...

dimanche 1 février 2015
L'alerte aux avalanches est désormais maximale sur la totalité du massif pyrénéen. Depuis 16 heures dimanche, les cinq départements pyrénéens, ainsi que la principauté d'Andorre, sont en vigilance avalanches. «Une vigilance orange avalanches est en cours sur l'ensemble de la chaine pyrénéenne avec un risque de niveau 5.

Des départs spontanés vont continuer à se produire et compte tenu des quantités de neige mobilisable, le risque de départ de grosses avalanches est très important, certaines d'entre elles pouvant atteindre des secteurs routiers exposés de moyenne montagne», note Météo France dans son communiqué.

Par ailleurs, les Pyrénées-Atlantiques sont également en vigilance «fortes précipitations» et «neige», tandis que la Haute-Garonne, les Hautes-Pyrénées et l'Ariège sont en vigilance «neige». Jusqu'à lundi matin, il pourrait encore tomber jusqu'à 60 centimètres de neige au-dessus de 1500m, alors que les cumuls de neige atteignent déjà deux mètres par endroits.

Une avalanche d'une «ampleur exceptionnelle» a ainsi eu lieu dimanche à la mi-journée dans la station de ski de Gourette (Pyrénées-Atlantiques), mais sans faire de victimes, le domaine skiable étant fermé. Une ou deux remontées mécaniques ont été endommagées par la coulée de neige.

Les stations de ski fermées

Les stations de ski des Hautes-Pyrénées ont été fermées jusqu'à lundi matin. Toutes les personnes bloquées par la neige sur les routes des stations ont été prises en charge.

Dans les Pyrénées-Atlantiques, où l'accès aux stations a été fermé dès samedi après-midi, des convoyages sont organisés pour la descente des skieurs venus passés le week-end.

«La plus grande prudence est donc recommandée pour la pratique des activités en montagne», explique Météo France, qui lance également une mise en garde pour les massifs alpins, qui ne sont pas en vigilance orange, mais où la neige tombe aussi en quantité importante et où il existe «un fort risque de déclencher des avalanches au passage de skieur(s) en dehors des domaines sécurisés». Les transports en commun gérés par le Conseil général de l'Ain et les bus scolaires du département ne seront d'ailleurs pas assurés lundi. 

4000 foyers encore privés d'électricité

Ces intempéries causent en outre de nombreuses coupures de courant. A 17 heures, il restait 4 000 foyers privés d'électricité : 3 000 dans les Hautes-Pyrénées et 1 000 dans les Pyrénées-Atlantiques, a indiqué Frédéric Boutaud, directeur des relations externes d'ERDF dans le Sud-Ouest, précisant que 200 techniciens étaient à pied d'oeuvre «pour résoudre ces problèmes malgré les difficultés» liées aux intempéries.

Source © AFP


Le naufrage d'un bateau contenant des produits polluants menace de nouveau les îles Galapagos, à 1000 km au large de l'Equateur, après un incident similaire en mai.

L'état d'urgence a été réclamé samedi par des responsables locaux de la protection de l'environnement. 

Le cargo Floreana s'est échoué mercredi avec à son bord 1400 tonnes dont des substances dangereuses (combustibles, gaz à usage domestique, etc.) dans une baie de Puerto Baquerizo Moreno, capitale de l'île de San Cristobal. Des fuites de produits polluants ont déjà été enregistrées.

Un comité d'évaluation a demandé samedi que l'état d'urgence soit décrété pour faire face aux éventuels problèmes écologiques sur les îles Galapagos, classées par l'Unesco au patrimoine mondial de l'humanité. 

L'état d'urgence «permettra aux autorités de disposer de moyens économiques immédiats pour faire face à la situation», a déclaré à l'AFP une source du PNG (Parc national des Galapagos), chargé de la protection de la flore et de la faune des îles.

En mai dernier, le cargo Galapaface I, battant pavillon équatorien, s'était échoué non loin du port de Baquerizo Moreno à San Cristobal, une des quelque 40 îles que compte cet archipel situé dans l'océan Pacifique. L'état d'«urgence environnementale» avait été décrété pour débloquer les financements nécessaires au remorquage de l'embarcation, qui contenait du diesel et des lubrifiants.

Après avoir été remis à flot, le bateau avait été coulé en juillet loin de la réserve marine des îles Galapagos.

Source © ats
Dimanche, des crues soudaines provoquées par de fortes pluies ont frappé le nord-ouest de la Grèce et le sud de l'Albanie, forçant l'évacuation de centaines de villageois. 

Ces crues ont détruit un célèbre pont de pierre du 18ème siècle.

Aucune victime n'a été signalée .

Les fortes pluies ont commencé samedi dans la province grecque de l'Épire, les autorités ont évacué d'urgence quatre villages et plusieurs fermes isolées prés de la ville d'Arta. Au moins quatre rivières ont débordé , trois d'entre elles près d' Arta et une autre près de la frontière entre la Grèce et l'Albanie. Un pont du 18ème siècle près de Plaka Arta s'est effondré.

