Unis ne serait qu’une exception, selon l’Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA), les Etats-Unis ne représentant que 2 % de la surface de la planète.

Selon la même agence, la température élevée à la surface des océans est a l’origine d’un mois d’octobre chaud, signe d’un dérèglement. Au Maroc, les pluies torrentielles et les oueds en furie ont fait plus de trente morts ces derniers jours.

En Europe, notamment dans le nord de l’Italie, les multiples épisodes orageux tres violents ont aussi été meurtriers. Les experts attribuent ces phénomènes à la température anormalement élevée de la mer Méditerranée.

“Tout la pollution que nous avons projetée dans l’atmosphère au cours des dernières décennies nous condamne à voir la température monter d’un degré et demi dans les 50 prochaines années. Et il y a très peu de choses à faire pour lutter contre ça donc nous devons être en mesure de nous adapter à ces changements”, dit Rachel Kyte de la Banque mondiale et envoyée spéciale pour le changement climatique.

Il faut se préparer à de fortes sécheresses, comme celle qui sévit dans l‘État de Sao Paulo, au Brésil. Selon les experts, elle est la conséquence de la déforestation de l’Amazonie qui entraîne une réduction des pluies. Les fortes intempéries en Asie-Pacifique, la température élevée des océans, et la sécheresse en Californie font partie du même déséquilibre mondial.

Source © 2014 euronews



Le Mont Aso, au sud-ouest du Japon, est entré en éruption, ont annoncé les autorités qui ont appelé aujourd'hui à la prudence face à une activité qui pourrait s'intensifier. 

Situé dans la préfecture de Kumamoto, sur l'île de Kyushu, le volcan a recommencé hier à cracher des cendres et "des retombées ont été confirmées jusqu'à 30 km à l'est du cratère", a expliqué l'antenne de l'agence nationale de météorologie à Fukuoka. "Des explosions peuvent se répéter dans les jours à venir", a-t-elle mis en garde.

Les mouvements sismiques s'étaient amplifiés hier vers 7h du matin et étaient toujours importants en début de soirée puis ce matin, mais il n'y a pas de signes majeurs laissant présager une importante éruption, a précisé le centre volcanique de l'agence de météo. Les projections de cendres sont néanmoins montées jusqu'à 500 mètres mardi, et ponctuellement à une altitude double ce matin vers 9h.

Le mont Aso fait partie des 47 volcans sous surveillance sur les 110 actifs que compte le Japon. Il est actuellement au niveau d'alerte 2 qui signifie qu'il ne faut pas approcher à moins d'un kilomètre du cratère. L'échelle d'avertissement pour l'activité volcanique va de 1 à 5, le dernier niveau nécessitant l'évacuation de la population alentour. "Il va falloir suivre attentivement l'activité de ce volcan", a déclaré à la chaîne de télévision publique NHK Toshitsugu Fujii, un expert qui préside une commission de prédiction de l'activité volcanique.

En septembre, le Mont Ontake, situé dans le centre du Japon, à cheval sur les préfectures de Gifu et Nagano, était soudainement entré en éruption, sans signes avant-coureurs, piégeant des centaines de randonneurs dont plus de 60 y ont laissé la vie. Cette récente catastrophe est la pire de ce type qu'ait connue le Japon depuis la fin de la dernière guerre. 

Source © Le Figaro



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Le 13 décembre 2013, au plus fort du pic de pollution, les Parisiens ont inhalé jusqu'à 6 millions de particules fines par litre d'air: pour la première fois, une étude a permis de mesurer dans l'atmosphère de la capitale ces particules inférieures à un micron, très nocives pour la santé.

"C'est une situation semblable à celle du tabagisme passif. Un test en laboratoire a montré que la fumée de huit cigarettes dans une pièce d'environ 20 mètres carrés produit autant de particules", révèle cette étude réalisée à l'aide d'un nouvel appareil, le Light optical aerosol counter (LOAC), embarqué à bord du "Ballon de Paris". Initialement à vocation touristique, cet aéronef, installé dans le XVe arrondissement, informe depuis 2008 les Parisiens sur la qualité de l'air ambiant.

Ce nouveau dispositif a permis, pour la première fois, de réaliser des prélèvements sur une colonne d'air de plusieurs centaines de mètres de haut.