Dans le sud de l'Albanie, de fortes pluies et de la neige ont fait sortir les rivières de leur lit sur des milliers d'hectares (ha), des centaines de maisons et de nombreuses routes ont été inondé.

© Nature Alerte
+250% , C'est l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre du transport de fret à l'international prévue d'ici 2050. 

Selon la publication Perspectives des Transports 2015 présentée le 28 janvier à l'OCDE, du fait de changements dans la structure du commerce mondial, les volumes de fret international vont être multipliés par plus de 4 d’ici 2050. 

La distance moyenne tout mode confondu augmentera en moyenne de 12%. 

La route du Pacifique Nord remplacera la route de l’Atlantique Nord en tant que principale route commerciale. 

"La multiplication par quatre des émissions de CO2 dues au fret peuvent sérieusement mettre en danger les efforts entrepris en faveur de l’atténuation du changement climatique", alerte José Viegas, le secrétaire général du Forum international des transports. 

Pour éviter un tel scénario, M. Viegas conseille d'améliorer la gestion des capacités, d'investir dans des connexions plus nombreuses et multimodales, de se préparer aux "méga-navires" et d'améliorer l’usage des véhicules.



Près de 40 millions de litres de pétrole brut issus de la marée noire de Deepwater Horizon en 2010 ont été retrouvé dernièrement dans les sédiments océaniques du golfe du Mexique, à environ 100 kilomètres au sud du delta du Mississippi. 

Pour retrouver cette nappe cachée de l'oeil nu l'équipe de scientifiques a utilisé la mesure au carbone 14, un isotope radioactif naturel, pour cartographier les sédiments déposés au fond du golfe. En effet l'huile de pétrole ne contient pas de carbone 14, les zones où le pétrole s'est déposé se distingue donc aisément.

Cette quantité massive de pétrole recouvre une superficie de plus de 2000 km2 km au large de la côte sud-est du delta du Mississippi. L'équipe de recherche a publié ses résultats dans la revue "Environmental Science and Technology".  Jeff Chanton, professeur à l'Université de Floride confirme que cette découverte a aujourd'hui de graves implications pour la vie marine et la santé du golfe. 

Les chercheurs affirment que le pétrole enfoui dans les sédiments océaniques y restera encore pour une longue période.Le pétrole se trouve sous la forme de micro billes ou de grosses gouttes mélangés au sable. Il est possible que les produits dispersants utilisés pour lutter contre la marée noire aient contribué à ce phénomène.

"Cela va affecter le Golfe pour des années. Le poisson sera probablement touché et contribura à la contamination de toute la chaîne alimentaire dans la région." Mais non seulement ce pétrole va contaminer toute la chaîne alimentaire, mais il y aujourd'hui de moins en moins d'oxygène dans les fonds du golfe du Mexique ce qui bouleverse complètement son biotope. 

La marée noire de BP a déjà touché les coraux et affecté gravement les tortues de mer de Kemp, une espèce en danger critique d'extinction. En Janvier 2014, une étude de la NOAA a révélé une augmentation des anomalies hormonales chez les grands dauphins dans la baie de Barataria en Louisiane. En outre, il a déjà été démontré scientifiquement que le pétrole est lié à des lésions de la peau chez les poissons benthiques comme le Red Snapper et le Mahi Mahi.  L'arrivée d'un ouragan serait dévastateur et pourrait créer de nouveaux déversements de pétrole sur les côtes.

© Nature Alerte


Le nombre de félins a augmentéde 60 % depuis 2006, mais les incidents se multiplient avec la population.

On disait le tigre décimé, éradiqué. Il y a vingt ans, la BBC prédisait sa disparition pour l'an 2000. Pourtant, en ce 20 janvier 2015, le ministre indien de l'environnement Prakash Javadekar a le sourire. Le dernier recensement vient de tomber: «L'Inde abrite 70 % de la population mondiale de tigres», proclame le ministre. Puis il sort un feutre rouge, se dirige vers le tableau derrière lui et, sans piper mot, inscrit le chiffre tant attendu: 2226. Bien loin du niveau de 2006, quand le pays ne comptait plus que 1411 bêtes.

Le ministère de l'Environnement a mis les bouchées doubles pour ce recensement, mobilisant 400 personnes et 6 ONG, scrutant, pendant un an, un territoire de 378 118 km2, grand comme l'Allemagne. Signe que le pays semble prendre au sérieux la survie d'une espèce vénérée des hindous. Le tigre est l'animal que chevauche la déesse Durga dans sa victoire contre le démon.

Malgré tout, certains experts estiment que ce sont les organisations non gouvernementales, et non l'Inde, qui sont la clé de cette renaissance. «L'accroissement démographique a surtout eu lieu au Kerala, au Karnataka, au Tamil Nadu et au Maharashtra, observe le zoologue Valmik Thapar. Dans ces régions du Sud et de l'Ouest, des chercheurs travaillent seuls depuis dix ans, sans rien attendre des autorités.» Ces quatre États abritent plus de 40 % des tigres de l'Inde.

Réformer les offices des forêts

Pour la communauté scientifique, ce renouveau est un premier pas. «Le pays peut abriter jusqu'à 10.000 tigres», estime le zoologue Ullas Karanth dans le quotidien Mint. Les scientifiques évoquent deux pistes pour y parvenir. D'abord la réforme des offices des forêts, qui gèrent les réserves animalières. Héritage de la colonisation, ils devaient alors veiller sur le bois des forêts, ressource vitale pour la construction des voies ferrées. La protection de la faune n'était pas leur priorité. Conséquence de ce legs colonial, les employés des offices passent pour des bureaucrates peu concernés par la protection des espèces. «Ils ne connaissent rien aux tigres, s'agace Valmik Thapar. Ils passent leur temps à les endormir à coups de tranquillisants pour les soigner ou les déplacer. Ces intrusions sont traumatisantes pour les bêtes.» Le scientifique Ullas Karanth suggère donc de confier la protection du tigre à des ONG, dans le cadre de partenariats public-privé.

Deuxième piste: la sauvegarde des corridors que les tigres empruntent pour se déplacer et s'accoupler d'une réserve à l'autre. Ces allées et venues sont cruciales pour la diversité génétique et la survie de l'espèce. Or les parcours sont menacés. «Celui qui longe le Népal, entre le parc de Corbett à l'ouest et la réserve de Dudhwa à l'est, est parsemé de canaux, de zones industrielles et accueille une base militaire, s'inquiète Belinda Wright, directrice de l'ONG Wildlife Protection Society of India. Le tigre cherche alors un autre chemin et rentre en contact avec l'homme. D'où des conflits avec la population qui se multiplient depuis quelques années.»

L'avocat Avinash Basker, spécialiste en droit environnemental, préconise d'inscrire les corridors dans la catégorie des zones écologiques sensibles: «Il s'agit d'un statut inscrit dans la loi. Cela permettrait de sauvegarder les habitations installées dans ces couloirs, tout en empêchant les constructions trop imposantes.»

Mardi, le ministre de l'Environnement a promis davantage de terres et de points d'eau pour les tigres, sans plus de précisions. Depuis son arrivée au pouvoir l'an dernier, le BJP, parti de la droite nationaliste, veut accélérer les mises en chantier d'usines et d'infrastructures pour relancer la croissance. Au risque, selon les écologistes, de sacrifier l'environnement.

Source © Emmanuel Derville / ACTUALITE SCIENCES & ENVIRONNNEMENT 



La pollution due à l'emploi des pesticides et autres engrais reste la première cause de la mauvaise qualité des eaux. Les doses de pesticides dans les champs de France n'ont jamais été aussi élevées. La France en est le troisième pays consommateur au monde, malgré les risques encourus en termes de santé, de pollution de l'eau, de biodiversité et d'émissions de gaz à effet de serre. 

L'objectif fixé par le plan Ecophyto, lancé en 2008 dans le cadre du Grenelle de l'environnement, était de réduire de moitié les herbicides, fongicides et autres insecticides pulvérisés sur les plantes d'ici à 2018. 

Six ans après son lancement, c'est un constat d'échec : le recours aux pesticides a crû de plus de 10 % entre 2009 et 2013, avec un bond de 9,2 % entre 2012 et 2013.

Le ministre de l'agriculture, Stéphane Le Foll, a présenté, vendredi 30 janvier, les axes du nouveau plan Ecophyto. L'objectif est le même pour cette deuxième version, inspirée du rapport de Dominique Potier (député PS de Meurthe-et Moselle) remis le 23 décembre au gouvernement. Il s'agit de nouveau de réduire de moitié l'usage des pesticides, cette fois à l'horizon 2025. 

Un palier intermédiaire de 25 % de baisse est fixé pour 2020. Les grandes lignes dévoilées par M. Le Foll devront encore être discutées, pour une publication qui n'est pas prévue avant juin 2015 et une mise en application possible au second semestre.

L'enveloppe allouée à Ecophyto est, elle, arrêtée. Elle devrait passer de 40 millions d'euros, budget annuel actuel, à 70 millions d'euros. Les 30 millions d'euros supplémentaires proviennent de l'augmentation de l'assiette de la redevance pour pollution diffuse. Ces aides seront attribuées à la fois par le ministère de l'agriculture et celui de l'environnement.

Le gouvernement veut s'appuyer sur les fermes « Dephy », un réseau d'exploitations pionnières. Celles-ci ont réussi à baisser de 7 % leurs traitements en 2012, puis de 12 % en 2013. L'idée est donc de développer assez rapidement ce réseau, pour le faire passer de 2 000 à 3 000 fermes, pour inciter d'autres exploitations agricoles à adopter ces démarches vertueuses. Stéphane Le Foll plaide pour que la réduction des usages de pesticides s'accompagne de nouvelles pratiques agroécologiques : recours accru au biocontrôle, diversification des cultures, meilleure rotation…

Il s'agit d'inciter les distributeurs de produits phytosanitaires, les grandes coopératives agricoles en tête, à réduire les doses vendues. Avec un objectif d'une baisse de 20 % des NODU – c'est-à-dire le « nombre de doses unités », qui sert d'indice de référence – d'ici à 2020. Si le distributeur ne l'atteint pas, il se verra appliquer une pénalité de 11 euros par NODU non économisé.