Les relevés effectués pour cette étude expérimentale, réalisée au cours des dix-huit derniers mois, concernaient les particules inférieures à un micron, qui sont aussi les plus dangereuses pour la santé, a précisé lors d'une conférence de presse l'association Airparif, chargée de mesurer la qualité de l'air à Paris.

"On connaissait la nocivité de ces très petites particules, inférieures à un micron. La nouveauté de cette étude, c'est qu'elle permet de savoir quelle quantité de ces particules nous respirons à chaque litre d'air inspiré", explique-t-on chez Aérophile, société exploitant le ballon qui a participé à ces travaux aux côtés d'Airparif, de la Mairie de Paris et du CNRS.

L'étude a ainsi montré que pendant une journée standard, les parisiens inhalent environ 200.000 particules fines par litre d'air.

Plus préoccupant, elle a également mis en évidence que lors de l'épisode de pollution du 9 au 14 décembre 2013, une moyenne de trois millions de ces particules par litre d'air a été enregistré tout au long de la journée. Un record a même été atteint le 13 décembre, avec un pic à six millions de particules à 18H00.

"L'épisode de décembre est dominé par les très petites particules, principalement carbonées, qui sont liées au trafic automobile (majoritairement diesel, NDLR), à l'activité industrielle et au chauffage", a expliqué Jean-Baptiste Renard, chercheur au CNRS.

"La dangerosité de cet épisode a peut-être été sous-estimée", les résultats de l'étude n'étant pas encore connus, a-t-il relevé.

"On sait que les particules fines sont les plus nocives pour la santé", a renchéri Christophe Najdovski, adjoint (écologiste) au maire de Paris en charge des transports.

En effet, alors que les grosses particules (supérieures à un micron) s'arrêtent dans la région de la trachée et des bronches, les particules fines "peuvent atteindre d'autres organes", souligne l'étude.

Ces dernières sont à l'origine de 42.000 décès chaque année, ont rappelé lundi ses auteurs, qui ont insisté sur la nécessité d'agir rapidement pour réduire les émissions de ces particules.

"Il y a une faille dans la législation actuelle parce que les particules fines ne sont ni mesurées ni réglementées", a relevé Christophe Najdovski

L'élu a souligné que la ville de Paris préparait "pour début 2015 un plan pour réduire les émissions de polluants".

"Ce plan aura deux axes, l'un visant à réduire le volume de la circulation automobile en développant les alternatives à la voiture comme le covoiturage ou l'autopartage, l'autre à modifier le parc roulant constitué à 60% de véhicules diesel", a-t-il dit.

L'une des pistes étudiées par la municipalité est la mise en place, à Paris, de zones à bas niveau d'émission dont l'accès serait limité, voire interdit, aux véhicules les plus polluants. Des zones à faible émission existent déjà dans 200 villes en Europe mais aucune en France.

"On y travaille avec la préfecture de Paris car une telle mesure nécessite que l'on puisse identifier et contrôler ces véhicules, ce qui relève de l'Etat", a souligné Christophe Najdovski.


Source © AFP
Levez le pied. L'épisode de pollution aux particules fines qui a débuté lundi s'aggrave. Le niveau d’alerte vient d'être franchi malgré l'arrivée d'une perturbation.

Conséquence: les automobilistes doivent réduire leur vitesse dans le Rhône. Les vitesses maximales sont abaissées de 20km/h sur les routes où la limitation est normalement supérieure à 70km/h.

Par ailleurs, le dispositif Vélo'V sera activé à partir de 17h ce mercredi. Les abonnés au service ont droit à une demi-heure de location supplémentaire gratuite.

Le tribunal indien pour les questions d'environnement a dénoncé l'inaction du gouvernement devant l'aggravation de la pollution à New Delhi, l'une des villes les plus polluées du monde, et ordonné une série de mesures d'urgence.

Le tribunal a ordonné mercredi l'interdiction des véhicules de plus de 15 ans dans la capitale, la vérification des niveaux de pollution des bus publics et l'installation de purificateurs d'air dans les principaux marchés de la ville. 

Les ONG de défense de l'environnement ont salué jeudi ces mesures, estimant que les dirigeants politiques étaient incapables de faire face à "l'urgence" de la situation dans la capitale indienne peuplée de 17 millions d'habitants. 