L'enjeu est aussi de réduire, voire d'éliminer les phytosanitaires dans les jardins et les espaces publics. De ce côté-ci, on observe des progrès : les zones non agricoles enregistrent en effet une baisse de 7,9 % entre 2012 et 2013. La loi sur la transition énergétique, encore en discussion, fixe au 31 décembre 2016 leur interdiction dans les espaces publics.

Dans son nouveau plan Ecophyto, M. Le Foll ne se prononce pas pour l'interdiction de nouveaux insecticides de la famille des néonicotinoïdes. La France – avec d'autres pays européens comme l'Italie – a cependant fait figure de pionnier dans ce domaine. Le Cruiser OSR, avait ainsi été interdit par M. Le Foll – mesure qui avait été suivie et prolongée par la Commission européenne. Celle-ci avait annoncé, en mai 2013, un moratoire sur certaines utilisations de trois molécules de cette famille de substances, mises en cause dans le déclin des abeilles et des insectes pollinisateurs.

Dans une proposition de résolution présentée jeudi 29 janvier par Joël Labbé (sénateur EELV du Morbihan), 53 parlementaires exhortent le gouvernement français à aller plus loin et à « agir auprès de l'Union européenne pour une interdiction de toutes les utilisations de ces substances néonicotinoïdes tant que les risques graves pour la santé humaine, animale et l'environnement ne seront pas écartés ».

Les auteurs de la proposition s'appuient notamment sur les travaux d'un groupe d'une trentaine de chercheurs internationaux publiés à l'été 2014 dans Environmental Science and Pollution Research. « Ces travaux montrent que non seulement les abeilles sont décimées par ces substances, mais aussi que l'ensemble des insectes et les organismes des sols sont également touchés, dit M. Labbé qui, dans un geste inhabituel, a adressé une longue lettre à ses pairs les invitant à voter le texte. 

Voilà seulement vingt ans, il n'était pas possible de faire un voyage en voiture de 500 km sans avoir son pare-brise maculé d'insectes. Aujourd'hui, cela a disparu et c'est le signe tangible de la perte dramatique de biodiversité que nous connaissons. » La proposition sera discutée le 4 février.

Source © Le Monde
De nouvelles zones polluées aux métaux lourds ont été découvertes dans les quartiers historiques de Fribourg. Les dernières analyses ont mis en évidence deux parcelles dangereuses pour la santé et quinze autres parcelles à risque.

L'identification des sources de ces pollutions est très difficile, a commenté vendredi devant la presse Marc Chardonnens, chef du service cantonal de l'environnement. Il s'agit probablement de plusieurs facteurs (activités industrielles et artisanales, ou produits phytosanitaires et engrais chimiques). Un bureau d'ingénieurs va étudier les causes de ces pollutions et préparer la suite des campagnes d'analyses.

Protéger les enfants

Des deux parcelles qui présentent un danger avéré, l'une est polluée au plomb et l'autre au mercure. Elles ne doivent plus être utilisées par des enfants ni pour la culture potagère. Les propriétaires en ont été informés.

Les quinze autres parcelles - surtout des jardins privés - ont des teneurs en métaux pouvant causer un risque pour la santé mais n'atteignent pas le seuil officiel de dangerosité. Ces zones sont évaluées au cas par cas, avec une série de restrictions ou d'interdictions d'utilisation par des enfants.

Les habitants de ces parcelles peuvent continuer à cultiver la terre, mais avec précaution. Le Service de l'environnement leur conseille de bien laver et peler les légumes, tout en précisant que les légumes-feuilles absorbent davantage les polluants que les légumes-fruits.

Zones publiques peu touchées

Enfin, huit parcelles n'ont aucune pollution ou sont légèrement polluées, parmi lesquelles la piscine de la Motta, des places de jeux et des terrains de football. Ces zones ne présentent aucun risque pour la santé, selon le canton.

Au total, ces analyses concernaient des prélèvements faits sur 25 parcelles en 2013 et en 2014. Elles viennent compléter les recherches déjà effectuées en 2011-2012, qui avaient révélé deux parcelles dangereuses, neuf à risque et seize pas ou peu polluées.

A titre de comparaison, les valeurs fribourgeoises sont beaucoup plus faibles que celles du site pollué par Lonza à Viège en Valais. A noter aussi que le cas fribourgeois n'est pas isolé puisque des constats similaires ont eu lieu dans d'autres agglomérations suisses.

Obliger à assainir

Ce que relève en particulier Fribourg, c'est l'écart entre deux logiques différentes de la législation fédérale. Seule l'ordonnance sur l'assainissement des sites pollués (OSites) rend l'assainissement obligatoire pour tout polluant dès qu'il y a risque pour les enfants.

Mais elle suppose une source de pollution connue et un périmètre circonscrit. Pour l'instant, ce n'est pas le cas des pollutions fribourgeoises, qui dépendent donc de l'ordonnance sur les atteintes portées aux sols (OSol). Et en l'absence de cause identifiée, l'assainissement est à la charge des propriétaires.

Le canton a demandé à l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) de reprendre l'objectif de l'OSites dans l'OSol. Et il souhaite aussi, pour assainir les jardins privés et places de jeux, la mise en place d'un financement similaire à celui prévu dans le cadre de l'OSites. L'OFEV a annoncé une réflexion globale sur ce thème dès cette année. 

Source © ats/Newsnet



Le Bureau Central de Surveillance Sismique (B.C.S.F.) a détecté un séisme de magnitude 3.8 dans le département des Deux Sèvres (Dép. 79). 

Cet événement s’est produit jeudi 29 janvier 2015 à 20h21 TU soit à 21h21 heure locale. L’épicentre a été localisé entre Nueil les Aubiers (5 569 hab.) à l’est et Saint-Aubin de Baubigné à l’ouest (1 336 hab.).

La secousse a été ressentie localement plus particulièrement dans la région de Bressuire, Cerizay, mais également dans la partie vendéenne du Bocage : Les Herbiers notamment.

Source : azurseisme.com

Entre huit et vingt-sept millions d'animaux ont perdu la vie l'an dernier sur les routes belges, ressort-il de l'extrapolation des comptages effectués par des volontaires de l'asbl Natuurpunt, missionnée par les autorités flamandes. Le bilan reste imprécis car le calcul des moyennes doit encore être affiné.

Les estimations sont basées sur les contrôles réguliers de 77 volontaires sur 110 routes, précise Natuurpunt. En 2014, ils ont procédé à des relevés sur 18.996 km, avec en moyenne 0,14 victime animale constatée au kilomètre. Grenouilles, hérissons et renards finissent sur le podium des plus malchanceux de l'année.

La récolte de ces données a notamment pour but de cartographier les points noirs du réseau routier afin d'envisager les mesures adéquates, comme des "écoducs" ou des opérations de sauvetage des batraciens sur les routes.

Il y a deux pics annuels pour les victimes animales du trafic: février-mars pour les grenouilles et août-septembre pour les jeunes renards, écureuils et belettes.

Source © Belga
Les villes et régions de France ont lancé jeudi dans la capitale aquitaine "l'appel de Bordeaux" portant l'engagement des territoires dans la lutte contre le changement climatique à moins d'un an de la conférence internationale sur le climat, à Paris. 

"Nous (...) tenons à exprimer la volonté des territoires (...) de répondre à l'urgence du défi lié au dérèglement climatique", affirment leurs élus dans cet appel signé en présence de la ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène Royal, à l'occasion des 16e Assises de l'énergie des collectivités territoriales.

Parmi les signataires, les maires de Bordeaux, Alain Juppé, de Paris, Anne Hidalgo, et de Nantes, Johanna Rolland, mais aussi l'Association des maires de France (AMF), l'Association des régions de France (ARF), représentées à Bordeaux par leurs présidents respectifs, François Baroin et Alain Rousset, ou encore l'Association des communautés de communes d'agglomération et métropoles (AdCF).

Réduction des émissions de gaz à effets de serre

Cette volonté "est déjà en action (...) à travers des mesures concrètes", dans les territoires affirment ces élus, qui se disent "en première ligne des attentes" de leurs concitoyens en matière d'infrastructures ou d'incitations et donc "les mieux placés pour mobiliser l'ensemble des acteurs des territoires".

Ces élus s'engagent donc à "consolider" le "mouvement en faveur de la réduction des émissions des gaz à effet de serre et des polluants". Ils appellent également les négociateurs internationaux sur le climat à prendre en considération "le rôle central des territoires" dans la mise en oeuvre d'actions pour lutter contre le réchauffement climatique. Et ils leurs demandent également "de soutenir les mécanismes permettant de renforcer l'action locale et régionale, notamment dans les pays en développement".
Attendue depuis deux ans, la loi encadrant l'exposition du public aux ondes électromagnétiques générées par les technologies sans fil (antennes-relais, téléphones mobiles, tablettes...) a été adoptée par les députés, jeudi 29 janvier en fin de matinée, à la faveur d'une niche parlementaire du groupe écologiste. 

Elle a été votée par l'ensemble de la majorité, tandis que l'UDI s'est abstenue – à l'exception de Bertrand Pancher (Meuse) qui s'est prononcé pour – et que l'UMP a voté contre, y voyant une entrave au développement des industries du numérique

Ce texte – le premier en France à instituer une démarche de précaution face aux risques sanitaires potentiels des radiofréquences – est l'aboutissement d'une véritable course d'obstacles, au cours de laquelle ses ambitions initiales ont été sérieusement revues à la baisse. La proposition de loi, déposée en janvier 2013 par la députée du Val-de-Marne Laurence Abeille (Europe Ecologie-Les Verts), avait été renvoyée en commission par les socialistes, avant de revenir devant l'Assemblée nationale en janvier 2014, sous une forme édulcorée, puis d'être adoptée en première lecture par le Sénat, en juin 2014, dans une version encore rabotée.