"Mais il faut aller plus loin pour faire face aux problèmes tels que l'arrivée quotidienne de 1.000 nouveaux véhicules chaque jour sur les routes" de la capitale", a dit à l'AFP Chandra Bhushan, directeur général adjoint du Centre for Science and Environment (CSE) à New Delhi. "Le gouvernement a une obligation légale d'appliquer les mesures du tribunal", a-t-il ajouté. 

"Rien de substantiel n'a été proposé (..) pour contrôler la pollution de l'air à Delhi qui vient principalement de la pollution automobile et des plastiques et autres matériaux brûlés à l'air libre", écrit le tribunal. "Il est incontesté et incontestable que la pollution de l'air (à Delhi) s'aggrave chaque jour", poursuit-il. Selon une étude de l'OMS sur 1.600 villes publiée en mai, Delhi est la capitale mondiale qui affiche le taux le plus élevé de particules fines de moins de 2,5 micromètres.

Source © Belga

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Les indigènes Munduruku organisent les 26 et 27 novembre une grande marche pour protester contre les nouveaux projets de mégabarrages du gouvernement brésilien en Amazonie. Partis de la ville de Santarem, les manifestants doivent longer le Tapajós, affluent de l’Amazone, pour rejoindre le site du futur barrage de São Luiz do Tapajós, qui intéresse deux entreprises françaises, EDF et GDF Suez.

Une des seules régions encore préservées de l’Amazonie, le bassin du rio Tapajós abrite une biodiversité extrêmement riche et encore peu étudiée. La construction de grands barrages ne manquerait pas d’occasionner, directement et indirectement, une déforestation massive, et d’affecter gravement l’équilibre des écosystèmes locaux, avec des conséquences irréversibles. Les indigènes y voient une atteinte à leur territoire et à leur identité (théoriquement protégés par la Constitution brésilienne), et ont annoncé qu’ils s’opposeraient par tous les moyens à la construction de ces ouvrages.

Quelques centaines de kilomètres vers l’Est, le mégabarrage de Belo Monte, défraie la chronique depuis des années. Ce grand projet – prévu initialement sous la période de dictature militaire, abandonné lors du retour à la démocratie puis relancé au nom de l’« accélération de la croissance » - a suscité l’opposition acharnée des indigènes et des environnementalistes brésiliens, qui se sont attiré la sympathie d’une bonne partie de la communauté internationale. Pas suffisamment cependant pour refroidir les ardeurs du gouvernement brésilien et des entreprises intéressées à la construction de nouveaux mégabarrages sur le rio Tapajós et ses affluents [1]. Parmi ces dernières, deux entreprises françaises, EDF et GDF Suez.

Que viennent-elles donc faire dans cette galère ? Toutes deux ont participé au « Groupe d’études Tapajós » (GET), destiné à étudier la « faisabilité » de grands barrages dans le bassin du rio Tapajós. Les activités du GET ont contribué à envenimer les relations entre les peuples indigènes locaux et l’administration fédérale, qui n’a pas hésité à faire appel à l’armée. Toutes deux sont déjà actives dans le secteur des grands barrages en Amazonie, GDF Suez depuis plus longtemps que sa rivale EDF, qui vient juste de racheter le barrage de Sinop, non loin de là . Toutes deux ont publiquement évoqué leur candidature pour la construction du barrage de São Luiz do Tapajós, le plus grand et le plus potentiellement destructeur des ouvrages hydroélectriques projetés dans le bassin.

Batailles juridiques, campagnes citoyennes

Les enchères destinées à choisir le consortium qui construira ce barrage devaient se tenir en décembre 2014, mais elles ont été soudainement annulées du fait de l’opposition d’une partie de l’administration brésilienne, qui estimait que les garanties apportées par le GET sur la protection de l’environnement et des droits des indigènes n’étaient pas suffisantes. Les enchères sont maintenant annoncées pour le début de l’année 2015. La construction du barrage de Belo Monte avait elle aussi déjà été émaillée de batailles juridiques et administratives à répétition. Une partie du pouvoir judiciaire brésilien s’oppose systématiquement aux projets de grands barrages, au motif qu’ils portent atteinte aux dispositions légales et constitutionnelles brésiliennes sur la protection des indigènes et de l’environnement. 

Pour le moment, tous ces efforts ont été vains, car le gouvernement dispose d’un outil juridique datant de la dictature, la « suspenção de segurança », qui lui permet de suspendre toute décision judiciaire défavorable aux barrages au nom de la « sécurité nationale ».

En France, la campagne contre les barrages du Rio Tapajós et contre l’implication d’EDF et GDF Suez dans ces projets est animée par les ONG Amazon Watch et Planète Amazone. Le leader indigène Raoni a fait circuler un appel solennel ciblant explicitement EDF, qui a obtenu le soutien de plusieurs personnalités écologistes françaises.

Source © Olivier Petitjean / multinationale.org

[1] Les entreprises brésiliennes de BTP notamment, comme Odebrecht et Andrade Guttierez, figurent parmi les principaux financeurs de la vie politique brésilienne, y compris de la présidente Dilma Roussef et son Parti des Travailleurs. D’autre part, pour préserver sa coalition gouvernementale, Dilma Roussef a besoin des voix des élus « ruralistes », partisans du développement de l’agrobusiness, des barrages et des mines en Amazonie. De sorte que ses relations avec les peuples indigènes n’ont cessé de se tendre depuis des années (lire notre entretien avec Sonia Guajajara).


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Les groupes de défense de l'environnement ont estimé que cette mesure est une des plus importantes en matière de santé publique prises par le président Obama pendant son second mandat.

L'administration Obama a annoncé mercredi un durcissement des normes d'émissions d'ozone, un polluant responsable de maladies respiratoires affectant des millions d'Américains, mais cette mesure a provoqué une levée de boucliers des industriels et des républicains qui la jugent contreproductive.

L'Agence de protection de l'environnement (EPA) propose de limiter les émissions d'ozone, aussi appelées «smog», entre 65 et 70 parties par milliard (ppm) contre 75 ppm actuellement, soit une réduction de 7 à 13%.

L'EPA doit revoir ses limites en matière de pollution tous les cinq ans. La dernière mise à jour des normes d'ozone remonte à 2008.

«Abaisser les limites de la pollution à l'ozone en s'appuyant sur les dernières avancées scientifiques permettra de purifier notre air et protéger les plus vulnérables», a déclaré l'administratrice de l'EPA, Gina McCarthy.

Le millier d'études examinées par les scientifiques consultés par l'EPA indiquent qu'une exposition à des niveaux d'ozone même inférieurs à 75 ppm est néfaste pour le système respiratoire, provoque de l'asthme ou l'aggrave, et est lié à une mortalité prématurée.

L'ozone se forme dans la basse atmosphère sous l'effet du rayonnement solaire qui provoque une transformation photochimique des oxydes d'azote, du monoxyde de carbone et des composés organiques volatiles émis par les échappements des véhicules, des industries, des centrales au charbon et de certains solvants et peintures.

Selon l'analyse de l'agence, ces nouveaux standards devraient permettre d'empêcher de 320.000 à 960.000 crises d'asthme.

Ce durcissement devrait aussi prévenir de 750 à 4300 décès prématurés chez les adultes.

Ces normes entreront en vigueur après une période de consultation de 90 jours.

Industriels et républicains vent debout 

Les groupes de défense de l'environnement ont estimé que cette mesure est une des plus importantes en matière de santé publique prises par le président Obama pendant son second mandat.

Mais les responsables de l'opposition républicaine au Congrès et les milieux industriels sont vent debout contre cette décision. Ils estiment qu'elle imposera un lourd fardeau économique et ne produira que peu de bienfaits supplémentaires pour la santé publique.

«Les nouvelles normes écrasantes de l'administration Obama, les plus coûteuses jamais proposées par l'EPA, risquent de coûter plus de 1500 dollars par an aux ménages, de réduire le PIB de milliers de milliards et de détruire des millions d'emplois», a réagi le président de la Chambre des représentants, le républicain John Boehner

Pour l'American Chemistry Council (ACC), qui représente les industries chimiques, «la croissance du secteur manufacturier pourrait être ralentie, voire s'arrêter dans certains États».

L'organisation patronale affirme que les industries ont déjà réduit de 67% depuis 1980 les émissions des six principaux polluants de l'air alors que le PIB américain a cru de 133% pendant ces 30 dernières années.

La bataille menée par le président Obama sur le front de l'environnement s'intensifiera encore en 2015, alors que l'EPA doit aussi finaliser des mesures historiques visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, dont le dioxyde de carbone (CO2) émis par les centrales électriques au charbon existantes et en projet.

Ces normes, qui visent à lutter contre le réchauffement climatique, pourraient provoquer la fermeture de certaines centrales et retarder la construction de nouvelles unités.