Malgré ces reculs successifs, le groupe écologiste a décidé de faire voter le texte en l'état pour éviter son renvoi devant le Sénat, source de nouveaux retards et, sans doute, de coups de canif supplémentaires. Son adoption est donc définitive et, se félicite Mme Abeille, « les décrets d'application vont pouvoir être pris sans plus attendre ».

PAS D'ABAISSEMENT DES LIMITES

Au final, la « loi relative à la sobriété, à la transparence, à l'information et à la concertation en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques » apparaît comme un compromis, entre les partisans d'un encadrement plus strict de ce secteur et les opérateurs de téléphonie sans fil, opposés, eux, à tout frein réglementaire. « Le présent texte ne répond pas pleinement à tous les enjeux, reconnaît la députée écologiste. Il constitue cependant une première étape essentielle. »

La nouveauté majeure est l'introduction, dans le droit français, d'un principe de « sobriété » de l'exposition du public aux champs électromagnétiques. Si vertueux soit-il, ce principe reste toutefois vague et non contraignant. Il n'est ainsi plus question d'abaisser les valeurs limites d'exposition en vigueur, comprises, selon les fréquences utilisées, entre 41 et 61 volts par mètre (V/m), alors que le projet de loi initial visait à les ramener « aussi bas que raisonnablement possible », soit à 0,6 V/m.

POINTS ATYPIQUES

L'Agence nationale des fréquences (AFNR) devra néanmoins réaliser, chaque année, un recensement national des « points atypiques », c'est-à-dire des « lieux où le niveau d'exposition du public dépasse substantiellement celui généralement observé à l'échelle nationale ». Les opérateurs devront y remédier dans un délai de six mois, « sous réserve de faisabilité technique ».

L'exposition moyenne, en France, est aujourd'hui d'environ 1 V/m, mais une étude du Comité opérationnel sur les ondes de téléphonie mobile (Copic), portant sur seize communes représentatives du territoire français et publiée en 2013, faisait état de quelques pics d'exposition « jusqu'à 10 V/m à puissance maximale des émetteurs », même si les niveaux restaient inférieurs à 0,7 V/m dans 90% des cas. L'AFNR considère jusqu'à présent comme atypiques les lieux où l'exposition dépasse 6 V/m.

Au chapitre de la transparence, l'installation d'antennes-relais devra désormais faire l'objet d'une information préalable des maires et des présidents de structures intercommunales. Et ceux-ci pourront à leur tour – mais sans obligation – organiser une concertation avec les habitants. En outre, une campagne « de sensibilisation et d'information concernant l'usage responsable et raisonné des terminaux mobiles » sera menée.

LE WI-FI INTERDIT DANS LES CRÈCHES

Un article de la loi est consacré à la protection des plus jeunes. Les appareils sans fil seront interdits dans « les espaces dédiées à l'accueil, au repos et aux activités des enfants de moins de 3 ans », c'est-à-dire les crèches et les garderies. En revanche, contrairement au souhait initial des écologistes, le Wi-Fi restera autorisé dans les écoles primaires. Il devra cependant être désactivé en dehors des « activités numériques pédagogiques ».

Enfin, la situation, souvent dramatique, des personnes souffrant d'électrohypersensibilité reçoit un début de considération. Le gouvernement devra remettre au Parlement un rapport sur cette question, dans un délai d'un an.

Les associations « anti-ondes » préfèrent considérer, elles aussi, que le verre est à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. « Ce texte, qui est le premier dédié au dossier des ondes électromagnétiques et de leur impact sur l'environnement et la santé, marque une première étape dans la reconnaissance par la loi de la nécessité de réguler le développement de la téléphonie mobile et de toutes les applications sans fil », commente l'association Pour une réglementation des antennes-relais de téléphonie mobile (Priartem). A ses yeux, « ce premier effort législatif doit être un encouragement pour aller plus loin dans le protection des populations ».

APPELS À LA PRUDENCE

Cette loi intervient dans un contexte de développement accéléré des sources d'ondes électromagnétiques, notamment avec le déploiement de la téléphonie mobile à très haut débit, la 4G. Au 1er janvier 2015, indique l'ANFR, le nombre de sites d'antennes-relais autorisés en France pour la 4G s'élevait, tous opérateurs confondus, à 18 699 – contre 12 525 un an plus tôt -, dont 15 424 en service.

S'il n'existe pas de consensus scientifique sur les dangers potentiels des radiofréquences pour la santé, nombre d'études et d'avis ont appelé à la prudence. En 2011, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) les a classées comme « cancérogènes possibles ». Et, en 2013, l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a recommandé de « limiter les expositions de la population aux radiofréquences – en particulier des téléphones mobiles –, notamment pour les enfants et les utilisateurs intensifs ». Elle préconisait aussi de « maîtriser l'exposition générale résultant des antennes-relais ».