Les chefs de l'opposition républicaine, qui en janvier va contrôler les deux chambres du Congrès après sa victoire aux élections législatives de novembre, ont promis de bloquer et d'inverser toutes ces initiatives de M. Obama.

Ils avaient déjà critiqué le président après le récent accord conclu avec la Chine aux termes duquel les deux plus grands pollueurs de la planète se sont engagés à plafonner et réduire leurs émissions de CO2, affirmant qu'il était trop favorable à Pékin.

Par ailleurs, la Cour suprême a annoncé mardi avoir accepté pour la première fois de revoir les normes de l'EPA limitant les rejets de mercure et autres polluants dans l'atmosphère imposées aux centrales électriques en se saisissant de trois plaintes de 21 États américains et d'industriels.


Source © La presse canadienne
Une tornade particulièrement spectaculaire a été filmée en Afrique du Sud à Vryheid en fin de semaine dernière. Ce phénomène météo n'est pratiquement jamais observée dans cette région du monde. 

Il devait s'agir d'une simple dégradation orageuse classique de fin de printemps selon les services météo du pays. Et pourtant, un événement aussi impressionnant que rare s'est produit à Vryheid en fin de semaine dernière : une tornade, à l'apparence gigantesque, même si elle n'a pas encore été classée sur l'échelle améliorée de Fujita (de EF0 à EF5). 

L'Afrique du Sud se situe dans l'hémisphère sud et ses saisons sont donc inversées par rapport à notre calendrier européen. Le pays se situe actuellement à la fin du printemps, juste avant le début de l'été austral. A cette époque de l'année, les orages sont courants, mais contrairement aux Etats-Unis et au continent européen, les tornades sont peu fréquentes là-bas, ou du moins, rarement observées. 

2 tornades en un an 

La tornade de Vryheid est la deuxième tornade enregistrée depuis le début de l'année 2014 en Afrique du Sud, alors que la France en dénombre une quarantaine par an et les USA plus de 1000. Le phénomène météo a été observé par de nombreux curieux mais n'a fait aucune victime recensée.

Source © Actualité météo

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mercredi 26 novembre 2014






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EN 2008


EN 2009

C'EST DE L'EAU - le clip des - "Les Enfantastiques " - La chorale d'enfants - choeur d'enfants

...A apprendre par chœur ...pour le bien de l'humanité et bien plus encore...Intéro non écrite avec anti séche autorisée pour juste la partager...même avec les grands...allez on partage pour obtenir un mille / (sur le) vain...
Les stocks de gros poissons ont chuté des deux tiers en un peu plus d'un siècle, entre 1880 et 2007, en raison de la surpêche, selon une étude de l'Institut de recherche pour le développement publiée mardi.

Une équipe de recherche internationale, qui a passé au crible plus de 200 modèles d'écosystèmes océaniques sur l'ensemble de la planète, a mis en évidence "un effondrement des stocks de thons, mérous, requins et autres prédateurs supérieurs, avec des conséquences en chaîne à une échelle globale, tant sur les réseaux alimentaires que sur l'équilibre des écosystèmes", ajoute l'IRD, un organisme de recherche français.

En outre, "ce déclin s'accélère", indique l'IRD: "plus de la moitié (54 %) de cette perte de biomasse" s'est produite au cours des 40 dernières années, c'est-à-dire depuis le début de la pêche industrielle dans les années de 1970.

Les chercheurs de l'IRD et leurs partenaires canadiens, italiens et espagnols mettent en cause la surpêche, relevant que "thons, mérous, raies, requins, espadons... sont les mets préférés des consommateurs, incitant les pêcheurs à prélever ces grandes espèces marines".

Ils ont tendance à pêcher ces poissons "à forte valeur économique" jusqu'à épuisement des stocks et "nombre de ces espèces sont aujourd'hui menacées d'extinction".

Selon la liste rouge des espèces menacées de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), première organisation environnementale mondiale --regroupant agences gouvernementales, experts et ONG--, 12 % des espèces de mérous, 11 % des thonidés et 24 % des requins et des raies sont menacés d'extinction.

L'IRD souligne que "la perte de ces prédateurs supérieurs a des conséquences en cascade sur la chaîne alimentaire", perturbant "l'équilibre des populations de leurs proies - petits poissons, méduses, etc. - qui, elles, prolifèrent".

L'étude révèle que "sardines et anchois ont vu à l'inverse leur abondance doubler au siècle dernier".

On est ainsi passé au cours du 20e siècle "d'océans peuplés pour une large part de grandes espèces à des espaces dominés par les petits poissons", à la durée de vie courte et plus vulnérables aux fluctuations de l'environnement, constate l'IRD.

Source © AFP

Un séisme de magnitude 5,8 a secoué mardi à 23h19 le district de Kangding, dans la province chinoise du Sichuan (sud-ouest), faisant trois blessés, a annoncé le Centre du réseau sismique de Chine.

Deux des trois blessés ont été rapportés dans le bourg de Bamei, et le troisième dans le bourg de Xiede du district de Daofu. Le séisme a également détruit plusieurs maisons et bloqué la circulation vers le village de Zhonggu administré par Bamei.

L'épicentre, situé à une profondeur de 16 km, a été localisé à 30,2 degrés de latitude nord et 101,7 degrés de longitude est, selon le centre.

Un tremblement de terre de magnitude 6,3 avait frappé cette même région samedi, faisant cinq morts et plusieurs dizaines de blessés.

Après le séisme, de nombreux habitants se sont précipités hors des maisons, et certains ont déclaré avoir ressenti une secousse bien plus forte que lors du séisme précédent. Au moment de la publication de cette dépêche, les habitants étaient en train de rentrer chez eux, et l'approvisionnement en eau était toujours normal dans le district de Kangding.

Quelque 7.000 élèves des quatre principales écoles du district ont été évacués, mais aucun mort ou blessé n'a été rapporté parmi eux.

Les télécommunications ont été affectées, et de nombreuses personnes ne pouvaient être jointes au téléphone. Les habitants se sont donc tournés vers le service de messagerie WeChat pour se contacter.

Source © Chine Nouvelle 

Le commerce en ligne constitue une nouvelle question de mort ou de vie pour les animaux sauvages, a averti le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) dans son rapport rendu public mardi à Bruxelles.

Des enquêteurs de l'IFAW ont retrouvé, rien qu'en six semaines dans 16 différents pays, 33 006 animaux sauvages vivants ou leurs parties corporelles disponibles pour le commerce en ligne. Les pays concernés sont Allemagne, Bahrein, Bélarus, Belgique, Canada, Chine, Emirats arabes unis, France, Hollande, Kazakhstan, Koweït, Pologne, Qatar, Royaume-Uni, Russie et Ukraine.

Les enquêteurs se sont concentrés sur les animaux protégés par la Convention internationale sur le commerce de la faune et de la flore menacées par l'extinction (CITES), a précisé l'IFAW, ajoutant qu'ils n'ont profité que "des sources ouvertes" accessibles par tout le monde sur la toile Internet.

9.482 publicités sur la vente d'animaux les plus menacés dans la CITES sont estimées à une valeur de 11 millions de dollars américains au moins, et 54% d'entre elles concernent des animaux vivants qui pourraient être envoyés par le courrier à leurs acheteurs.

L'IFAW a exprimé sa vive préoccupation sur le commerce d'animaux sauvages dans le monde et la cyber-criminalité dans ce domaine. 

L'ivoire, des reptiles et des oiseaux exotiques sont les trois premières victimes du commerce illégal, dont la liste est encore longue avec de nombreuses espèces de tortues, la corne de rhinocéros, l'os de tigre, des grenouilles venimeuses, des lézards dont des geckos, des guépards vivants, des primates, y compris des babouins, des chimpanzés et des ouistitis, ainsi que des ours.

Dans son rapport, l'IFAW a estimé que "l'ampleur choquante du commerce en ligne d'animaux sauvages pose une menace réelle pour les animaux sauvages, lorsque le braconnage atteint un niveau sans précédent". Il a appelé à mettre la main sur la cybercriminalité concernant les animaux sauvages.

Dans le cadre de sa réaction au rapport de l'IFAW, la députée du Parlement européen, Mme Catherine Bearder, a souligné que l'Union européenne "peut et doit éradiquer ce commerce ignoble d'animaux menacés par l'extinction". 

Elle avait envoyé, il y a quelques semaines, un message signé par 81 eurodéputés au Commissaire européen aux affaires maritimes et à la pêche, Karmenu Vella, pour recommander un Plan d'action de l'Union européenne contre le crime lié aux animaux sauvages.

Source © Chine Nouvelle



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