Source © Le Monde
Les animaux ne sont donc finalement plus des meubles. Le Parlement reconnaît définitivement que les animaux sont «doués de sensibilité». 

Alors que le Sénat avait supprimé jeudi dernier la qualité «d'êtres vivants doués de sensibilité» accordée par l'Assemblée nationale aux animaux, l'Assemblée s'est prononcé en dernier ressort sur l'ensemble du texte de simplification du droit et des procédures dans le Code civil. 

Les députés ont eu le dernier mot

Vu le désaccord persistant entre Sénat et Assemblée sur plusieurs dispositions, dont le statut des animaux mais aussi des dispositions plus techniques sur la réforme du droit des obligations et des contrats, les députés avaient le dernier mot sur ce texte.

Source © AFP
François Hollande a beau avoir dit et répété son opposition au gaz de schiste, les industriels français spécialistes de cette filière ne désarment pas. Ils espèrent toujours lever le verrou qui bloque l’exploitation de ce type d’énergie dans l’Hexagone. 

Et pour faire mieux entendre leur voix, ils ont décidé de créer une structure spécifique, le Centre Hydrocarbures Non Conventionnels (CHNC).

Ce nouveau centre sera présenté officiellement le 10 février. Il sera présidé par Jean-Louis Schilansky, un ingénieur des mines, ancien d’ExxonMobil. Il était jusqu’en décembre 2014 le président de l’Union française des industries pétrolières (Ufip).

Parmi les membres fondateurs devraient figurer Total, GDF Suez, Vallourec, Solvay, Air Liquide, Vinci, Arkema, Technip, Bureau Veritas et Suez Environnement.

La création de cette structure marque « un petit tournant », reconnaît M. Schilansky. De Vallourec à Vinci en passant par Technip ou Imerys, de nombreuses entreprises françaises travaillent déjà à l’étranger dans le domaine du gaz de schiste. Mais elles ont toujours peiné à se faire entendre.

Les patrons qui se risquaient individuellement à défendre l’exploitation de ces hydrocarbures étaient immédiatement accusés de soutenir des techniques très polluantes, en particulier la fracturation hydraulique, au détriment de l’environnement.

« C’est ainsi qu’est née l’idée de rassembler tous les acteurs de la filière au sein d’une organisation spécifique », explique M. Schilansky.

« Le baril à 45 ou 50 dollars, cela ne durera pas »

Officiellement, le mot « lobbying » est proscrit. En pratique, le projet y ressemble fort. Il s’agit de diffuser des informations sur l’état des techniques, sur le développement du gaz de schiste dans le monde, de montrer comment cet essor modifie la donne énergétique, etc.

Pour que leur parole porte davantage, les industriels entendent s’entourer d’« experts de haut niveau ». « Un conseil scientifique validera ce que nous dirons », précise le futur président du CHNC.

Pour l’heure, la fracturation hydraulique est strictement interdite en France, et la chute des cours du pétrole classique rend l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels de plus en plus délicate sur un plan économique. « Mais le baril à 45 ou 50 dollars, cela ne durera pas », assure l’ex-président de l’Ufip.

Dans l’immédiat, il n’est d’ailleurs pas question de militer pour l’exploitation du gaz de schiste en France. Dans un premier temps, les industriels voudraient surtout que les pouvoirs publics autorisent des travaux d’exploration, afin de mesurer le potentiel français, encore très mal connu.

Source © Denis Cosnard / Le Monde

Une bataille qui nécessite de convaincre l’opinion publique. Mission ardue. « C’est un projet à très long terme », reconnaît M. Schilansky.
Selon le Journal "Dallas Morning News", un élément supplémentaire vient impliquer la responsabilité de la fracturation comme une cause de tremblements de terre, auprès des compagnies d'assurances américaines qui ont annoncé qu'elles reliaient certains dommages sur des biens immobiliers aux secousses sismiques engendrées par les activités de fracturation aux abords de ces mêmes constructions.

Les compagnies d'assurance qui ont prévu,  en conséquence, une hausse de leurs tarifs , pour l’année prochaine, attendent les résultats de  l'Enquête de l’organisme de Géologie américaine (USGS), qui devrait rendre des informations sur l'activité de ces tremblements de terre. Les assureurs regardent particulièrement la Carte Nationale des Dangers Sismique de l'USGS, qui "prévoit » la localisation des futurs tremblements de terre  , combien de fois ils arriveront et à quelle intensité ils se produiront, toujours selon le Dallas Morning News.

L'USGS a décidé que cette carte prendrait maintenant en compte les tremblements de terre qui se produisent dans le voisinage des puits de fracturation, Cela signifie que les primes d'assurance peuvent monter dans de nombreuses zones où les gisements sont exploités. L'année dernière, USGS a directement relié un tremblement de terre de 5.7-ampleur dans l'Oklahoma à l'industrie de fracturation intensive dans cet état. "L'observation qu'un tremblement de terre induit par homme peut déclencher une cascade de tremblements de terre, y compris des implications importantes liées à l'injection d'eaux usées," a expliqué le sismologue de USGS et le coauteur de l'étude avec Elizabeth Cochran.

Plus de 120 tremblements de terre ont frappé la zone de Dallas au cours des six dernières années et les scientifiques ont démontré que les opérations de fracturations sur les sites voisins en étaient la raison.

Todd Staples, le président de l'association, « Texas Oil & Gas Association » reconnaît que l'activité sismique récente s’est amplifiée et attend les conclusions de l’enquête qui l’espère t-il devrait pour déterminer l'emplacement précis, l'impact et la cause ou les causes d'événements sismiques.

Une étude publiée dans le Bulletin de la Société Sismologique d'Amérique dit que la fracturation près de la Commune de la Pologne de l'Ohio a déclenché plus de 70 tremblements de terre d’une magnitude de 2.1 jusqu’à 3.0, pour le dernier tremblement.



Source © Elisabelle Bourgue / NO Fracking France

Rejoignez Nous

Recevez nos articles par mail

...

Activité solaire/champ magnetique

Solar X-rays:

Geomagnetic Field:
>
Status
Status
 

Derniéres Actualités

ARTICLES LES PLUS RÉCENTS :

Rechercher dans ce blog

Membres

Annonces

annonces

Libellés/Tags

Alerte (4887) pollution (1059) inondation (541) Oceans (507) Hecatombes animales (474) Rechauffement (440) seisme (374) Insolite (348) rivieres (348) legislation (337) biodiversité (332) air (268) maree noire (260) eau (250) climat (237) Santé (233) deforestation (210) Extinction (201) volcan (197) intemperie (190) incendie (188) Mysteres (184) nucleaire (174) Eruption (172) Bilan (161) agriculture (159) justice (159) Mobilisation (157) La honte (155) Tempete (153) Pesticide (147) ce qu'on vous dit pas (147) gaz de schiste (146) bonnes nouvelles (145) conservation (128) secheresse (122) Tornade (109) accident (107) manifestation (102) Coup de chapeau (100) OGM (100) glissement de terrain (99) invasion (95) Typhon (90) evacuation (90) CO2 (89) coup de gueule (87) meteo (76) virus (72) Alergie (71) surpeche (65) catastrophe (62) sante (59) cyclone (54) economie (54) lac etang (53) famine (52) Evenement (51) chimique (50) contamination (50) Coup de coeur (49) record (48) vague de froid (47) cause animale (46) canicule (45) corruption (42) construction (40) Ouragan (38) appel (36) appel a l'aide (35) neige (35) surconsommation (35) Urgence (34) lac étang (34) sols (33) Intoxication (32) braconnage (31) epidemie (31) abeilles (30) alimentation (30) soleil (29) grippe aviaire (28) penurie (28) Orage (26) consommation (24) protection (24) pollution hertzienne (23) No comment (22) Scandale (22) pénurie (22) algues vertes (21) incroyable (21) vague de chaleur (21) acidification (20) Nitrate (19) PCB (19) science (19) biocarburant (18) decouverte (18) Tsunami (17) eutrophisation (16) algues rouges (15) censure (15) chikungunya (15) pollution sonore (15) Agenda (14) dechets nucleaires (14) energie renouvelable (14) sables bitumineux (14) ebola (13) elevage (13) gaspillage (12) ozone (12) clin d'oeil (11) mousson (11) petitions (11) politique (10) avalanche (9) Etat d urgence (8) grêle (8) incident (8) restriction (8) sauvegarde (8) Trombe (7) radiation (7) Chasse (6) Décontamination (6) Methane (6) industrie (6) crime (5) herbicides (5) hommage (5) mal-bouffe (5) plateforme (5) pollution plastique (5) techniques nouvelles (5) alimenation (4) dechets (4) disparus (4) geoingenierie (4) magnetisme terrestre (4) perturbateur endocrinien (4) proces (4) animal (3) cop21 (3) espoir (3) glaciers (3) journée mondiale (3) silence (3) verglas (3) Eureka (2) Géopolitique environnementale (2) Nouvelles technologies (2) ah bon... (2) amiante (2) conflis (2) crue (2) cyanobacteries (2) dengue (2) eclipse (2) espace (2) gag (2) malbouffe (2) poisson (2) projet de loi (2) pétrole (2) recolte (2) sinkhole (2) violence (2) zad (2) Elevage intensif (1) Finance (1) ONG (1) Recherche (1) Tempête (1) Toxique (1) Tristesse (1) commerce (1) consultation public (1) contribution (1) effet d annonce (1) extrane(l)us (1) fuite (1) greenwashing (1) infraction (1) initiative (1) inovation (1) intempérie (1) maree (1) massacre (1) météo (1) naufrage (1) peche (1) police (1) pollution interieur (1) pollution lumineuse (1) prétexte (1) requin (1) saisi (1) sanitaire (1) securite (1) semences (1) semences paysannes (1) séisme (1) trafic (1) victoire (1) zika (1)
Fourni par Blogger.